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#290651
Bonsoir,

Je suis l'auteur du post initial, que revoilà pour ceux qui m'avaient contacté. A vous lire...

Bonsoir,

Voilà quelques mois que je fréquente ce forum. Ce soir je vous livre mon témoignage.

A l'heure où j'écris, ma femme doit se faire baiser pour la deuxième ou troisième fois par son amant. Quand à moi, je suis docilement à la maison, ma petite queue à l'étroit dans une cage que seule la clé qui se balance entre ses seins au gré des coups de butoir du vrai mâle qui la pilonne peut ouvrir. Nous sommes un couple de la trentaine passée. Nous avons toujours eu une vie sexuelle bien remplie et "satisfaisante". Il y a quelques années, nous avons décidé de nous donner mutuellement notre liberté sexuelle. Mais rapidement, nous nous sommes montrés inégaux dans cette nouvelle expérience, ma femme enchainant les rencontres plus excitantes les unes que les autres alors que je m'embourbais dans une histoire miteuse, qui m'a révélé l'étendue de mon incompétence. Car la nuit où enfin une belle salope avait cédé à mes avances, ma queue est restée désespérément molle. Ma femme quand à elle n'en finissait pas de jouir et de vider de belle paires de couilles. Il faut préciser par ailleurs que déjà son physique est à son avantage. Alors que je suis quelconque, ma femme elle ne passe pas inaperçue, tant par son esprit, que son caractère bien trempé et son mètre quatre vingt, rehaussé par ses talons et gainé par la lingerie fine dont je ne manque pas de la combler. Ses jambes interminables se finissent, vu d'en bas (ma place) par un superbe cul, rebondit à souhait et accueillant à faire damner un saint. Sa taille est fine, ses seins généreux (95C) et soulignent avec délice une bouche avide et experte. Elle prenait inexorablement un ascendant sans précédent dans notre couple. Je dois faire 2 aveux par ailleurs. Le premier, on s'en doute, est que je prenais un plaisir pervers à la savoir copieusement baisée, et qui plus est, mieux que je ne pouvais y prétendre moi-même. Car ses escapades ont aussi très vite révélé les limitations dont je fais preuve. Le second est ma tendance très ancienne à la soumission. Mes premiers émois étaient déjà ceux d'un esclave, d'une lope au pieds de maitresses cruelles. La tournure que prenait notre couple n'y a arrangé.

Bien entendu, ma femme a très vite pris la mesure des avantages que lui offrait cette nouvelle situation. Elle ne me domine pas encore en permanence, mais à chaque fois qu'elle reprend sa position, elle est plus ferme et plus cruelle. Il y a un an, pour son anniversaire, en plus d'un ensemble de lingerie et d'un abonnement pour des massages, je lui ai cédé avec bonheur pour 1 an le contrôle total de ma queue. Quel bonheur ce fut lorsqu'elle accepta. Nous avons donc convenu que je n'avais plus ni queue, ni couilles. Du moins que je n'avais plus la prérogative d'en disposer à ma guise. Il faut dire que je me branlais quotidiennement et que pas un jour ne passait sans que je me vide les couilles. Nous avons convenu naturellement qu'il n'en était plus question. Une cage est donc venu compléter les accessoires dont nous agrémentons nos ébats. Elle décide de mes périodes d'enfermement. Elle décide quand je peux jouir, et quand je ne le peux pas. Elle décide si j'ai le droit de bander ou pas. Elle décide si je dois me branler ou non et comment. Elle se sert de sa queue selon son bon vouloir et aux seules fins de son plaisir. Elle vide ses couilles, avec ou sans plaisir, à son gré, essentiellement pour me laisser une chance d'être un gode à la hauteur de ses attentes. Rapidement il s'est avéré que le contrôle de ma queue n'était pas suffisant. Ainsi c'est tout mon corps qui lui appartient désormais, et elle découvre les joies d'user à loisir de ma bouche, de mon cul et de me gratifier de quelques cuisantes, quoiqu'encore sages, punitions corporelles. Arrivés à la date anniversaire de ce contrat à durée déterminée, il est apparu naturel de passer au CDI.

Alors qu'auparavant j'avais droit de véto sur ses rencontres, elle dispose maintenant totalement de son autonomie en la matière. Elle a un amant régulier de 10 ans notre cadet. Un autre la baise de tant à autre. A chaque rencontre, elle jouit des dizaines de fois, et rentre épuisée et ouverte. Leurs queue sont plus longues, plus grosses, plus dures que ma misérable bite. Ils la baisent à répétition. Alors qu'elle me refuse désormais les faveurs de sa bouche, que je sais pourtant si chaude et si douce, elle les suce longuement et ne manque pas de me narrer chaque détail de ces pipes. Elle aime beaucoup voir leur foutre s'étaler sur ses dentelles. C'est moi bien sûr qui doit laver son linge sale à la main. Alors qu'elle se donne comme un chienne, moi, maso jusqu'au bout, ma queue à l'étroit dans sa cage, je mate des films de culs où de superbes salopes se font défoncer par les queues de vrais mâles. Et il ne me reste que mon cul pour me procurer un peu de plaisir.

J'attends son retour avec impatience. Parfois elle me baise. Parfois elle essuie simplement sa chatte trempée sur ma gueule. Parfois j'ai tout juste le droit d'embrasser sa rondelle, j'y fourre alors ma langue frénétiquement et je ravale avec douleur et extase mon érection et ma condition de moins que rien pour laisser ma reine reposer son corps des assauts des belles bites qu'elle a chevauché la nuit durant. Je m'en vais exécuter ses ordres, à savoir m'enficher dans le cul notre plus gros plug, et l'attendre.

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