- 24 août 2024, 14:04
#2819171
Je ne savais pas où caser ma petite histoire que je m'apprête à vous raconter.
Nous sommes en couple avec mon mari depuis 20 ans. J'ai fêté avec lui mes 20 ans, mes 30 ans et bientôt les 40. J'étais très coquine à l'époque, moi plus que lui en dépit des années sui nous séparent. On a fait des trois, des gang bang, des bukkake, on a arrêté de compter le nombre de partenaires, il finissait par donner le tourni. On a connu des phases très actives, d'autres moins. Nos envies n'étaient pas les mêmes aux mêmes moments.
Le candaulisme s'est un peu imposé à nous. Mon mari est moins bien membré que la moyenne disons, il aime être un peu soumis et moi j'aime les mecs gâtés par la nature. On avait fréquenté un cocufieur quelques mois, tout cela s'est très bien passé. Il restait à sa place, a respecté les règles, c'était vraiment bien. Puis, une longue phase sans réellement de tiers dans notre couple.
Je traversais une période professionnelle assez déprimante, je tournais en boucle, je pleurais, mangeais trop... Mon mari me dit alors : va au sauna libertin, s'il ne se passe rien, tu te seras détendue, si un gars te plaît, tu auras gagné ta fin d'après-midi ++. En plus, c'est gratuit pour les femmes. Ma libido et mon envie de faire des cochonneries étaient au point mort, je refusais d'y aller, n'ayant pas non plus d'une opinion positive sur les sauna. Et puis finalement, j'y suis allée, et ça m'a plu. J'y allais seule, mon mari étant très occupé et ça l'excitait que je lui raconte mes petites aventures.
Un vendredi soir, en février, soirée libertine au sauna, je coquine avec un mec de mon âge environ, grand, yeux bleus, beau gosse. Ça se passe super bien, on accroche, on s'échange nos numéros et vous voyez la suite venir.
On se voyait au début assez épisodiquement. On s'écrit juste lorsqu'un de nous deux veut aller au sauna, pour le plaisir d'aller baiser la bas. Je pars en vacances, fais une pause sauna, je ne l'ai pas vu quelques semaines. Puis les retrouvailles, et on se lâche plus. On se voit chez moi, mon mari est d'accord. Il est passé le matin de mon anniversaire, une fois avant de bosser le matin (vers 6h30), le midi, le soir, plusieurs fois dans la semaine. C'était bien, on s'amusait. Début juillet, il passe la nuit chez nous. Pour moi, ce fut presque une nuit d'amour, de tendresse, lui aussi a profité de cette soirée. Pour mon mari, un déchirement. J'ai dépassé les bornes, l'amant aussi. Ce dernier part en vacances, on s'écrit tous les jours, m'envoie des photos de paysages, j'attends ses messages avec impatience. Il revient. Il m'a manqué, on ôte le préservatif, c'était plus fort, intense et simple. On parle de mes vacances qui ont lieu dans un mois, il me dit que je lui manquerai, à moi aussi il me manquerait. On s'est vu le midi en forêt, on pique niquait, baisait, restait tout nu en discutant, on se trouvait plein de points communs. On s'attachait, on avait envie de se faire des promesses.
Mon mari n'est pas bête, il a compris notre petit manège. J'étais dans le déni. Non, il ne m'aime pas, non ce n'est qu'un plan cul voyons. La veille de notre départ en vacances début août, quand il m'a posé la question qui je choisirais si je devais faire un choix, j'ai répondu que je ne pouvais pas choisir.
Les vacances ont été dures. Des larmes de tristesse, de joie aussi, on a failli écourter le séjour pour entamer la procédure de divorce, finalement non. Nous sommes rentrés, et rebelote. J'ai revu cet amant un lundi, j'étais incapable de lui résister. J'étais vraiment amoureuse, accrochée, et il m'a avoué que c'était réciproque. Le jeudi, je devais le revoir le midi, j'ai finalement mis fin à notre relation par WhatsApp. Pas fière de moi, mais le revoir aurait fait encore plus de mal à mon mari, à mon amant et à moi. Tout le monde était mal dans cette histoire.
Maintenant, on se reconstruit avec mon mari. Plus jamais de libertinage, davantage d'écoute, d'amour et de démonstration. On a compris que rien est acquis, que la merde touche seulement les autres. Et bien non.
Je lui suis reconnaissante de m'avoir écoutée, soutenue dans cette épreuve. De m'avoir demandé de choisir maintenant, pour le bonheur de tous et pour éviter que tout le monde souffre. Peu importe avec qui je choisissais de continuer, j'avais l'assurance de son amour et de son soutien pour l'avenir.
Chers maris candaulistes, vous jouez avec le feu, c'est excitant. Rappelez simplement à votre femme que vous l'aimez. Ayez toujours un droit de regard sur les relations qu'entretient votre femmes. Pour ma part, tout a failli basculer en 6 mois. Maison, animaux, mariage. Tout aurait été rayé de la carte à cause d'un amant qui n'est pas resté à sa place et notre couple dont les démonstrations d'amour s'étaient raréfiées (travail, stress). Ça va plus vite qu'on ne le croit.
Nous sommes en couple avec mon mari depuis 20 ans. J'ai fêté avec lui mes 20 ans, mes 30 ans et bientôt les 40. J'étais très coquine à l'époque, moi plus que lui en dépit des années sui nous séparent. On a fait des trois, des gang bang, des bukkake, on a arrêté de compter le nombre de partenaires, il finissait par donner le tourni. On a connu des phases très actives, d'autres moins. Nos envies n'étaient pas les mêmes aux mêmes moments.
Le candaulisme s'est un peu imposé à nous. Mon mari est moins bien membré que la moyenne disons, il aime être un peu soumis et moi j'aime les mecs gâtés par la nature. On avait fréquenté un cocufieur quelques mois, tout cela s'est très bien passé. Il restait à sa place, a respecté les règles, c'était vraiment bien. Puis, une longue phase sans réellement de tiers dans notre couple.
Je traversais une période professionnelle assez déprimante, je tournais en boucle, je pleurais, mangeais trop... Mon mari me dit alors : va au sauna libertin, s'il ne se passe rien, tu te seras détendue, si un gars te plaît, tu auras gagné ta fin d'après-midi ++. En plus, c'est gratuit pour les femmes. Ma libido et mon envie de faire des cochonneries étaient au point mort, je refusais d'y aller, n'ayant pas non plus d'une opinion positive sur les sauna. Et puis finalement, j'y suis allée, et ça m'a plu. J'y allais seule, mon mari étant très occupé et ça l'excitait que je lui raconte mes petites aventures.
Un vendredi soir, en février, soirée libertine au sauna, je coquine avec un mec de mon âge environ, grand, yeux bleus, beau gosse. Ça se passe super bien, on accroche, on s'échange nos numéros et vous voyez la suite venir.
On se voyait au début assez épisodiquement. On s'écrit juste lorsqu'un de nous deux veut aller au sauna, pour le plaisir d'aller baiser la bas. Je pars en vacances, fais une pause sauna, je ne l'ai pas vu quelques semaines. Puis les retrouvailles, et on se lâche plus. On se voit chez moi, mon mari est d'accord. Il est passé le matin de mon anniversaire, une fois avant de bosser le matin (vers 6h30), le midi, le soir, plusieurs fois dans la semaine. C'était bien, on s'amusait. Début juillet, il passe la nuit chez nous. Pour moi, ce fut presque une nuit d'amour, de tendresse, lui aussi a profité de cette soirée. Pour mon mari, un déchirement. J'ai dépassé les bornes, l'amant aussi. Ce dernier part en vacances, on s'écrit tous les jours, m'envoie des photos de paysages, j'attends ses messages avec impatience. Il revient. Il m'a manqué, on ôte le préservatif, c'était plus fort, intense et simple. On parle de mes vacances qui ont lieu dans un mois, il me dit que je lui manquerai, à moi aussi il me manquerait. On s'est vu le midi en forêt, on pique niquait, baisait, restait tout nu en discutant, on se trouvait plein de points communs. On s'attachait, on avait envie de se faire des promesses.
Mon mari n'est pas bête, il a compris notre petit manège. J'étais dans le déni. Non, il ne m'aime pas, non ce n'est qu'un plan cul voyons. La veille de notre départ en vacances début août, quand il m'a posé la question qui je choisirais si je devais faire un choix, j'ai répondu que je ne pouvais pas choisir.
Les vacances ont été dures. Des larmes de tristesse, de joie aussi, on a failli écourter le séjour pour entamer la procédure de divorce, finalement non. Nous sommes rentrés, et rebelote. J'ai revu cet amant un lundi, j'étais incapable de lui résister. J'étais vraiment amoureuse, accrochée, et il m'a avoué que c'était réciproque. Le jeudi, je devais le revoir le midi, j'ai finalement mis fin à notre relation par WhatsApp. Pas fière de moi, mais le revoir aurait fait encore plus de mal à mon mari, à mon amant et à moi. Tout le monde était mal dans cette histoire.
Maintenant, on se reconstruit avec mon mari. Plus jamais de libertinage, davantage d'écoute, d'amour et de démonstration. On a compris que rien est acquis, que la merde touche seulement les autres. Et bien non.
Je lui suis reconnaissante de m'avoir écoutée, soutenue dans cette épreuve. De m'avoir demandé de choisir maintenant, pour le bonheur de tous et pour éviter que tout le monde souffre. Peu importe avec qui je choisissais de continuer, j'avais l'assurance de son amour et de son soutien pour l'avenir.
Chers maris candaulistes, vous jouez avec le feu, c'est excitant. Rappelez simplement à votre femme que vous l'aimez. Ayez toujours un droit de regard sur les relations qu'entretient votre femmes. Pour ma part, tout a failli basculer en 6 mois. Maison, animaux, mariage. Tout aurait été rayé de la carte à cause d'un amant qui n'est pas resté à sa place et notre couple dont les démonstrations d'amour s'étaient raréfiées (travail, stress). Ça va plus vite qu'on ne le croit.
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