- 18 déc. 2023, 19:35
#2766038
Nous sommes toujours amoureux, et uni.
L’épisode F, est enfin derrière nous. C’est digéré, avec beaucoup de difficultés pour ma part, et beaucoup plus facilement pour Miss A.
Pour ceux qui souhaitent connaître le fil :
http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?f=61&t=64321#p1747118
Je n’ai pas eu la faculté du lâche prise dans cette relation. J’y ai mis trop d’espérance, et sans doute avais-je trop projeté mes fantasmes ?
En fin de compte, cette rupture a été mienne plus que celle de Miss À.
La vie de tous les jours a repris immédiatement pour elle, et pour moi, je suis resté dessus, à chercher là où il n’y avait rien a chercher.
F avait simplement fait son choix, et je devais le respecter. Chose que je n’ai pas su faire bien sûr, d’où mon mal être.
J’ai bien tenté de parler, de m’ouvrir, et d’aborder ce candaulisme tenace.
Mais plus je tentais d’expliquer, plus je m’enfonçais.
J’ai alors réussi à faire une pause mentale. Pause des visite du site, pause de mes lectures, pause, pause…
Notre sexualité s’en est ressentie, la frustration pour Miss A, qui constatait mon manque d’envie pour elle, malgré mes actes de tendresses et mes mots d’amour. Mais je n’avais que ça à offrir.
Sa patience et les discussions que nous avions, m’ont permis de cicatriser, et prendre ce recul nécessaire.
Peu à peu, nos discussions sexuelles revenaient sur cette expérience.
Miss A aime quand j’introduit dans nos ébats, un homme équipé large.
Je sais que cela lui retourne l’image de sa première expérience sexuelle. Cet homme était équipé d’un tel engin, qu’elle avait eu peur.
« Ça ne rentrera jamais ! »
Il est sûr que pour une première expérience, cela peut et doit bloquer plus d’une femme.
Sa peur et le blocage qui en a suivi, ont eu raison de leur liaison.
Aujourd’hui, j’ai pris conscience que cette queue aux importantes dimensions est un fantasme pour elle.
Dès que j’introduis ces mots dans nos ébats, elle est trempée, elle avoue qu’elle en a envie, et puis jouit comme une folle.
Le fantasme de Miss A, bien qu'inexistant à ses yeux, est une source d'excitation pour son corps.
Si je devais résumer, le corps dit oui, et la tête dit non. Sur lequel, j'ajoute aussi ma propre peur de l'expérience mal réalisée, où le.couple est déçu pour l'avoir trop fantasmé.
Pendant nos ébats, Miss A me dit oui j'en ai bien sûr envie, mais elle ne veut pas le voir. Et puis après, elle me dit qu'elle ne veut pas d'un "moche".
Bref tu avances et tu recules, mais comment veux-tu...
Le tout et son contraire, où Venus quand tu fais chier, moi c’est Mars !!
Parfois je lui envoie des photos de grosses pines (ps: merci aux participants), avec une arrière pensée, la mettre en colère parce qu'elle est au boulot avec ses collègues (OK je fais tout pour que ça ne se fasse pas !)
Même pas, je foire mon coup et elle me répond qu'elle aime bien celle-ci ou celle-là.
D'autres fois, quand un ami la cherche un peu, elle lui rétorque qu'elle préfère les grosses queues, en me regardant, l'œil coquin, espiègle.
Bizarre, quand on sait que l'ami en question en possède une belle, et que la Miss le sait pour l'avoir déjà vue en action.
Alors avec tous ces différents signaux, j'ai envie et je sens qu’elle aussi a envie de provoquer la rencontre, mais l'avons nous deja trop fantasmé ?
Dans ce cas, nous allons vers une nouvelle déception.
Alors comment devons nous avancer ?
Quelles étapes progressives pourrait-on réaliser sans nous mettre en danger ?
Ou devons nous rester dans nos fantasmes, sans jamais avoir franchi le rubicon ?
L’épisode F, est enfin derrière nous. C’est digéré, avec beaucoup de difficultés pour ma part, et beaucoup plus facilement pour Miss A.
Pour ceux qui souhaitent connaître le fil :
http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?f=61&t=64321#p1747118
Je n’ai pas eu la faculté du lâche prise dans cette relation. J’y ai mis trop d’espérance, et sans doute avais-je trop projeté mes fantasmes ?
En fin de compte, cette rupture a été mienne plus que celle de Miss À.
La vie de tous les jours a repris immédiatement pour elle, et pour moi, je suis resté dessus, à chercher là où il n’y avait rien a chercher.
F avait simplement fait son choix, et je devais le respecter. Chose que je n’ai pas su faire bien sûr, d’où mon mal être.
J’ai bien tenté de parler, de m’ouvrir, et d’aborder ce candaulisme tenace.
Mais plus je tentais d’expliquer, plus je m’enfonçais.
J’ai alors réussi à faire une pause mentale. Pause des visite du site, pause de mes lectures, pause, pause…
Notre sexualité s’en est ressentie, la frustration pour Miss A, qui constatait mon manque d’envie pour elle, malgré mes actes de tendresses et mes mots d’amour. Mais je n’avais que ça à offrir.
Sa patience et les discussions que nous avions, m’ont permis de cicatriser, et prendre ce recul nécessaire.
Peu à peu, nos discussions sexuelles revenaient sur cette expérience.
Miss A aime quand j’introduit dans nos ébats, un homme équipé large.
Je sais que cela lui retourne l’image de sa première expérience sexuelle. Cet homme était équipé d’un tel engin, qu’elle avait eu peur.
« Ça ne rentrera jamais ! »
Il est sûr que pour une première expérience, cela peut et doit bloquer plus d’une femme.
Sa peur et le blocage qui en a suivi, ont eu raison de leur liaison.
Aujourd’hui, j’ai pris conscience que cette queue aux importantes dimensions est un fantasme pour elle.
Dès que j’introduis ces mots dans nos ébats, elle est trempée, elle avoue qu’elle en a envie, et puis jouit comme une folle.
Le fantasme de Miss A, bien qu'inexistant à ses yeux, est une source d'excitation pour son corps.
Si je devais résumer, le corps dit oui, et la tête dit non. Sur lequel, j'ajoute aussi ma propre peur de l'expérience mal réalisée, où le.couple est déçu pour l'avoir trop fantasmé.
Pendant nos ébats, Miss A me dit oui j'en ai bien sûr envie, mais elle ne veut pas le voir. Et puis après, elle me dit qu'elle ne veut pas d'un "moche".
Bref tu avances et tu recules, mais comment veux-tu...
Le tout et son contraire, où Venus quand tu fais chier, moi c’est Mars !!
Parfois je lui envoie des photos de grosses pines (ps: merci aux participants), avec une arrière pensée, la mettre en colère parce qu'elle est au boulot avec ses collègues (OK je fais tout pour que ça ne se fasse pas !)
Même pas, je foire mon coup et elle me répond qu'elle aime bien celle-ci ou celle-là.
D'autres fois, quand un ami la cherche un peu, elle lui rétorque qu'elle préfère les grosses queues, en me regardant, l'œil coquin, espiègle.
Bizarre, quand on sait que l'ami en question en possède une belle, et que la Miss le sait pour l'avoir déjà vue en action.
Alors avec tous ces différents signaux, j'ai envie et je sens qu’elle aussi a envie de provoquer la rencontre, mais l'avons nous deja trop fantasmé ?
Dans ce cas, nous allons vers une nouvelle déception.
Alors comment devons nous avancer ?
Quelles étapes progressives pourrait-on réaliser sans nous mettre en danger ?
Ou devons nous rester dans nos fantasmes, sans jamais avoir franchi le rubicon ?
"L'échangisme ne me choque pas. Après tout, quitte à être cocu, autant l'organiser soi-même." (Frédéric Beigbeder)