Ce matin, j'ai enfin pris le temps de finir la rédaction du dernier volet de ce merveilleux weekend-cadeau de Marine. Désolé d'avoir mis autant de temps...
Juillet 2023, un cadeau hors norme ! (suite2 et fin).
Marine me jette un petit coup d’œil et esquisse un petit sourire. Je devine de la complicité mais pas seulement. Il y a aussi une sorte de réserve, appréhension ? Hésitation ? A l’avant de la voiture, Isa et Loïc discute de la route à prendre. Ils ne sont pas d’accord sur le chemin le plus court. Loïc a proposé de nous prendre vers les 20h pour nous emmener vers une destination inconnue. De temps en temps je respire un grand coup, histoire de faire tomber un peu la pression qui m’étouffe. Je suis dans un état d’excitation rarement atteint. Marine porte la deuxième robe qu’elle avait amenée, celle hyper moulante. Je sais qu’elle l’a choisi pour me faire plaisir car ce n’est pas la plus « confortable ». Je suis touché par cette petite attention. Avant de partir, Loïc et Isa nous en ont dit un peu plus. Nous allons chez un habitant du coin, un couple ami de longue date et libertins depuis de nombreuses années, Eddy et Marie. Nous savons que nous « connaitrons » probablement quelques invités, Hervé et sa femme, Christelle, ainsi que Fred. Ce genre de soirée se déroule habituellement avec une vingtaine de participants au maximum, la plupart étant en couple. Fred est souvent présent ainsi qu’un de ses copains, un certain Simon.
_ Des jeunes habitués de ce genre de soirée.
Elle avait appuyé cette dernière remarque d’un petit clin d’œil.
Je serre la main de ma chérie pour la rassurer. Elle penche la tête et la pose sur mon épaule.
Cet après midi, sur la plage, nous en avons longuement discuté. Je comprends sa fébrilité.
Tout à l’heure, allongée sur le sable elle m’avait demandé ce dont j’avais envie pour cette soirée. Je lui avais répondu :
_ Ben comme hier soir... Regarder plusieurs mecs te baiser mon ange.
Elle avait pouffé de rire.
_ Ça ne t’a pas suffit, hier ?
_ C’était parfait, exactement ce que j’espérais... Mais comme on est sûrement pas prés de recommencer l’expérience, ben j’aimerai en profiter un max aujourd’hui...
Elle avait hoché la tête en signe de compréhension. Et là, je m’étais dit que j’agissais en pur égoïste.
_ Désolé, je ne t’ai même pas demandé si toi tu en avais envie... C’est vrai que ça fait beaucoup en peu de temps... Hier soir, tout à l’heure avec Loïc, ce soir...
Elle avait ri avant de me répondre :
_ C’est mon cadeau, je dois assumer !
_ Oui, mais, quand même... Tu ne satures pas ? Tu en as encore envie ?
Elle avait repris son sérieux avant de me souffler :
_ Comme tu le dis, on ne fait pas ce genre de chose très souvent... Heureusement car sinon, on se lasserait sûrement. Enfin je le suppose...
Je n’avais rien dit. Je m’étais juste penché sur elle pour l’embrasser sur la bouche. Un petit bisou tendre sur ses lèvres.
Ce n’est qu’au bout de quelques secondes qu’elle avait rajouté :
_ Pour répondre à ta dernière question... Oui, j’en ai encore envie...
Petit silence suivi d’un petit rire avant de poursuivre.
_ Je pense que ton regard posé sur moi dans ces moments là y est pour beaucoup.
_ Quand tu te laisse prendre par les autres, c’est de ça dont j’ai le plus envie, moi.
La voiture s’engage dans une allée bordée de lauriers roses. Nous sommes entourés de vignes et on aperçoit un corps de ferme. Loïc nous annonce qu’on arrive. Isa se retourne vers nous et par-dessus le dossier de son siège nous explique :
_ Ils ont acheté cette vieille maison il y a plus de vingt ans, vous allez voir, c’est superbe. Ils ont aménagé ce qui autrefois devait être des chais en une salle de banquet avec tout ce qu’il faut pour notre plaisir...
Clin d’œil suivi d’un petit rire avant de se retourner pour faire face à la grille marquant l’entrée de la propriété. Le portail s’ouvre automatiquement et on entre dans une grande cour où stationnent déjà plusieurs voitures.
Nos hôtes sont charmants ! Ils nous mettent immédiatement à l’aise en imposant le tutoiement. Eddy nous accueille comme de vieux amis. Je lui donne la cinquantaine et Marie, sa compagne, un peu moins âgée est superbe, hyper sexy dans une robe ultra courte laissant voir des jambes de rêve. Mais je m’étais dit la même chose en voyant Isa tout à l’heure et je suis sûr que toutes les femmes invitées ce soir seront bandantes, c’est le jeu ! En tous cas, Le regard d’Eddy sur Marine en dit long sur ce qu’elle lui inspire. Nous les suivons pour la visite des lieux et Isa avait raison, c’est franchement beau. Une grande salle avec une table qui me parait immense. Des poutres apparentes, des murs blanchis à la chaux, un look rustique qui me convient tout à fait. A une extrémité, un bar avec une vraie pompe à bière et de multiples bouteilles d’alcool sur une étagère. Des bouteilles de vin dans un casier de taille respectable complète le décor. Le long du mur, une autre table couverte de plats de nourriture, salades diverses et un grand plat rond avec un couvercle sur une plaque électrique chauffante. Tout est prévu. Mais le plus surprenant pour les « non initiés », c’est l’estrade à l’autre bout de la pièce avec en son centre un matelas immense. Je dirai bien dans les trois mètres sur trois. Dès que je le vois, je me demande où on peut se procurer ce genre de chose... De chaque coté de l’estrade, deux grands canapés avec devant chacun d’eux, une table basse. Sur les murs, des tableaux, des gravures choisis visiblement pour leurs caractères érotiques.
Nous sommes les derniers arrivés et en temps que nouveaux venus, nous avons droit à une présentation particulière de chaque convive. Comme nous l’avait dit Isa, Hervé et Christelle ainsi que Fred sont bien là. Je compte les autres « invités », nous sommes 18 ! On a beau me présenter chacun d’eux par leur prénom, tout va trop vite, au bout de cinq minutes, je ne me souviens plus d’aucun sauf celui du copain de Fred, Simon, un beau gosse bien foutu. En fait ce sont les deux seuls célibataires.
C’est la première fois que nous participons à une soirée coquine privée et je me dis que ça va sûrement être un beau final pour mon weekend cadeau ! Mais Nous ignorons totalement le déroulé d’une telle soirée... Alors, on se laisse guider.
Durant l’apéro, les conversations s’engagent et on sent bien qu’à part Marine et moi, ils se connaissent tous un peu. On devine qu’ils se retrouvent de temps en temps, une à deux fois par an peut-être.
L’ambiance est conviviale. On s’occupe de nous et les verres s’enchaînent... Marine reste contre moi mais je remarque très vite que son regard s’attarde souvent sur le dénommé Simon et que la réciproque est également vraie. Je sens mon bas ventre me chatouiller un peu. Je l’observe à la dérobée. Quel âge il a ce type ? Je dirai entre 25 et 30... Et c’est vrai qu’il doit plaire à pas mal de femmes vu son physique. Avec Fred ils sont vraiment décalés par rapport aux autres qui doivent se situer entre la quarantaine et la soixantaine.
Vient le moment de passer au diner, si on peut appeler ça comme ça. C’est un buffet et chacun se sert et va s’assoir où il veut. Je me retrouve assis à la table avec Isa à mes côtés. Elle m’explique un peu l’historique de leur rencontre avec nos hôtes. Les allers-retours entre les deux tables se multiplient de façon un peu désordonnée. J’observe à la dérobée Marine assise sur une banquette encadrée par Fred et Simon. C’est étrange, je l’aurai parié !
Isa colle de plus en plus sa cuisse contre la mienne, il n’y a aucune ambigüité quand à ses envies. La nourriture (toasts et une paella) est très correcte. L’alcool ne manque pas et il y a le choix, bière, whisky, Vodka, vin... Il n’y a qu’à se servir. Il me suffit de regarder autour de moi pour en apercevoir les premiers effets. Beaucoup de rires et de joues rouges et il y a déjà des couples qui se caressent un peu partout. D’autres dansent, un verre à la main, en se frottant lascivement les uns contre les autres.
L’ambiance est au sexe et c’est terriblement excitant. Les femmes sont toutes habillées hyper sexy, certaines portant des « hauts » carrément transparents. Pas de collant, jambes nues ou habillées de bas, une règle qui me va bien...
La main d’Isa caresse régulièrement ma braguette sous la table et je remarque que Fred et Simon parlent souvent à l’oreille de Marine qui rit beaucoup avant de leur répondre. Elle a les joues écarlates et me lance régulièrement un regard appuyé comme si elle voulait être sûre que je profite bien de cette soirée. Nos clins d’œil respectifs nous rassurent mutuellement. Je suis sûr que ses deux voisins sont en train de la chauffer et qu’elle aime ça ma coquine. Il fait chaud et j’ai la tête qui tourne un peu. Je me sens bien. Je suis dans cet état « intermédiaire », juste au bord de l’ivresse mais encore bien conscient.
Je bande ! Ma voisines a tout fait pour cela. Je lui caresse les cuisses, de plus en plus haut, jusqu’à sa culotte que je sens trempée. En face de moi, Marine me fixe avec un regard un peu trouble tandis que Simon l’embrasse dans le cou tout en caressant sa poitrine à travers sa robe. Fred continue de lui parler à l’oreille tout en lui caressant les cuisses.
Je détourne la tête, le souffle court. Mon regard tombe sur Loïc dansant avec une grande blonde tout en la caressant sous les yeux d’un type qui semble ravi. Un autre candau peut-être...
De nouveau, Je remonte lentement jusqu’à atteindre le tissu humide de cyprine sans qu’Isa ne s’y oppose, bien au contraire. Elle ouvre ses jambes en grand pour me faciliter la tâche. J’essaie d’écarter cette foutue culotte sans y parvenir.
Finalement, en pouffant de rire, Isa se soulève de sa chaise pour me permettre de faire glisser le bout de tissu sur ses cuisses. Elle va même jusqu’à se pencher pour l’enlever totalement. Je me dis que Fred et Simon n’auront pas ce problème vu que Marine n’en porte pas...
Isa respire plus fort tout en sirotant un verre de vin tandis que je la visite lentement. De mon autre main, je m’empare de ma tasse de café encore chaude dans laquelle je viens de me verser un peu de Cognac. C’est un vrai régal. Je pense que c’est une belle image de la dépravation, un cognac dans une main, une chatte trempée dans l’autre et ma queue dressée dans mon pantalon.
Autour de nous, les choses évoluent un peu partout, des couples baisent déjà sur les banquettes et sur la grande paillasse du fond.
Soudain, j’aperçois Marie venir droit sur nous. Dans un reflexe stupide, je retire ma main, comme un gamin pris en flagrant délit. Isa pouffe de rire, moqueuse. Marie me demande si tout va bien et après que je lui ai répondu par l’affirmative, se penche vers Isa pour lui parler à l’oreille. Isa se met à rire puis se lève. A son tour, elle se penche vers moi et murmure :
_ Désolée mais ma copine a besoin de moi... Mais on se voit plus tard... J’ai trop envie de toi...
Elle m’embrasse sur la bouche tout en caressant mon sexe puis se redresse et rejoint Marie qui l’attend en nous regardant avec un grand sourire.
De nouveau, j’ai du mal à respirer, totalement submergé par des envies de sexe incontrôlables.
Je regarde du côté de Marine et découvre qu’ils ne sont plus sur la banquette. A leur place, un mec baise une superbe femme en levrette, entièrement nue...
Je cherche ma coquine du regard et la découvre en train de danser, prise en sandwich par ses deux prétendants qui l’embrassent à tour de rôle sur la bouche tout en la caressant un peu partout. Je ressens comme une décharge électrique dans tout mon corps. J’étais déjà excité par Isa et tout ce que je vois autour de moi mais là, c’est une augmentation brutale de ma tension. Mon cœur bat la chamade, c’est terrible comme sensation. Le sexe festif, c’est tellement fou comme ambiance. Autour de moi, des gens baisent en souriant et en se lançant des commentaires très chauds. Tout cela contribue à une excitation générale peu commune.
Soudain, je sens une main se poser sur mon bras. Je relève la tête et tombe face à un Fred tout sourire.
_ Tu penses à quoi ? Tu me semble un peu perdu...
Perdu dans mes réflexions, je ne l’vais pas vu venir. Je lui réponds en bafouillant :
_ Ben à rien... Ca va bien... C’est tout.
Je jette un coup d’œil et constate que Simon continue de danser serré contre ma coquine. Placé dans son dos, il l’embrasse dans le cou tout en lui caressant les seins et elle semble apprécier. Les yeux fermés, elle ondule, les bras ballants, tête penchée sur le côté pour mieux s’offrir à la bouche de Simon. Je regarde de nouveau Fred qui m’observe en souriant.
Il prend mon bras et m’invite à le suivre pour boire un verre. On se sert un verre de vin chacun. Il engage aussitôt la conversation :
_ Loïc m’a raconté votre séance de cet après midi...
_ Ah... Oui, c’était un bon moment.
Et je pouffe de rire.
_ Il m’a dit que tu étais plutôt du genre voyeur avec ta femme... très voyeur... Je m’en doutais un peu après notre soirée au club.
_ Oui, c’est mon truc à moi... Je suis très chaud quand je la regarde avec d’autres mecs. Suis comme ça !
Il rigole avant de me glisser :
_ Mais il n’y a rien de honteux là dedans ! Tu n’es pas le seul à avoir ce genre de délire... Et moi, ça me va bien car j’en profite !
Et il éclate de rire. Je l’imite puis haussant les épaules, je lui réponds :
_ Ouai. Je me dis qu’il y a pire comme perversion.
On rigole tous les deux. On finit nos verres cul sec et il relance :
_ Il faut dire qu’elle a de sérieux arguments pour te procurer ce plaisir... Et elle doit sûrement aimer ça... Que tu la regardes...
Je me contente de lui faire un clin d’œil en guise de réponse. Il me fixe un moment avant de poursuivre :
_ J’en ai parlé à mon pote Simon... De la soirée d’hier et de votre petite séance de cet aprèm.
Petit silence. Il poursuit :
_ Dès qu’il l’a vu, il a carrément eu envie de... Bon, soyons franc, on a très envie de passer un moment avec elle...
Il a un petit rire, hésite un peu puis :
_ Je me suis dit que tu aimerais peut être qu’on se retrouve tous les quatre... On irait dans un coin tranquille... Tu en penses quoi ?
Je reste figé. J’ai soudain du mal à déglutir et je sens mon ventre se tordre. Le vin a tout d’un coup du mal à passer. Rythme cardiaque en hausse brutale, tremblement incontrôlable de tout mon corps, jambes qui flageolent, ça y est, c’est reparti. Putain, bien sûr que ça me dit !
_ C’est une offre tentante... Tu veux dire quoi par « petit coin tranquille » ?
Il rigole un peu avant de répondre :
_ Avec Simon, on connait Eddy depuis longtemps. On est des habitués de ses réceptions particulières.
Il me fixe avec un petit sourire au coin des lèvres :
_ Parfois, il prête une chambre d’ami dans sa maison pour, disons, des jeux plus intimes.
Il nous ressert un verre de vin, en avale une gorgée et continue :
_ Simon est hyper chaud et ta femme... On a l’impression qu’elle ne dirait pas non...
Il me regarde, guettant ma réaction. Je ne sais pas exactement en quel terme il a parlé de Marine à son copain mais je m’en fou. Seul le résultat compte.
_ Ben pourquoi pas... Moi... J’ai envie de la voir avec plusieurs mecs ensemble, alors...
Je regarde de nouveau du côté du groupe des danseurs. Ils sont de moins en moins nombreux alors que les banquettes font de plus en plus d’adeptes. Marine s’est retournée et les bras passés autour du cou de Simon, l’embrasse sur la bouche pendant qu’il lui caresse les fesses. C’est sûr qu’elle n’a pas l’attitude d’une femme disant non !
Fred me donne une petite tape dans le dos et s’éloigne en direction de la table. Je le regarde aborder Eddy qui tout en me regardant, hoche la tête ne laissant aucun doute sur son accord. Je suis des yeux Fred qui s’approche du couple et leur parle. Au bout de quelques secondes, Marine se tourne vers moi et me fixe quelques instants avant de venir me rejoindre. Elle est superbe dans sa robe moulante. Ses hanches pleines se balancent un peu et elle me sourit tout en s’approchant. Derrière elle Fred et Simon continue de discuter.
Marine se plante devant moi, prend mon verre et avale une gorgée tout en me fixant. Je lui demande :
_ Tu passes une bonne soirée ma belle ?
Elle pouffe de rire.
_ Excellente... Et toi ?
_ Ben excellente aussi... J’ai vu que Tu avais un certain succès auprès des petits jeunes.
Elle s’appui contre le bar et m’observe un moment avant de s’approcher et me dire d’une voix hésitante :
_ Tu... Tu en penses quoi de ce qu’ils proposent... Je veux dire... Tu es d’accord ?
_ Pour moi, c’est une proposition malhonnête.
Elle rit avant de poursuivre :
_ Très malhonnête.
Petit silence. Elle se mord la lèvre inférieure, signe d’une intense réflexion chez elle. Je lui prends la main et lui murmure :
_ Tu en as envie toi aussi, non ?
_ S tu n’es pas d’accord, on n’y va pas, je m’en moque tu sais !
J’éclate de rire.
_ J’en déduis donc que tu aimerais quand même prendre ton pied avec eux...
Elle me regarde en souriant :
_ Et je pense que toi, tu aimerais bien voir ça...
_ Bien sûr...
Je l’attire contre moi et nos lèvres se rejoignent. Elle passe ses bras autour de mon cou et me sert très fort contre elle. Lorsque je la relâche, elle colle sa bouche contre mon oreille :
_ Merci mon amour à moi.
_ Je comprends bien, ils sont pas mal ces petits jeunes... En pleine forme...
_ Rhhhôôôô ça va ! On dirait que tu parles d’une vieille en manque...
Petit silence.
_ Et si tu veux tout savoir, je trouve très agréable de faire encore envie à des mecs de cet âge là, oui !
J’éclate de rire et lui caresse les seins au travers de sa robe. Je sens ses tétons tout durs et je commence à me sentir terriblement excité par la perspective de ce qui nous attend. A mon tour, j’attire sa tête vers la mienne pour lui parler à l’oreille :
_ Tu es consciente qu’ils vont te baiser comme des bêtes ?
Elle se redresse en pouffant de rire.
Elle n’a pas le temps de me répondre, Eddy s’approchant de nous. Immédiatement, il pose une main sur les fesses de Marine et lui dit :
_ Alors ? Il parait que tu vas visiter ma petite chambre d’amis ?
Marine lui fait un grand sourire, nullement gênée par la main qui lui caresse le cul.
_ Il parait, oui... On m’y a invité en tous cas. Mais comme je suis d’une nature méfiante, je viens de demander à mon mari de m’accompagner.
Eddy se met à rire, se tourne vers moi et :
_ Ton homme est un sage, tu as de la chance de l’avoir rencontré... Mais l’inverse est sans doute vrai aussi, non ?
Je lui fais un clin d’œil :
_ C’est évident que j’ai moi aussi de la chance d’avoir rencontré une femme aussi exceptionnelle.
On rit tous les trois de bon cœur tandis qu’il continue de lui caresser les fesses. Puis, la regardant droit dans les yeux, il lui glisse :
_ Bon, ben j’espère que vous apprécierez.
Puis se tournant vers moi :
_ J’espère que le spectacle sera à la hauteur de tes attentes vu que, parait-il, tu aimes regarder...
Il me fait un clin d’œil à son tour pour appuyer sa dernière phrase. Je me dis que tout le monde va finir par savoir que je suis candau mais je m’en fou. Il n’y a qu’à observer tous ceux qui baisent sans aucune retenue autour de nous pour se rendre compte qu’ils n’en ont sûrement rien à faire de mes orientations sexuelles...
Eddy fait mine de nous quitter mais se ravise et se retourne vers nous. Il regarde Marine et :
_ Ca vous gênerai si dans un moment je venais vérifier que tout se passe bien ?
Sans réfléchir je lui réponds :
_ Bien sûr que non, tu es chez toi quand même... C’est donc normal que tu veilles au bien être de tes invités...
Il éclate de rire :
_ Vous me plaisez tous les deux... Vous me plaisez beaucoup. Faudra qu’on garde le contact !
Puis il s’éloigne et Marine me glisse aussitôt :
_ Il est charmant ce type... Et il est drôle et il gère cette soirée comme si c’était un truc banal. Mais tu aurais pu me demander mon avis avant de lui répondre.
_ Quoi ça te gêne qu’il vienne se rincer l’œil lui aussi ?
Elle hausse les épaules et :
_ Vu son expérience, tu crois qu’il va se contenter de ça ? Se rincer l’œil ?
_ Difficile de lui dire non, c’est vrai qu’il est chez lui quand même... Et il n’est pas trop mal, non ?
Elle le regarde s’éloigner et murmure
_ C’est vrai qu’il est plutôt bien foutu et qu’il ne fait pas son âge... Il a quoi, la cinquantaine ? Il est comme toi mon amour, plutôt bien conservé ! Il est encore mince... Non, il a un plus beau derrière que toi...
Et aussitôt elle fait un petit saut en arrière afin d’échapper à la petite fessée que je m’apprêter à lui donner. On rigole et je l’attrape par la taille pour l’attirer tout contre moi. On s’embrasse passionnément. Un bisou d’amoureux, enlacés. Puis je la relâche et lui murmure :
_ Je veux que tu t’éclates un max... Un lâcher prise totale. Plus tu jouiras, plus ça me plaira...
Elle me regarde avec de grands yeux humides en me serre la main très fort.
C’est à ce moment que Fred se pointe, accompagné de Simon qui nous gratifie d’un large sourire... Sans rien dire, Fred offre son bras à Marine comme s’il lui proposait une petite ballade. Après une brève hésitation, elle passe son bras sous le sien et celui de Simon qui s’est placé de l’autre côté. Ce geste de galanterie un peu désuet est tellement « décalé » dans cette ambiance de sexe débridé qu’on se met à rire tout en se dirigeant vers la sortie de la pièce.
Je m’aperçois alors que pour aller dans la fameuse chambre, c’est tout un périple. Nous passons par l’extérieur, entrons dans la maison d’habitation, traversons une grande salle à manger puis une cuisine avant de prendre un couloir et d’ouvrir une porte située tout au fond de celui-ci. Fred et Simon nous guident sans aucune hésitation ce qui confirme que ce sont vraiment des habitués.
La chambre est une suite parentale spacieuse avec une salle de bain et un petit bureau avec un petit fauteuil dans un coin. L’ensemble est harmonieux, parfaitement décoré, on se croirait dans une chambre d’hôtel haut de gamme.
Nous sommes tous les quatre immobiles dans un silence pesant. Je sens ce petit moment de flottement précédent la première initiative. Je me tiens en retrait et les observe, le cœur battant la chamade. Marine fait mine d’observer avec attention la déco mais je suis sûr qu’elle attend elle aussi la suite. Je me sens comme électrisé, j’ai du mal à maitriser les tremblements parcourant tout mon corps et j’ai la gorge nouée. C’est toujours la même chose, une émotion intense qui me prend aux tripes et qui me mène au bord du malaise. Je m’approche du bureau et m’y appuis, assis sur le bord, les jambes semi fléchies. Fred tourne la tête vers Simon puis vers moi et me fait un petit sourire. Marine se trouve de dos, devant eux, sa robe moulant parfaitement ses rondeurs...
Fred se recule légèrement et d’un signe de tête, indique à Simon qu’il lui laisse l’initiative. Celui-ci s’avance sans hésiter et glissant ses bras autour du torse de ma chérie, s’empare de ses seins au travers du tissus. Tout en les malaxant doucement, il se penche et l’embrasse sur la nuque. Elle incline immédiatement la tête en avant pour mieux s’offrir à la caresse et montrer ainsi qu’elle est totalement consentante. Tout en l’embrassant, il descend le petit zip sur le côté de la robe puis place ses mains sur le ventre qu’il caresse lentement avant d’en descendre une sur le pubis tandis que l’autre remonte sur la poitrine. De nouveau, il la caresse un moment puis fléchissant les jambes, attrape le bas de la robe et la remonte lentement sur les hanches de ma coquine qui se laisse faire, le souffle court. Elle a visiblement du mal à se tenir debout et laisse échapper un petit gémissement tandis que Simon lui caresse de nouveau sa chatte.
_ Fred m’a dit que tu aimais ouvrir les cuisses... Tu veux bien me montrer ?
Marine souffle de plus en plus fort tandis que Simon se frotte contre son dos tout en la masturbant tout doucement.
_ Ah oui ? Il a dit ça ?
La voix de ma coquine est rauque, méconnaissable, elle est à fond dans le jeu. C’est une merveille...
Lentement, les yeux fermés, elle ouvre ses jambes afin de s’offrir davantage.
Fred se déshabille entièrement et la queue bien raide s’avance sur le côté de ma coquine. Il place aussitôt une main sur un sein qu’il se met à pétrir en douceur. D’une voix hachée par l’émotion il murmure :
_ Je te l’avais dit... Elle adore la queue... Elle est trop bonne.
Puis il se penche et de son autre main redresse la tête de Marine qui le regarde, un petit sourire au coin des lèvres.
_ Tu en dis des choses...
Il se penche et l’embrasse à pleine bouche.
Je suis complètement anéanti. Ce ne sont que les premières caresses et pourtant j’ai mal au ventre tellement je suis excité. Leurs dialogues me rendent encore plus fou. Ils osent tout, sans barrières et elle accepte. Je sens mon sexe se redresser lentement dans mon jean et me soulage en ouvrant ma braguette. C’est étrange ce phénomène de perte de contrôle, ce truc qui vous amène à ne plus raisonner. J’oublie tout! Le plus excitant pour moi, c’est de voir que ma chérie est dans ce même état de perte de contrôle. Je sais qu’en cet instant précis, elle n’a qu’une envie, celle de se faire baiser par ces deux mecs devant moi.
Il y a autre chose qui m’excite terriblement, c’est le bruit de leurs souffles. La pièce est isolée et on n’entend rien d’autre et le fait de voir ma coquine haleter me rend encore plus dingue !
Soudain, Simon se redresse et se saisissant le tissus sur les hanches, le remonte vers les épaules. Comprenant ce qu’il veut faire, Fred se redresse à son tour. Simon finit d’enlever la robe en la faisant passer par-dessus la tête de ma coquine qui lève les bras pour l’aider. Elle est entièrement nue entre leurs mains.
Puis en poussant légèrement Marine dans le dos, Simon lui ordonne :
_ Vas-y ma belle, montre nous ce beau cul... Penche-toi en avant...
De nouveau, ma coquine obéit et se laisse aller en avant, les mains posée à plat sur le lit.
_ Comme ça ?
Simon se recul en lâchant un petit souffle. Il regarde Fred qui lui fait un clin d’œil. Ce dernier s’avance et s’accroupit de manière à placer sa tête au niveau des fesses offertes. Il avance son visage et tout en les écartant de ses mains, approche sa langue de la vulve écarlate et luisante de cyprine de ma petite femme. Il donne un premier coup de langue qui provoque immédiatement un petit gémissement de Marine qui instinctivement se cambre en creusant les reins.
Simon, les joues rouges d’excitation :
_ Ouaaaiii c’est bon ça... Ouvre bien ton cul ma belle...
Tout en parlant, il se déshabille à son tour et lorsqu’il libère sa bite, je ne peux m’empêcher de la fixer. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est sacrément bien monté ! Je l’imite afin d’être le plus à l’aise possible.
Il grimpe aussitôt sur le lit et se place, allongé sur le dos, les jambes écartées, son sexe dressé sous le visage de Marine qui halète sous les coups de langue de Fred. Elle regarde la queue énorme située à quelques centimètres de sa bouche, se penche un peu plus et se met à le lécher lentement. Simon la regarde faire puis au moment où elle gobe son gland, me regarde et me fait un grand sourire.
Je suis sans force. Je me branle lentement tout en matant la scène. Je regarde ma petite femme chérie, métamorphosée en vrai salope, pomper une belle bite pendant qu’un autre homme lui bouffe la chatte. Et ses petits gémissements ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle prend en cet instant !
Fred finit par se relever et murmure :
_ J’ai trop envie de te baiser...
Se penchant vers la table nuit, il s’empare d’un préservatif. Il y en a plusieurs et une fois de plus je comprends que tout est prévu ici. Il « s’équipe » puis, saisissant les hanches de Marine toujours penchée sur la queue de Simon, avance son bassin vers le cul bien ouvert.
Il avance sa verge, la prend dans une main et guide son gland entre les fesses vers la vulve. D’où je suis, je vois soudain la bite s’enfoncer doucement entre les fesses tandis que Marine relève la tête et laisse échapper un petit grognement. Simon chuchote :
_ Regarde, ton mec en profite un max... Ca t’excite de te faire baiser devant lui, hein ?
Marine tourne la tête vers moi, la bouche grande ouverte, respirant fort. Elle m’adresse un vague sourire avant de reprendre la queue de Simon dans sa bouche. Je suis hypnotisé et... J’éjacule. C’est trop fort, trop chargé en émotions. Et l’autre qui n’arrête pas de dire toutes ces choses... C’est dingue la puissance des mots crus, on ne le dira jamais assez. C’est comme un coup de fouet. Et ma coquine qui n’est pas toujours fan, là, elle semble apprécier et c’est encore, encore plus excitant. J’ai beau avoir arrêté de me branler, j’ai des spasmes dans le ventre et mon jus gicle par petite saccades sur mon caleçon posé sur le sol.
Les mains accrochées sur les hanches de Marine, Fred la baise lentement pendant qu’elle continue de sucer Simon. Pendant de longues minutes, je fixe le ballet d’un va-et-vient régulier en parfait accord avec le bruit de leurs souffles. Putain que c’est bon de voir ça !
Fred s’arrête tout d’un coup, essoufflé, et recule d’un pas, sa queue dressée vers le plafond. Comprenant qu’il laisse sa place pour souffler un peu, Simon descend du lit et attrape à son tour un préservatif. Pendant qu’il l’enfile sur son sexe bien raide, Fred invite Marine à se mettre à quatre pattes sur le lit. Simon les rejoint et, à peine le sent-elle derrière elle qu’elle se cambre au maximum pour mieux s’offrir. Il la pénètre lentement et souffle :
_ Hummm c’est trop bon... Tu es bien serrée... j’adore ça...
Une fois de plus, je suis bluffé par l’endurance de ces mecs. Simon continue ses va-et-vient durant de longues minutes et ne s’arrête même pas lorsque Marine a son premier orgasme. Elle crie tandis qu’il continue de la pilonner. Il finit par se retirer et Fred le remplace aussitôt. A son tour, il la baise profondément, d’abord lentement puis de plus en plus vite. Nouvelle orgasme de ma coquine qui halète comme une folle tandis que lui aussi continue de maintenir le rythme. Puis il se retire, la queue toujours raide. Je suis hypnotisé par le spectacle grandiose qu’ils m’offrent tous les trois. Pendant de longues minutes, ils la baisent à tour de rôle en changeant de position. Marine souffle comme si elle courait un marathon. Je suis comblé, moi qui voulais qu’elle se lâche totalement, je n’avais même pas imaginé qu’elle se donne autant !
Je finis par monter sur le lit afin de me faire sucer moi aussi pendant qu’ils la baisent. A chaque fois qu’elle va jouir, ils échangent leurs places, la maintenant au bord du gouffre sans la laisser exploser une nouvelle fois. Je me dis que ce doit être terriblement frustrant pour elle mais elle continue de gémir, prenant visiblement un immense plaisir dans ce jeu qui n’en finit pas.
Soudain la porte s’ouvre doucement et Eddy fait son entrée. Il tient une bouteille de champagne d’une main et des verres de l’autre. Il me regarde et me fait un grand sourire :
_ Je vois qu’on s’amuse bien ici !
Il rit, pose les verres sur le bureau et les remplit. Il m’en donne un, un autre à Simon qui continue de limer notre coquine, un à Fred qui attend son tour et finit par en prendre un pour lui. On boit en riant comme des gamins. On vide rapidement nos verres qu’il récupère pour les remettre sur le bureau puis il s’approche du lit. Il reste quelques instants à regarder Marine, le cul en l’air, gémissant sous les coups de queue de Simon tout en continuant de me sucer. Soudain, Simon se retire et regardant Eddy :
_ Tu en veux ? Elle est extra... Elle bouge bien et elle adore la bite.
Eddy rit plus fort. Ils se regardent entre eux avec des clins d’œil, complices. Eddy bande et a visiblement envie de participer... Trois mecs pour ma chérie, j’ai enfin mon mini gang bang ! Je suis dingue ! Eddy attire Marine vers lui en la faisant s’allonger sur le dos. Elle le regarde, un peu hébétée, totalement déconnectée de la réalité. Tout indique qu’elle est prête à accepter n’importe quoi de leur part, entièrement soumise à leurs envies mais aussi à ses envies... De ses mains il lui écarte les cuisses en grand et contemple pendant quelques secondes la fleur écarlate et brillante devant lui. Puis il s’allonge sur elle tout en glissant une main entre leurs ventres afin de guider sa bite dans la chatte qui s’offre à lui. Je me retrouve au pied du lit et de ma position, en me penchant, je vois sa bite sans préservatif s’enfoncer entre les lèvres roses de la chatte luisante. Cuisses relevées, bien ouvertes, ma salope chérie se donne de nouveau à fond. A son tour, il la baise lentement juste devant moi. La queue coulisse régulièrement et leurs souffles suivent le même rythme. Fred, à genoux près d’eux, a enlevé son préservatif et se caresse tout doucement. Comme s’il avait besoin de ça pour rester bien raide. J’ai terriblement envie de garder un petit souvenir de ça, c’est tellement fort ! Je me penche et fouille mon pantalon jeté par terre. J’en sors mon portable et regarde Fred. Je m’approche et me penche à son oreille pour lui demander à voix basse si je peu faire une petite vidéo. Je lui promets que j’éviterai les visages et même de filmer la pièce. Juste des gros plans. Il me sourit et acquiesce de la tête. Ce mec est trop cool ! Je monte sur le lit à mon tour pour regarder de plus prêt et je ballade mon portable durant quelques secondes.
My Movie.mp4
Simon, debout en retrait, m’observe avec un grand sourire lui aussi. Je remarque qu’il ne débande pas et me demande comment il fait pour tenir aussi longtemps en érection...
Eddy accélère la cadence de son pilon et Marine se met à gémir puis à crier, les jambes serrées autour de la taille de son amant. L’orgasme tant attendu est enfin là. Je devrai dire les orgasmes car Eddy lâche un grand râle et on devine qu’il se vide lui aussi.
Il finit par se retirer et s’assoit au bord du lit, à bout de souffle. Il me regarde avec un grand sourire puis se tourne du côté de ma coquine :
_ Merci ma belle, quel pied !
On se met à rire, parfaitement détendus. Marine reprend peu à peu son souffle. Elle tremble de tout son corps et semble à bout de force. Au bout d’un moment, d’une voix sourde elle finit par lancer :
_ Vous allez me tuer... Suis morte...
Simon la regarde en souriant.
_ On va te laisser récupérer un peu... Moi, je ferai bien encore deux ou trois petites choses avec toi si tu veux bien. Je me dis que tu ne serais pas contre en profiter encore un peu...
Couchée sur le côté, Marine halète et tout en le fixant :
_ C’est vrai que je suis gâtée...
Puis me regardant :
_ Tu en dis quoi mon chéri ?
Fred lance :
_ Ton chéri apprécie le spectacle, c’est évident ! Il a vu qu’on s’occupait bien de toi...
On éclate tous de rire, ces types sont trop biens, de vrais complices. Ils ont parfaitement compris ce qu’un candau apprécie et c’est génial ! Je leur fait un clin d’œil et je finis par répondre :
_ Tu ne peux pas les laisser comme ça mon amour, regarde ! Ils sont encore tout raide !
Elle rit plus fort tandis qu’Eddy s’approche d’elle avec un verre plein de champagne qu’elle accepte sans hésiter.
_ Je vois que tu es une vraie gourmande... Une femme admirable !
Il donne une tape sur l’épaule de Simon :
_ Profitez en bien les gars !
Il se tourne vers moi et me glisse à l’oreille :
_ Il y a une certaine personne qui te cherche depuis un petit moment dans la salle.
Isa, je l’avais complètement oubliée ! J’acquiesce de la tête et il se lève en riant. Il se dirige vers la porte :
_ Bon, je vous laisse continuer... Merci pour ce délicieux moment !
Il sort en riant. On se partage le reste de la bouteille en parlant de sexe. Nos deux queutard regarde ma coquine avec toujours autant d’envies et elle ne fait rien pour les dissuader. Au contraire, elle répond à chacune de leur provocation et prend des poses carrément obscènes en réponse à certains défis, tout en me jetant des petits coups d’œil complices. Ils se marrent mais je les sens de plus en plus excités. A un moment, Marine laisse échapper :
_ Moi, j’adore être dessus... Mon chéri aussi aime ça.
On éclate de rire et Fred grimpe sur le lit. S’allongeant sur le dos, la bite bien raide :
_ Allez, viens donc me voir... Montres-nous comment tu fais pour te la mettre toi-même...
Je m’assois sur le bord du lit, prêt à savourer la suite. Marine se lève, un petit sourire au coin des lèvres et se positionne debout les pieds de chaque coté du bassin de Fred. Simon l’observe tandis qu’elle s’accroupie lentement, saisit le sexe dressé pour le diriger vers sa vulve tandis qu’elle se laisse descendre sur lui. Lentement, elle s’empale sur la verge avec une satisfaction évidente. Je la connais bien ma coquine, c’est vrai qu’elle adore ça !
Elle ondule d’avant en arrière, le souffle déjà court tandis que Fred empoigne ses seins gonflés par l’excitation. De nouveau je me mets à trembler de partout. Je dégluti avec difficulté tant j’ai la gorge serrée. C’est incroyable come j’aime regarder ma femme prendre son pied en baisant avec un autre mec. Ce n’est pourtant pas la première fois mais l’effet est toujours aussi violent chez moi. C’est d’autant plus fort qu’elle y prend un plaisir évident !
Soudain la porte s’ouvre de nouveau et Loïc entre doucement, accompagné d’Isa. La pièce parait soudain beaucoup trop petite. Personne ne dit rien, on échange des regards et il n’y a pas besoin de se parler pour nous comprendre. On a tous envie de sexe et c’est tout.
Le bruit de nos souffles empli la chambre. De temps en temps, Marine et Isa crient lorsqu’elles jouissent tandis que nous, les mecs, on halète en les tringlant à tour de rôle. Je me dis que pour elles, c’est beaucoup plus violent car elles n’ont aucuns répits. Je finis par exploser dans la chatte d’Isa tout en regardant, halluciné, Marine prise en double par Loïc et Simon. Fred a joui juste avant en la sodomisant et nous observe en respirant fort. J’ai à peine finit d’éjaculer que Loïc part à son tour dans le cul de ma belle qui crie comme une folle sous ses coups de boutoir.
Il se retire lentement et se laisse tomber près de Fred tandis que Simon, d’un coup de rein, fait basculer Marine sur le dos. Elle tremble de partout, haletante, les yeux fermés. Il commence aussitôt à la pilonner sans ménagement. Il a visiblement envi de jouir à son tour et s’en donne à cœur joie entre les cuisses grandes ouvertes de la salope qui gémit en continu sous lui.
Isa reprend peu à peu son souffle et me regardant avec un petit sourire. Elle s’est faite baiser par nous quatre elle aussi et semble repus. Je lui caresse brièvement un sein en lui murmurant :
_ C’était trop bon...
Elle hoche vigoureusement la tête en riant tandis que Simon lâche un grognement et que Marine crie pour la énième fois.
C’et fini, on est tous épuisés, à bout, vidés. Marine se traine vers moi et vient se blottir dans mes bras :
_ Moi, je suis morte.
Je ris, trop heureux, trop gâté. C’était mieux que dans mes rêves !
On finit par se relever. On nettoie un peu pendant que Marine et Isa se douchent. Fred jette les capotes dans une poche plastique, il y en a beaucoup et cela nous fait rire. C’est idiot, on croirait des ados. Les filles râlent car il n’y a qu’une serviette pour deux. On a soif et on a faim, le sexe, ça creuse ! On retourne dans la grande pièce avec les autres et pour ça, on repasse tous dans la cour, dehors, tous à poil. Il fait nuit et même s’il y avait quelqu’un pour nous voir, rien à foutre, on est bien.
Fin de nuit en « roue libre », tranquille. On sirote du vin en discutant tous ensemble. Demain, on rentre. On gardera quelques numéros de téléphone, Eddy, Fred, Loïc...
Marine ne me lâche pas d’une semelle. Elle n’arrête pas de me faire des petits bisous en me demandant su je vais bien. J’ai l’impression qu’elle culpabilise presque d’avoir pris autant de plaisir dans ce qu’il faut bien appeler une orgie sexuelle. Je la rassure du mieux que je peux. Pour moi, c’était parfait et ma coquine reste aussi ma princesse.
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