- 18 mars 2025, 14:06
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épisode 4
La copine écoutait attentivement mais un grand sourire marquait qu’elle, en tous cas, avait compris le jeu de Zaza. Son regard allait du visage de Zaza au mien.
La copine relançait Zaza comme si je n’étais pas là mais avec cette excitation particulière due à ma présence justement: "et il te la rentrée complètement?"
- "oui, j’en devenais folle, je n’avais plus senti ça depuis mes accouchements, j’avais un peu peur, non pas peur mais un peu mal, mais agréable tu vois?, et puis comme il avait sa langue synchronisée dans mon cul mon cerveau éclatait tu vois?"
- " il te léchait le cul en même temps"
- "oui j’aime bien quand il tourne autour quand s’est juste sollicité , tu vois, mais là comme il rentrait sa main entière, pour compenser les mouvements, littéralement il m’enculait avec sa langue" "j’étais complètement ouverte, plus de pudeur j’étais complètement offerte, tu vois?"
- "oui j’adore cette sensation"
Et les deux de me regarder. Il n’y avait pas tant de trucs à dire après ça. C’était super intime et c’était en ma présence. Á nouveau mon cerveau n’était pas en mesure de décider de mon humeur, par contre je m’étais mis à bander solide et j’allais proposer à Zaza de rentrer maintenant quand la copine lui dit:
- "tu vois , je ne le pensais pas aussi léche-cul" et les deux éclatent de rire.
Zaza a cru bon de répartir: "ah si il adore lécher les culs, le mien en tous cas, mais à mon avis pas que…"
Là je venais de décider, à nouveau, c’était bon, je voyais venir les questions de Zaza et sa curiosité… "bon, on rentrerait pas Zaza?"
-"si mon amour, j’ai très envie de toi…de rentrer chez toi" puis "tu as quelque chose à boire à la maison?"
La copine ne disait rien. Zaza lui dit "tu rentres avec nous?" et avant que je puisse dire quoi que ce soit Zaza me dit qu’elles sont venues à une voiture et qu’elle pensait que je ne verrais pas de problème à ce que la copine ne reprenne pas la route après avoir bu"
Moi c’est pas comme ça que j’avais vu les choses et en plus je commençais à chauffer solide. Si la copine rentrait avec nous, j’avais l’intention de faire l’amour à Zaza qui exhalait ses phéromones dans tous les sens. Et tant pis si la copine entendait tout. Et tant mieux si ça la dérangeait. Du coup sans trop d’enthousiasme visible je me suis entendu dire " non bien sur, qu’elle vienne avec nous, je prends le volant c’est moi qui ait le moins bu" et on est allé jusqu’au parking. Là j’étais quand même agacé parce que pendant tout le chemin du bar au parking elle se faisaient des messes basses et une fois de plus je me sentais hors du coup. En plus, alors que je me refuse d’être comme ça, j’avais vraiment la crampe, voir et entendre sa copine déballer les trucs les plus intimes, ça vient choquer la part en moi qui la voit, par défaut, prude et polie. Là elle avait été carrément bitchy et ça me foutait la gaule.
Arrivés chez moi elles se sont laissées tomber dans les fauteuils. Zaza où elle a ses habitude et la copine dans le fauteuil en face. Elles étaient bien pétées quand même parce qu’en entrant la copine, comme chez elle, avait ôté son manteau et l’avait simplement laisser tomber par terre. Zaza, comme une jeune fille, avait fait valdinguer ses chaussures à talons en pestant à-propos de l’effet sur ses pieds de ces chaussures incommodes. Pendant que j’apportais les rhums exigés par ces donzelles et que j’allais pendre le manteau de la copine, Zaza geignait: "viens mon coeur, viens trinquer mon paon, tes voisins vont encore jaser que tu rentres avec plein de filles tard le soir".
Je me suis installé dans le canapé à côté de ma belle et immédiatement elle m’a fourré ses pieds en main en me demandant de les masser un peu parce que ça faisait des heures qu’elle était sur des talons. Sauf que si le rhum a sur Zaza des vertus aphrodisiaques maintes fois vérifiées, elle sait très bien que ses pieds dans ses bas noirs me rendent dingue et j’étais au bord.
-"oh merci mon cœur! je suis désolée de te demander ça, c’est intime en fait, mais tu n’imagines pas la torture que c’est de devoir avoir la jambe galbée par des talons. C’est fou ce qu’il faut souffrir pour être belle! " et puis pendant que je la massais vaguement elle dit à la copine: "je comprends que tu les gardes mais je ne sais pas comment tu fais". Pour toute réponse la copine nous regardait, décroisa les jambes et sirota son rhum. Je pouvais très bien voir ses longues jambes gainées de bas noir et ses escarpins luisants qui ne semblaient pas la gêner.
- "merci mon chéri ça me fait du bien, je vais te masser moi aussi " et sans que j’ai pu dire ou faire quoi que ce soit Zaza s’est penchée sur ma braguette et a sorti mon sexe, qui était fort fier de se déplier. Moi je ne savais plus bien quoi penser ni comment me sentir. Elle caressait mon sexe comme si c’était un vieux chien.
- " Il était bien comprimé lui aussi hein? Je le voyais bien tu sais mon amour, tout comprimé dans ton froc comme ça, je me disais quand on rentrera j’enlèverai mes chaussures et je lui libérerai la bite, la pauvre. Ça t’embête que tout le monde vois ta queue mon chéri?" en fait de tout le monde ce n’était que la copine qui nous regardait en ricanant. Elle redécroisait les jambes et se redressait un peu dans son fauteuil.
Zaza me dit: " tu vois j’ ai parlé à Solène de tes baisers et de ta queue et comme ils me manquaient parfois" elle me caressait doucement en me parlant tout gentiment "elle en sait quelque chose, non seulement elle n’a plus de réconfort, personne qui l’embrasse et à peine quelques bites de passage sans tendresse, je ne te parle même pas d’amour non juste de gentillesse" et là alors que je croisais le regard de la copine Zaza a pris mon sexe en bouche et à commencer à me sucer comme si on étaient seuls. Ma bite avait pris le dessus parce que ça faisait un moment qu’elle réclamait qu’on la suce et du coup clouait le bec à mon cerveau.
Zaza disait: "regarde comme elle st belle maintenant, voilà, c’est comme ça que j’y pense" et à Solène: "viens voir ma belle c’est ça dont je te parlais" et en effet la copine semblait ravie, elle termina son rhum comme un cowboy et s’approcha.
Avec une infinie douceur Zaza réembouchait mon sexe sans aucune pudeur et moi je me laissais aller en arrière dans le canapé.
Elle me dit : "allez mon coeur je sais que tu en a envie laisse toi faire" et a ses mots la copine vînt réclamer un meilleur baiser que tout à l’heure. Sauf que là c’est elle qui venait et elle a planté sa langue profondément dans ma bouche et comme un mec elle a posé sa main sur l’arrière de mon crâne et il m’était impossible de me défausser. Zaza me suçait comme elle sait si bien le faire et surtout après un rhum, quand elle est complètement déshinibée.
J’étais en train de me faire sucer et de me faire rouler une galoche en même temps, mais comme tous mes scrupules avaient disparu quand mon cerveau avait fait l’addition des détails et surtout que ma queue avait pris le contrôle; j’appréciais le moment.
Le baiser et la fellation ont pris fin en même temps et moi j’ai eu l’impression de me réveiller d’un coup. Comme si je n’étais pas là Zaza montrait ma queue dans une érection triomphale à la copine.
- "regarde Solène comme elle st belle comme ça toute brillante, je ne t’ai pas menti hein?…C’est à moi. Il me la met où je veux tu vois. T’en a envie hein?"
- " oui elle est belle, j’en ai envie, tu m’en a donné envie"
- " c’est à moi, j’en fais ce que je veux, tu la veux ? tu veux que je te la prête un peu? Juste un peu alors" et Zaza de tendre ma queue à Solène. Zaza s’et approchée de mon visage et me souffle à l’oreille "ça m’excite à mort" puis elle m’a embrassé avec une fougue que je ne lui connait que quand elle est bien partie, quand par delà le bien et le mal il lui arrive de me cracher sur le sexe ou dans la bouche et quand j’ai senti une autre bouche sur mon gland, quand j’ai senti la langue de la copine jouer avec le méat et puis la chaleur de sa bouche autour de ma hampe, Zaza a pris ma main pour la diriger vers sa culotte sous sa robe, la bouche collée à mon oreille je l’entendais souffler et murmurer "sens comme ça m’excite , je suis trempée" et de fait mes doigts ont trouvé sa chatte inondée, elle poussait mes doigts pour qu’ils triturent son con. Elle soufflait dans mon oreille et en plus de la pipe taillée par l’autre fille j’avais l’impression d’avoir une queue gigantesque, hyper sensible; extralucide.
Elle murmurait " ça te plaît hein mon cochon qu’elle te suce? tu aimes qu’on te suce ta grosse bite, espèce de porc, elle te suce devant moi, et toi tu bandes hein, mon petit diable lubrique? …dis moi que tu m’aimes"
- "c’est toi que j’aime "
- "elle te suce bien au moins?" et elle écrasait ma main sur sa vulve.
Moi je faisais glisser ses lèvres et le capuchon de son clito entre mes doigts, vulgairement.
- "oui elle me suce bien"
Elle pressait plus fort sur ma main pour que je luis fasse presque mal.
-"pas aussi bien que moi quand même?"
Là je sentais bien qu’il fallait que je réplique sans hésiter, mais cette salope de copine s’est mise à aspirer comme une folle.