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#2844311
Salut les coquins, Ludo au clavier !
J’ai été candauliste pendant plus de 10 ans avec mon ex-femme, même si elle n’était pas vraiment dans le délire… Mais aujourd’hui, je suis en couple avec une femme qui, disons-le, me régale dans ce domaine.

Nous sommes ensemble depuis presque deux ans, et assez rapidement, elle m’a avoué m’avoir trompé avec un ancien plan cul qu’elle n’avait pas revu depuis longtemps. Un matin, alors que j’étais en train de bricoler chez un pote, elle m’a envoyé un petit SMS : "J’ai fait une bêtise…"

Je lâche tout, je l’appelle, et elle m’explique. Un ex plan cul qu’elle avait avant notre histoire l’avait contactée. Ils avaient discuté, et il lui avait proposé de venir prendre "un café". Elle y est allée, partagée entre une forte envie et la peur de gâcher notre relation naissante.

Évidemment, les choses ont dégénéré assez rapidement. Ce jour-là, il lui a prodigué du plaisir avec sa langue, et elle l’a sucé en retour. Le soir même, elle m’a raconté tout cela.

J’avoue que j’étais assez déçu d’apprendre ça, surtout que cela ne faisait qu’un mois et demi que nous étions ensemble… Mais paradoxalement, j’étais terriblement excité. Je bandais à mort.

Alors, je lui ai avoué mon côté candauliste. Je lui ai expliqué que cela m’excitait énormément, mais que je préférais être au courant de ses aventures et que nous devions poser des règles pour ne pas nous blesser l’un l’autre.

Suite à cette discussion, nous avons beaucoup parlé. Depuis, elle a un amant régulier, un autre ancien plan cul. Parfois, j’assiste à leurs moments, et parfois elle y va seule.

J’ai 47 ans, elle en a 48, et nous sommes tous les deux bisexuels.

Merci si vous avez tout lu, et peut-être à bientôt !
Noste, LeCouple, coculopeencage et 13 autres a liké
#2844667
Bonjour à vous et bienvenue sur le Forum Candaulisme. Merci pour votre présentation.

=> N'hésitez pas à vous inscrire en ++ sur notre tchat candauliste (si ce n'est déjà fait), il est totalement gratuit.
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Bon forum et belles rencontres à vous !
candauludo a liké
#2867406
Un week-end spécial

Ce week-end avec ma chérie a été particulier.

Rien de prévu, à part un événement sportif pour son fils qui nous obligeait à rester à la maison. Vendredi soir tranquille : un resto à deux, une soirée cool, des câlins. Simple. Mais le samedi, une impulsion, une envie… Ça faisait longtemps que je n’avais pas porté la cage.

Douche, crème, pose. Je lui tends les clés.
Elle sourit.
C’est parti.

La cage, c’est tout un monde, une expérience qui change tout. J’avais fantasmé dessus longtemps avant de craquer et d’en commander une à l’étranger. La première fois, le plus dur, c’est de la mettre… Mais une fois passée cette étape, on découvre autre chose.

Le corps d’un mec bande tout le temps, sans même s’en rendre compte. Avec la cage, impossible. La pulsion est là, mais bloquée. Perdre cette fonction, cette possibilité, c’est déstabilisant. Mais très vite, un autre sentiment prend le dessus : un calme profond, une sérénité. Comme si, en perdant le contrôle, je me libérais d’un poids.

Puis vient l’épreuve du quotidien. Sortir avec la cage, c’est une claque.
L’impression d’être nu, exposé, que tout le monde peut deviner ce que je porte. Une vulnérabilité totale. Et avec elle… une soumission immédiate.

Avec ma chérie, je deviens plus câlin, plus attentif, plus docile.
Et pourtant, ma libido explose. Mais c’est différent.
Des envies nouvelles.
Bestiales. Hard. Soumises.
Des envies de queue.
D’être la femelle.

Ça me trouble. Ça m’obsède.

Je ne tiens pas longtemps.
Une première expérience.
Un mec sur un site. Une rencontre dans un bois.
J’étais venu pour sucer. Juste ça.
Mais quand il a vu la cage, il est devenu une bête. Il m’a pris comme sa chose.
J’ai découvert des sensations que je n’aurais jamais imaginées.
Addictif.

Et puis… la libération.
Un orgasme d’un autre monde.
Un truc qui fait peur.
Comment trouver l’équilibre ?

J’aime ma virilité, j’aime ma queue. Mais ce plaisir-là, c’est autre chose. Et un plaisir aussi puissant, ça ne se refuse pas.

Je ne la porte pas souvent. Juste assez pour que l’expérience reste intense à chaque fois. De toute façon, trop longtemps, ça devient inconfortable. La première était un poil trop grande. J’en ai commandé deux autres. L’une est parfaite. Rose. J’adore.

Parfois, avec la cage, je frôle l’orgasme, sans éjaculer. Un truc frustrant, mais dingue. Ça fait tourner la tête.

Mon régulier était sceptique au début. Il aime toucher ma queue. Mais très vite, il a adoré me voir en soumise totale. Il aime surtout me laisser frustré, repartir sans avoir joui. Il ne sait pas à quel point ça me plaît.

Rentrer. Tout lui raconter.
Attendre qu’elle me libère.
Les meilleurs orgasmes de ma vie.

On a intégré la cage à nos jeux. Encore une porte qui s’ouvre.
Son amant m’a vu avec.
Une humiliation de plus.
Mais l’adrénaline… putain.

La Saint-Valentin a été la plus folle.
Des orgasmes toujours plus intenses après la libération par ma gardienne.
Je ne pensais pas qu’on pouvait jouir aussi fort.
Toujours plus soumis.
Toujours plus loin.

Mais après cette période de dingue, un mois est passé.
Peu de soumission. Peu de cage.
Quelques cafés, presque banals après tout ça.
Le sexe avec ma chérie reste au sommet. Fusionnel. Puissant. Des orgasmes incroyables. Elle jouit, moi aussi.
Mais… j’ai envie de queue.
D’être en cage.

Alors, ce week-end, je l’ai remise.
Routine. Douche, crème, pose. Habitué.
Journée tranquille. Balade, un verre.

Puis croiser deux potes…
Putain.
La cage et les potes, ça ne va pas ensemble.
Mais je gère.

Compétition de piscine pour son fils.
Moins d’excitation. Une pizza.
Retour maison.

Au lit, elle avait presque oublié la cage.
Moi, non. J’en pouvais plus.

Elle me propose de me libérer si je veux.
Je lui réponds que ce n’est pas à moi de décider.
Elle sourit.
"OK, alors je vais m’occuper de toi…"

Je sais ce que ça veut dire.

Elle s’occupe de moi longtemps.
J’ai envie d’enlever la cage. Mais je tiens.
Je me frotte, je suis en feu.
Je rentre en elle avec la cage.
Transcendé.

Mais je tiens.

Elle a envie de queue. Je la comprends.
La mienne est sympa, après tout.
Je craque. J’enlève la cage.
Je la baise fort.
Mais dans ma tête, la cage est encore là.
Je ne crache pas.
Elle jouit.
C’est beau.

Douche. Dodo.

Dimanche matin.
Réveil.
Je la remets.
Sinon, je vais me branler.

Midi.
Balade à Arcachon.
Soleil. Cool.

La cage me rappelle sa présence par moments.
Je veux bander. Impossible.
J’ai chaud.
J’espère qu’elle me fera cracher ce soir.
J’y pense trop.

Retour maison.
Pas possible tout de suite. Enfant, repas…
C’est dur.
Très dur.

Je sature.
Besoin d’air.
Je me connecte sur TooGoodToGo.
Un dessert pas cher, une balade, ça fera du bien.

Je prends les clés de la voiture. Je pars.

Premier feu rouge.

Une pensée me traverse comme une lame.

Merde.

J’ai la cage.

Pas grave, je l’ai portée toute la journée.

Les clés.

C’est elle qui les a.

C’est la première fois que je me retrouve vraiment en cage. Sans échappatoire.

J’ai chaud.
Un peu de panique.
Si jamais il m’arrive un truc ?
La gueule des pompiers…
Non. Arrête.

J’arrive à la boulangerie.
Je me gare.
Je sors.

Devant moi, un mec se retourne.

Je le reconnais immédiatement.

Lui aussi.

Je l’ai sucé deux fois, il y a quelques mois. En mode salope soumise.

Je fonds.
Je suis à poil.

Il me lâche un bonsoir et un sourire qui en dit long.

Mon cœur explose.
Mes jambes tremblent.

Je récupère mon sac, je sors.
Il est là, près de sa voiture.

"Ça va depuis l’autre jour ?"

Je balbutie. "Oui, nickel…"

Son regard change.

"Monte, salope."

Hypnotisé.
Choqué.
Excité.

Je monte.

Il se gare à l’abri des regards.
Il déboutonne son jean.
Sort sa queue.

"Au boulot. Avale."

Je ne réfléchis plus.

Je suce, je gémis.
Je suis en cage depuis trop longtemps.
J’ai pas joui depuis trop longtemps.

Il essaie de toucher ma queue.
Il sent la cage.

"T’es vraiment une pute."

Il jouit dans ma gorge.
Je bois tout.

Retour à la réalité.

Il me dépose.
Je tremble.

Putain.

J’ai fantasmé de le faire.
Mais là, c’est réel.

Je n’ai pas prévenu.
Je ne peux pas mentir.
Je lui dirai ce soir.

J’arrive à la maison.
Je lâche un "J’ai fait une connerie."
Elle lève les yeux, intriguée.
J’allais entrer dans les détails, mais impossible. Pas maintenant, pas devant tout le monde.

Plus tard, quand on est enfin seuls, je lui raconte tout.

Évidemment, elle est en colère. Très en colère.

Je le vois dans ses yeux, dans son silence.

Je suis déçu de moi-même.
Pas pour ce que j’ai fait. Ça, c’était trop bon.
Mais pour la trahison.

On a une règle : on se dit tout avant.

Je l’ai brisée.

J’ai merdé.

On se couche.
Je garde la cage.
Je dors mal.

Je suis désolé.

Elle m’a fait ça une fois. Je sais ce qu’on ressent, même si moi, ça m’avait excité.

Mais je préfère savoir.

J’ai fauté.
C’est moi le responsable.
J’ai mal géré cette frustration que je m’impose avec la cage.

Je ferai plus attention.

Je ne veux pas la perdre pour une pulsion.

Pardonne-moi.
coculopeencage, zztop, mmpvgm et 3 autres a liké
Avatar de l’utilisateur
par candauludo
#2867407
Un week-end spécial

Ce week-end avec ma chérie a été particulier.

Rien de prévu, à part un événement sportif pour son fils qui nous obligeait à rester à la maison. Vendredi soir tranquille : un resto à deux, une soirée cool, des câlins. Simple. Mais le samedi, une impulsion, une envie… Ça faisait longtemps que je n’avais pas porté la cage.

Douche, crème, pose. Je lui tends les clés.
Elle sourit.
C’est parti.

La cage, c’est tout un monde, une expérience qui change tout. J’avais fantasmé dessus longtemps avant de craquer et d’en commander une à l’étranger. La première fois, le plus dur, c’est de la mettre… Mais une fois passée cette étape, on découvre autre chose.

Le corps d’un mec bande tout le temps, sans même s’en rendre compte. Avec la cage, impossible. La pulsion est là, mais bloquée. Perdre cette fonction, cette possibilité, c’est déstabilisant. Mais très vite, un autre sentiment prend le dessus : un calme profond, une sérénité. Comme si, en perdant le contrôle, je me libérais d’un poids.

Puis vient l’épreuve du quotidien. Sortir avec la cage, c’est une claque.
L’impression d’être nu, exposé, que tout le monde peut deviner ce que je porte. Une vulnérabilité totale. Et avec elle… une soumission immédiate.

Avec ma chérie, je deviens plus câlin, plus attentif, plus docile.
Et pourtant, ma libido explose. Mais c’est différent.
Des envies nouvelles.
Bestiales. Hard. Soumises.
Des envies de queue.
D’être la femelle.

Ça me trouble. Ça m’obsède.

Je ne tiens pas longtemps.
Une première expérience.
Un mec sur un site. Une rencontre dans un bois.
J’étais venu pour sucer. Juste ça.
Mais quand il a vu la cage, il est devenu une bête. Il m’a pris comme sa chose.
J’ai découvert des sensations que je n’aurais jamais imaginées.
Addictif.

Et puis… la libération.
Un orgasme d’un autre monde.
Un truc qui fait peur.
Comment trouver l’équilibre ?

J’aime ma virilité, j’aime ma queue. Mais ce plaisir-là, c’est autre chose. Et un plaisir aussi puissant, ça ne se refuse pas.

Je ne la porte pas souvent. Juste assez pour que l’expérience reste intense à chaque fois. De toute façon, trop longtemps, ça devient inconfortable. La première était un poil trop grande. J’en ai commandé deux autres. L’une est parfaite. Rose. J’adore.

Parfois, avec la cage, je frôle l’orgasme, sans éjaculer. Un truc frustrant, mais dingue. Ça fait tourner la tête.

Mon régulier était sceptique au début. Il aime toucher ma queue. Mais très vite, il a adoré me voir en soumise totale. Il aime surtout me laisser frustré, repartir sans avoir joui. Il ne sait pas à quel point ça me plaît.

Rentrer. Tout lui raconter.
Attendre qu’elle me libère.
Les meilleurs orgasmes de ma vie.

On a intégré la cage à nos jeux. Encore une porte qui s’ouvre.
Son amant m’a vu avec.
Une humiliation de plus.
Mais l’adrénaline… putain.

La Saint-Valentin a été la plus folle.
Des orgasmes toujours plus intenses après la libération par ma gardienne.
Je ne pensais pas qu’on pouvait jouir aussi fort.
Toujours plus soumis.
Toujours plus loin.

Mais après cette période de dingue, un mois est passé.
Peu de soumission. Peu de cage.
Quelques cafés, presque banals après tout ça.
Le sexe avec ma chérie reste au sommet. Fusionnel. Puissant. Des orgasmes incroyables. Elle jouit, moi aussi.
Mais… j’ai envie de queue.
D’être en cage.

Alors, ce week-end, je l’ai remise.
Routine. Douche, crème, pose. Habitué.
Journée tranquille. Balade, un verre.

Puis croiser deux potes…
Putain.
La cage et les potes, ça ne va pas ensemble.
Mais je gère.

Compétition de piscine pour son fils.
Moins d’excitation. Une pizza.
Retour maison.

Au lit, elle avait presque oublié la cage.
Moi, non. J’en pouvais plus.

Elle me propose de me libérer si je veux.
Je lui réponds que ce n’est pas à moi de décider.
Elle sourit.
"OK, alors je vais m’occuper de toi…"

Je sais ce que ça veut dire.

Elle s’occupe de moi longtemps.
J’ai envie d’enlever la cage. Mais je tiens.
Je me frotte, je suis en feu.
Je rentre en elle avec la cage.
Transcendé.

Mais je tiens.

Elle a envie de queue. Je la comprends.
La mienne est sympa, après tout.
Je craque. J’enlève la cage.
Je la baise fort.
Mais dans ma tête, la cage est encore là.
Je ne crache pas.
Elle jouit.
C’est beau.

Douche. Dodo.

Dimanche matin.
Réveil.
Je la remets.
Sinon, je vais me branler.

Midi.
Balade à Arcachon.
Soleil. Cool.

La cage me rappelle sa présence par moments.
Je veux bander. Impossible.
J’ai chaud.
J’espère qu’elle me fera cracher ce soir.
J’y pense trop.

Retour maison.
Pas possible tout de suite. Enfant, repas…
C’est dur.
Très dur.

Je sature.
Besoin d’air.
Je me connecte sur TooGoodToGo.
Un dessert pas cher, une balade, ça fera du bien.

Je prends les clés de la voiture. Je pars.

Premier feu rouge.

Une pensée me traverse comme une lame.

Merde.

J’ai la cage.

Pas grave, je l’ai portée toute la journée.

Les clés.

C’est elle qui les a.

C’est la première fois que je me retrouve vraiment en cage. Sans échappatoire.

J’ai chaud.
Un peu de panique.
Si jamais il m’arrive un truc ?
La gueule des pompiers…
Non. Arrête.

J’arrive à la boulangerie.
Je me gare.
Je sors.

Devant moi, un mec se retourne.

Je le reconnais immédiatement.

Lui aussi.

Je l’ai sucé deux fois, il y a quelques mois. En mode salope soumise.

Je fonds.
Je suis à poil.

Il me lâche un bonsoir et un sourire qui en dit long.

Mon cœur explose.
Mes jambes tremblent.

Je récupère mon sac, je sors.
Il est là, près de sa voiture.

"Ça va depuis l’autre jour ?"

Je balbutie. "Oui, nickel…"

Son regard change.

"Monte, salope."

Hypnotisé.
Choqué.
Excité.

Je monte.

Il se gare à l’abri des regards.
Il déboutonne son jean.
Sort sa queue.

"Au boulot. Avale."

Je ne réfléchis plus.

Je suce, je gémis.
Je suis en cage depuis trop longtemps.
J’ai pas joui depuis trop longtemps.

Il essaie de toucher ma queue.
Il sent la cage.

"T’es vraiment une pute."

Il jouit dans ma gorge.
Je bois tout.

Retour à la réalité.

Il me dépose.
Je tremble.

Putain.

J’ai fantasmé de le faire.
Mais là, c’est réel.

Je n’ai pas prévenu.
Je ne peux pas mentir.
Je lui dirai ce soir.

J’arrive à la maison.
Je lâche un "J’ai fait une connerie."
Elle lève les yeux, intriguée.
J’allais entrer dans les détails, mais impossible. Pas maintenant, pas devant tout le monde.

Plus tard, quand on est enfin seuls, je lui raconte tout.

Évidemment, elle est en colère. Très en colère.

Je le vois dans ses yeux, dans son silence.

Je suis déçu de moi-même.
Pas pour ce que j’ai fait. Ça, c’était trop bon.
Mais pour la trahison.

On a une règle : on se dit tout avant.

Je l’ai brisée.

J’ai merdé.

On se couche.
Je garde la cage.
Je dors mal.

Je suis désolé.

Elle m’a fait ça une fois. Je sais ce qu’on ressent, même si moi, ça m’avait excité.

Mais je préfère savoir.

J’ai fauté.
C’est moi le responsable.
J’ai mal géré cette frustration que je m’impose avec la cage.

Je ferai plus attention.

Je ne veux pas la perdre pour une pulsion.

Pardonne-moi.
zztop, jefetlola, canda et 5 autres a liké
#2867924
Une perfection à chaque mot. Prendre le temps de lire, de relire même.

Les ressentis sont parfaitement en écho de mon ressenti à chaque fous, avant pendant et après chaque jour de pose de la cage, métallique, lourde, serrée juste ce suil faut.

J'aurais aimé l'écrire aussi bien. Sans doute pas le seul ici <3 :x <3
candauludo, gemini a liké
#2874450
Depuis le jour de l’An, quelque chose a changé.

Ce soir-là, au restaurant, nous avions croisé un type. Rien de prévu, juste un hasard. Mais Cindy avait eu une envie. Une vraie. Celle d’aller plus loin.
Depuis quelque temps, on cherche un nouveau complice. Quelqu’un d’autre qu’Yvan. Pour le frisson, pour découvrir une autre énergie, une autre histoire. Mais ce n’est pas évident.
Les clubs ? On n’a jamais osé.
Les sites ? Trop froids, trop calculés. Elle trouve que ça manque de magie. Pas assez de surprise, pas assez de vrai.

Mais ce 31 décembre… il y avait ce mec. On a échangé quelques mots. Il la regardait. Il m’a parlé aussi. Rien d’explicite, mais dans l’air, il y avait quelque chose.
Et ensuite, elle a regretté. De ne pas lui avoir dit. De ne pas lui avoir montré. Ce qu’elle voulait. Ce qu’elle aurait aimé vivre.
On a beaucoup fantasmé là-dessus, après.

On en est venus à imaginer : un soir, dans un bar, elle croiserait un type. Elle le draguerait. Elle le ramènerait.
Et moi… je serais là. Spectateur de leur jeu. De leur danse. Et ensuite, dans la chambre, encore spectateur.
L’idée m’excite, même si, je l’avoue, ça me chamboule. C’est beaucoup d’émotions à gérer.

Avec Y, c’est différent. Il sait, il comprend. Il fait partie de l’histoire.
Mais un inconnu… c’est autre chose. Plus brut, plus intense.
Et pourtant, elle me l’a dit clairement : elle en a envie.
Alors je sais que ça arrivera.

On cherche. Mais on ne trouve pas.
Parce qu’elle ne veut pas de plan. Elle veut de l’imprévu. De l’instant.
Et moi, j’ai besoin d’un minimum de contrôle, ça me rassure.
Mais pour elle, c’est l’inverse : trop de contrôle, ça la bloque.

Et comme le but, c’est qu’elle s’épanouisse, je vais essayer de m’adapter. De coller à ses désirs.

Dernièrement, on a fait l’amour souvent.
Et ce fantasme revient, encore et encore.
Cela fait plus d’un mois qu’on a vécu notre dernière soirée avec Yvan, et ça commence à faire long.
On en parle, on joue autour, mais on sent qu’il faut du nouveau. Quelque chose de réel.

Alors, parfois, pendant qu’elle se caresse, je lui demande ce qu’elle aimerait.
Et l’autre soir, elle m’a dit quelque chose d’inattendu :
Elle aimerait aller plus loin avec un collègue.

Elle m’en avait déjà parlé, mais elle semblait avoir écarté cette idée. Trop risqué. Trop impliqué.
Et puis il est marié. C’est ça qui la travaille, je crois.
Elle le trouve charmant, c’est sûr.
Et elle voudrait savoir si ce qu’il fait, c’est du jeu… ou s’il irait vraiment plus loin.

Elle m’a dit qu’il l’avait invitée au restaurant.
Juste ça.
Et objectivement, il n’y a rien de mal à ça.
Un restau entre collègues, ça arrive.

Mais elle m’a aussi dit qu’elle aimerait voir jusqu’où cela peut aller.
Et je la connais.
Ce n’est pas elle qui dira non, si l’envie monte.
Et là… je sens qu’elle a envie.
:cuck: :qs:
!!!!! A partir de là le récit deviens un fantasme .
le fantasme du cocu . qui je le croit deviendra réalité rapidement.... !!!!!
:cuck: :qs:

Elle m’a tout raconté.

Ils étaient sortis du restaurant, encore étourdis de rires, un peu gris du vin, des regards.
Il lui avait proposé un dernier verre, dans un petit bar un peu plus loin, presque vide à cette heure.
Ils s’étaient assis dans un coin sombre, un canapé trop bas, des lumières tamisées, de la musique lente.
Il s’était rapproché, naturellement.
Ses doigts avaient effleuré son genou nu, puis avaient remonté, lentement, sous le tissu de sa robe.

Elle ne l’avait pas arrêté.

Elle s’était levée d’un pas nerveux, comme pour échapper à l’évidence, et était partie vers les toilettes.
Il l’avait suivie.
Pas un mot. Juste cette tension.

Et là, dans ce petit couloir étroit, elle s’était retournée.
Il l’avait plaquée contre le mur, brutal mais précis.
Leur bouche s’était cherchée, puis dévorée.
Il avait glissé une main sous sa robe, trouvé sa culotte, et l’avait repoussée du bout des doigts.
Elle était déjà trempée, elle me l’a dit sans honte.
Il a glissé deux doigts en elle, là, debout contre le mur, pendant qu’elle gémissait contre son épaule.

Elle l’a arrêté avant que ça n’aille plus loin. Pas là. Pas comme ça.
Mais le feu était allumé. Impossible à éteindre.

Ils ont quitté le bar à la hâte, presque en silence.
Elle lui a dit : “Suis-moi.”
Ils ont roulé, en dehors de la ville, sans destination claire.
Elle connaissait un coin, un petit chemin bordé d’arbres, isolé.
Ils ont garé les voitures, côte à côte. Elle est sortie la première, le souffle court.
La nuit était noire, fraîche, humide.
Elle l’a attiré derrière un tronc, loin des phares.

Il l’a soulevée contre lui, ses fesses calées contre l’écorce rugueuse.
Sa robe remontée d’un geste, sa culotte arrachée.
Pas de préservatif. Il n’a même pas posé la question.
Elle n’a pas protesté.

Ils ont baisé là, contre l’arbre, comme deux bêtes.
Elle m’a dit qu’il l’a tenue fort, qu’il la prenait comme s’il allait la déchirer.
Qu’elle a joui vite, trop vite, et qu’il est venu en elle, profondément, dans un râle rauque.
Et qu’elle a aimé ça.
Vraiment.

Elle est restée un moment contre lui, haletante.
Puis elle a remonté sa culotte, salie, la peau collante de plaisir.

Sur le chemin du retour, elle ne m’a pas écrit.
Elle voulait me le dire en face.
Elle voulait que je voie son visage pendant qu’elle me raconterait.

Quand elle est rentrée, elle avait les joues rouges, les cheveux en bataille, l’odeur de lui sur la peau.
Elle s’est glissée contre moi dans le lit, sans rien dire d’abord.
Et puis, tout doucement, elle m’a décrit la scène, les gestes, les sons.
Elle m’a chuchoté à l’oreille qu’elle était rentrée pleine de lui.
Qu’elle le sentait encore couler entre ses cuisses.
Et pendant qu’elle parlait, ma main glissait entre ses jambes.
Elle était brûlante.
Et trempée.

Cette nuit-là, je l’ai prise lentement, comme pour l’effacer, ou peut-être pour le retrouver en elle.

Depuis, rien n’est tout à fait revenu comme avant.
Mais ce n’est pas grave.
C’est vivant.

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