- 26 janv. 2010, 21:40
#18901
Il est vrai très cher visnou, que moi aussi je suis particulièrement avide d’histoire de domination féminine et lorsque A ; me racontait une de ses aventure avec V, c’était à chaque fois un immense plaisir. Le mieux était même lorsque je découvrais cette histoire ignorée dans son petit livre secret que lui fait tenir à jour D.
Je regrette cette époque, je sais que ma belle recherche une jeune femme dominatrice en vain. Cet été nous avions invité une jeune vétérinaire qui soigne notre chat. Elle est une femme assez grande, blonde aux yeux bleus d’environ trente ans. A ; aime être dominer par une femme plus jeune qu’elle. Elle trouve la situation plus humiliante. Je pensais à juste titre qu’elle était lesbienne car elle regardait toujours A, avec des yeux pétillants d’envie.
Nous l’avons invité à diner un soir et tout de suite les femmes se sont racontées pleins de choses. Je les ai laissée seules pour ne pas déranger notre nouvelle amie.
Il faisait très chaud et ma femme m’a demandé d’éteindre la piscine. Je me suis douté qu’elles voulaient se baigner sans être vu.
Je me suis caché dans l’obscurité d’une pièce à l’étage qui domine la piscine. Je les ai vu se déshabiller complètement. Elle étaient donc nues dans l’eau. Je les ai vu nager , j’entendais l’eau brasser puis soudain plus rien. Comme elles étaient dans la pénombre, je les distinguais à peine, mais il me semble bien qu’elles s’embrassaient. Plus tard A ; m’appella. Je descendit les marches en courant pour les rejoindre mais elles n’étaient plus dans l’eau. Elles s’étaient alongées dans les relax, enroulées dans des serviettes éponge.
A ; me dit de lui préparer sa chambre, Isa, restait cette nuit à la maison.
Je compris tout de suite que c’était ensemble qu’elles passaient la nuit.
La chambre de ma femme se situe aussi à l’étage. Elle est constituée d’une grande pièce, d’un dreessing, d’une salle de bain et d’un wc. Tout le décors est Africain. Le lit est rond averc une literie de 160cm. Il y a une grande moustiquaire et un immense ventilateur.
En tête de lit une grande glace et au fond 2 glaces sur pied. De chaque côté d’un immense bureau colonial.
A ; est très bordèlique. Il y en a vite de partout. Je changea les draps ramassa quelques affaires par terre nettoya un peu la salle de bain. Puis je ferma à moitié les volets et alluma des bougies parfumées.
Je leur est mis un plateau sur une petite table basse avec du champagne et des chocolats fins.
Une fois tout vérifié, j’ai mis un dvd de musique zen. Nous avons au dessus du bureau un écran plat avec une sono dolby.
Je suis descendu les prévenir que tout était pret. Ma femme pris sa compagne par la main et en passant devant moi, m’ordonna pour m’humilier un peu plus :
- Tu peux disposer mon amour, mais avant de te coucher range tout. Demain matin tu prépareras un petit déjeuné sur la terrasse vers 10h. Je ne veux pas te voir demain ; tu iras faire les courses et ne rentre pas avant midi.
Embrasse moi .
Ah j’y pense, pas de cochonnerie dans ton lit en pensant à nous.
- Oui ma belle, bonne nuit.
- Dit bonsoir à Isa ;
- Bonsoir Madame, passée une bonne nuit.
- Merci B.
Isa avait un petit sourir en coin ; A ; me dit plus tard qu’Isa lui avait demandé si je lui étais soumis. A ; lui répondi que non, mais que j’étais une lope et que j’aimais être humilié. et cocu, alors elle ne se privait pas.
Nous n’avons pas revu Isa, elle à vendu son cabinet en fin d’année et a quitté la région. Isa n’était pas dominatrice et la liason avec A fue de courte durée.
Pour en revenir à V, une des histoires de domination avec ma belle assez excitante c’est déroulée dans un salon d’esthètique . V avait donné rdv à A directement au salon. Ils y avait des travaux sur l’autoroute et nous étions en retard. De plus nous avons mis un petit moment pour trouver l’adresse. Enfin arrivé, A sorti de la voiture et entra dans le salon.
Il y avait pas mal de femmes. Des clientes, des esthéticiennes, deux coiffeurs hommes. V était assise au fond du salon.
A ; était habillée avec un ensemble pantalon et veste, des escarpins à hauts talons. Elle était dans l’entrée quand V arriva ;
- Tu es en retard petite pute !
Elle la giffla par deux fois.
- Tu sais bien que j’ai horreur de ça !
- Mais V, il y avait des travaux sur l’autoroute
- Ne répond pas insolente !
- Pardon v
- Ne me manque pas de respect ! elle l’a giffla de nouveau.
- Pardonnez moi Mademoiselle.
A baissa la tête pour ne pas affronter les regards des autres personnes.
V était ravi de l’entrée en matière et de l’effet produit par sa réaction. Elle appella un coiffeur et se mis à discuter des soins qu’elle voullait pour A. Elle semblait particulièremment énervée et faisait de grands gestes pour décrire sa colère.
- Cette petite pute m’a énervé, je veux que tu lui coupes les cheveux courts, elle fera moins la maline après.
- Mais V ; que va penser D ?
- Ne t’en fait pas pour ça, il me fait confiance.
- Allez emmene moi cette grue se faire tondre .
- Si tu veux du spécial, lui fit le coiffeur il faudra être sur qu’elle ne s’échappera pas ?
- elle ne s’échappera pas fait moi confiance. A poil, elle n’ira pas loin .
puis se tournant vers A :
- Deshabille toi ma jolie
- Ici ?
- Bien sur ici, tu es bien assez salope maintenant pour te foutre à poil devant tout le monde ?
- Mademoiselle, j’ai honte
- Tant mieux, allez à poil ;
Tout le monde assistait au strip tease de ma belle ; un grand silence se faisait dans le salon. De temps à autre on entendait des rires ;
- Pose tes vètements dans l’armoire au coin ;
Ma belle était en culotte et sg, sa respiration se faisait plus saccadée.
- Allez, bouge toi ou je te fesse devant tout le monde
A fit sauter les agraffes de son sg et ses seins volumineux et gonflés de désirs jaillir d’un bon. Ses tétons déjà bien durs pointaient de plus d’un cm. ( Bien excitée, ses tétons font deux cm)
- Ta culotte maintenant .
A fit descendre le petit bout de tissus sur ses jambes et le quitta en se tenant à un dossier de chaise.
- donne le moi !
- Tu es négligée, ta culotte est tachée et tu n’es pas épillée de frais
- Mademoiselle je vous en prie ; je suis assez humiliée comme çà.
- Tait toi ou je te fais faire le tour du salon pour que tout le monde puisse te tripotter ;
le coiffeur installa ma belle sur un fauteui après lui avoir passée une blouse blanche en nylon
- Dit moi V, qu’est ce qu’on lui fait à ta belle.
- Puisque sa chatte n’est pas nette, tu lui fais rassée et toi tu la tond.
- Mademoiselle, je ne peux pas être tondu, pensée à moi, mon travail ?
- Tu porteras des perruques il y en a de très belles ici.
En 10 minutes, A avait perdu ses cheveux ; elle n’osait pas se regarder dans la glace.
(Quand je l’ai vu comme ça ; je l’ai trouvé très belle, très érotique. J’aurais même aimé qu’elle soit rasée complètement.)
A à porté plusieurs pérruques de différents styles.
Brune au carré, rousse mis longs ; blonde platine ondulé, à chaque fois s’était une nouvelle femme.
En sortant du salon, V voullut que A reste comme ça dans la rue et pour faire des courses. A ; se sentait vraiment humiliée, mais très fière de se sentir libérée de ses tabous. Qu’en penserait D en la voyant ?

Je regrette cette époque, je sais que ma belle recherche une jeune femme dominatrice en vain. Cet été nous avions invité une jeune vétérinaire qui soigne notre chat. Elle est une femme assez grande, blonde aux yeux bleus d’environ trente ans. A ; aime être dominer par une femme plus jeune qu’elle. Elle trouve la situation plus humiliante. Je pensais à juste titre qu’elle était lesbienne car elle regardait toujours A, avec des yeux pétillants d’envie.
Nous l’avons invité à diner un soir et tout de suite les femmes se sont racontées pleins de choses. Je les ai laissée seules pour ne pas déranger notre nouvelle amie.
Il faisait très chaud et ma femme m’a demandé d’éteindre la piscine. Je me suis douté qu’elles voulaient se baigner sans être vu.
Je me suis caché dans l’obscurité d’une pièce à l’étage qui domine la piscine. Je les ai vu se déshabiller complètement. Elle étaient donc nues dans l’eau. Je les ai vu nager , j’entendais l’eau brasser puis soudain plus rien. Comme elles étaient dans la pénombre, je les distinguais à peine, mais il me semble bien qu’elles s’embrassaient. Plus tard A ; m’appella. Je descendit les marches en courant pour les rejoindre mais elles n’étaient plus dans l’eau. Elles s’étaient alongées dans les relax, enroulées dans des serviettes éponge.
A ; me dit de lui préparer sa chambre, Isa, restait cette nuit à la maison.
Je compris tout de suite que c’était ensemble qu’elles passaient la nuit.
La chambre de ma femme se situe aussi à l’étage. Elle est constituée d’une grande pièce, d’un dreessing, d’une salle de bain et d’un wc. Tout le décors est Africain. Le lit est rond averc une literie de 160cm. Il y a une grande moustiquaire et un immense ventilateur.
En tête de lit une grande glace et au fond 2 glaces sur pied. De chaque côté d’un immense bureau colonial.
A ; est très bordèlique. Il y en a vite de partout. Je changea les draps ramassa quelques affaires par terre nettoya un peu la salle de bain. Puis je ferma à moitié les volets et alluma des bougies parfumées.
Je leur est mis un plateau sur une petite table basse avec du champagne et des chocolats fins.
Une fois tout vérifié, j’ai mis un dvd de musique zen. Nous avons au dessus du bureau un écran plat avec une sono dolby.
Je suis descendu les prévenir que tout était pret. Ma femme pris sa compagne par la main et en passant devant moi, m’ordonna pour m’humilier un peu plus :
- Tu peux disposer mon amour, mais avant de te coucher range tout. Demain matin tu prépareras un petit déjeuné sur la terrasse vers 10h. Je ne veux pas te voir demain ; tu iras faire les courses et ne rentre pas avant midi.
Embrasse moi .
Ah j’y pense, pas de cochonnerie dans ton lit en pensant à nous.
- Oui ma belle, bonne nuit.
- Dit bonsoir à Isa ;
- Bonsoir Madame, passée une bonne nuit.
- Merci B.
Isa avait un petit sourir en coin ; A ; me dit plus tard qu’Isa lui avait demandé si je lui étais soumis. A ; lui répondi que non, mais que j’étais une lope et que j’aimais être humilié. et cocu, alors elle ne se privait pas.
Nous n’avons pas revu Isa, elle à vendu son cabinet en fin d’année et a quitté la région. Isa n’était pas dominatrice et la liason avec A fue de courte durée.
Pour en revenir à V, une des histoires de domination avec ma belle assez excitante c’est déroulée dans un salon d’esthètique . V avait donné rdv à A directement au salon. Ils y avait des travaux sur l’autoroute et nous étions en retard. De plus nous avons mis un petit moment pour trouver l’adresse. Enfin arrivé, A sorti de la voiture et entra dans le salon.
Il y avait pas mal de femmes. Des clientes, des esthéticiennes, deux coiffeurs hommes. V était assise au fond du salon.
A ; était habillée avec un ensemble pantalon et veste, des escarpins à hauts talons. Elle était dans l’entrée quand V arriva ;
- Tu es en retard petite pute !
Elle la giffla par deux fois.
- Tu sais bien que j’ai horreur de ça !
- Mais V, il y avait des travaux sur l’autoroute
- Ne répond pas insolente !
- Pardon v
- Ne me manque pas de respect ! elle l’a giffla de nouveau.
- Pardonnez moi Mademoiselle.
A baissa la tête pour ne pas affronter les regards des autres personnes.
V était ravi de l’entrée en matière et de l’effet produit par sa réaction. Elle appella un coiffeur et se mis à discuter des soins qu’elle voullait pour A. Elle semblait particulièremment énervée et faisait de grands gestes pour décrire sa colère.
- Cette petite pute m’a énervé, je veux que tu lui coupes les cheveux courts, elle fera moins la maline après.
- Mais V ; que va penser D ?
- Ne t’en fait pas pour ça, il me fait confiance.
- Allez emmene moi cette grue se faire tondre .
- Si tu veux du spécial, lui fit le coiffeur il faudra être sur qu’elle ne s’échappera pas ?
- elle ne s’échappera pas fait moi confiance. A poil, elle n’ira pas loin .
puis se tournant vers A :
- Deshabille toi ma jolie
- Ici ?
- Bien sur ici, tu es bien assez salope maintenant pour te foutre à poil devant tout le monde ?
- Mademoiselle, j’ai honte
- Tant mieux, allez à poil ;
Tout le monde assistait au strip tease de ma belle ; un grand silence se faisait dans le salon. De temps à autre on entendait des rires ;
- Pose tes vètements dans l’armoire au coin ;
Ma belle était en culotte et sg, sa respiration se faisait plus saccadée.
- Allez, bouge toi ou je te fesse devant tout le monde
A fit sauter les agraffes de son sg et ses seins volumineux et gonflés de désirs jaillir d’un bon. Ses tétons déjà bien durs pointaient de plus d’un cm. ( Bien excitée, ses tétons font deux cm)
- Ta culotte maintenant .
A fit descendre le petit bout de tissus sur ses jambes et le quitta en se tenant à un dossier de chaise.
- donne le moi !
- Tu es négligée, ta culotte est tachée et tu n’es pas épillée de frais
- Mademoiselle je vous en prie ; je suis assez humiliée comme çà.
- Tait toi ou je te fais faire le tour du salon pour que tout le monde puisse te tripotter ;
le coiffeur installa ma belle sur un fauteui après lui avoir passée une blouse blanche en nylon
- Dit moi V, qu’est ce qu’on lui fait à ta belle.
- Puisque sa chatte n’est pas nette, tu lui fais rassée et toi tu la tond.
- Mademoiselle, je ne peux pas être tondu, pensée à moi, mon travail ?
- Tu porteras des perruques il y en a de très belles ici.
En 10 minutes, A avait perdu ses cheveux ; elle n’osait pas se regarder dans la glace.
(Quand je l’ai vu comme ça ; je l’ai trouvé très belle, très érotique. J’aurais même aimé qu’elle soit rasée complètement.)
A à porté plusieurs pérruques de différents styles.
Brune au carré, rousse mis longs ; blonde platine ondulé, à chaque fois s’était une nouvelle femme.
En sortant du salon, V voullut que A reste comme ça dans la rue et pour faire des courses. A ; se sentait vraiment humiliée, mais très fière de se sentir libérée de ses tabous. Qu’en penserait D en la voyant ?

