- Aujourd’hui, 14:35
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Dans les lignes qui vont suivre je vais vous décrire la folle jeunesse de mon épouse, avant que nous nous rencontrions à la fin de nos études.
Ces différentes anecdotes sont légèrement romancées, mais ce qu'elles racontent est tout à fait vrai, même si j'ai modifié ou inventé quelques lieux ou prénoms.
Mais passons aux présentations, Laurence est une jeune fille de province, elle vient d’un petit village. Son adolescence a été plutôt morne, sans beaucoup de plaisir, mais enfin elle l’a … le Bac ! Synonyme de liberté pour elle, elle entre en Fac à Nantes. Là elle connaitra son premier amant, mais l’expérience ne fut pas mémorable. Pas d’inquiétudes, elle va se rattraper...
Bien sûr si mes petits textes ne vous plaisent pas, je m'arrêterai là, je ne veux pas vous embêter.
Chapitre 1 : « Danser au bout de la nuit »
Laurence, étudiante de dix-neuf ans, se déhanchait avec énergie sur la piste de danse, ses mouvements fluides et envoûtants attirant les regards dans la boîte de nuit bordelaise, bondée en cette soirée d'été de 1989. Ses cheveux bruns, légèrement ébouriffés par la chaleur de la soirée, encadraient son visage souriant, illuminé par les lumières stroboscopiques. Sa silhouette menue de petite brunette, à peine un mètre cinquante-cinq, semblait presque fragile, mais sa présence était électrique, irrésistible. Elle portait une robe moulante qui mettait en valeur ses courbes, ses petits seins pointus se balançant au rythme de la musique. Ce soir, elle était venue pour s'amuser, et surtout pour profiter de la compagnie de son frère, chez qui elle passait le weekend.
C'est alors qu'elle le remarqua. Un homme, grand et musclé, debout près du bar, ses yeux fixés sur elle avec une intensité qui la fit frissonner. Il avait environ vingt-cinq ans, un corps athlétique comme elle aimait, et son regard semblait percer à travers la foule pour se poser directement sur elle. Il y avait quelque chose dans sa façon de la regarder, une assurance mêlée à une promesse silencieuse, qui éveilla en Laurence une curiosité mêlée d'excitation. Elle sentit son cœur battre un peu plus vite, un mélange de nervosité et d'anticipation.
Sans détourner les yeux, il se fraya un chemin à travers la foule, ses mouvements assurés et gracieux. Laurence, bien que consciente de son attention, continua de danser, laissant la musique guider ses pas. Lorsqu'il fut enfin à portée de voix, il se pencha vers elle, sa présence imposante mais pas intimidante.
« Tu danses comme si personne ne te regardait, » murmura-t-il, sa voix grave et envoûtante. « Et pourtant, tout le monde te regarde. »
Laurence sourit, un sourire malicieux qui trahissait son intérêt. « Alors, tu fais partie de ceux qui regardent ? » répliqua-t-elle, ses yeux pétillants de défi.
Il rit, un son riche et chaleureux qui résonna dans l'ambiance bruyante de la boîte. « Inévitablement. » Il tendit une main, se présentant. « Etienne. »
Elle prit sa main, sentant la chaleur de sa peau et la fermeté de sa poigne. « Laurence. »
La conversation s'engagea naturellement, fluide et légère, mais sous-tendue par une tension palpable. Etienne était charmant, ses mots teintés d'un humour qui la fit rire à plusieurs reprises. Mais c'était son regard, intense et insistant, qui la captivait le plus. Elle sentait son désir grandir, une chaleur lente qui s'insinuait dans son ventre, la faisant se demander ce que la nuit lui réservait.
Bientôt, leurs corps se frôlèrent sur la piste, leurs mouvements synchronisés comme s'ils dansaient depuis toujours ensemble. Etienne se rapprocha, son souffle chaud caressant son oreille, et murmura : « Viens avec moi. »
Laurence hésita à peine. Elle savait où cela les mènerait, mais l'excitation était trop forte pour résister. « D'accord, » répondit-elle, sa voix à peine audible au-dessus de la musique. Arrivés dans un coin plus sombre, sans un mot, il l'attira vers lui, leurs lèvres s'unissant dans un baiser passionné. Elle se sentait toute petite dans ses bras et elle adorait ça !
Après quelques minutes d'intenses baisers il lui proposa de finir la nuit chez lui, elle lui demanda alors d'attendre quelques instants et après avoir prévenu son frère elle le rejoint bien vite.
Ils quittèrent la boîte de nuit, main dans la main, et se dirigèrent vers l'appartement d'Etienne. L'air de la nuit était frais, contrastant avec la chaleur de leurs corps. Dans la voiture, leurs regards se croisèrent à nouveau, et cette fois, il n'y eut plus de mots. Juste une compréhension mutuelle, un désir partagé qui ne demandait qu'à être assouvi.
Arrivés chez lui, l'ambiance devint électrique. Etienne ferma la porte derrière eux et se tourna vers elle, ses yeux brillants de désir. Ses mains glissèrent le long de son dos, tirant doucement sa robe vers le haut, tandis que les siennes se posèrent sur ses épaules larges et musclées. Le baiser était profond, vorace, comme s'ils cherchaient à consommer l'un l'autre.
Laurence sentit ses genoux faiblir sous l'intensité du moment. Etienne la soutint, la guidant vers le canapé. Ils s'assirent, leurs baisers ne s'interrompant pas, leurs mains explorant chaque recoin de leurs corps. Elle glissa ses doigts sous son t-shirt, sentant la chaleur de sa peau et la fermeté de ses abdos. Il releva sa robe, ses mains caressant ses cuisses nues, s'approchant dangereusement de son intimité.
C'est alors qu'elle sentit son désir monter en puissance. Sans hésiter, elle se leva, se mettant à genoux devant lui. Ses mains glissèrent le long de ses cuisses, remontant vers son entrejambe. Elle sentit la taille impressionnante de son sexe à travers son jean, et un frisson d'excitation la parcourut. Avec une lenteur délibérée, elle déboutonna son pantalon, le baissant suffisamment pour libérer ce qu'elle convoitait.
Ce qu'elle découvrit la laissa sans voix. Son sexe était imposant, une promesse de plaisir qui la fit saliver. Sans attendre, elle le prit dans sa bouche, savourant chaque centimètre de sa virilité. Ses lèvres enroulèrent autour de lui, sa langue explorant chaque veine, chaque contour. Etienne gémit, ses mains se posant sur ses cheveux, guidant doucement ses mouvements.
« Mmmmm tu n'hésites pas toi, » murmura-t-il, sa voix rauque de désir.
Laurence continua, déterminée à le faire craquer. Elle approfondit ses mouvements, prenant autant de lui qu'elle le pouvait, sentant sa gorge se serrer autour de lui. Etienne se laissa aller, ses hanches se soulevant légèrement pour rencontrer ses lèvres. Mais il ne voulait pas que cela se termine trop vite.
D'un mouvement brusque, il la releva, la couchant sur le canapé, la robe relevée sur les hanches. « A mon tour, » dit-il, un sourire espiègle aux lèvres.
Il se positionna entre ses cuisses, ses mains caressant ses courbes avant de glisser vers son intimité. Il descendit lentement la petite culotte noire, entre ses cuisses, il découvrit une toison brune témoignant de sa féminité naturelle. Laurence sentit ses doigts effleurer sa toison, puis s'infiltrer entre ses lèvres humides. Elle gémit, son corps se cambrant légèrement sous ses caresses expertes. Etienne descendit plus bas, sa bouche remplaçant ses doigts, sa langue glissant sur sa peau sensible.
Le plaisir monta en flèche, Laurence sentant ses muscles se tendre, son corps se préparer pour ce qui allait suivre. Etienne remonta vers elle, ses yeux brillants de désir. « Prête ? » demanda-t-il, sa voix chargée de promesse.
Laurence hocha la tête, son cœur battant la chamade. Elle savait ce qui l'attendait, et elle en redemandait.
Il se positionna au-dessus d'elle, son sexe imposant pointé vers son entrée. Avec une douceur relative, il pénétra Laurence, mais elle sentit immédiatement l'ampleur de son sexe la remplir, la faisant se sentir écartelée. Les sensations étaient intenses, presque douloureuses, mais elle en redemanda.
« Doucement, » murmura-t-elle, ses mains agrippant ses épaules pour se rassurer.
Etienne obéit, ses mouvements lents et contrôlés, mais chaque va-et-vient la faisait frissonner de plaisir. Elle sentit ses muscles s'adapter à sa taille, son corps accueillant chaque centimètre de lui. Bientôt, le rythme s'accéléra, leurs corps se mouvant en harmonie, chaque mouvement les rapprochant davantage de l'extase.
Ils enchaînèrent les positions, explorant chaque facette de leur désir. Etienne la prit contre le mur, ses mains soutenant ses fesses alors qu'il la pénétrait profondément. Puis, sur le lit, il la fit chevaucher, Laurence sentant son sexe la remplir à chaque mouvement de ses hanches. Chaque position apportait de nouvelles sensations, chaque va-et-vient la faisant grimper vers un sommet de plaisir.
Enfin, épuisés mais comblés, ils s'effondrèrent l'un contre l'autre. Etienne la serra dans ses bras, ses lèvres posées sur son front. « Tu es incroyable, » murmura-t-il à nouveau, sa voix chargée d'émotion.
Laurence sourit, son corps encore tremblant de plaisir. « Toi aussi, » répondit-elle, ses doigts traçant des motifs sur sa poitrine.
Le lendemain matin, Laurence se réveilla avec une douce douleur entre les jambes, un rappel de la nuit torride qu'elle venait de vivre. Elle se leva lentement, chaque mouvement lui rappelant l'intensité de leur rencontre. En rentrant chez son frère, elle marcha avec difficulté, chaque pas lui rappelant la taille impressionnante d'Etienne et les sensations qu'il lui avait procurées.
Elle sourit, sachant que cette nuit resterait gravée dans sa mémoire. C'était un mélange de plaisir et de découverte, une expérience qui marquait la fin d'un weekend inoubliable. Et alors qu'elle franchissait la porte de l'appartement de son frère, elle se sentit comblée, avec un sourire aux lèvres et un secret brûlant au plus profond d'elle.