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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2890443
Octobre 2023 ; Corée du sud

Dans les chiottes du bar, à Itaewon

La nuit était déjà bien entamée quand je les ai perdus de vue. Ma femme et Monsieur O. Ils dansaient ensemble un peu plus tôt, trop proches, trop complices. Et moi, j’étais là, en retrait, oscillant entre euphorie et vertige. Ce jeu-là, je l’avais voulu. Et maintenant, il m’avalait.

Je suis allé vers les toilettes, comme poussé par un instinct plus fort que moi. La queue devant la cabine du fond était anormalement longue. Un mec me dit qu’elle est occupée depuis un moment. Il ne dit rien de plus, mais son regard parle pour lui. Je le dépasse sans gêne — en Corée, ça ne se fait pas —, mais je m’en fous. Mon cœur bat trop fort.

La porte n’allait pas jusqu’au plafond. Il suffisait d’un petit saut pour voir.

Je me hisse. Mon regard se faufile.

Ils sont là. Tous les deux. Ma femme. Lui. Ils ne font que parler, mais l’intensité est là, dans leurs postures, dans la manière dont elle incline la tête, dans la manière dont il la regarde. Je redescends immédiatement, le souffle court. J’ai la tête qui tourne, une pression dans la poitrine, et dans le pantalon aussi.

Je retourne danser, mais mon esprit est ailleurs. Mon regard se perd dans la foule. Puis je la vois revenir. Ma femme. Elle s’approche. Son visage... Je ne le reconnais pas. Il transpire quelque chose de nouveau, un éclat animal. Elle se colle contre moi, me prend par la nuque, et me glisse à l’oreille, dans un souffle brûlant :

— Le mec… il m’a baisée dans les chiottes.

Silence. Mon cœur s’arrête.

— Monsieur O…

Nouveau silence. Plus lourd.

— Sans capote.

Chaque mot tombe comme un coup de fouet.

— Il a joui sur mes fesses.

Ma gorge se serre.

— J’ai encore son sperme sur le pantalon.

Je n’arrive pas à parler. Mon sang se fige. Mon sexe durcit. L’adrénaline me cloue sur place. Je suis à la fois jaloux, excité, perdu, brûlant. Un cocktail d’émotions incontrôlables.

Je l’attrape par la main. Direction les toilettes des femmes. Devant tout le monde. Rien à foutre. On s’enferme dans la cabine du fond.

Je la pousse à l’intérieur. Elle trébuche, rattrapée par le mur. Ses jambes bloquées par la cuvette, elle se retrouve penchée, offerte. J’arrache son pantalon et sa culotte d’un geste sec. Son odeur me frappe au visage. Je m’agenouille derrière elle, mes mains sur ses fesses, que j’écarte lentement avant de plonger ma langue.

Elle est trempée.

Je cherche. Je goûte. Je lèche sans retenue, profondément. Une part de moi se demande si je suis en train de chercher ce qu’il a laissé. Une autre part de moi s’en fout. Je veux tout. Tout ce qu’elle a vécu, tout ce qu’il lui a donné, je veux le sentir, le posséder à mon tour.

Ma langue explore sa chatte, son anus, je la mange avec frénésie. Je bois, j’aspire, je la dévore. Puis je me redresse, baisse mon pantalon, et la pénètre d’un coup.

Elle gémit. Pas de plaisir, pas encore. Elle dit, haletante :

— Doucement… je suis irritée… il y est allé super fort…

Ses mots me frappent en pleine poitrine. Doucement ? Oui… mais en même temps… l’image de lui la prenant sans moi me fait bouillir. Je veux la prendre aussi. La marquer. Rétablir un équilibre. Ou le briser complètement.

Je reste figé, profondément en elle, incapable de bouger. Elle est chaude, serrée, tremblante. Et moi, je suis ailleurs. Suspendu dans le vide. J’ai envie de la détruire. De la chérir. Je ne sais plus.

Une voix nous interrompt. Une amie à elle, qui l’appelle depuis la pièce d’à côté. On échange un regard. On sait qu’il faut sortir.

Elle part en première. Je la rejoins quelques minutes plus tard. La boîte est presque vide.

Il reste Monsieur O, Madame A, et quelques autres. On nous propose un after. Mais moi, je suis ailleurs. En sueur. Encore dur. Encore pris dans ce moment irréel.

Je la regarde, elle, ma femme, rayonnante, belle et libre
clahire69 a liké
#2890444
Juin 2023 ; Paris

Le nouveau voisin, insupportable mais bien membré.

Nous sommes au bar du quartier quand un nouveau débarque. Monsieur je sais tout, mais sans réponse quand on le questionne. Le genre de gars qui parle pour étaler sa science, se donner un genre. Mais bon, passons, il est grand, costaud, viril. Je sais qu'il va plaire à madame alors je lui laisse la place.

Le soir même je reçois deux MMS de Madame, il lui demande si elle est disponible, elle répond que oui. Elle m'écrit "il monte, je l'entends dans les escaliers"
Plus rien jusqu'au lendemain.

Plus tard je reçois son récap :

J’avais laissé la porte entrouverte, il s’est faufilé quelque minutes après. On s’est regardé, je lui ai dit « t’es un coquin toi », il m’a répondu « c’est toi la coquine ». On s’est embrassé dans le couloir, il a pris ma tête avec sa main et m’a embrassé à pleine bouche contre le mur.

Je lui ai dit, « voici mon salon, désolée c’est mal rangé », il m’a regardé il m’a embrassé de nouveau et il s’est frotté sur moi, j’ai senti son sexe immédiatement. Il a touché mes seins, pincé mes tétons. Je sentais qu’il avait vraiment envie de moi, ou envie de baiser tout court, il était bestial.

Je lui ai pris la main pour l’emmener dans ma chambre. Je me suis mise sur le lit, je n’avais que ma nuisette, il a glissé sa main entre les cuisses et a découvert que je ne portait rien en dessous. Il s’est allongé sur moi. On s’est de nouveau embrassé à pleine bouche. Il me caressait tout le corps, je me laissais faire.

Il s’est déshabillé, a enlevé sa ceinture, son short et immédiatement son caleçon. On s’est mis à se caresser l’un et l’autre, je sentais sa respiration s’accélérer.

Il s’est mis à quatre pattes m’a tirée vers le bord du lit et m’a léchée. Il me les léchait à pleine bouche. Il m’a doigtée aussi. Je le regardais, je lui caressais les cheveux.

Je me suis ensuite relevée, j’étais assise sur le bord du lit. Il a approché ma tête de son sexe, en se relevant aussi, il était debout. J’étais au niveau de son sexe, il était bien dur, il était gros, je me suis demandée si je voulais le sucer. J’ai approché ma tête et l’ai sucé à pleine bouche, c’était agréable. Je l’entendais gémir, il me touchait en même temps, me mettait des doigts, puis je l’ai branlé, en le regardant dans les yeux.

Il m’a ensuite allongée sur le lit, m’a dit de retirer ma nuisette, je lui ai dit de le faire. Il s’est mis sur moi, s’est frotté, j’ai senti sa bite, je lui ai dit « pas sans rien ». Il m’a ensuite dit qu’il avait évidemment ramené ce qu’il fallait, XXL, car il ne rentrait pas dans les autres. Il m’a ensuite pénétrée, j’étais sur le dos, je lui ai dit « doucement », il y est allé un peu fort, mais ca ne m’a pas fait mal. Je ressentais son plaisir, je sentais qu’il avait vraiment besoin de faire l’amour, je sentais l’animal en lui.

On s’est mis dans des positions différentes mais il me semble que je n’ai pas été prise par l’arrière. Nos visages se faisaient toujours face. J’étais assise, sur le dos ou sur le côté. Les pieds accrochés derrière son dos, je sentais qu’il résistait, il ne voulait pas jouir, pas tout de suite. Je sentais que cette position permettait de bien le sentir, et que sa bite touche bien toutes les parois de mon vagin.

Ensuite, je l’ai retourné de manière énergique, je me suis mise sur lui pour aller à mon rythme, je voyais dans ses yeux qu’il était comme hypnotisé, il se laissait faire, il me touchait les hanches quand je le chevauchais. Il me disait « attends je vais jouir mais j’ai pas envie que ça se termine ». Oui, je sentais qu’il ne voulait pas que ça se termine, peut-être voulait-il être sûr de m’avoir fait jouir ? Je lui ai dit « c’est pas un problème, je peux jouir plusieurs fois », et nous avons continué à un rythme saccadé. Je faisais quelques pauses puis je continuais, je sentais que ça le rendait fou. Il m’a ensuite dit, « je vais venir ça y est », moi je ne venais pas encore, il était hors de question que je n’ai pas d’orgasme, je lui ai pris la gorge sèchement et je me suis concentrée et j’ai accéléré. Il a eu l’air d’aimer ça, nous avons joui en même temps. Moment de grand soulagement et de détente dans tout le corps. Je me suis retirée délicatement de lui et nous sommes restés allongés tous les deux sur le dos. J’ai tourné la tête, regardé le préservatif, ses bourses étaient bien pleines.
clahire69 a liké
#2890445
Décembre 2023 ; Paris

L’attente et le sperme sur son ventre

On l’avait rencontré en soirée.

Je l’avais vu arriver, et j’ai su. C’était son genre. Pas besoin de mots, ni de gestes. Juste un regard sur elle, un demi-sourire en coin. Ma femme avait cette étincelle dans les yeux, cette légèreté dans la voix, cette façon de sourire plus souvent que d’habitude.

J’ai joué mon rôle, tranquillement, naturellement. Je lui ai parlé. J’ai pris son contact discrètement, avant de rentrer. Le genre de geste presque innocent, sauf que tout en moi bouillonnait.

Dans notre lit, quelques heures plus tard, je lui balance :

— J’ai pris son numéro.

Elle éclate de rire.

— Moi aussi.

On a ri ensemble. Mais derrière le rire, il y avait autre chose. Une tension. Un pacte tacite. Le genre de moment où on sent que quelque chose est déjà lancé, même si personne n’a encore appuyé sur "play".

Et puis… rien. Des semaines. Des mois. Le fantasme s’est installé. Comme un poison lent et délicieux. Et enfin je reçu un message, j'étais à Marseille, elle à Paris, "tu ne devineras jamais qui je vois ce soir." Je savais.

Je recevais peu de textos de sa part. Juste ce qu’il fallait pour me maintenir en apnée. Des notifications, parfois. Je me jetais sur mon téléphone, comme un adolescent. Un éclair d’excitation… et puis non. C’était un collègue. Un mail. Une pub. La frustration grimpait. Et avec elle, le désir. Le manque.

Elle a passé presque toute la nuit chez lui.

J’ai attendu, seul. Sans réponse. Les heures ont glissé. Je me suis endormi. Le lendemain je reçu un message vocal de sa part. J'étais au travail.

Elle m’a raconté.

Elle m’a tout raconté.

Elle l’a sucé longtemps. C’est la première chose qu’elle a dite. Et dans sa voix, il y avait une sorte d’émerveillement. Elle a parlé de son sexe circoncis, de sa beauté, de sa forme, de son goût. Elle a dit qu’elle adorait ça.

Moi, elle ne me suce presque jamais.

Je n’ai rien dit.

Elle a continué. Doigtée. Vagin. Anus. Il y est allé franchement. Il lui a léché l’anus, il y a rentré sa langue. Elle disait ça avec le sourire, les yeux brillants. Elle ne me l’a jamais permis, à moi.

Je l’écoutais, le cœur serré, la queue raide. C’était douloureux. Et c’était bon. Trop bon.

Ils ont couché ensemble dans toutes les positions. Elle a joui plusieurs fois, m’a-t-elle dit. Et lui aussi. Il a éjaculé dans sa capote. Plusieurs fois.

Mais le pire — non, le meilleur, c’est cette scène.

Elle m’a décrit ce moment précis, où il a frotté son sexe nu contre sa vulve trempée, sans la pénétrer, juste contre. L’interdit total. Le risque. La peau nue contre la peau nue.
Elle a gémi, elle m’a dit, rien qu’à sentir le gland glisser entre ses lèvres. Et il a joui sur son ventre, en frottant ainsi. Elle a dit ça, les yeux dans le vide, comme si elle revivait la scène.

Et moi… j’ai imaginé le sperme couler sur son ventre, souiller sa peau, marquer ma femme. Pas le mien. Le sien.

Je crois que j’ai bandé encore plus fort à ce moment-là que pendant nos meilleurs rapports.

Et puis… il y a eu autre chose. Plus discret. Mais je l’ai vu. Une douceur dans sa voix quand elle parle de lui. Une tendresse. Comme si une part d’elle s’était attachée. Comme si ce n’était pas juste du sexe. Comme s’il l’avait touchée ailleurs.

Et là, je ne sais plus si je suis excité… ou terrifié.

Mais je sais que je veux recommencer.
clahire69 a liké
#2890446
Décembre 2023 ; Paris

Monsieur je sais tout, le retour

Elle s’était disputée avec lui. Elle senti elle aussi finalement son caractère, celui du mec qui compense un manque de confiance en soi par un surplus d'égo.
Et pourtant… il avait un énorme sexe, et un désir débordant pour elle.

Ils se sont revus. Dans le même bar. En Pleine journée, devant nos proches. Tout le monde ignore notre vie sexuelle.

Et pourtant… au moment de se faire la bise, il a posé sa main sur sa cuisse. Un geste furtif, rapide, mais lourd de sens. Elle m’a dit qu’elle a vu le feu dans son regard, et que ça l’a traversée. Comme une décharge.

Elle est remontée chez elle.

Elle m’a tout raconté. Par message, je suis à Marseille. Et moi, j’ai senti l’excitation grimper. Je lui ai dit de profiter. Elle est excitée mais elle hésite, est-ce la peur ou le désir qui fait battre son cœur. Alors je lui dit de le chauffer, de lui donner envie, de jouer, juste assez. Pas de pénétration. Juste les préliminaires. Le challenge. L’interdit contrôlé.

Et comme par hasard, il lui écrit à ce moment-là. "Là?"

Elle me questionne, vous connaissez ma réponse.

Elle l’invite.

Plus tard je reçu un vocal...

Il arrive. Ils s’embrassent. Se touchent. Se déshabillent. Et là, il se jette sur elle.

Il la lèche. Sa chatte. Son cul.

Il l’explore partout, il la dévore, avec une rage animale. Il lui lèche l’anus, il y enfonce sa langue.
Et moi… je l’imagine. Ce cul que j’adore, ce plaisir qu’elle me refuse, elle le laisse à lui. Elle me dit qu’il s’y est donné à fond. Qu’elle était tremblante, retournée, que ça l’a fait jouir.

Puis il se lève. Son sexe est énorme. Elle me le répète plusieurs fois, comme pour me le faire sentir.
Elle me dit qu’il est là, bandé devant elle, et qu’elle n’a qu’une envie : le prendre en bouche.
Elle me dit qu’elle l’a sucé avec avidité, qu’elle a galéré à le prendre en entier, mais qu’elle adorait être comblée par cette queue.

Je l’écoute, je bande. Je m’imagine cette image : sa bouche pleine, sa langue sur un autre, ses yeux brillants.

Elle me dit qu’il était au bord. Qu’il voulait jouir. Moi, j’aurais voulu ça : sa bouche souillée par un autre, et moi qui l’embrasse ensuite, un rêve...

Mais pas cette fois. Il ne voulait pas jouir trop vite. Pas là.

Elle lui dit qu’elle veut sa grosse bite, et lui répond qu’il veut la baiser.

Elle dit : "Pas encore."

Alors ils s’allongent. Missionnaire. Pas pour pénétrer. Juste pour frotter. Il glisse son sexe entre ses fesses, lentement, puissamment. Il se frotte contre son anus, jusqu’à jouir.

Il a éjaculé sur son cul, lourdement.

Et moi, j’imagine la scène. Le sperme chaud, coulant le long de ses fesses. Ce cul que je désire tant, marqué par un autre. Et elle, tremblante, satisfaite.

Elle me dit qu'elle pensait pendant l'acte qu'on aurait pu être au téléphone en même temps, qu'elle pensait à moi. Quelle frustration, je n'ai pas osé lui demander. C'est le fléau de notre histoire, souvent je demande trop, et parfois pas assez
clahire69 a liké
#2890448
Décembre 2023 ; Paris

Monsieur je sais tout, passage à l'acte.

Une semaine plus tard.

Il l’a invitée à dîner. Chez lui, une soupe, un dessert. Et juste avant le dessert, tout a basculé
Elle me raconte par message vocal.

Elle m’explique comment elle s’est approchée, comment elle s’est assise sur lui, à califourchon. Rien de forcé, rien de prévu. Juste une pulsion. Elle voulait sentir cette queue en elle, cette grosse bite, cette épaisseur. Elle ne voulait pas attendre. Elle s’est empalée dessus.

Ses mots.

> "Je me suis empalée. Et j’étais comblée. Bien remplie."

Elle insiste sur ce "remplie". Elle veut que je l’imagine. Son sexe qui s’ouvre, lentement, pour accueillir cette queue qu’elle avait déjà eue dans la bouche, qu’elle avait sentie glisser entre ses fesses. Maintenant, elle la voulait entièrement.

Et elle l’a eue.

Mais voilà. Il a joui rapidement. Trop rapidement. Elle a senti son plaisir monter, puis exploser. Quelques minutes. Pas plus. Il n’a pas pu continuer. Il était vidé.

Elle me l’a dit sans détour, sans moquerie. Juste factuellement.

> "Il est moins endurant que mon autre amant…"

Elle parlait de l’autre — celui qu’on avait rencontré en soirée, celui dont elle semblait tomber amoureuse.

Mais aucun d'eux ne m'égale.
Ce n’est pas une flatterie. C’est un constat.
Ma libido est sans fin.

Je le sais. Je peux faire l’amour pendant des heures. Je n’ai jamais atteint de limite. Ni avec elle. Ni avec d’autres. Je suis celui qui revient, qui reste dur, qui pousse plus loin. Celui qui existe encore quand les autres tombent, en bon combattants de MMA.

Elle a baisé ce mec, oui. Elle a joui, elle s’est sentie "bien remplie". Mais ça n’a pas duré. Il n’a pas tenu. Et maintenant, elle revient me raconter ça.
Je connais son corps, je connais son esprit, comment la prendre, quand ralentir, quand pousser, dans quel angle. Quand me retenir, quand la faire languir, quand la libérer.

J'aime bien qu'elle me compare, quelle me confronte à l'adversité. J'aime la concurrence.
Le candaulisme est facile pour moi, quand je pense être le meilleur.
Mais pour combien de temps ?
clahire69 a liké

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