- 02 avr. 2010, 12:11
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Pour le mari attentionné et complaisant que je suis, recevoir un invité à la maison, le dernier en date a pour prénom Karim faisant office de mâle dominant au sein de notre couple, situation qui me permet de goûter aux affres et délices de l’infortune conjugale puisqu’il use et abuse de ma femme jusque dans le lit conjugal.
Le plaisir de l’humiliation débute lors de la toilette de cette dernière, j’aime la voir se préparer sachant qu’elle m’autorise à la laver sous la douche, je ne peux m’empêcher de m’attarder à passer le gant entre ses cuisses d’autant qu’elle m’interdit tout excès de zèle tout particulièrement lorsqu’elle s’aperçoit de mon érection, la regarder ensuite se maquiller plus que de raison, surtout les yeux, et finir sa transformation en choisissant une toilette saillante, j’adore lorsqu’elle enfile sa petite robe noire, trop courte et trop décolletée.
Après cette savante mise en bouche, la métamorphose de ma chère et tendre moitié, d’ordinaire bon chic bon genre en société, en vulgaire belle de jour, elle s’installe sagement sur un canapé du salon sous prétexte de se faire sécher les ongles, dernière touche de séduction, je prépare alors l’apéritif, en général une bouteille de champagne.
Lorsque notre invité s'annonce, je vais l’accueillir l’invitant à venir au salon, il s’installe bien entendu sur le même canapé que celui sur lequel a pris place ma femme et s’il fait preuve d’un minimum de prévenance son regard déshabille rapidement la maîtresse de maison. Après quelques mondanités d’usage, s’il garde une coupe à la main l’autre s’enhardit sur les cuisses de ma femme qui me regarde puis ferme sciemment les yeux pour mieux savourer ce moment où elle appartient à un autre.
Karim sait qu’il peut prendre toute liberté en ma présence, j’aime ce sentiment d’humiliation que me procure son approche lorsqu’il me demande par exemple si un autre homme que lui m’a fait cocu depuis sa dernière visite, petit rituel pour bien me faire comprendre que ma femme n’est qu’une pute. Elle ne dit rien, elle se contente d’écarter les jambes lorsque la main de Karim s’aventure sous sa robe tandis que j’assiste impuissant à pareil spectacle, il m’arrive d’implorer ma femme à ne pas me faire cocu, voire supplier Karim de la laisser tranquille, jeu de dupe qui ne fait qu’accentuer le trouble de l’atmosphère.
Le moment le plus humiliant pour moi est lorsqu’au bout d’un petit moment Karim emmène ma femme dans notre chambre me demandant d’attendre au salon son bon vouloir pour les rejoindre, le silence qui suit leur départ, puis les gémissements de ma petite souillon, enfin ses râles. A ses couinements, je devine le moment où son bourreau de sexe lui fait subir l’outrage contre nature. Pour moi le comble de l’excitation est d’entendre ma femme crier et supplier lorsque Karim lui écarte les fesses et la pénètre sans ménagement par derrière, à la vive douleur de la première pénétration succède rapidement une réelle et troublante sensation de jouissance, ma femme m’a souvent parlé de ce moment où pour elle tout bascule, où elle abandonne toute retenue et décence, où elle se complait d’être prise et considérée comme une chienne en chaleur.
Après qu’il est profané ma femme de tous côtés, Karim m’appelle pour faire le ménage, histoire de me faire bien sentir ma condition de mari cocu, il me demande de nettoyer les fesses de ma femme poussant la perversion jusqu’à glisser un oreiller sous le ventre de celle-ci pour qu’elle soit cambrée et bien offerte, que je puisse mieux lécher ses cuisses encore toutes brûlantes et maculées, il aime alors m’invectiver me traitant de cocu, de lèche cul et bien d’autres qualificatifs pour le moins inconvenants, ma femme ne dit rien se contentant de sentir la jouissance la gagner à nouveau sous la douce pression de mes lèvres, voire la fouille de ma langue. Karim m’autorise ensuite à profiter pleinement de ses restes me disant que je peux me vider en elle.
Sa dernière provocation est de me dire qu’il passe toujours le premier car comme ça c’est lui qu’il va engrosser ma femme, cette provocation m’excite beaucoup, le fait d’être cocu se double de la peur de ne pas être le père de notre prochain enfant même si Karim ne vient dormir à la maison qu’une fois par semaine.
Couple marié 11