- 30 mars 2010, 15:37
#29566
Bonjour, j'ai raconté dans le thème "comment la convaincre" commen j'avais amené mon épouse Anne à être libertine. Nous avons exploré différentes voies du libertinage, et s'agissant de ce thème, je vais évoquer les exhibitions que nous avons eu l'occasion de faire. Une petite précision, vous constaterez, que contrairement aux expériences racontées dans le thème "comment la convaincre", c'est mon épouse qui raconte. Il faut savoir que je lui demandais de me faire un compte rendu détaillé des expériences que lui faisais vivre, aussi bien sur l'aspect cérébral que sur l'aspect physique. Même si je me trouvais à ses côtés, il m'a toujours paru fondamental qu'elle fasse part de ses sensations et sentiments. Je me suis contenté de reformuler le récit pour lui donner, dans la limite de mes moyens, une transcription moins littérale.
"Souvent après une sortie (théâtre, concert, cinéma), nous aimions prendre la voiture et traverser Paris. Nous ne nous lassions pas du spectacle des ponts et monuments éclairés. Le circuit préféré de mon mari était de prendre la voie rapide du pont de l’Alma jusqu’à Bercy, de traverser et prendre la rive gauche dans l’autre sens.
Cette promenade automobile, le plus souvent silencieuse, nous permettait de nous « remettre » de nos émotions. Nous ne souhaitions pas rentrer immédiatement après avoir assisté à un concert ou une pièce de théâtre.
Un soir, mon mari a décidé de prolonger vers la Porte Dauphine. Il avait au préalable été attentif à ma tenue, et m’avait demandé de ne pas mettre de culotte. J’étais donc vêtu d’un tailleur noir, chemisier blanc, et avais comme sous-vêtement un soutien-gorge noir « seins libres », et des bas auto-fixants.
Ce soir de printemps, beaucoup de piétons marchaient dans les contre allées de l’avenue Foch. Quelques jeunes hommes semblaient attendre le client près de la faculté.
Mon mari emprunta le Boulevard Lannes jusqu’à la porte de la Muette, puis il tourna à droite Place de Colombie, pour revenir vers la porte Dauphine dans une rue parallèle au Boulevard Lannes. Nous longions l’ambassade d’URSS. De nombreux d’hommes se trouvaient sur les trottoirs, nous pouvions voir également plusieurs groupes. Nous suivions une file de voiture à allure réduite. Sur les quelques centaines de mètres de cette rue, nous avons du nous arrêter 3 fois. Je n’en comprenais pas la raison, mais mon mari m’expliqua qu’il devait y avoir des exhibitions dans les voitures nous précédant. Effectivement, lors du dernier arrêt, 2 ou 3 hommes s’approchèrent de la voiture nqui se trouvait devant nous. Le conducteur venait d’allumer le plafonnier.
D’autres hommes s’approchèrent de notre voiture, mais mon mari n’a pas bougé. Ne voyant rien ils nous dépassèrent sans s’arrêter.
Je trouvais excitant ce spectacle, et commençait à mouiller. Mon mari roula encore avant que nous nous retrouvions à nouveau porte Dauphine. Il reprit le même parcours, dans cette rue étroite, en bordure du bois de Boulogne, que les habitués appellent la « rue des branleurs »..
« déboutonne ton chemiser, remonte ta jupe »
Je m’exécutai, je laissai mes seins couverts, et ma jupe était remontée au dessous du liseré de mes bas.
Arrivé à mi parcours de la rue, mon mari alluma le plafonnier. Il y avait peu de voitures devant, et aucune derrière nous.
Trois jeunes s’approchèrent rapidement. Ils avaient le look « banlieue ». Casquette vissée sur la tête, jogging, chaussures de sport.
« Montre, montre……. » me dit l’un d’entre eux.
J’écartai le chemisier pour qu’ils voient mes seins. Serge releva complètement ma jupe. J’écartais les cuisses. Ils pouvaient voir ma chatte.
Le jeune qui m’avait interpellé sortit sa queue et se mit à se branler. Plusieurs autres avaient la main dans la poche.
Celui qui était le plus excité, essaya d’ouvrir la portière. Heureusement notre voiture était équipée d’un dispositif de fermeture automatique, qui était activé dès que nous roulions.
Mon mari démarra aussitôt.
Nous avons fait le tour de la porte Dauphine, et nous engageâmes dans le bois de Boulogne. J’étais très excitée (je mouillais vraiment), et Serge semblait un peu nerveux.
Cette exhibition m’avait plue, et je me caressais la chatte.
A un feu rouge, dans le bois, un énorme 4x4 apparut sur la file de droite. Le conducteur fit descendre la vitre et nous interpella :
« excusez moi de vous déranger, je vous suis depuis l’avenue Fayolle (j’appris plus tard qu’il s’agissait de la rue dans laquelle Serge m’avait exhibée), et j’aimerais que madame se montre.. »
Le conducteur me dominait de la taille de son engin sur lequel figurait le nom d’une entreprise de bâtiment. J’examinais l’intrus, il avait un visage « intéressant », très mâle.
Mon mari le regarda, et lui dit « pourquoi pas ? ».
« Suivez moi, je connais ».
Nous l’avons suivi durant 5 minutes. Il s’arrêta sur une aire de stationnement proche de la Porte Maillot. Il descendit et vint de mon côté. Je descendis ma vitre.
« Bonjour, madame est très belle, on peut voir ? »
Il portait un blouson marron en cuir, un jean, et était chaussé de chaussures de chantier genre rangers.
A nouveau, je montrais mes seins, et Serge remonta ma jupe pour bien exposer ma chatte.
« on peut toucher ?»
Mon mari répondit «oui, si tu es propre »
« oui pas de problème, je viens souvent au bois voir les belles bourgeoises qui se montrent ».
L’expression « belles bourgeoises » me fit sourire.
Il caressa mes seins. Il se rendit compte de leur souplesse, et commença un léger malaxage.
Sa main quitta mes seins, pour descendre entre mes cuisses.
« Mmmmmh , elle mouille ….vous faites souvent des exhibs ?»
« non rarement, ce soir on avait envie » lui répondit Serge.
J’évitais de participer aux échanges oraux entre mon mari et mes partenaires inconnus. Je me plaçais dans la posture de l’exécutante, et je me concentrais sur mon rôle d’exhibitionniste.
Mon mari me caressait également. « Tu ne veux pas t’occuper de lui ? » me demanda-t-il ?
J’hésitai, mais ne dit pas non. Cette absence de réponse encouragea mon peloteur
« Pas ici, si vous voulez, on va dans le bois, on sera plus tranquille »
« Vas y Anne, je surveille »
Je descendis de la voiture. Mon voyeur a eu un large sourire quand je suis sortie de la voiture.
« Putain elle est belle… »
Je le suivis durant une vingtaine de mètres. Il se retourna en déboutonnant son jean. Je pris son sexe, qui était dur, dans ma main, et commençai à le branler. Pour reprendre ma position favorite, je m’accroupis, et m’appliquai à bien le manipuler.
« La salope, putain tu branles bien… »
Je le branlai lentement, mais fermement durant 1 ou 2 minutes.
« Suces moi »
« C’était pas prévu ça » lui répondis-je l’air embêté.
« Allez, tu dois avoir envie, regarde je suis propre, et elle est belle ma queue non ? »
« Bon d’accord, mais j’avale pas »
« ok »
Je pris son membre dans ma bouche et le pompais avec application. Il gardait la tête levée, comme s’il scrutait le sommet des arbres. A chaque fois, qu’il la baissait, c’était pour dire :
« la salope, elle suce bien ».
Cette alternance se renouvela 4 ou 5 fois.
J’ai interrompu cette fellation dès les premiers signes d’éjaculation.
Je lui dis au revoir, le laissant remonter son pantalon. Il me semble l’avoir entendu me demander mon numéro de téléphone. Je ne me suis pas retourné et courus à la voiture.
« Tu l’as sucé ?»
« oui , qu’est-ce que je mouille»
« tu aurais pu te faire baiser »
« non, pas ce soir ».
En fait, je ne m’expliquais pas pourquoi je ne m’étais pas faite baisée, car j’en avais très envie.
"Souvent après une sortie (théâtre, concert, cinéma), nous aimions prendre la voiture et traverser Paris. Nous ne nous lassions pas du spectacle des ponts et monuments éclairés. Le circuit préféré de mon mari était de prendre la voie rapide du pont de l’Alma jusqu’à Bercy, de traverser et prendre la rive gauche dans l’autre sens.
Cette promenade automobile, le plus souvent silencieuse, nous permettait de nous « remettre » de nos émotions. Nous ne souhaitions pas rentrer immédiatement après avoir assisté à un concert ou une pièce de théâtre.
Un soir, mon mari a décidé de prolonger vers la Porte Dauphine. Il avait au préalable été attentif à ma tenue, et m’avait demandé de ne pas mettre de culotte. J’étais donc vêtu d’un tailleur noir, chemisier blanc, et avais comme sous-vêtement un soutien-gorge noir « seins libres », et des bas auto-fixants.
Ce soir de printemps, beaucoup de piétons marchaient dans les contre allées de l’avenue Foch. Quelques jeunes hommes semblaient attendre le client près de la faculté.
Mon mari emprunta le Boulevard Lannes jusqu’à la porte de la Muette, puis il tourna à droite Place de Colombie, pour revenir vers la porte Dauphine dans une rue parallèle au Boulevard Lannes. Nous longions l’ambassade d’URSS. De nombreux d’hommes se trouvaient sur les trottoirs, nous pouvions voir également plusieurs groupes. Nous suivions une file de voiture à allure réduite. Sur les quelques centaines de mètres de cette rue, nous avons du nous arrêter 3 fois. Je n’en comprenais pas la raison, mais mon mari m’expliqua qu’il devait y avoir des exhibitions dans les voitures nous précédant. Effectivement, lors du dernier arrêt, 2 ou 3 hommes s’approchèrent de la voiture nqui se trouvait devant nous. Le conducteur venait d’allumer le plafonnier.
D’autres hommes s’approchèrent de notre voiture, mais mon mari n’a pas bougé. Ne voyant rien ils nous dépassèrent sans s’arrêter.
Je trouvais excitant ce spectacle, et commençait à mouiller. Mon mari roula encore avant que nous nous retrouvions à nouveau porte Dauphine. Il reprit le même parcours, dans cette rue étroite, en bordure du bois de Boulogne, que les habitués appellent la « rue des branleurs »..
« déboutonne ton chemiser, remonte ta jupe »
Je m’exécutai, je laissai mes seins couverts, et ma jupe était remontée au dessous du liseré de mes bas.
Arrivé à mi parcours de la rue, mon mari alluma le plafonnier. Il y avait peu de voitures devant, et aucune derrière nous.
Trois jeunes s’approchèrent rapidement. Ils avaient le look « banlieue ». Casquette vissée sur la tête, jogging, chaussures de sport.
« Montre, montre……. » me dit l’un d’entre eux.
J’écartai le chemisier pour qu’ils voient mes seins. Serge releva complètement ma jupe. J’écartais les cuisses. Ils pouvaient voir ma chatte.
Le jeune qui m’avait interpellé sortit sa queue et se mit à se branler. Plusieurs autres avaient la main dans la poche.
Celui qui était le plus excité, essaya d’ouvrir la portière. Heureusement notre voiture était équipée d’un dispositif de fermeture automatique, qui était activé dès que nous roulions.
Mon mari démarra aussitôt.
Nous avons fait le tour de la porte Dauphine, et nous engageâmes dans le bois de Boulogne. J’étais très excitée (je mouillais vraiment), et Serge semblait un peu nerveux.
Cette exhibition m’avait plue, et je me caressais la chatte.
A un feu rouge, dans le bois, un énorme 4x4 apparut sur la file de droite. Le conducteur fit descendre la vitre et nous interpella :
« excusez moi de vous déranger, je vous suis depuis l’avenue Fayolle (j’appris plus tard qu’il s’agissait de la rue dans laquelle Serge m’avait exhibée), et j’aimerais que madame se montre.. »
Le conducteur me dominait de la taille de son engin sur lequel figurait le nom d’une entreprise de bâtiment. J’examinais l’intrus, il avait un visage « intéressant », très mâle.
Mon mari le regarda, et lui dit « pourquoi pas ? ».
« Suivez moi, je connais ».
Nous l’avons suivi durant 5 minutes. Il s’arrêta sur une aire de stationnement proche de la Porte Maillot. Il descendit et vint de mon côté. Je descendis ma vitre.
« Bonjour, madame est très belle, on peut voir ? »
Il portait un blouson marron en cuir, un jean, et était chaussé de chaussures de chantier genre rangers.
A nouveau, je montrais mes seins, et Serge remonta ma jupe pour bien exposer ma chatte.
« on peut toucher ?»
Mon mari répondit «oui, si tu es propre »
« oui pas de problème, je viens souvent au bois voir les belles bourgeoises qui se montrent ».
L’expression « belles bourgeoises » me fit sourire.
Il caressa mes seins. Il se rendit compte de leur souplesse, et commença un léger malaxage.
Sa main quitta mes seins, pour descendre entre mes cuisses.
« Mmmmmh , elle mouille ….vous faites souvent des exhibs ?»
« non rarement, ce soir on avait envie » lui répondit Serge.
J’évitais de participer aux échanges oraux entre mon mari et mes partenaires inconnus. Je me plaçais dans la posture de l’exécutante, et je me concentrais sur mon rôle d’exhibitionniste.
Mon mari me caressait également. « Tu ne veux pas t’occuper de lui ? » me demanda-t-il ?
J’hésitai, mais ne dit pas non. Cette absence de réponse encouragea mon peloteur
« Pas ici, si vous voulez, on va dans le bois, on sera plus tranquille »
« Vas y Anne, je surveille »
Je descendis de la voiture. Mon voyeur a eu un large sourire quand je suis sortie de la voiture.
« Putain elle est belle… »
Je le suivis durant une vingtaine de mètres. Il se retourna en déboutonnant son jean. Je pris son sexe, qui était dur, dans ma main, et commençai à le branler. Pour reprendre ma position favorite, je m’accroupis, et m’appliquai à bien le manipuler.
« La salope, putain tu branles bien… »
Je le branlai lentement, mais fermement durant 1 ou 2 minutes.
« Suces moi »
« C’était pas prévu ça » lui répondis-je l’air embêté.
« Allez, tu dois avoir envie, regarde je suis propre, et elle est belle ma queue non ? »
« Bon d’accord, mais j’avale pas »
« ok »
Je pris son membre dans ma bouche et le pompais avec application. Il gardait la tête levée, comme s’il scrutait le sommet des arbres. A chaque fois, qu’il la baissait, c’était pour dire :
« la salope, elle suce bien ».
Cette alternance se renouvela 4 ou 5 fois.
J’ai interrompu cette fellation dès les premiers signes d’éjaculation.
Je lui dis au revoir, le laissant remonter son pantalon. Il me semble l’avoir entendu me demander mon numéro de téléphone. Je ne me suis pas retourné et courus à la voiture.
« Tu l’as sucé ?»
« oui , qu’est-ce que je mouille»
« tu aurais pu te faire baiser »
« non, pas ce soir ».
En fait, je ne m’expliquais pas pourquoi je ne m’étais pas faite baisée, car j’en avais très envie.