- 02 juil. 2010, 00:59
#54257
C'était au printemps dernier,
B. et moi étions partis chercher son amant du jour qui n'était pas motorisé.
Rendez-vous était pris dans un café d'Hossegor, et là surprise! Il était accompagné d'un ami.
Je leur ai servi de chauffeur, ma femme bien entendu installée derrière.
Ils se sont occupés d'elle le temps du trajet. J'entendais ses gémissements retenus
et les bruits de leurs doigts entreprenants s'insinuant dans sa chatte ainsi que leurs
appréciations sur ses qualités de bonne suceuse.
Pendant ce temps je conduisais essayant de rester stoïque tout en jetant des regards dans le rétro.
A la maison ils se sont généreusement et longuement affairés dans sa bouche...et ailleurs!
Inutile de dire que B. n'a pas eu à se faire prier.
Je leur ai préparé le déjeuner puis, après un café vite expédié, ils ont remis ça.
Ils ont commencé par l'attacher sur la table basse et l'ont énergiquement doigtée, elle criait en giclant
comme une véritable fontaine.
Puis chacun leur tour, ils l'ont entrepris dans à peu près toutes les positions, sur une chaise, par terre,
sur le canapé, de face, à genou, en levrette...
Leurs sexes alternaient entre sa chatte et sa bouche.
B. a été baisée par la chatte, la bouche, elle a été sodomisée.
Comme si ça ne suffisait pas, ils se sont amusés à la goder avec un grand navet blanc que je leur ai
aimablement fourni.
Tout ça bien entendu sous mes yeux effarés de la voir ainsi transformée en véritable femelle en chaleur.
Quant à moi, je n'avais droit qu'à prendre des photos et à écouter leur commentaires sur ma femme.
Repus, satisfaits de leur après-midi ils se sont enfin arrêtés.
Nous les avons raccompagnés et, bien sûr, ils ont remis ça comme à l'aller.
Ils l'ont baisée à l'arrière. Ils s'amusaient de la situation, savoir que les autres automobilistes
devaient certainement apercevoir leurs corps dénudés, et B. qui exhibait son cul à la fenêtre
à chaque fois que l'on dépassait un routier.
Avec moi comme brave chauffeur cocu.
Je dois dire que ce fut là, bien que dans la bonne humeur, une belle humiliation
de me savoir cocufié de la sorte.
JPh.
B. et moi étions partis chercher son amant du jour qui n'était pas motorisé.
Rendez-vous était pris dans un café d'Hossegor, et là surprise! Il était accompagné d'un ami.
Je leur ai servi de chauffeur, ma femme bien entendu installée derrière.
Ils se sont occupés d'elle le temps du trajet. J'entendais ses gémissements retenus
et les bruits de leurs doigts entreprenants s'insinuant dans sa chatte ainsi que leurs
appréciations sur ses qualités de bonne suceuse.
Pendant ce temps je conduisais essayant de rester stoïque tout en jetant des regards dans le rétro.
A la maison ils se sont généreusement et longuement affairés dans sa bouche...et ailleurs!
Inutile de dire que B. n'a pas eu à se faire prier.
Je leur ai préparé le déjeuner puis, après un café vite expédié, ils ont remis ça.
Ils ont commencé par l'attacher sur la table basse et l'ont énergiquement doigtée, elle criait en giclant
comme une véritable fontaine.
Puis chacun leur tour, ils l'ont entrepris dans à peu près toutes les positions, sur une chaise, par terre,
sur le canapé, de face, à genou, en levrette...
Leurs sexes alternaient entre sa chatte et sa bouche.
B. a été baisée par la chatte, la bouche, elle a été sodomisée.
Comme si ça ne suffisait pas, ils se sont amusés à la goder avec un grand navet blanc que je leur ai
aimablement fourni.
Tout ça bien entendu sous mes yeux effarés de la voir ainsi transformée en véritable femelle en chaleur.
Quant à moi, je n'avais droit qu'à prendre des photos et à écouter leur commentaires sur ma femme.
Repus, satisfaits de leur après-midi ils se sont enfin arrêtés.
Nous les avons raccompagnés et, bien sûr, ils ont remis ça comme à l'aller.
Ils l'ont baisée à l'arrière. Ils s'amusaient de la situation, savoir que les autres automobilistes
devaient certainement apercevoir leurs corps dénudés, et B. qui exhibait son cul à la fenêtre
à chaque fois que l'on dépassait un routier.
Avec moi comme brave chauffeur cocu.
Je dois dire que ce fut là, bien que dans la bonne humeur, une belle humiliation
de me savoir cocufié de la sorte.
JPh.
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