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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par vanbruje
#546
Je me permets de transcrire ici un texte publié en son temps par H.Caufield sur feu m...s-c...s avec l'espoir qu'il nous en donnera la suite !!! Son adresse Email : pas d'adresse e mail sur le forum

On ne dira jamais assez l’influence des séminaires professionnels sur la vie sexuelle des couples les plus stables.
Je m’appelle Pascal, j’ai trente-sept ans, et suis directeur commercial d’une concession automobile d’une grande marque allemande dans la banlieue ouest de Paris. Ma femme Caroline a trente-deux ans, biologiste, elle a choisi de ne travailler qu’à mi-temps dans un laboratoire de recherche médicale proche de la maison, pour se consacrer à nos deux enfants. Malgré ses deux grossesses, elle a gardé un corps d’adolescente, grande, mince, avec des attaches très fines, de longues jambes, et des petits seins très fermes. Nous formions un couple très uni, plutôt classique, sans nuages, jusqu’à ce séminaire organisé à Deauville, en juin dernier, par le constructeur automobile dont notre concession représente la marque.
Après la première journée de travail, nous nous sommes tous retrouvés avec nos conjoints pour dîner dans le grand hôtel qui nous hébergeait. Malheureusement Caroline souffrait terriblement du dos, douleurs qui la prennent de temps en temps lorsqu’elle est fatiguée, résurgence d’une mauvaise chute à ski avant notre mariage.
A notre table, chacun voyait bien qu’elle n’était pas dans son assiette, malgré ses efforts pour ne rien laisser paraître. Je souffrais pour elle. Une de ses voisines ne put s’empêcher de l’interroger et Caroline expliqua ce qu’il lui arrivait :
- On ne peut rien faire, j’ai tout essayé ; il faut attendre que cela se passe.
- Vous devriez demander à Louis Rivage, il est magnétiseur. Lors d’un de nos voyages de concessionnaires, je m’étais foulée la cheville, et je vous jure qu’il m’a immédiatement soulagée. Je sais, cela a l’air absurde, mais c’est la vérité. Mon mari peut en témoigner.
- Non, non, je vous assure, cela va aller. Et puis je ne crois pas à ces trucs là.
- Pascal, ne laissez pas Caroline souffrir ainsi ; allez demander à Louis, cela ne coûte rien, après tout.
Louis Rivage est le propriétaire d’une des plus grosses concessions de Paris. Une soixantaine d’année, une crinière blanche un peu hirsute, grand, assez réservé, il est très respecté dans notre réseau. On raconte qu’il a racheté sa concession il n’y a qu’une dizaine d’année, après un parcours très brillant dans l’industrie pétrolière, mais aussi de graves ennuis juridiques. Il aurait fait de la prison. L’idée d’aller le trouver à sa table et de lui demander de faire quelque chose pour Caroline ne m’enchantait qu’à moitié par crainte du ridicule. Mais je compris, aux regards de mes voisins de table, que je n’avais pas vraiment le choix et que je risquais de passer pour un égoïste timide si je ne m’exécutais pas. Et mon patron présidait notre table, fâcheuse situation.
Le dessert arrivant, je me levai et me dirigeai le plus discrètement possible vers Louis. En quelques mots je lui expliquai la situation tout en bredouillant des excuses :
- Je suis désolé de vous demander cela, Monsieur, mais toute notre table a insisté. Et si cela vous pose le moindre problème, nous le comprendrons très bien.
- Pas du tout, vous avez bien fait. Après le dîner, retrouvons-nous dans votre chambre, vous verrez cela ne prend que quelques minutes.
Dans notre chambre, Louis nous mis tout de suite très à l’aise. Il avait une façon d’être très naturelle, comme si rien n’avait vraiment d’importance sauf le soulagement de Caroline.
- Voilà, il est vrai que j’ai un don dont je dois la découverte au hasard : je soulage la douleur. Mais attention je ne guéris pas. Vous vous sentirez mieux pendant quelques heures et malheureusement la douleur reviendra, mais c’est toujours cela de pris. Allongez-vous comme vous êtes, sur le ventre, inutile de vous déshabiller.
Manifestement hésitante, un peu gauche, Caroline s’allongea sur le lit, chercha la position qui la faisait le moins souffrir, et posa sa tête sur ses mains jointes, sur l’oreiller. Dans ce mouvement sa courte robe noire remonta sur ses cuisses, un peu trop haut. J’hésitai à intervenir puis, toujours par crainte du ridicule, renonçai. Louis s’assit sur le bord du lit, se concentra quelques secondes, puis plaça ses deux mains côte à côte, à plat, à quelques centimètre du dos de Caroline. Il les déplaça lentement par cercle de plus en plus larges.
- Voilà, je l’ai, c’est ici que vous avez mal. Ne craignez rien, vous allez sentir un picotement, puis une sensation de chaleur. Surtout ne bougez pas jusqu’à ce que je vous y autorise. Vous sentez le picotement ?
- Oui, je crois…oui
- Bien, maintenant vous allez sentir le chaud, ne bougez pas. Vous devez commencer à ne plus avoir mal. Vous pouvez bouger.
Caroline resta immobile un moment, puis fit jouer ses épaules et se retourna vers moi avec un grand sourire - C’est vrai je n’ai plus mal. C’est incroyable, comment faites-vous ?
- Je ne sais pas, je laisse faire mes mains. Comme je vous l’ai dit, j’ai découvert ce don par hasard. Mais faites attention quand même, ne bougez pas trop. Pour lutter contre la douleur, votre dos a travaillé, si je puis dire, dans une mauvaise position pendant longtemps. Et vos muscles vont en garder le souvenir, surtout là et là, je l’ai très bien senti. Seul un bon massage pourrait les soulager. Si vous voulez, et si vous avez une huile ou un lait, je peux vous le faire.
- Non, je vous remercie, je me sens déjà beaucoup mieux, et je ne veux pas vous déranger d’avantage.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais c’est moi qui ai insisté. Je voulais vraiment qu’elle ne souffre plus, et puis, sans me l’expliquer, j’avais envie qu’il la masse. Je suis allé chercher dans la salle de bain le flacon d’huile d’amande dont Caroline se sert souvent, et l’ai tendu à Louis :
- Allez Caroline, laisse-toi faire. Tu ne voulais pas que je demande ce service à Monsieur Rivage, et tu avais tort. Et je veux que tu passes un bon week-end. Obéis.
- Vous allez voir, cela vous fera du bien. Simplement, je vous demanderai d’enlever votre robe.
Caroline me regarda d’un air légèrement égaré, et nous demanda de nous retourner et de baisser les lumières. Quand elle nous autorisa à nous retourner, elle était allongée sur le ventre, avec ses seuls sous-vêtements : sur son bronzage naissant tranchait le blanc de la petite culotte sage qu’elle porte habituellement, et les dentelles blanches de ses bretelles de soutien-gorge.
Louis tomba la veste, enleva sa cravate, remonta les manches de sa chemise, puis commença par dégrafer le soutien-gorge, pour en rabattre les bretelles sur les côtés, sans rien dire. Je m’assis dans un des fauteuils, de l’autre côté du lit. Il versa une bonne rasade d’huile sur la colonne vertébrale de Caroline qui frissonna, puis commença à faire pénétrer l’huile sur toute la surface du dos. Ses gestes étaient fermes, souples, sans hésitations. Je regardais fasciné ses longues mains courir sur le dos de ma femme, lui malaxant doucement la peau, s’arrêtant de temps en temps sur des points précis. De temps en temps il lui donnait de brèves instructions d’une voix grave et chaude, et je sentais que Caroline s’abandonnait, obéissait. Puis, utilisant alternativement la tranche de ses mains dans une série de légers coups très rapides, il parcourut tout son dos, un peu comme s’il voulait attendrir tous les muscles. Il s’arrêta un instant. Délicatement, sans un mot, il ôta le soutien-gorge de Caroline, sans qu’elle n’exprime un mouvement de résistance, au contraire : elle lui facilita la chose, et dévoila un instant ses seins nus. Il s’attaqua ensuite aux bras qu’il massa longuement, sans oublier les mains, et les doigts qu’il étira un à un en les faisant craquer. Lorsqu’il plaça sa main sous l’aisselle de Caroline, pour effectuer une traction sur le bras, je vis qu’elle se soulevait, et que les pointes de ses seins se dressaient. Je connais bien Caroline, et je sais que ses seins ne réagissent ainsi que lorsqu’elle est excitée. Je ressentis alors une forte érection, qui me troubla beaucoup : ma femme était en train de livrer l’intimité de son corps à un autre homme, devant moi et cela me faisait bander ! Accompagnant ses gestes d’instructions de plus en plus brèves, comme si Caroline ne méritait aucune explication et n’avait qu’à obéir, il commença par masser ses jambes, toujours avec des mouvements amples mais précis, fermes et doux à la fois. Sur son ordre, elle écarta les jambes, cambrant involontairement ou volontairement, je me posai la question, ses fesses rondes et hautes. Je bandais de plus en plus. Il s’attarda sur les pieds, étirant chaque orteil, appuyant avec le pouce sur des points manifestement précis, situés à l’intérieur de la plante de chaque pied. Puis il lui plia les jambes jusqu’à ce que ses pieds touchent ses fesses, et dans ce mouvement Caroline se cambra un peu plus.
- Allez, pour que le massage soit complet, je vais vous faire les fesses, au point où nous en sommes, pas de pudeur entre nous. Enlevez votre culotte.
J’avais très envie qu’elle accepte. Sans un mot, Caroline se tourna sur le dos, replia les jambes, et d’un mouvement vif fit glisser sa culotte le long de ses jambes, puis se remis sur le ventre. Un instant, Louis et moi purent apercevoir son sexe à la toison dense, soigneusement taillée très court, comme je l’aime.
A deux mains, Louis commença à lui pétrir fermement les fesses. Je les voyais se soulever, s’écarter, trembler, et je ne pouvais m’empêcher de penser que Louis pouvait voir chaque détail de sa chatte comme de sa petite rondelle dont elle m’avait toujours refusé l’accès. Subitement les mains s’arrêtèrent. Louis regarda longuement le corps de ma femme, puis il se décida : il fit claquer ses mains bien à plat sur chacune des fesses qui, vite, prirent des couleurs. Caroline cria un peu, Louis lui ordonna de se taire. Après deux bonnes minutes de ce traitement, il se plaça, à genoux, entre les jambes de Caroline, et les bras tendus, de tout son poids, en partant des reins, se mit à peser sur son dos. La vision de Louis habillé, presque allongé sur ma femme, m’amena presque à l’orgasme. Je décidai de quitter mon fauteuil et leur bredouillais que j’avais besoin d’aller dans la salle de bain. Mon sexe me faisait mal. Je fis claquer la porte, repris mon souffle et libérait mon sexe. Je rouvris doucement la porte et les observais : Louis était allongé sur le lit, inerte, comme Caroline. Puis il se tourna vers elle, redressé sur un bras, lui prit la main droite qu’il amena vers sa chatte :
- Caressez-vous.
Je vis Caroline, la tête toujours enfouie sur l’oreiller, se cambrer, glisser la main sous son ventre. Louis l’observa quelques instant sans un geste. Je n’osais me branler de peur de jouir immédiatement. La main droite de Louis se dirigea alors vers les fesses de Caroline, en une longue caresse très tendre. Arrivée dans le sillon des fesses, elle continua lentement ; je vis soudain son majeur ouvrir le sexe de ma femme et le pénétrer profondément. Caroline se cambra encore plus, les jambes bien ouvertes, pour faciliter l’exploration dont elle était l’objet. Puis en un lent mouvement de piston je pus contempler le majeur de Louis qui entrait et sortait de cette chatte qui, depuis dix ans, me rendait fou. Je pouvais voir la main de Caroline s’agiter sous son ventre. Louis s’arrêta un instant, le doigt sorti. Il commença à caresser la petite rondelle de Caroline. Je m’attendais à ce qu’elle l’en empêche, car avec moi elle avait horreur de cette caresse, mais elle n’en fit rien. Au contraire, elle s’ouvrit et se cambra davantage. Lentement, Louis alors commença à introduire son index dans le cul offert, et son majeur dans sa chatte. Quand il fut allé aussi loin que ses longs doigts le lui permettaient, Caroline cria longuement avec des soubresauts violents que je ne lui avais jamais connus. Louis resta immobile, la laissant se calmer. Lorsqu’il sortit ses doigts, Caroline eut une contraction, comme si elle souhaitait le retenir. Toujours allongé à ses côtés, il la fit retourner sur le dos, et regarda longuement son visage en lui souriant. Il lui caressa doucement les seins.
Caroline se redressa, approcha son visage du sien, et lui donna un long baiser passionné. Il se laissa faire, lui rendit son baiser avec beaucoup de tendresse. Après ce qui me sembla une éternité, il se leva sans un mot, remit sa cravate et sa veste et se dirigea vers la porte.
- Demain soir, une demi-heure après le dîner, je reviendrai. Attendez-moi nue allongée sur le ventre. Je veux aussi que votre sexe soit entièrement épilé. Dormez bien.
C’est à cet instant que je dus me retourner pour jouir à grands jets dans le lavabo.
Quand je revins dans la chambre, le cerveau un peu en déroute, Caroline semblait dormir profondément. J’hésitai un moment, puis j’éteignis les lampes de chevet, et retournai dans la salle de bain pour une toilette rapide. Une fois couché, je restai immobile dans le noir, rejouant dans ma tête la scène qui venait de se dérouler. Ce n’était pas possible, j’avais rêvé. Caroline bougea, vint se blottir contre moi, la tête contre mon épaule. Elle respirait profondément, régulièrement. J’étais paniqué : ce qui venait de se passer n’allait-il pas provoquer une cassure irrémédiable dans notre vie ? Comment allions-nous nous regarder dorénavant ? Comment affronter le regard de Rivière demain ? Que signifiait cet ordre qu’il avait donné en partant ? Caroline avait joui comme jamais elle n’avait joui en tous cas avec moi. J’étais jaloux de cet homme qui avait su donner un tel plaisir à ma femme. J’étais jaloux de l’obéissance muette de ma femme à cet homme. Mais moi aussi, j’avais joui très violemment. Par flash repassaient devant mes yeux ces images impossibles, certaines revenant plus fréquemment que les autres, et mon sexe se remettait à durcir. Je finis par m’endormir.
Le lendemain Caroline dormait encore quand je me levais pour rejoindre les séances de travail prévues au programme. Je fis de mon mieux pour ne pas la réveiller : je n’avais pas le courage de la regarder et de parler de ce qui s’était passé la veille. Je pris mon petit déjeuner avec les autres participants, et j’aperçus Rivière au fond de la salle à manger. Je pris garde de choisir une table la plus lointaine possible de la sienne. Mais, avant que j’ai terminé, il se leva et se dirigea vers moi :
- Bonjour, comment allez vous ? Votre femme a-t-elle passé une bonne nuit ? J’espère que mon traitement y a contribué…
Il me regardait dans les yeux, un imperceptible sourire aux lèvres ; rien d’ironique ni de blessant toutefois, à croire que rien n’était arrivé hier soir. Je ne pus que bredouiller quelques paroles insignifiantes.
Nos travaux reprirent, Dieu merci, Rivière n’était pas dans le même groupe de travail que le mien. J’avoue avoir eu du mal à me concentrer ce matin-là. Mes pensées revenaient sans cesse vers ces images des mains de Rivière sur le dos et les jambes de ma femme, la façon qu’avait eu son corps de répondre à ses moindres sollicitations, de se camber, d’ouvrir son sexe, ses fesses. Je tentais de reculer le plus longtemps possible le souvenir du moment où j’avais pu voir les deux doigts de Rivière aller et venir lentement, profondément, dans le sexe et la petite rondelle de Caroline, car je sentais mon sexe durcir à me faire mal. Je profitais même d’une pose pour m’enfermer dans les toilettes et me branler sans retenue. A l’heure du déjeuner, mon groupe était en retard, et les autres avaient déjà commencé à déjeuner. J’aperçus tout de suite Caroline assise à côté de Rivière. Ils discutaient tous les deux de façon animée. J’eus un moment d’hésitation, puis m’assis à une place qui me permettait de leur tourner le dos. Je voulais qu’ils pensent que je ne les avais pas vus, ce qui était idiot, puisque, manifestement, ils ne se cachaient pas. Mais, je me rendis vite compte que, dans un miroir qui me faisait face, je pouvais les observer à loisir. Je fus sans doute un bien mauvais convive à cette table. Malgré mes efforts pour participer aux discussions, je ne pouvais empêcher mon regard de revenir sans cesse au miroir et les observer à la dérobée.

Je ne conserve qu’un seul souvenir de ce déjeuner : à un moment, je vis distinctement la main de Rivière posée sur la cuisse de Caroline, remonter lentement sous la courte jupe qu’elle portait, et se glisser à l’intérieur de ses cuisses. Caroline ne traduisit aucune surprise, continuant à parler comme si de rien était avec son autre voisin. Au contraire, elle avança imperceptiblement sur sa chaise, et je devinais qu’elle favorisait ainsi la pénétration des doigts qui devaient la fouiller. Cela me parut durer une éternité, et je ne rendis compte que je bandais comme un âne que lorsqu’une de mes voisines m’interpella en riant :
- Eh bien Pascal, qu’est-ce qui vous prend, vous n’avez pas l’air d’être avec nous ?
Je la fixais ahuri, sans répondre, puis fis un effort inouï pour que mes yeux ne reviennent pas vers le miroir. J’y réussis quelques minutes. Quand à nouveau mon regard revint vers Caroline, je vis Rivière qui murmurait à son oreille. J’aurais donné tout l’or du monde pour savoir ce qu’il lui disait. Quand il eut fini de lui parler, elle se leva pour revenir quelques minutes plus tard. A la fin du déjeuner, Caroline rejoignit notre table :
-Tu es là ! Je t’avais perdu et me demandais ce que tu pouvais bien faire…Tu viens ?
Elle me prit par la main et me conduisit vers l’ascenseur. Heureusement nous n’y étions pas seuls et je tentai de profiter de ces quelques secondes pour reprendre mes esprits. La minute de vérité arrivait, nous allions devoir parler. Elle sortit la première de l’ascenseur et marcha d’un air décidé vers notre chambre. A peine entrée, elle se colla contre moi et m’embrassa passionnément. Je lui rendis son baiser et laissai mes mains parcourir son corps. Je passai sous la robe et constatai qu’elle ne portait pas de culotte, ce qui, à ma connaissance ne lui était jamais arrivé. Puis ma main atteignit son sexe ; sa peau était entièrement lisse, très douce, alors qu’elle avait toujours refusé de se faire épiler, quand, au début de notre mariage, je le lui avais demandé. J’en étais tellement stupéfait que je cessai de l’embrasser, et m’apprêtai à lui demander quand elle avait fait cela, et où ? Mais elle posa son doigt sur ma bouche, me regarda dans les yeux, puis me prit par la main et m’entraîna vers le lit. Elle fit passer sa robe par dessus sa tête, et sans un mot s’agenouilla sur lit, la tête sur l’oreiller, le cul dressé bien haut, les jambes bien ouvertes. Je notai qu’elle ne portait pas non plus de soutien-gorge. Je me déshabillai rapidement et me glissai derrière elle, puis l’enfilai d’un coup. Elle était totalement trempée et mon sexe la pénétra sans rencontrer la moindre résistance ; au contraire quand je fus au fond d’elle, elle se recula, comme pour se faire pénétrer encore plus profondément. Je ne pus me retenir, et commençai à lui donner de grands coups de reins, la tenant solidement par les hanches. Elle se mit à crier presque immédiatement. Puis je m’arrêtai, car l’idée me vint, comme une évidence, qu’elle devait penser à Rivière. J’étais fou de jalousie. Alors je me reculai, et lui donnai une grande claque sur les fesses. Elle cria, mais son cri n’était pas un cri de douleur. Je recommençai et lui donnai une bonne douzaine de coups sur chacune de ses fesses qui devinrent rapidement d’un beau rouge uniforme. Enfin je n’y tins plus : dans ma tête, en me repassant le film de cette fessée que je venais de lui infliger, ce n’était pas moi qui la punissait ainsi mais Rivière que je voyais à ma place. Au comble de l’excitation, je la pénétrai à nouveau, la pris par les cheveux, l’obligeant à se redresser en se cambrant. Elle respirait de plus en plus vite. Je gardai une main solidement crochée dans ses cheveux, et de l’autre commençai à lui pétrir ses seins dont je me rendis compte que les pointes étaient dures comme du bois. Nous jouîmes ensemble, en même temps, ce qui nous ne nous était jamais arrivé. Au bout de quelques secondes, toujours sans un mot, elle quitta le lit et s’enferma dans la salle de bain. Machinalement mon regard se posa sur son sac à main qu’elle avait laissé tomber à son arrivée dans la chambre. J’allais le ramasser car je n’aime pas le désordre. Il était entrouvert et je ne pus résister malgré toute mon éducation, la seule fois où, enfant, ma mère m’ait giflé, est lorsque j’avais fouillé dans son sac : sur le dessus, je vis sa petite culotte et son soutien-gorge roulés en boule. Je ne mis pas longtemps à comprendre qu’elle avait du les enlever lorsqu’elle avait quitté sa table pendant le déjeuner. Rivière avait du le lui demander. Quand elle sortit de la salle de bain, je pris mon courage à deux mains :
-Tu ne crois pas qu’il serait temps que nous parlions un peu ?
Elle traversa la pièce sans me regarder pour prendre son sac à main. Elle vit le soutien-gorge et la culotte que j’avais posés sur le lit, les laissa où ils étaient, et repartit vers la porte :
- Non je ne crois pas. Je suis attendue. Et toi tu vas être en retard.
Je restai hébété sur le lit, puis me décidais à prendre une douche en vitesse pour rejoindre mon séminaire.
Une surprise désagréable m’attendait : Rivière faisait partie de mon groupe de travail, et la seule place libre était à ses côtés. Sans le regarder, je pris place, et me dis que la seule chose raisonnable à faire était de me concentrer sur ce que racontait l’animateur. A la pause, alors que les autres participant se levaient, Rivière se pencha vers moi :
- Caroline vous a-t-elle bien fait l’amour comme je lui ai ordonné ?
Je le regardai tellement abasourdi que je ne pus répondre que :
- Pardon ? Je suis désolé, je n’ai pas compris…

- C’est pourtant simple : ce matin je n’ai pas participé à vos travaux. Je suis allé dans votre chambre où j’ai trouvé Caroline qui se préparait. Quand elle m’a vu, elle est restée sans voix, à moitié habillée. Je l’ai prise une première fois, là, debout, contre le mur. Elle a joui presque immédiatement. Puis je l’ai déshabillée, conduite dans la salle de bain, et mise sous la douche. Je l’ai lavée entièrement. Elle n’a jamais protesté, même lorsque je l’obligeais à livrer à mes yeux ou mes doigts ce qu’elle a de plus intime. Je l’ai ensuite séchée et amenée sur votre lit. A nouveau je lui ai fait l’amour, avec beaucoup de tendresse et de passion. Elle a joui à deux reprises. Vous voulez que je continue ?
Je restai muet, une tempête se déclenchait dans mon crâne. J’eus d’abord envie de lui coller une pêche, là, en plein dans la gueule. Mais la crainte du scandale m’arrêta, et au fond de moi-même j’avais très envie qu’il continue. Il comprit mon silence :
-J’ai senti votre hésitation et la tentation qui vous a saisi…mais vous avez renoncé, et vous avez raison : je suis sûr que Caroline vous a donné plus de plaisir tout à l’heure qu’elle ne vous en jamais donné. Alors je continue. Je l’ai laissée reprendre ses esprits, mais rapidement lui ai demandé de s’habiller. Quand elle fut prête, je l’ai accompagnée dans une boutique que je connais, ici. Elle est tenue par un drôle de bonhomme qui, officiellement, est tatoueur mais, en réalité, est plein de ressource pour les couples en quête d’aventure. Il doit avoir la cinquantaine, bien conservé, du genre trapu. Il est d’origine indéterminée ; moi je le crois turc. Caroline ne se sentait manifestement pas très à son aise. Elle se cramponnait à mon bras et ne cessait de me demander de nous en aller. Dans la boutique il y avait un couple, entre deux âges, et un homme seul, un grand noir plutôt baraqué, qui feuilletait des revues dans un coin. J’attendis que le couple soit parti, et sans baisser la voix, pour que l’homme entende bien, j’ai demandé à Roméo, c’est son nom, de procéder à une épilation totale de la jeune femme qui m’accompagnait. Il l’a regardée, a souri, et nous a demandé de passer dans l’arrière boutique. Exprès, je n’ai pas refermé la porte. Au milieu d’un bric à brac incroyable trônait un fauteuil de gynécologue. Tout cela très propre, malgré tout, rassurez-vous. Il a demandé à Caroline de se déshabiller intégralement, tout en installant un tissu en papier neuf sur le fauteuil, qu’il mit en position allongée. Caroline m’a jeté un regard désespéré, mais je n’ai pas cédé. Elle s’est retrouvée avec ses ravissants dessous blancs, si pudiques, si tendres. Roméo l’a engueulée :
- A poil, j’ai dit. Et quand je dis à poil, c’est à poil !
Elle s’est retournée, a commencé par enlever son soutien-gorge, puis sa culotte. Elle s’est retournée, les bras croisés sur sa poitrine, la tête baissée.
- Pas de chichi, installe-toi là dessus, et ouvre bien les jambes. Bravo, Monsieur, elle est sacrément belle !
Elle était là, sur le dos, les jambes très ouvertes, pliées, les pieds calés contre les appuis latéraux du fauteuil. J’étais en face d’elle, un peu sur le côté. Derrière moi, je sentis une présence. L’homme du magasin se tenait immobile dans l’encoignure de la porte. Roméo mit en route un ou deux appareils électriques, du genre bouilloire, puis se plaça entre les jambes de Caroline.
-Tu vas voir cela ne fait pas mal. J’utilise des produits de mon pays, complètement naturels. Et tu sais, chez nous, les filles sont crépues. C’est difficile de les épiler. Alors une petite chatte comme la tienne, ce n’est rien du tout. Tu as le poil très soyeux tu sais ! Soulève tes fesses que je vois ta raie. On s’en occupera après.
Tout en lui parlant il passait la main sans aucune gène sur la chatte de ta femme. Il s’arrêta sur les grand lèvres qu’il écarta de ses gros doigts, puis délicatement, fit jaillir le clitoris qu’il titilla doucement.
- C’est quelle est trempée, dites donc. Elle me semble serrée du cul, non ?
Il mouilla à plusieurs reprises son majeur dans le sexe de ta femme, lui ordonna de soulever les fesses, puis présenta son doigt à l’entrée de sa petite rondelle. Caroline eut un sursaut et tenta de fermer les jambes.
- Laisse-toi faire, cocotte. Tu es une bonne petite salope, je l’ai tout de suite vu. Alors ne fais pas ta mijaurée, et laisse-moi faire connaissance avec ton cul. Là, c’est bon, tu vois cela rentre tout seul. Bon, allez, mes mixtures doivent être prêtes.
Je décidai de quitter la pièce, mais non sans avoir donné mes instructions à votre femme :
- Je vous laisse et vais faire un tour dans le magasin. Mais vous devez me promettre d’obéir en tout à ce que vous ordonnera Roméo. Promettez-moi !
Caroline a fermé les yeux, et aucun son ne sortit de sa bouche.
- Vous avez promis de m’obéir en tout. Dites-le devant Roméo et l’homme qui vous regarde.
- Oui c’est vrai, j’ai promis. J’obéirai, je vous le jure.
Je sortis, mais rassurez-vous, sans aller bien loin. Je vis Roméo qui étalait soigneusement entre les jambes de votre femme un produit verdâtre, avec une spatule en bois. Quand il eut terminé, il rangea soigneusement ses mixtures :


- Il faut attendre quelques minutes. Tu vois cela ne fait pas mal, c’est peut-être un peu chaud, mais les femmes qui passent ici me disent toutes que cela les excite. D’ailleurs je vois bien les pointes de tes seins. Dis donc, ils bandent biens tes petits seins. Tiens Raoul, tu veux toucher, vas-y, te prive pas, elle a dit qu’elle obéirait. L’homme se mit derrière la tête de Caroline, et engloba chacun de ses seins dans une main. Puis il souleva légèrement ses mains, bien à plat, de telle sorte que ses paumes frôlent les pointes. Il commença à tourner lentement. Il se tenait contre la tête de votre femme ; je suis sûr que s’il bandait, et ce devait être le cas car il remuait doucement le bassin, Caroline devait le sentir. Les yeux toujours fermés, elle poussa un gémissement et ne put s’empêcher de se cabrer.
- Attends que j’aie terminé, ne la fais pas jouir tout de suite.
Il reprit sa spatule, et commença à enlever le produit qu’il avait étalé quelques minutes auparavant. La chatte de votre femme apparut bientôt lisse comme à sa naissance. Vous avez remarqué comme elle proéminente, bombée ? On dirait un fruit mur, gonflé de soleil et de jus.
- Bien. Maintenant, à quatre pattes, on va s’occuper de ton cul.
Il aida Caroline à se retourner et à prendre la position qu’il avait ordonné :
- C’est bien. Bon Dieu quel cul ! Allez, écarte les fesses à deux mains.
Cette fois là, je n’ai senti aucune hésitation : elle s’est calé la tête dans le coussin, et s’est ouvert les fesses sans restriction. Roméo a recommencé son manège très minutieusement :
- Là, je fais cela par acquis de conscience, car elle n’a pas beaucoup de poils. Mais il faut le faire quand même.
Raoul s’était un peu reculé et regardait le spectacle fasciné.
- Allez, c’est fini, je te passe un linge chaud, pour qu’il n’y ai plus aucune trace de ma mixture, et nous allons mettre un peu d’huile de palme, pour que tu ne soies pas irritée. Comme cela tu es tranquille pour au moins trois mois. Tu la veux, Raoul ? Moi non, je suis trop crevé, avec la séance de ce matin, tu sais la petite blonde et sa copine. Allez je te prête ma chambre, là haut. Reste à poil toi et suis mon copain.
A cet instant j’ai hésité…mais votre femme n’a pas eu un mouvement de recul. Elle a accepté la main que lui tendait le grand black et elle s’est laissée conduire vers l’escalier. Je l’ai vue monter, pleine de grâce, sublime, l’homme derrière elle. Je suis allé faire une course, en demandant à ce qu’elle me soit rendue dans une demi-heure. Quand je suis allé la rechercher, je suis monté dans la chambre. Elle était sous la douche ; le grand black la lavait avec des gestes très doux. Quand elle me vit, elle eut un grand sourire, mais je l’empêchai de parler :
- Ne me dites rien. Ce qui s’est passé ici sera votre secret.
Puis nous sommes rentrés à l’hôtel. Nos amis commençaient à rejoindre la salle à manger, nous nous sommes donc installés avec eux. Pendant le déjeuner, j’ai demandé à Caroline d’aller ôter ses sous- vêtements, puis je lui ai ordonné de vous faire l’amour après le repas. Vous savez, mon vieux, je suis sûr que vous n’avez jamais deviné le vrai tempérament de votre femme. Je vous propose un marché : ce soir, si vous ne m’appelez pas, vous, pas elle, vous n’entendrez plus jamais parler de moi. Si vous m’appelez, je viendrai. J’en ferai une des femmes les plus douées pour le plaisir. Mais jamais vous ne devrez lui parler de notre conversation, jamais vous ne devrez lui laisser entrevoir que nous avons passé un marché, que vous savez quoique ce soit de nos relations. Jamais vous ne devrez évoquer avec elle de ce qui s’est passé hier soir, ce matin, ou plus tard si notre histoire doit se poursuivre. Elle doit se sentir coupable, rester dans l’incertitude sur ce que vous savez. Si jamais je devine que vous avez trahi votre engagement, je ferai en sorte que Caroline vous quitte à jamais. Vous avez jusqu’à ce soir pour réfléchir. Ne la cherchez pas maintenant, elle est partie en excursion avec les conjoints. Vous devez prendre votre décision, seul !
Modifié en dernier par Sylvie le 30 avr. 2010, 00:12, modifié 1 fois. Raison : pas de mail
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par sergio
#995
J'éspère. Hélas, cette suite n'est jamais venu. :(

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