- 05 juil. 2010, 16:24
#55286
J'ai découvert le candaulisme (et jusqu'au terme lui même) grâce à ce forum. En le parcourant et en lisant les histoires de couples qui s'y confient, je me demande si ma femme et moi ne sommes pas prêts pour cette expérience et si elle n'est pas la seule qui puisse sauver notre mariage.
Lisa et moi sommes mariés depuis bientôt 14 ans. Aujourd'hui Lisa est une très belle quadra, de ces femmes naturellement élégantes sur lesquelles tous les hommes se détournent le regard dans la rue. Du reste, dans de telles situations, j'éprouve toujours des sentiments ambigus et violemment contradictoires: fierté d'être au bras d'une femme aussi ouvertement convoitée, jalousie envers une femme qui visiblement aime plaire et, je l'avoue, excitation face à la convoitise salace de certains hommes en rut...
Au début de notre relation, et pendant plusieurs années, nous faisions l'amour au moins une fois par jour. Lisa m'a toujours dit qu'il s'agissait pour elle d'un besoin essentiel, vital et elle s'est toujours donnée à moi sans aucune retenue. J'en ai, bien sûr retiré une énorme satisfaction, au point de n'avoir jamais ressenti d'attirance pour une autre femme. Jusqu'à aujourd'hui, je suis persuadé de ne pouvoir approcher cette plénitude auprès d'une autre, au point que l'on peut parler d'une dépendance, comme l'on dirait d'une drogue dure.
Cela aurait pu durer très longtemps si je n'avais pas petit à petit perdu confiance en moi. Il faut dire que même au début je n'ai pu procuré à ma femme d'orgasme vaginal (en dehors des caresses buccales qu'elle adore et pour lesquelles elle m'a toujours trouvé très doué) qu'en de très rares occasions. Amoureuse, Lisa a d'abord cherché à me rassurer et à m'encourager. Mais nos rapports ont commencé à s'espacer et Lisa à évoquer de plus en plus souvent ses relations avec ses anciens (et très nombreux amants). Jusqu'au jour, où, sans méchanceté, elle a reconnu que la taille de mon sexe (pas la longueur a-t-elle précisé, mais la largeur) y était peut-être pour quelque chose. Mais nous évitions d'en parler et, en épouse attentive, Lisa arrivait presque à me persuader, qu'elle se sentait heureuse et comblée.
Ce discours n'a pas résisté à l'usure du temps. Avec les années, j'ai pris un peur d'embonpoint, ce qui eut le don de la rendre furieuse. Un jour elle m'a même menacé de ne pas passer le reste de ses jours avec moi si je continuais à me laisser aller ainsi. « J'aime les beaux corps, vois-tu, me dit-elle. C'est ainsi. Les gros me dégoutent! Que dirais-tu si je n'étais pas restée mince et sexy? » Et c'est vrai que je ne pouvais rien répondre à cela. Elle qui ne faisait pourtant jamais de sport était restée pratiquement telle que je l'avais connue: des jambes et des fesses sublimes, sans une once de cellulite.
J'ai donc commencé à me poser des questions sur sa fidélité. Ces suspicions n'ont fait qu'irriter Lisa, mais je n'y pouvait rien. Ma femme dont j'étais bien placé pour connaître les besoins se détournait de plus en plus de moi, allant même jusqu'à parfois m'avouer après avoir fait l'amour qu'elle s'ennuyait de plus en plus souvent. Après l'histoire de la taille du sexe, j'ai commencé à me demander si elle ne cherchait pas, même confusément, à m'humilier, comme pour me punir de ne pas pouvoir la satisfaire.
Un jour que nous étions en boite de nuit, elle a dansé de manière lascive et sensuelle pendant des heures (cela m'a paru des heures) avec un type, au point que je me suis demandé s'il n'allait pas la dévorer, là, tout de suite devant tout le monde sur la piste de danse. Le type a bien sûr cherché à la ramener chez lui, persuadé d'être sur un bon coup. De la ou j'étais assis, littéralement en rage, je l'ai vue expliquer à son cavalier avec une mine de regret qu'elle était accompagné de son mari. Lorsqu'elle est revenue s'asseoir nous n'avons pas échangé un mot. Au retour, dans la voiture, je n'ai pas osé lui confier le trouble que me j'avais ressenti en assistant à ce manège. J'ai opté pour la scène de jalousie. Loin de faire preuve de pénitence (il était évident qu'elle avait allumé ce type sans même se soucier de ma réaction), elle entra dans une colère noire: « De quel droit me parles-tu comme ça! Tu penses que je suis ta propriété? Mais je n'appartiens à personne! Qu'espères-tu? M'interdire de m'amuser? Ta jalousie est ridicule, et puis tu n'a qu'à savoir bouger comme ce mec! »
Au moment où a eu lieu cette scène, Lisa s'était refusé à moi depuis des semaines, ce qui était devenu de plus en plus fréquent. Ma frustration était à son comble et se trouvait encore accentuée par ce que j'imaginais désormais de la vie intime de ma femme lorsque j'avais le dos tourné, puisqu'elle ne craignait même plus de se comporter de manière si provocante sous mes yeux!
Aujourd'hui, cela fait dès mois que nous n'avons pas fait l'amour. Lisa invoque toujours des excuses qui ne me dupent pas. Un jour croyant l'attendrir je lui ai dit que je me masturbais régulièrement en pensant à elle, ce qui est vrai. Mais ce qu'elle ne sait pas c'est que je l'imagine, prise par d'autres hommes et jouissant comme une folle sous mes yeux! Nouvelle colère, car elle ne supporte pas que je me branle hors de sa présence. Du coup, une ou deux fois, lorsque vraiment cela devenait insupportable, elle m'a fait elle même une branlette. J'ai bien essayé de profiter de la situation mais il n'y a rien eu à faire. Elle ne m'a même pas laisser lui lécher la chatte, ce qu'elle adore, sûrement parce qu'aussitôt après avoir joui elle adore qu'on la prenne, et elle n'était pas prête à me faire ce plaisir. Elle m'a fait comprendre que c'était ça ou rien, et j'ai accepté mon sort, tout en trouvant cela très humiliant.
Nous en sommes là aujourd'hui. Je ne sais pas si Lisa a un amant, mais je me dis que mon dort serait moins dur si d'une façon ou une autre je pouvais participer à son plaisir. Surtout je suis terrorisé à l'idée qu'elle m'annonce qu'elle me quitte.
J'espère que certains d'entre vous pourrons me conseiller, et me faire part de leur experience active ou passive dans ce genre de relations
Lisa et moi sommes mariés depuis bientôt 14 ans. Aujourd'hui Lisa est une très belle quadra, de ces femmes naturellement élégantes sur lesquelles tous les hommes se détournent le regard dans la rue. Du reste, dans de telles situations, j'éprouve toujours des sentiments ambigus et violemment contradictoires: fierté d'être au bras d'une femme aussi ouvertement convoitée, jalousie envers une femme qui visiblement aime plaire et, je l'avoue, excitation face à la convoitise salace de certains hommes en rut...
Au début de notre relation, et pendant plusieurs années, nous faisions l'amour au moins une fois par jour. Lisa m'a toujours dit qu'il s'agissait pour elle d'un besoin essentiel, vital et elle s'est toujours donnée à moi sans aucune retenue. J'en ai, bien sûr retiré une énorme satisfaction, au point de n'avoir jamais ressenti d'attirance pour une autre femme. Jusqu'à aujourd'hui, je suis persuadé de ne pouvoir approcher cette plénitude auprès d'une autre, au point que l'on peut parler d'une dépendance, comme l'on dirait d'une drogue dure.
Cela aurait pu durer très longtemps si je n'avais pas petit à petit perdu confiance en moi. Il faut dire que même au début je n'ai pu procuré à ma femme d'orgasme vaginal (en dehors des caresses buccales qu'elle adore et pour lesquelles elle m'a toujours trouvé très doué) qu'en de très rares occasions. Amoureuse, Lisa a d'abord cherché à me rassurer et à m'encourager. Mais nos rapports ont commencé à s'espacer et Lisa à évoquer de plus en plus souvent ses relations avec ses anciens (et très nombreux amants). Jusqu'au jour, où, sans méchanceté, elle a reconnu que la taille de mon sexe (pas la longueur a-t-elle précisé, mais la largeur) y était peut-être pour quelque chose. Mais nous évitions d'en parler et, en épouse attentive, Lisa arrivait presque à me persuader, qu'elle se sentait heureuse et comblée.
Ce discours n'a pas résisté à l'usure du temps. Avec les années, j'ai pris un peur d'embonpoint, ce qui eut le don de la rendre furieuse. Un jour elle m'a même menacé de ne pas passer le reste de ses jours avec moi si je continuais à me laisser aller ainsi. « J'aime les beaux corps, vois-tu, me dit-elle. C'est ainsi. Les gros me dégoutent! Que dirais-tu si je n'étais pas restée mince et sexy? » Et c'est vrai que je ne pouvais rien répondre à cela. Elle qui ne faisait pourtant jamais de sport était restée pratiquement telle que je l'avais connue: des jambes et des fesses sublimes, sans une once de cellulite.
J'ai donc commencé à me poser des questions sur sa fidélité. Ces suspicions n'ont fait qu'irriter Lisa, mais je n'y pouvait rien. Ma femme dont j'étais bien placé pour connaître les besoins se détournait de plus en plus de moi, allant même jusqu'à parfois m'avouer après avoir fait l'amour qu'elle s'ennuyait de plus en plus souvent. Après l'histoire de la taille du sexe, j'ai commencé à me demander si elle ne cherchait pas, même confusément, à m'humilier, comme pour me punir de ne pas pouvoir la satisfaire.
Un jour que nous étions en boite de nuit, elle a dansé de manière lascive et sensuelle pendant des heures (cela m'a paru des heures) avec un type, au point que je me suis demandé s'il n'allait pas la dévorer, là, tout de suite devant tout le monde sur la piste de danse. Le type a bien sûr cherché à la ramener chez lui, persuadé d'être sur un bon coup. De la ou j'étais assis, littéralement en rage, je l'ai vue expliquer à son cavalier avec une mine de regret qu'elle était accompagné de son mari. Lorsqu'elle est revenue s'asseoir nous n'avons pas échangé un mot. Au retour, dans la voiture, je n'ai pas osé lui confier le trouble que me j'avais ressenti en assistant à ce manège. J'ai opté pour la scène de jalousie. Loin de faire preuve de pénitence (il était évident qu'elle avait allumé ce type sans même se soucier de ma réaction), elle entra dans une colère noire: « De quel droit me parles-tu comme ça! Tu penses que je suis ta propriété? Mais je n'appartiens à personne! Qu'espères-tu? M'interdire de m'amuser? Ta jalousie est ridicule, et puis tu n'a qu'à savoir bouger comme ce mec! »
Au moment où a eu lieu cette scène, Lisa s'était refusé à moi depuis des semaines, ce qui était devenu de plus en plus fréquent. Ma frustration était à son comble et se trouvait encore accentuée par ce que j'imaginais désormais de la vie intime de ma femme lorsque j'avais le dos tourné, puisqu'elle ne craignait même plus de se comporter de manière si provocante sous mes yeux!
Aujourd'hui, cela fait dès mois que nous n'avons pas fait l'amour. Lisa invoque toujours des excuses qui ne me dupent pas. Un jour croyant l'attendrir je lui ai dit que je me masturbais régulièrement en pensant à elle, ce qui est vrai. Mais ce qu'elle ne sait pas c'est que je l'imagine, prise par d'autres hommes et jouissant comme une folle sous mes yeux! Nouvelle colère, car elle ne supporte pas que je me branle hors de sa présence. Du coup, une ou deux fois, lorsque vraiment cela devenait insupportable, elle m'a fait elle même une branlette. J'ai bien essayé de profiter de la situation mais il n'y a rien eu à faire. Elle ne m'a même pas laisser lui lécher la chatte, ce qu'elle adore, sûrement parce qu'aussitôt après avoir joui elle adore qu'on la prenne, et elle n'était pas prête à me faire ce plaisir. Elle m'a fait comprendre que c'était ça ou rien, et j'ai accepté mon sort, tout en trouvant cela très humiliant.
Nous en sommes là aujourd'hui. Je ne sais pas si Lisa a un amant, mais je me dis que mon dort serait moins dur si d'une façon ou une autre je pouvais participer à son plaisir. Surtout je suis terrorisé à l'idée qu'elle m'annonce qu'elle me quitte.
J'espère que certains d'entre vous pourrons me conseiller, et me faire part de leur experience active ou passive dans ce genre de relations