- 20 juil. 2011, 18:09
#637406
Je vous écris à la demande de mon mari, ce dernier se délectant par avance de me lire sur ce forum mais surtout de savoir que des membres de la petite communauté des candaulistes anonymes essaieront certainement de m’approcher via ce moyen de contact. Pour ne pas paraître plus dévergondée que ce que je suis, je tiens à dire que c’est lui qui m’a initiée à ce genre de pratique, tout d’abord dans l’intimité de notre chambre à grand renfort de fausses confidences et jeux de rôle de plus en plus inconvenants, voire troublants, sur l’oreiller jusqu’à ce que j’accepte de franchir le pas à l’issue d’un repas en tête à tête lors d’un de nos séjours à Paris.
Je n’ai pas la prétention d’être une femme fatale, je fais plutôt partie des épouses respectables dans notre environnement, physiquement je suis ronde à souhait attirant le regard des hommes, tout particulièrement à la belle saison lorsque je me promène vêtue d’une petite robe d’été au décolleté provocant, petit plaisir pour mon mari que de voir d’autres hommes me reluquer avec insistance, évaluer la marchandise pour reprendre le vocabulaire masculin. En guise de présentation, je mesure 1,66 m pour 61 kg, sans être d’une beauté sculpturale j’ai un visage aux traits plutôt fins, pour ces messieurs des seins lourds qui m’obligent d’ordinaire à porter soutien gorge et des fesses bien dessinées dont un ami d’Eric affirme en plaisantant qu’elles sont en relief et qu’on aime à voir s’éloigner.
Pour mes débuts, peu désireux que je sois considérée comme une femme facile à domicile, Eric a donc profité d’un déplacement à Paris pour m’emmener dans un club libertin après un repas en amoureux. J’avoue que j’étais à la fois réticente et curieuse, dire que je voulais lui faire plaisir est mon justificatif. Pour un coup d’essai ce fut un coup de maître, c’était un jeudi soir, la soirée était dite mixte pour ne pas dire plus. Après un premier verre au bar, histoire de se donner une contenance, mon mari m’a invité à danser sur une piste obscure à souhait où régnaient visiblement une certaine promiscuité entre danseurs, des hommes seuls s’invitant d’office pour faire des pas de trois. J’ai commencé la danse avec mon mari pour sentir rapidement une présence dans mon dos, des mains m’ont effleurée, caressée, véritablement explorée jusqu’à ce que je me retrouve dans les bras d’un inconnu, plutôt bel homme, qui profita d’autant mieux de la situation que mon mari m’avait demandé d’aller enlever culotte et soutien gorge aux toilettes à notre arrivée dans l’établissement.
Quelques verres et l’ambiance aidant, je me suis retrouvée au bout d’un moment dans une petite alcôve, poitrine dénudée et robe retroussée, en train de faire l’amour avec mon inconnu, entourée de plusieurs hommes qui se masturbaient devant pareil spectacle. Mon mari prit soin de me tenir la main au début, certainement pour me rassurer. J’ai rapidement perdu toute notion de retenue et décence ne me rendant même pas compte du nombre de partenaires qui se sont succédés, je subissais de vigoureux va et vient les jambes écartées et les yeux fermés. De retour à l’hôtel, Eric m’a raconté mes prouesses, à savoir que j’avais été prise par six hommes pendant les deux heures où je suis restée dans ce qu’il osa appeler la salle de travail, je ne m’étais rendu compte de rien sinon que je me faisais prendre par un autre homme.
Après ma première expérience, j’étais réticente à recommencer pareille aventure, peur pour notre couple, peur de prendre goût à ces moments d’exception. Il a fallu l’insistance toute en nuance de mon mari pour que j’accepte de récidiver. Pour l’occasion, Il m’emmena dans un sauna bien connu de la banlieue parisienne fréquenté à majorité par des hommes en semaine. Je crois que nous étions cinq ou six couples pour une bonne vingtaine d'hommes seuls. J’ai su à mes dépens que les femmes les plus belles sinon appétissantes sont généralement les plus sollicitées, la sélection se limitait ce soir-là à trois personnes, mariées ou non, et je faisais partie du lot à considérer les regards insistants et les déplacements de ces messieurs dès qu’Eric m’entrainait à sa suite pour visiter les différentes salles.
Face à la bousculade dont j’étais l’objet, je demandais à mon mari de nous poser au comptoir du bar, seul endroit tacite de trêve, nous nous sommes donc assis pour prendre un verre, histoire de se donner contenance, discutant gentiment avec l’un et avec l’autre. Au bout d’un moment un homme de couleur, pratiquant certainement le culturiste, vint prendre place à mes côtés, il feigna de m’ignorer pendant quelques minutes avant d’engager la conversation, rien de comparable avec les autres hommes ayant tenté leur chance. Nous avons donc discuté tous trois un bon moment jusqu’à ce que je sente un sexe imposant se frotter doucement contre ma cuisse, en l’absence de réaction de ma part il s’enhardit me demandant la permission de proposer à mon mari de m’emmener faire un petit tour, le discours était aussi inhabituel qu’habile, à même de briser toute résistance de ma part.
Eric m’embrassa et me dit qu’il m’attendait au bar et que nous irions après directement à l’hôtel pour finir la soirée tous les deux la tête pleine de fantasmes. Tout sourire, mon guide me prit la main m’entrainant à sa suite, Il m’emmena dans une salle située à gauche du bar, peu éclairée avec un grand matelas rouge sur une estrade avec des panneaux munis d’ouvertures sur les côtés pour les voyeurs. En guise de préliminaire il explora mon corps en douceur me demandant pour la première fois mon prénom, Magdeleine, avant de m’allonger en douceur sur le matelas, il m’enleva le pagne qui me servait jusqu’alors d’illusoire protection. J’étais nue et offerte, à ses yeux un bel objet de convoitise. Il s’allongea sans complexe sur moi m’écartant les jambes. Il caressa mon intimité constatant que j’étais pour le moins réceptive, j’étais toute mouillée. Il lui fut facile de me pénétrer malgré la taille imposante de son membre, il est parfois des légendes qui se révèlent en dessous de la réalité.
Je crois même avoir poussé un petit cri lorsqu’il s’est introduit en moi, je me suis senti pleine, il ne me laissa pas le temps de comprendre qu’il s’activa me faisant subir des va et vient de plus en plus vigoureux, je gémissais poussant bien involontairement de petits cris lorsqu’il se faisait plus présent. J’éprouvais un pur plaisir physique venant du fond de mon ventre, mes seins ballotaient d’avant en arrière à chaque va et vient pour le plus grand plaisir des voyeurs qui nous entouraient. Très excité lui aussi, il m’invectiva me traitant de belle salope, de pute à black et autres qualificatifs qui m’auraient normalement outrée. J’acquiesçai à chacun de ses propos qui devenaient de plus en plus salaces. Je me comportais comme une véritable chienne en chaleur, j’étais couverte de sueur et m’agrippais à lui de toutes mes forces. Je crois que je devais l’inspirer car au bout d’un moment de pareils ébats il me tint des propos incohérents, il voulait que je lui appartienne corps et âme puis sans me laisser le temps de réaliser il s’enlever le préservatif qu’il mit d’autorité dans ma main et reprit ses va et vient désordonnés me murmurant à l’oreille qu’il voulait me féconder. Il fallait que je sois véritablement dans un état second pour ne pas résister, voire l’encourager l’implorant à mon tour de m’engrosser. Je n’ignorais pas que lors de pareils débordements dans ces lieux il convenait de se protéger. Je l’ai senti se répandre en moi acceptant sans la moindre hésitation de recevoir sa semence, lui répétant plusieurs fois : viens. Je ne pensais pas perdre autant le contrôle de moi, être prête à tous les affres et délices du plaisir avec un autre homme, un homme de couleur qui plus est. Je l’ai même sucé après qu’il se soit retiré tandis qu’il s’amusait à me tripoter ce qu’il appelait mes mamelles. Je lui ai demandé de me ramener auprès de mon mari prenant conscience que s’il me laissait seule j’allais être prise par plusieurs hommes.
J’ai raconté mes mésaventures à mon mari une fois de retour à notre hôtel, il était au comble de l’excitation, nous n’avons pas beaucoup dormi cette nuit-là. J’ai eu d’autres aventures mais toujours avec l’assentiment d’Eric, on peut dire que je suis une femme comblée, dernière précision je lui ai promis de faire la belle de jour qu’avec des arabes ou des noirs, d’une certaine façon cela le rassure et exclut tout débordement dans notre environnement compte tenu de nos fréquentations.
Je souhaite à mon cher cocu de prendre plaisir à lire ces lignes.
Je n’ai pas la prétention d’être une femme fatale, je fais plutôt partie des épouses respectables dans notre environnement, physiquement je suis ronde à souhait attirant le regard des hommes, tout particulièrement à la belle saison lorsque je me promène vêtue d’une petite robe d’été au décolleté provocant, petit plaisir pour mon mari que de voir d’autres hommes me reluquer avec insistance, évaluer la marchandise pour reprendre le vocabulaire masculin. En guise de présentation, je mesure 1,66 m pour 61 kg, sans être d’une beauté sculpturale j’ai un visage aux traits plutôt fins, pour ces messieurs des seins lourds qui m’obligent d’ordinaire à porter soutien gorge et des fesses bien dessinées dont un ami d’Eric affirme en plaisantant qu’elles sont en relief et qu’on aime à voir s’éloigner.
Pour mes débuts, peu désireux que je sois considérée comme une femme facile à domicile, Eric a donc profité d’un déplacement à Paris pour m’emmener dans un club libertin après un repas en amoureux. J’avoue que j’étais à la fois réticente et curieuse, dire que je voulais lui faire plaisir est mon justificatif. Pour un coup d’essai ce fut un coup de maître, c’était un jeudi soir, la soirée était dite mixte pour ne pas dire plus. Après un premier verre au bar, histoire de se donner une contenance, mon mari m’a invité à danser sur une piste obscure à souhait où régnaient visiblement une certaine promiscuité entre danseurs, des hommes seuls s’invitant d’office pour faire des pas de trois. J’ai commencé la danse avec mon mari pour sentir rapidement une présence dans mon dos, des mains m’ont effleurée, caressée, véritablement explorée jusqu’à ce que je me retrouve dans les bras d’un inconnu, plutôt bel homme, qui profita d’autant mieux de la situation que mon mari m’avait demandé d’aller enlever culotte et soutien gorge aux toilettes à notre arrivée dans l’établissement.
Quelques verres et l’ambiance aidant, je me suis retrouvée au bout d’un moment dans une petite alcôve, poitrine dénudée et robe retroussée, en train de faire l’amour avec mon inconnu, entourée de plusieurs hommes qui se masturbaient devant pareil spectacle. Mon mari prit soin de me tenir la main au début, certainement pour me rassurer. J’ai rapidement perdu toute notion de retenue et décence ne me rendant même pas compte du nombre de partenaires qui se sont succédés, je subissais de vigoureux va et vient les jambes écartées et les yeux fermés. De retour à l’hôtel, Eric m’a raconté mes prouesses, à savoir que j’avais été prise par six hommes pendant les deux heures où je suis restée dans ce qu’il osa appeler la salle de travail, je ne m’étais rendu compte de rien sinon que je me faisais prendre par un autre homme.
Après ma première expérience, j’étais réticente à recommencer pareille aventure, peur pour notre couple, peur de prendre goût à ces moments d’exception. Il a fallu l’insistance toute en nuance de mon mari pour que j’accepte de récidiver. Pour l’occasion, Il m’emmena dans un sauna bien connu de la banlieue parisienne fréquenté à majorité par des hommes en semaine. Je crois que nous étions cinq ou six couples pour une bonne vingtaine d'hommes seuls. J’ai su à mes dépens que les femmes les plus belles sinon appétissantes sont généralement les plus sollicitées, la sélection se limitait ce soir-là à trois personnes, mariées ou non, et je faisais partie du lot à considérer les regards insistants et les déplacements de ces messieurs dès qu’Eric m’entrainait à sa suite pour visiter les différentes salles.
Face à la bousculade dont j’étais l’objet, je demandais à mon mari de nous poser au comptoir du bar, seul endroit tacite de trêve, nous nous sommes donc assis pour prendre un verre, histoire de se donner contenance, discutant gentiment avec l’un et avec l’autre. Au bout d’un moment un homme de couleur, pratiquant certainement le culturiste, vint prendre place à mes côtés, il feigna de m’ignorer pendant quelques minutes avant d’engager la conversation, rien de comparable avec les autres hommes ayant tenté leur chance. Nous avons donc discuté tous trois un bon moment jusqu’à ce que je sente un sexe imposant se frotter doucement contre ma cuisse, en l’absence de réaction de ma part il s’enhardit me demandant la permission de proposer à mon mari de m’emmener faire un petit tour, le discours était aussi inhabituel qu’habile, à même de briser toute résistance de ma part.
Eric m’embrassa et me dit qu’il m’attendait au bar et que nous irions après directement à l’hôtel pour finir la soirée tous les deux la tête pleine de fantasmes. Tout sourire, mon guide me prit la main m’entrainant à sa suite, Il m’emmena dans une salle située à gauche du bar, peu éclairée avec un grand matelas rouge sur une estrade avec des panneaux munis d’ouvertures sur les côtés pour les voyeurs. En guise de préliminaire il explora mon corps en douceur me demandant pour la première fois mon prénom, Magdeleine, avant de m’allonger en douceur sur le matelas, il m’enleva le pagne qui me servait jusqu’alors d’illusoire protection. J’étais nue et offerte, à ses yeux un bel objet de convoitise. Il s’allongea sans complexe sur moi m’écartant les jambes. Il caressa mon intimité constatant que j’étais pour le moins réceptive, j’étais toute mouillée. Il lui fut facile de me pénétrer malgré la taille imposante de son membre, il est parfois des légendes qui se révèlent en dessous de la réalité.
Je crois même avoir poussé un petit cri lorsqu’il s’est introduit en moi, je me suis senti pleine, il ne me laissa pas le temps de comprendre qu’il s’activa me faisant subir des va et vient de plus en plus vigoureux, je gémissais poussant bien involontairement de petits cris lorsqu’il se faisait plus présent. J’éprouvais un pur plaisir physique venant du fond de mon ventre, mes seins ballotaient d’avant en arrière à chaque va et vient pour le plus grand plaisir des voyeurs qui nous entouraient. Très excité lui aussi, il m’invectiva me traitant de belle salope, de pute à black et autres qualificatifs qui m’auraient normalement outrée. J’acquiesçai à chacun de ses propos qui devenaient de plus en plus salaces. Je me comportais comme une véritable chienne en chaleur, j’étais couverte de sueur et m’agrippais à lui de toutes mes forces. Je crois que je devais l’inspirer car au bout d’un moment de pareils ébats il me tint des propos incohérents, il voulait que je lui appartienne corps et âme puis sans me laisser le temps de réaliser il s’enlever le préservatif qu’il mit d’autorité dans ma main et reprit ses va et vient désordonnés me murmurant à l’oreille qu’il voulait me féconder. Il fallait que je sois véritablement dans un état second pour ne pas résister, voire l’encourager l’implorant à mon tour de m’engrosser. Je n’ignorais pas que lors de pareils débordements dans ces lieux il convenait de se protéger. Je l’ai senti se répandre en moi acceptant sans la moindre hésitation de recevoir sa semence, lui répétant plusieurs fois : viens. Je ne pensais pas perdre autant le contrôle de moi, être prête à tous les affres et délices du plaisir avec un autre homme, un homme de couleur qui plus est. Je l’ai même sucé après qu’il se soit retiré tandis qu’il s’amusait à me tripoter ce qu’il appelait mes mamelles. Je lui ai demandé de me ramener auprès de mon mari prenant conscience que s’il me laissait seule j’allais être prise par plusieurs hommes.
J’ai raconté mes mésaventures à mon mari une fois de retour à notre hôtel, il était au comble de l’excitation, nous n’avons pas beaucoup dormi cette nuit-là. J’ai eu d’autres aventures mais toujours avec l’assentiment d’Eric, on peut dire que je suis une femme comblée, dernière précision je lui ai promis de faire la belle de jour qu’avec des arabes ou des noirs, d’une certaine façon cela le rassure et exclut tout débordement dans notre environnement compte tenu de nos fréquentations.
Je souhaite à mon cher cocu de prendre plaisir à lire ces lignes.
Rottteee a liké
