Ce soir-là, Monsieur le comte recevait...
Il faut ajouter que je suis à son service depuis un petit moment

et j'essaie, tant que faire se peut, de garder mon emploi surtout par les temps qui courent. Les temps sont tellement difficiles... Avant de travailler pour monsieur le Comte (dont je tairais le titre par respect), j'officiais dans une taverne dans laquelle j'avais appris toutes les subitilités pour satisfaire les clients.
Ainsi, donc, ce soir-là, on sonna à la porte d'entrée de la demeure de monsieur le comte. Alphonse, étant absent pour quelque obscure raison, je vins ouvrir à cet invité de marque. Il fut charmant et courtois, tel qu'on s'y attend dans de telles situations. Je le fis entrer en le devançant afin qu'il ne se perde sur le chemin, dévoilant à son regard une vue imprenable sur mon céant. Car, il est intéressant de préciser que monsieur le comte avait qq exigences quant à la tenue de ses soubrettes, notamment ses plus proches. Ma robe était courte et ouverte en V devant et derrière au niveau du bassin laissant apparaitre un string ficelle (ce jour-là). Les bas en terminaient la tenue. Ce qui choqua peut-être, mais cela fut si bien maitrisé par un sourire de satisfaction et une question de circonstance, quand il vit mon décolleté. Monsieur le comte avait exigé que ma poitrine apparaisse en ouvrant la porte afin que l'invité puisse ainsi comprendre que non seulement la demeure du comte lui était ouverte mais également le service y attenant. Il me demanda alors :"Quelle jolie poitrine !" dit-il avec ravissement.
- Je vous remercie beaucoup monsieur de ce compliment. Ceci est un désir de monsieur le comte et j'ose espérer qu'il sied gré, lui répondis-je avec un sourire coquin.
Il me suivit donc après cette vue, en suivant une autre vue. Quand nous arrivâmes à Monsieur le Comte, je me permis de déranger monsieur le comte de l'arrivée de son invité.
Après les salutations de circonstances, je l'invitais à s'installer sur l'un des sofas et proposais une collation
