- 20 août 2010, 17:03
#70883
Après le décès de mon premier mari, j'ai rencontré P, l'homme avec qui je vis aujourd'hui, et avec lequel j'ai découvert une autre dimension de la sexualité. Avec lui les rapports sont différents de ceux que je connaissais avant de le rencontrer, plus intenses, plus fusionnels.
Un jour il a évoqué le libertinage, ce qui m'a initialement choquée, car cela ne correspondait pas à mes attentes, j'avais une conception plus "traditionnelle" de la sexualité, une sexualité à 2 exclusivement. Je rejetais toute forme de pluralité sexuelle. J'ai cependant accepté, par curiosité, de l'accompagner à une soirée libertine, mais n'ai pas voulu participer. Toutefois j'ai du me rendre à l'évidence, cela était très voluptueux et troublant.
Par la suite nous avons passé une soirée avec un couple libertin, nous n'avons pas été jusqu'à l'échangisme le premier soir, mais cela a été ma première expérience de mélangisme, et j'ai eu très envie de franchir le cap, ce que nous avons fait avec ce couple quelques jours plus tard.
Quelques mois ont passé, et je n’osais avouer à P combien le libertinage m’enfiévrait.
Un soir, alors que nous séjournions à Aix en Provence, P m'a dit qu'il me réservait une surprise, et m'a demandé de mettre une tenue érotique. J'ai mis une robe en dentelle, totalement transparente, et nous nous sommes rendus dans un petit appartement de la périphérie.
Un jeune noir, très athlétique est venu nous accueillir. Il était grand, très beau, et avait un visage rayonnant. Lorsque nous sommes rentrés j'ai remarqué que seules quelques bougies éclairaient la pièce.
Je n'avais jamais eu le moindre contact avec un noir auparavant.
M, jeune étudiant africain, était vêtu d'un simple kimono de fin coton. Nous nous sommes présentés, et il m'a invité à danser. Il avait mis de la musique afro antillaise genre zouk. Il m’avait plaquée contre lui et immédiatement il a commencé à caresser mes reins dénudés, et à palper mes fesses. Il m'embrassait dans le cou, puis à baissé les bretelles de ma robe, dégageant ma poitrine pour sucer mes tétons. Très vite j’ai senti son érection, et il a ouvert son kimono en guidant ma main pour que je puisse caresser son sexe doux comme du velours. J'ai constaté en le caressant qu'il avait un corps d'athlète, une poitrine large et une taille très fine. Il était fortement membré, et sentir sous mes doigts les bulbes de son large gland bien dégagé était extrêmement émoustillant. P s’est approché et a retiré ma robe, puis nous avons rejoint un lit et tous deux m'ont longuement caressée. J'avais une envie folle de mon nouveau partenaire et le lui ai dit. Il m'a prise doucement, son sexe me remplissait, j'avais envie de retenir ma jouissance car je voulais profiter le plus longtemps possible de ce moment. Il m'a ensuite retournée et prise en levrette alors que P me faisait face pour une fellation. J’avais le sentiment qu’une véritable éruption montait en moi. Nous avons joui ensemble tous les trois. Le plaisir m'inondait intensément alors que je sentais les contractions du sexe de mon partenaire pendant qu'il éjaculait., M et P m'ont prise plusieurs fois, mais j'avais obtenu un tel plaisir lors de ma première pénétration que je ne pouvais jouir de nouveau.
J'étais éreintée lorsque nous avons quitté mon amant noir.
Nous l'avons revu plusieurs fois, et lors d'une de nos visites, alors que nous étions déjà allongés et nus en train de faire l'amour, un de ses amis, également noir, est entré. Il n'a pas dit un mot, s'est déshabillé m'a léché le sexe un court instant avant de me prendre. Il était très puissant et avait une très grosse verge dotée d’un gland particulièrement épais. Je le sentais au plus profond de moi et ressentais du plaisir, mais à certains moments ma satisfaction faisait place à de la douleur. Je l'ai exprimé et il a été plus prévenant, alternant les va et vient lents avec des mouvements très rapides mais de moindre amplitude. Il était très endurant et m'a fait l'amour pendant un long moment. Je n'ai pas pu accepter d'autre pénétration après qu'il se soit retiré car j'avais mal.
Après M, j'ai été attiré par les amants noirs, souvent plus naturels, plus spontanés que les européens. J'ai parfois été déçue, mais souvent agréablement surprise par certains amants de couleur. Ainsi, lors d'une visite chez un jeune africain, K, également à Aix, un ami de K, africain comme lui, très jeune, prénommé O, est arrivé à l’improviste. Après avoir échangé quelques mots de présentation il s'est assis près de moi et a commencé à me caresser. Mes deux partenaires étaient très excités, et sentir leurs sexes d’ébène en érection stimulait ma libido. O se cambrait sous mes caresses et a très vite éjaculé. Son pénis était un véritable arrosoir! Il était gêné, ce que je ne comprenais pas, car il n'avais pas perdu son érection et m'a prise dans les secondes qui ont suivi. Il a de nouveau éjaculé avec abondance, s'est retiré et après quelques instants m'a demandé de le caresser encore. J’ai alors vigoureusement léché sa bite, ma langue titillant fortement la base de son gland. Son sexe a immédiatement durci, et il m'a de nouveau pénétrée. Cela s'est répété, véritable « bête de sexe », il était insatiable. K n'avait pas le temps de réagir, et a du attendre la fin des assauts d'O pour pouvoir me pénétrer.
Un jour à Paris nous avons été reçu chez un ami malien de K. jeune étudiant, très fin et racé, il n'avait jamais eu de partenaire blanche et m'a avoué n'avoir jamais fait l'amour depuis qu'il était en France. Nous avons passé un moment formidable avec ce garçon doux, raffiné et sensuel.
Je passerai sous silence les déceptions car il y en a eu bien entendu.
Je n'ai pas de préjugés, j'aime les gens simples, directs, et je me moque totalement de leur origine sociale ou raciale.
Je suis désormais attirée par les noirs, et, sans doute parce que je suis naturellement blonde et pulpeuse je les attire également. Le problème reste toutefois de rencontrer des partenaires tels que je les souhaite, attirants, prévenants, altruistes, tendres et soucieux du plaisir de leur partenaire.
Un jour il a évoqué le libertinage, ce qui m'a initialement choquée, car cela ne correspondait pas à mes attentes, j'avais une conception plus "traditionnelle" de la sexualité, une sexualité à 2 exclusivement. Je rejetais toute forme de pluralité sexuelle. J'ai cependant accepté, par curiosité, de l'accompagner à une soirée libertine, mais n'ai pas voulu participer. Toutefois j'ai du me rendre à l'évidence, cela était très voluptueux et troublant.
Par la suite nous avons passé une soirée avec un couple libertin, nous n'avons pas été jusqu'à l'échangisme le premier soir, mais cela a été ma première expérience de mélangisme, et j'ai eu très envie de franchir le cap, ce que nous avons fait avec ce couple quelques jours plus tard.
Quelques mois ont passé, et je n’osais avouer à P combien le libertinage m’enfiévrait.
Un soir, alors que nous séjournions à Aix en Provence, P m'a dit qu'il me réservait une surprise, et m'a demandé de mettre une tenue érotique. J'ai mis une robe en dentelle, totalement transparente, et nous nous sommes rendus dans un petit appartement de la périphérie.
Un jeune noir, très athlétique est venu nous accueillir. Il était grand, très beau, et avait un visage rayonnant. Lorsque nous sommes rentrés j'ai remarqué que seules quelques bougies éclairaient la pièce.
Je n'avais jamais eu le moindre contact avec un noir auparavant.
M, jeune étudiant africain, était vêtu d'un simple kimono de fin coton. Nous nous sommes présentés, et il m'a invité à danser. Il avait mis de la musique afro antillaise genre zouk. Il m’avait plaquée contre lui et immédiatement il a commencé à caresser mes reins dénudés, et à palper mes fesses. Il m'embrassait dans le cou, puis à baissé les bretelles de ma robe, dégageant ma poitrine pour sucer mes tétons. Très vite j’ai senti son érection, et il a ouvert son kimono en guidant ma main pour que je puisse caresser son sexe doux comme du velours. J'ai constaté en le caressant qu'il avait un corps d'athlète, une poitrine large et une taille très fine. Il était fortement membré, et sentir sous mes doigts les bulbes de son large gland bien dégagé était extrêmement émoustillant. P s’est approché et a retiré ma robe, puis nous avons rejoint un lit et tous deux m'ont longuement caressée. J'avais une envie folle de mon nouveau partenaire et le lui ai dit. Il m'a prise doucement, son sexe me remplissait, j'avais envie de retenir ma jouissance car je voulais profiter le plus longtemps possible de ce moment. Il m'a ensuite retournée et prise en levrette alors que P me faisait face pour une fellation. J’avais le sentiment qu’une véritable éruption montait en moi. Nous avons joui ensemble tous les trois. Le plaisir m'inondait intensément alors que je sentais les contractions du sexe de mon partenaire pendant qu'il éjaculait., M et P m'ont prise plusieurs fois, mais j'avais obtenu un tel plaisir lors de ma première pénétration que je ne pouvais jouir de nouveau.
J'étais éreintée lorsque nous avons quitté mon amant noir.
Nous l'avons revu plusieurs fois, et lors d'une de nos visites, alors que nous étions déjà allongés et nus en train de faire l'amour, un de ses amis, également noir, est entré. Il n'a pas dit un mot, s'est déshabillé m'a léché le sexe un court instant avant de me prendre. Il était très puissant et avait une très grosse verge dotée d’un gland particulièrement épais. Je le sentais au plus profond de moi et ressentais du plaisir, mais à certains moments ma satisfaction faisait place à de la douleur. Je l'ai exprimé et il a été plus prévenant, alternant les va et vient lents avec des mouvements très rapides mais de moindre amplitude. Il était très endurant et m'a fait l'amour pendant un long moment. Je n'ai pas pu accepter d'autre pénétration après qu'il se soit retiré car j'avais mal.
Après M, j'ai été attiré par les amants noirs, souvent plus naturels, plus spontanés que les européens. J'ai parfois été déçue, mais souvent agréablement surprise par certains amants de couleur. Ainsi, lors d'une visite chez un jeune africain, K, également à Aix, un ami de K, africain comme lui, très jeune, prénommé O, est arrivé à l’improviste. Après avoir échangé quelques mots de présentation il s'est assis près de moi et a commencé à me caresser. Mes deux partenaires étaient très excités, et sentir leurs sexes d’ébène en érection stimulait ma libido. O se cambrait sous mes caresses et a très vite éjaculé. Son pénis était un véritable arrosoir! Il était gêné, ce que je ne comprenais pas, car il n'avais pas perdu son érection et m'a prise dans les secondes qui ont suivi. Il a de nouveau éjaculé avec abondance, s'est retiré et après quelques instants m'a demandé de le caresser encore. J’ai alors vigoureusement léché sa bite, ma langue titillant fortement la base de son gland. Son sexe a immédiatement durci, et il m'a de nouveau pénétrée. Cela s'est répété, véritable « bête de sexe », il était insatiable. K n'avait pas le temps de réagir, et a du attendre la fin des assauts d'O pour pouvoir me pénétrer.
Un jour à Paris nous avons été reçu chez un ami malien de K. jeune étudiant, très fin et racé, il n'avait jamais eu de partenaire blanche et m'a avoué n'avoir jamais fait l'amour depuis qu'il était en France. Nous avons passé un moment formidable avec ce garçon doux, raffiné et sensuel.
Je passerai sous silence les déceptions car il y en a eu bien entendu.
Je n'ai pas de préjugés, j'aime les gens simples, directs, et je me moque totalement de leur origine sociale ou raciale.
Je suis désormais attirée par les noirs, et, sans doute parce que je suis naturellement blonde et pulpeuse je les attire également. Le problème reste toutefois de rencontrer des partenaires tels que je les souhaite, attirants, prévenants, altruistes, tendres et soucieux du plaisir de leur partenaire.
