- 30 août 2011, 11:12
#732125
Ce journal a été écrit durant 13 ans, il relate une évolution, des progrès…
J'y ai inclus des commentaires venus à l'esprit à la relecture.
Voici mon histoire qui commence à 19 ans. J’ai fait la connaissance de celui qui deviendra mon mari. Il avait 3 ans de plus que moi. Une de mes amies qui était sortie avec lui m’avait dit de m’en méfier parce qu’il était fou, obsédé et je ne sais quoi encore.
J’ai pensé qu’elle était jalouse et je n’ai pas tenu compte de ces paroles pour le moins « vaches ».
Pour me dépeindre, j’étais une jeune fille très « écoles des Sœurs », petite (1m60), brune, très réservée.
Pendant nos premières sorties j’ai trouvé mon compagnon plutôt réservé, une main parfois égarée, des baisers presque chastes. Un jour, je portais comme souvent une robe chemisier, sur une lingerie blanche bien sage, il m’a demandé quand je suis monté dans sa voiture d’ôter mon soutien-gorge, disant qu’il était inutile. Je l’ai déposé dans la boite à gants, un peu gênée, mais aussi flattée. J’ai un peu rougi quand nous sommes allés prendre un verre et que le garçon a pris notre commande.
Pendant quelques jours le même cérémonial s’est déroulé. Ce fantasme me paraissait finalement bien innocent. Un dimanche, par distraction, j’avais choisi une robe blanche très légère, avec un jupon et les sous-vêtements classiques. Dans la voiture je lui ai demandé de m’abstenir, vu le problème. Il a ri en me disant que j’avais raison, qu’on verrait la différence entre le dessus et le dessous et que donc je n’avais qu’à garder que ma robe. Bêtement je l’ai fait, bêtement j’ai accepté de marcher en rue en sachant que la transparence était vraiment forte.
Une semaine plus tard, il a voulu faire l’amour dans un petit bois. Nous y sommes entrés et avons gravi un talus qui surplombait d’une dizaine de mètres un sentier de promenade. Je m’apprêtais à me coucher par terre en relevant simplement ma robe. Il me l’a fait ôter et m’a fait l’amour, lui allongé, moi à califourchon sur lui, bien droite, donc visible du sentier si quelqu’un passait. Un cycliste en VTT est passé, sans me voir, je pense. J’étais plus troublée que je ne pensais.
Encore plus tard, il m’a proposé un rendez-vous dans un petit hôtel de passage, en me demandant d’arriver avant lui et de l’attendre dans la chambre. J’ai voulu prendre l’initiative.
Je suis entrée dans la chambre et, bravement, j’ai ouvert les voilages de la fenêtre en face du lit . Je me suis rapidement déshabillée et allongée, mains derrière la nuque, jambes écartée, fière de mon exploit. Il est arrivé rapidement, m’a regardée, m’a dit que j’étais belle. J’étais folle de joie et d’excitation. Quand il m’a dit que le garçon d’étage allait apporter le champagne, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter.
Il m’a dit que je n’avais qu’à faire semblant de dormir. J’ai voulu crâner : quand le garçon est venu, je l’ai regardé droit dans les yeux.. C’était le premier jour de la vraie histoire
Il m’a demandé de venir habiter chez lui : je l’ai fait. Il m’a demandé, chez lui, de rester nue toute la journée : je l’ai fait. Il m’a emmenée dans des cinémas, des cafés des restaurants dans des tenues toujours trop légères. Il me demandait de défaire des boutons, je le faisais ; d’échancrer mes décolletés, je le faisais ; de croiser haut les jambes… A cette époque, l’épreuve la plus dure que j’ai subie est celle de l’achat de chaussures, en mini jupe, assise face à ce petit banc où le vendeur s’assied . Il est clair que ce jeune a pu admirer mon intimité à loisir. A peine sortis du magasin, il m’a demandé de me caresser dans la voiture. Il a triomphé quand il a vu que je n’étais pas que gênée et que l’état de mon sexe prouvait l’excitation.
Nous nous sommes mariés.
J'y ai inclus des commentaires venus à l'esprit à la relecture.
Voici mon histoire qui commence à 19 ans. J’ai fait la connaissance de celui qui deviendra mon mari. Il avait 3 ans de plus que moi. Une de mes amies qui était sortie avec lui m’avait dit de m’en méfier parce qu’il était fou, obsédé et je ne sais quoi encore.
J’ai pensé qu’elle était jalouse et je n’ai pas tenu compte de ces paroles pour le moins « vaches ».
Pour me dépeindre, j’étais une jeune fille très « écoles des Sœurs », petite (1m60), brune, très réservée.
Pendant nos premières sorties j’ai trouvé mon compagnon plutôt réservé, une main parfois égarée, des baisers presque chastes. Un jour, je portais comme souvent une robe chemisier, sur une lingerie blanche bien sage, il m’a demandé quand je suis monté dans sa voiture d’ôter mon soutien-gorge, disant qu’il était inutile. Je l’ai déposé dans la boite à gants, un peu gênée, mais aussi flattée. J’ai un peu rougi quand nous sommes allés prendre un verre et que le garçon a pris notre commande.
Pendant quelques jours le même cérémonial s’est déroulé. Ce fantasme me paraissait finalement bien innocent. Un dimanche, par distraction, j’avais choisi une robe blanche très légère, avec un jupon et les sous-vêtements classiques. Dans la voiture je lui ai demandé de m’abstenir, vu le problème. Il a ri en me disant que j’avais raison, qu’on verrait la différence entre le dessus et le dessous et que donc je n’avais qu’à garder que ma robe. Bêtement je l’ai fait, bêtement j’ai accepté de marcher en rue en sachant que la transparence était vraiment forte.
Une semaine plus tard, il a voulu faire l’amour dans un petit bois. Nous y sommes entrés et avons gravi un talus qui surplombait d’une dizaine de mètres un sentier de promenade. Je m’apprêtais à me coucher par terre en relevant simplement ma robe. Il me l’a fait ôter et m’a fait l’amour, lui allongé, moi à califourchon sur lui, bien droite, donc visible du sentier si quelqu’un passait. Un cycliste en VTT est passé, sans me voir, je pense. J’étais plus troublée que je ne pensais.
Encore plus tard, il m’a proposé un rendez-vous dans un petit hôtel de passage, en me demandant d’arriver avant lui et de l’attendre dans la chambre. J’ai voulu prendre l’initiative.
Je suis entrée dans la chambre et, bravement, j’ai ouvert les voilages de la fenêtre en face du lit . Je me suis rapidement déshabillée et allongée, mains derrière la nuque, jambes écartée, fière de mon exploit. Il est arrivé rapidement, m’a regardée, m’a dit que j’étais belle. J’étais folle de joie et d’excitation. Quand il m’a dit que le garçon d’étage allait apporter le champagne, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêter.
Il m’a dit que je n’avais qu’à faire semblant de dormir. J’ai voulu crâner : quand le garçon est venu, je l’ai regardé droit dans les yeux.. C’était le premier jour de la vraie histoire
Il m’a demandé de venir habiter chez lui : je l’ai fait. Il m’a demandé, chez lui, de rester nue toute la journée : je l’ai fait. Il m’a emmenée dans des cinémas, des cafés des restaurants dans des tenues toujours trop légères. Il me demandait de défaire des boutons, je le faisais ; d’échancrer mes décolletés, je le faisais ; de croiser haut les jambes… A cette époque, l’épreuve la plus dure que j’ai subie est celle de l’achat de chaussures, en mini jupe, assise face à ce petit banc où le vendeur s’assied . Il est clair que ce jeune a pu admirer mon intimité à loisir. A peine sortis du magasin, il m’a demandé de me caresser dans la voiture. Il a triomphé quand il a vu que je n’étais pas que gênée et que l’état de mon sexe prouvait l’excitation.
Nous nous sommes mariés.