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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
#72209
Ceci est une histoire vraie, qui s’est passée il y a 10 jours avec un membre du forum, je souhaite (avec son accord) vous conter cette fantastique soirée, et je lui laisse le soin si il le désire de se manifester, mais je peux d’ores et déjà vous préciser que sa femme est absolument superbe, et qu’il sont d’une sympathie, d’une correction et d’un savoir vivre rares…

J’attendais patiemment dans cette brasserie, et mon esprit virevoltait à la perspective de cette rencontre immédiate.
J’avais rendez vous avec un couple dont les courbes de madame, et la cérébralité (et le savoir vire dois je le préciser) m’avaient interpellés. Comme c’est souvent le cas, la rencontre s’était très rapidement organisée. Nous avions échangé sur nos idées et envies respectives depuis plusieurs semaines, mais lors d’un petit message cordial, la proposition s’était transformée en rendez vous; en deux jours, nous avions finalisé les détails.

Ce soir, j’étais un homme d’affaire à qui le mari avait proposé d’offrir sa femme en échange d’une rémunération (je précise tout de suite, que cela était purement fictif). J’étais donc un client qui s’attendait à disposer d’une épouse selon ses exigences particulièrement perverse et cérébrale.

Par cette chaleur de mois d’aout parisien, je portais tout de même (l’élégance n’a pas de prix) mon costume bleu, avec ma chemise blanche je renvoyais une image de gentleman, le raffinement était apporté par ces chaussures italiennes, et ses boutons de manchette, accessoire quotidien me concernant.

L’introspection battait son plein, et je guettais l’arrivée de mes compères d’un soir, in fine, je ne savais pas grand-chose de madame, j’avais eu la chance d’apercevoir ses courbes divines, mais je ne connaissais pas son visage, ce sera donc la surprise. Mon expérience de libertin prévoyait une déception, car souvent, on idéalise les personnes lors du fantasme de la rencontre...

Je m’égarais encore dans mes pensées, ravi de l’endroit que j’avais trouvé, certes, il n’était pas désert, mais j’avais trouvé un cocon au fond d’une brasserie parisienne, nous laissant quelques libertés libertines (toute raisonnable)

Je réfléchissais d’ailleurs aux différents outrages auxquelles j’allais soumettre cette épouse devant son mari.
Puis tout d’un coup, je l’aperçus… Je me maudissais alors d’avoir anticipé une déception quand à sa vue. Elle était … divine, superbe, son visage d’ange était teinté d’un coté coquine avec un maquillage bien appuyée, par ailleurs, elle s’était apprêtée pour l’occasion. Un petit haut croisé, une petite jupe affichant de superbes jambes couvertes de nylon noir, et galbées par des hauts talons
Je me ravissais d’une telle vision, et m’éternisais sur ce magnifique spectacle. Je devais alors me raviser pour saluer monsieur, et j’embrassais madame, profitant déjà du contact de sa peau électrique…

Elle s’asseyait à ma gauche sur la banquette, et nous nous sommes mis à discuter de tout et de rien.
Cette discussion joyeuse continuait autour de mets et de vins, Montaigne avait raison, Elle était non seulement superbe mais son esprit allait de pair. Les notes d’humour fusaient, et la convivialité du diner était crescendo, cependant, les regards avec Madame étaient plus appuyés. Un océan de sensualité, de perversité, d'envie était présent en Elle, l'envie de la prendre se faisait de plus en plus pregnante. Monsieur se rendait compte de cette tension entre nous, et était ravi. La complicité avec monsieur grandissait aussi, la multiplicité des regards et clien d'oeil sur moi était une preuve qu'il appréciat particuliérement voir sa femme se laisser ainsi aller avec moi (le client !)

Je ne pouvais m’empêcher constamment de lui faire des louanges sur ses charmes.

Au détour de quelques mouvements, ma main touchait la sienne, puis mes doigts s’égaraient sur son épaule. Enfin, ma main droite avait trouvé toute sa place sur la banquette à coté de sa jambe. Tout doucement, alors que le vin coulait à flot, en tant que client, je prenais mes aises, ma main relevait sa courte jupe, laissant apparait la lisière de ses bas. D’ailleurs, les serveurs avaient la chance de profiter du spectacle de ses jambes se dénudant.

La conversation devenait un peu plus érotique, j’évoquais alors que monsieur avait vanté les qualités de Madame, et en parallèle, ma main se posait sur sa cuisse. Nous discutions toujours joyeusement à trois, et le Mari voyait avec plaisir sa dame se faire caresser devant lui en public. Mutine, ma main caresser l’intérieur de ses cuisses, et plus nous nous rapprochions de la fin du diner, plus elle se rapprochait de son entrejambe. Nous avions pratiquement fini notre activité dinatoire, que mon doigt était sur son string en train de jouer avec son bouton… Madame et monsieur était ravi.

Elle était d’ailleurs, soumise à souhait, comme une call girl qui se doit de faire plaisir à son client, l’atmosphère était de plus en plus électrique, la jupe de madame faisait foi de cette tension érotique, entièrement relevé, les bas et attaches du porte-jarretelles de madame était à la vue de tous.
Cet érotisme, cette envie prégnante fit même oublier le crumble de fruits rouges qui pourtant faisait envie à Madame, mais elle avait envie d’un dessert tout différent. C’est ainsi que je lui proposais de venir, cependant, elle devrait mériter cette gourmandise.

Nous partions ainsi du restaurant, madame nous précédait, et comme un bon client, je lui caressais les fesses en même temps, d’ailleurs, lors de notre courte marche dans la rue, mes mains faisaient relever sa jupe, offrant ainsi au quidam une sublime vue.
Monsieur nous suivait, et ne perdait pas une miette de sa superbe divinité en train de se faire outrager en pleine rue, par ce client…

Nous nous sommes retrouvés alors dans l’ascenseur, et à proximité d’Elle, je relevais complètement sa jupe, et découvrait alors un ensemble de lingerie tout à fait raffinée. Elle se laissait faire, laissant le client regarder ce pour quoi il avait payé…
Tout au long de ce voyage, je lui glissais alors des mots crus, je la traitais de superbe salope, ou de divine chienne (Madame adorant ce genre de mots crus).
Lors du périple dans les dédales de l’hôtel, Madame est ainsi, jupe relevée, montrant sa divine croupe à mes yeux et celui de son mari, encouragée par des mots de plus en plus crus, vantant sa perversité.

Nous rentrons ainsi tous les trois dans cette vaste chambre d’hôtel (j’avais pris une grande chambre – espace rare dans un hôtel parisien), j’offrais à mes convives différentes boissons alcoolisées venant du minibar, puis nous nous sommes assis sur le sofa, face à la table basse.
Dés que je fus installé, je demandais à cette superbe salope, de retirer son string.
En délicieuse coquine, elle me tourna le dos, se cambra et me montra sa croupe, se pencha en avant et l’enleva tout doucement.
Tous les deux assis sur le sofa, je lui demandais alors de se mettre à quatre pattes sur la table, afin qu’elle me présente sa croupe que j’allais saillir.
Elle s’exécuta …
(À suivre)
Modifié en dernier par belcomte le 23 août 2010, 19:15, modifié 2 fois.
#72244
Merci pour vos encouragements, je posterais la suite trés bientot,
pour répondre à Lilo, Monsieur a pris des photos, mais c'est lui qui décide de les poster ou pas...
Et oui, la suite est torridement sensuelle et délicieuse, mais je souhaite avoir le temps des mots pour la décrire
sergio a liké
#73302
Merci à vous tous pour vos encouragements et commentaires.
Non, il ne s'agit pas d'Elixire, et le mari gentleman qui m'a permis d'avoir cette superbe soirée m'a confirmé qu'il mettrait un mot à la fin de ce récit. Voilà donc la deuxième partie, avant la troisième et dernière.


Nous étions là sur ce sofa, et La Divine nous montrait sans pudeur son intimité. Je me régalais de ce spectacle, je la félicitais sur ses atouts, sur son statut de femme dépravée qui s’exhibe ainsi. Je profitais de l’instant, et lui demandais de bouger sa croupe, de la caresser.

Le jeu continuait, et je me levais pour m’approcher, je continuais mes compliments, les mots de salope, de chienne, de prostitué fusaient pendant que je faisait le tour du propriétaire. Tout doucement, je tournais autour de cette superbe créature, ma main se posait ça et là, sur une fesse, sur son dos, sur sa tête, un peu comme on apprécie une sculpture, je l’imaginais en Ménade, prête à tout pour la luxure, je voulais posséder son corps que je ne voyais que partiellement, uniquement sa croupe était découverte, magnifié par un porte-jarretelles, ses bas et ses chaussures à talons. Le moment était magique, d’une magie perverse et cérébrale, je tournais autour d’Elle presque au ralenti. Son mari assis sur le sofa dégustait cet instant si particulier.

Le silence régnait dans cette chambre d’hôtel, ma voix résonna alors pour lui ordonner de se dévêtir. Acquise à mon autorité de client, elle se leva, enleva son haut, je découvrais alors un soutien gorge redresse seins qui lui donnait un coté femme dépravée, faite pour plaire, faite pour le désir, elle enleva sa jupe aussi pour être dans l’uniforme parfait d’une prostituée. Mon sexe m’avait fait part de son inconfort depuis la fin du diner, je me décidais à le libérer de son carcan, et il jaillit et se dressa.

« Viens ici, et viens me sucer cette superbe queue que tu as mérité ». C’est avec ces mots, toujours directif, que je m’adressais à Elle, et elle s’exécuta accroupie pour s’approcher de mon membre, gourmande, je lui disais que c’était une superbe salope, et qu’elle aurait la chance de profiter de ma queue. Ainsi, doucement, mais avec une agilité certaine, elle engouffra ma queue, et la suça avec vigueur, elle ne pouvait l’enfiler dans toute sa bouche, mais son mari la rappela à l’ordre pour qu’elle me gobe les bourses, qu’elle me lèche les couilles, comme une autre preuve de sa soumission à la luxure. Pendant un long instant, elle profitait de ma queue, et se faisait traiter de tous les adjectifs qu’une femme aussi dépravée et aussi passionnée par le plaisir méritait.

Cependant ma cérébralité, mon gout pour la perversité ne voulait pas s’arrêter là, je lui demandais de se remettre à quatre pattes sur cette table basse. Cette position lui donnait un statut de femme objet, un objet sexuel bien entendu pour le plaisir de son client. Dans cette position soumise, sa croupe toujours face au sofa, je me plaçais devant sa bouche afin qu’elle me suce à nouveau goulument. La perspective qu’elle donnait à son mari me faisait (presque, n’exagérons rien) envie. Il voyait sa femme, à quatre pattes, habillées comme une prostituée se démenant à sucer ce client. Sa croupe ondulait à chaque fois qu’elle engouffrait ma queue un peu plus. Sa langue se délectait de mon sexe lisse, je l’encourageais à nouveau, toujours avec des mots directs, lui ordonnant de mieux me sucer, si elle voulait que je la prenne…

Après un autre long instant ou je me délectais (et ma queue aussi) de la situation, ma queue abandonnait sa bouche, et toujours en costume, ma queue sortant et toute humide, je m’approchais de sa croupe.
Je lui annonçais alors : je vais te prendre comme une belle chienne que tu es, et ensuite, je te prendrais par le cul…
#74844
Bonjour à tous et bonjour à Belcomte!
Je suis l'heureux mari de la jolie dame décrite avec beaucoup de talent par Belcomte. Un homme, raffiné, cultivé, gentlemen et pervers à souhait... La soirée fut aussi délicieuse que mémorable.
Je laisse Belconte terminer son récit. Merci à tous pour vos commentaires!
Wanderer
pat45, michpat, Hbipourmecs et 1 autres a liké

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