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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par thierryalain
#744269
Hier encore Madame X, l'élégante et austère patronne de la pharmacie toisait la clientèle d'un air aigri et sévère ; jamais un mot aimable
et toujours à bousculer les petites assistantes sous prétexte de rentabilité. Un jour, alors qu'elle était seule derrière le comptoir, je fus séduit
par les courbes généreuses que dessinait le joli moule de sa blouse blanche. Mes questions sur les sirops et autres petits soins de santé
n'étaient que des prétextes pour gagner du temps et profiter du joli panorama de son corps ondulé. Je me rinçait l'oeil quand elle se retournait
et je lorgnais son cul que je trouvais à mon goût. Je remarquai que ses belles fesses de femelle semblaient à l'étroit dans son tablier noué aux
hanches par une petite cocarde blanche que j'aurais bien dénoué derechef.

Ses lunettes un peu classiques et trop carrées cachaient ce qui en vérité, à mieux y regarder, était un visage d'un beau dessin japonisant.
Je décidai tout à coup de prendre les devants tant je mourrais d'envie de faire tomber son masque fragile de femme qui croit tout contrôler.
D'ailleurs c'était le bon moment car elle commençait à être exaspérée par mes questions incessantes qui dépassaient à présent la limite de
ce qu'elle pouvait tolérer.

- Bon, vous n'avez pas l'air de savoir exactement ce que vous voulez monsieur, me lâcha-t-elle sèchement.

Au lieu de me fondre en excuses comme je l'aurais fait ordinairement, je ne dis rien et me contentai de scruter ses yeux en laissant
flotter un grand silence qui nous troubla tous les deux.

- Euh oui, pardon, J'abuse de vous alors que vous êtes seule en magasin. Pardonnez-moi mais, .. une toute dernière question.
(j'en profitai pour lâcher un petit lapsus volontaire)
- Est-ce que vous utilisez, euh .. est-ce que vous vendez des gels lubrifiants ?

Après un silence plus long mais plus doux que le précédent, la bouche légèrement entrouverte par la stupéfaction et les yeux hypnotisés par l'idée
soudaine d'une bite disponible sur le champ, elle entonna ces quelques mots malicieux

- Si monsieur veux bien me suivre dans l'arrière-boutique.

Il ne nous fallut qu'une minute pour verrouiller la porte et défaire sa jolie tenue blanche de pharmacienne lubrique. En lui sommant de baisser les yeux et de maintenir son tablier bien relevée sur ses dessous. je lui rabaisse sèchement sa petite culotte jusqu'à mi-cuisse. Je la forcer à m'exhiber vulgairement
son petit trésor de chair duveteuse. Ses lèvres sont bien visible et pendant que je me réjouis du spectacle je tripote bien à fond la chair de ses fesses et
du petit trou chaud et moite entre elles.

Voilà, madame X. est moins fière tout à coup, obligée qu'elle est à présent de me montrer sa chatte eau grand jour et de se laisser tripoter le fion.
Je me penche sur son minou. A présent, la voici qui a vendu son royaume pour quelques coups de langue bien placés et plus rien ne peut plus retenir
son râle profond de chienne satisfaite comme j'aime. Je lui lèche goulûment les lèvres roses et humides, et son gros bonbon à présent rouge et tendu
de désir entre ses doigts me supplie de le manger

Je l'invite à se retourner. Elle se soumet définitivement à mes caprices en s'exécutant dans un bruit de talon qui s'ajustent. Ca y est, nous y sommes,
et j'y vais d'une fessée franche et de quelques pincettes obscènes, en creusant bien profond avec mes doigts, toujours et encore dans sa honte de
femme déchue, encore et encore dans la-mienne de bête révélée qui se dans sur cette poupée de chair à baiser. Mais non pas tout de suite.
Je veux encore profiter de la situation, aller et venir avec ma bite dans la mains vers sa bouche et la fourrer, puis retourner vers la vulve en demande,
pincer toutes ces extrémités délicieuses et recommencer sans cesse. Une fessée par-ci, un doigt dans le cul par-là, une petite semonce sur les tétons,
et un dernier bourrage encore.

C'était délicieux de l'entendre répondre "Oui Monsieur" à mes question du genre

- Alors tu l'as bien mérité cette correction ?

- Oui monsieur, je suis votre petite p--e et il faut bien m'utiliser, faites ce que vous voulez !

Aussi tire-t-elle bien la langue hors de la bouche et ce spectacle ainsi que celui de sa petite culotte de coton à ses chevilles me rend fou.

- Bon je vais me vider dans ton cul, écarte bien les fesses avec tes doigts !

- Oui Monsieur.

Et elle s'exécute splendidement. Voilà son trou du cul totalement offert et j'en profite pour y faire disparaître mon membre gonflé et sans tarder vider
ma semence en quelques longues salves de plaisir. Puis aussitôt elle se relève et vient me nettoyer tout ça à coups de langues papillonnantes et petite
sucions divines. Petit détour vers l'anus, puis elle prend une dernière fois mon sexe reposé dans la bouche pour le faire reluire et avaler les dernière
gouttes.

- Allez file maintenant, lui dis-je sans ménagement, retourne au boulot ! je reviendrai si j'ai encore besoin de tes services et pas de bêtise hein, sinon
c'est la correction assurée !

- Oui Monsieur, me répond-elle avec candeur et je lorgne une dernière fois ses fesses lorsqu'elle s'en va avec son air adorable de personnel soumis.
Une fois rhabillé je dégainz une cigarette et m'en vais rejoindre ma destinée, sans même un regard pour elle en claquant la porte bien huilée de la divine pharmacie.

En ce jeudi ensoleillé alors que je déjeunais tranquillement comme a mon habitude dans une brasserie connue de la place des ternes, survint brusquement s’asseyant à ma table un homme.
C’est vous ? … !!!!
Comment ca moi !
Est ce bien vous qui avez fais l’amour a ma femme ?
A son comportement assez empressé le garçon s’approcha et s’adressant à moi : ca va bien monsieur ?
Pour le moment oui répondis-je mais ce monsieur !! L’homme alors se ravisa et dit, ne vous inquiétez pas je ne ferais pas de scandale je veux juste lui parler…et en profitant pour commander un café au garçon de salle.
Ce dimanche, n’avez-vous pas fais l’amour à une femme ? À peine sa phrase terminée que je voyais penaude sur le trottoir une femme que je reconnu aussitôt ; ma pharmacienne. !
L’attitude de l’homme était ambivalente à la fois énervée et menaçante mais je distinguais néanmoins autre chose… ! Que me veux t il ? Mari jaloux ? … mais je sais gérer ces situations.
Calmement je lui demandais (connaissant sa réponse) est elle pharmacienne ?
Vous savez bien !! Pourquoi il y en a plusieurs ?!!
Que me voulez-vous ? Oui nous avons passe un moment ensemble …. !! Savez vous pourquoi ?
Devant mon sang froid, l’homme resta un instant fige et sans paroles !!!!
Si vous voulez en parler pourquoi ne pas l’inviter a notre table plutôt que de la laisser sur le trottoir à attendre et nous en parlerons calmement ensemble…
Déstabilisé le mari cocu s’effondra sur la table en pleurs. J’ai honte et n’ai même pas le courage de vous casser la gueule …..
Je hélais le garçon en demandant si nous pouvions s’installer dans le fond de la salle un peu à l’écart, je me levais et pris le mari par le bras et l’invita à me suivre vers notre nouvelle table, chemin faisant je fis signe a notre pharmacienne de nous rejoindre. Toute hésitante et un peu affolée dans son tailleur bleu ciel à pas tremblants elle fini par nous rejoindre et s’attabler avec nous.
Le garçon s’approcha de nous et commandons 3 cafés et un grand verre d’eau pour le cocu !
Là plus tranquille le repris la main de la situation et tentant de « réconforter » le mari.
Reprenant ces esprit il me dit je suis un lâche, je l’aime et suis jaloux, mais le pire c’est que quand je vous ai aperçu en arrivant dans l’arrière office, j’étais pétrifié et excite en même temps !
Et lui ai fais une scène à la maison. J’étais jaloux de la voir jouir aussi intensément, elle n’a jamais été ainsi avec moi. Elle m’assure que c’était la 1ere fois mais je ne la crois plus !
C’est vrai avec moi c’était la 1ere fois !!! C’est alors que la pharmacienne (fabienne de son prénom) d’une main discrète me serra fortement la cuisse, signe qui se voulais dire n’en dit pas plus !
Mais peut être étais-ce un fantasme de longues dates, n’en avez-vous jamais parlez entre vous ?
Le cocu, non jamais, jamais je n’aurais imaginé une telle chose et pourtant c’était mon plus profond désir, mais avais peur de passe pour un détraqué sexuel et qu’elle me quitte !
Là, la main de la pharmacienne se desserra de ma cuisse et commença à glisser doucement vers ma braguette et fis gonfle aussitôt mon sexe.
Cette complicité impudique a quelque centimètre du cocu était très émoustillante ;
Je rassurais maintenant le cocu et lui découvrant ma profession (sexothérapeute) et dis que je pourrais aider son couple en les recevant en consultation, et que du fait de la situation il ne leur en couterait rien ……

La pression légèrement retombée, je leur proposai de venir parler plus amplement de cette situation à mon cabinet, lieux ou nous serions plus à même d’entrevoir une issue positive.
Je ne sais pas suis perdu, vous coucher avec ma femme et vous voulez être mon thérapeute ?
Nous laissant parlez son mari et moi, notre pharmacienne continuait néanmoins à me caresser au travers du pantalon me faisant gonfle plus ardument. Nos regards se croisèrent furtivement et ce léger sourire à peine perceptible et suggestif de la belle amplifiait le piquant de la situation et ne pu me retenir à glisser subrepticement une main sur la cuisse de mon amante dominicale. Et m’enfonçant plus encore entre ses cuisses je sentis la moite chaleur d’une excitation de friponne.

Venez à mon cabinet tout proche, et voyons ensemble quel confrère je pourrais vous soumettre !
Mêlant le geste à la parole je me levai et régla les consommations et mon déjeuner et enjoignant mes « patient » à suivre. Nous traversâmes la rue et tout en pénétrant sous le porche donnant sur le cabinet, je les précédèrent et ouvrir la porte et les invita à entrer.
Là dans le salon détente commun aux trois cabinets (sachant que mes collègues n’exerçaient pas aujourd’hui) je les fis s’assoir dans les fauteuils tandis que je prenais place dans le petit canapé 2 places.
Expliquez-moi ce que vous ressentez,
Un mélange d’excitation et de jalousie et frustration.
Je vois encore l’image de fabienne sous votre étreinte la voir lubrique et délicieusement perverse me demandais tellement de plaisir, suis malade,
Vous êtes tout bonnement comme énormément de couple un mari candauliste, c’est très courant... !
Et ce qui est merveilleux c’est que votre femme aime aussi prendre du plaisir avec un autre que vous, si vous aviez parlez ensemble de vos désirs et fantasmes vous n’auriez pas vécu c’est souffrance. La communication est primordiale dans un couple.
Confiez-vous, quels sont vos désirs secrets de votre libido ?
En fait j’aime l’imaginer la voir faire l’amour avec un ou plusieurs hommes.
Demandant à fabienne de s’approcher et s’assoir auprès de moi, là en la voyant a cote de moi que cela vous fait-il ? De la jalousie ?
Si je ne savais pas que vous avez fais l’amour avec ma femme rien vous êtes toubib ! Mais là… !
Là quoi... ? À quoi pensez-vous ?
Je me dis que des que j’aurais le dos tourné…..
Et maintenant si je la prends par la taille ?
Une chaleur me monte et me serre la gorge….
Expliquez ? Que se passe t il ?
Je vois qu’elle se laisse faire et n’ose imaginer ;
Pendant que j’essayais de faire exprimer au mari ses ressentis, lorsque je pris fabienne d’un bras par la taille, elle fit de même et glissa sa main sous ma veste et me caressa le dos.
La sachant réceptive j’osais transgresser toutes règles déontologiques.
Et maintenant demandais je au mari, j’ouvre son tailleur et je glisse ma main sur sa poitrine que ressentez vous ?
Je vis le mari devenir si rouge et perlé de sueur, il ne dit mot, voulant pousser plus loin et désirant renouveler avec la belle pharmacienne, je dégrafais son corsage laissant apparaitre la dentelles blanche de son soutien gorge et y glissa la main. Doucement je caressais son sein regardant les réactions du mari.

Ne faites pas ca s’il vous plait !!!
Pourquoi que se passe t il ? N’était pas belle et désirable ainsi ?
Si bien sur mais …
Abusant de mon emprise, je déboutonnais entièrement le corsage de la belle, d’où maintenant apparaissait son ventre et sa généreuse poitrine dans son écrin de dentelle blanche. Ma main passait sur son ventre si doux, remontait sur ses seins que je sentais gonfler et se tendre sous ma main.
Regardez comme elle est belle et comme elle s’épanouie sous les caresses dis-je
Ca me trouble dit le mari expliquez moi se qui se passe en moi ?
Juste l’émoi d’un désir enfoui qui désire s’exprimer tout en prononçant ces mots je descendis ma main sur la jupe de l’infidèle puis la remontais doucement découvrant peu à peu les cuisses galbées de la cocufieuse.
Catin tu aimes ca hein!! Ces mot soudains sortirent de la bouche du mari, il se lâchait, sa nature se révélait.
Vas y réponds dis le que t’aime ca te faire tripoter… allez dis le !!!
Voyant le nouveau comportement du mari je décidais allez plus a même dans son sens, je remontais complètement la jupe de fabienne, pour mettre a jour le haut de ses cuisses, les écartais en y glissant la main.
Du bout des doigts je senti l’humide intimité de la garce qui ne se faisait pas priée.
Son sexe était gonfle et déjà trempe, juste protégé par un fin voile laissant transparaitre ses lèvres .je la branlais doucement par-dessus ce voile c’est alors que fabienne laissa échapper un petit râlement de sa bouche entrouverte.
Tu n’es qu’une p--e ! Dis le mari mettant sa main devant son sexe pour ne pas laisser voir qu’il bandait…
Je dis a fabienne, lève –toi et place toi devant ton mari, elle s’exécuta, je vins derrière elle, m’accroupit et passant mes mains sous sa jupe, je retirais sa culotte la faisant glisse le longs de ses jambes. Me redressant je remontais maintenant sa jupe pour offrir au regard de son mari la vulve épilée de sa Messaline, moi derrière elle j’y passais mes mains la branlant a quelques centime des yeux du cocu,
Regarde, comme elle s’ouvre ta femme c’est une vraie salope !
Oui une vraie salope ! Hein fabienne que t’es une salope ? Allez je veux que tu le dises !
Oui chéri je suis une « salope » lâcha t elle en ayant du mal à prononcer ce dernier mot.
De mes mains j’écartais ses lèvres et lui glissa dans l’oreille, branle toi devant lui ca lui plait.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle se cambra appuyant ses épaules contre moi et poussant son sexe en avant et de ses doigts titillait son sexe passant sur son clito découvert, gonfle et si rose, puis s’enfonçant au fond elle par de petit mais précis va et vient. Laissant fabienne se branler pour le plaisir de tous, je commençais à lui ôter son tailleur et corsage, puis dégrafais le soutien gorges qui libera ses seins aux aréoles parfaitement dessinées et les tétons tendus et durcis. Le tour de la jupe vint et tomba à terre.
Entièrement nue devant son mari fabienne ne cessais d’aller encore et encore en elle sa main disparaissais presque entièrement maintenant tellement elle est trempée et ouverte.
Je pris fabienne et lui fis faire demi tour, lui ecarta les cuisses et la fis se pencher en avant. La maintenant d’un bras pour ne pas qu’elle chute, j’offrais maintenant son cul et sa chatte béante au mari. Et maintenant que penses-tu d’elle ?
Avant même qu’il ne réponde le caressais le cul de fabienne, et cartant les fesses de la belle pour montrer son petit trou du cul de fabienne continuait à se branler d’une main.
Sale p--e !!! T’es bonne qu’à baiser salope !!
Il me regarda et dis baisez là, là maintenant devant moi, je veux la voir enculée cette p--e.
A ces mots, je défais ma ceinture et tomba le pantalon, présentais ma verge a la bouche de fabienne qui me happa aussitôt le gland et la verge jusqu'à la garde. Tout en me suçant je lui travaillais le cul de la main elle s’occupant toujours de son sexe dilaté par son branlage incessant
Bien raide au fond de sa gorges, j’ôte mon veston et ma chemise, me retire de sa bouche et l’amène vers le canapé, la penche en avant, elle s’appuie les bras en avant sur le dossier du canapé, je me glisse derrière, lui écarte les cuisses et les fesses, sur son sexe libéré, chaude et trempé, je glisse mon sexe, mon gland turgescent allant entre ses lèvres et titillant son clito.
Très excite à mon tour je pris un condom et l’enfila sur mon sexe tendu ; son mari s’approche de nous tout prêt et matait, vas y baise la cette salope. Dit-il tenant son sexe par la barquette ouverte de son pantalon. Ne voulant déplaire à mes hôtes, de mes mains j’écartais chacune des fesses de la salope en question, son méat anale déjà bien ouvert m’accueille sans soucis, juste forçant légèrement l’entrée avec mon gland que déjà je me sens aspirer au plus profond de ce cul si rond et d’’une chaleur intense. Vois comment elle a l’habitude de se faire prendre le cul ta femme !
Oui défonce la bien cette chienne. ! S’agenouillant sur le canapé au cote de sa femme il sorti son sexe et lui assena, suce ma queue salope, bouffe la complètement !!
Sans mot dire , fabienne s’exécuta avec allégresse et engloutie la verge de son cocu de mari,
Il la maintenait par la nuque pour que fabienne prenne bien au fond son sexe, alors pouffiasse c’est bon (comme ci elle pouvait répondre avec sa queue dans la bouche sic !)…je continuais à ramoner avec vigueur ma pharmacienne, a chaque coup de rien en entendait le claquement de son cul contre mon bassin, elle était trempée et coulait le long de ses cuisses, je m’extrais un moment pour m’enfouir dans le sexe ruisselant de ciprine de la belle salope ….. Dès que j’étais entré en elle, elle laissait s’echapper un râle de plaisir, entrouvrant la bouche et laissant s’écoulé le jus du mari qui s’était déchargé en gorges de la chaude Lilith.
Avale salope !!! lui ordonna son mari et la Messaline s’exécuta , et moi toujours en ruade profondes et puissantes tel les piston d’un paquebot effréné je limais et limais encore de plus en plus frénétiquement c’est alors que la pharmacienne hurla du fond de son être libérant sa jouissance tant oralement que physiquement en un jet puissant elle m’inonda tel les fontaines de Versailles.
T’as jouis chienne, t’en veux encore ? Ho ho oui encore …
Vas y me dis son mari défonce la !! Encore plus !! Besogneux je continuais à lutiner la belle mais je savais qu’à mon tour je n’allais pas tarder à jaillir. Lui se branlais a pleine main, me voyant il me dit tu vas venir, lui répondant par l’affirmatif il me dit arrose la alors !!
Me retirant alors, j’ôtais le condom et agitant son sexe d’une main j’allais inonder la belle de ma semence qd le cocu dis tire la langue pouffiasse et reçoit son jus, je m’approchais donc de cette langue tendue sur cette bouche ouverte et jailli puissamment sur la langue et son visage, elle s’en pourlécha jusqu'à la moindre goutte…
Le cocu me dit tout simplement merci et pour la thérapie, on remet ca prochainement si vous voulez car j’ai compris que c’est comme ca que j’aime jouir et la voir jouir.
Il y a-t-il une salle de bain.
Je répondais par l’affirmatif et allions tous trois dans la salle de bain pour une toilette et douche bien méritée. Se rajustant chacun son tour, les raccompagnant a la porte la pharmacienne me dis à son tour oui c’est qg tu veux maintenant qu’il est au courant et qu’il veut lui aussi … ! Passe à l’officine très vite.

Voila c’est la fin de cette petite histoire ou il y aura surement une suite mais cela est une autre histoire, espérant que cela vous a plu.

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