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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
par Isadomi
#817934
Il ne faut pas confondre chasteté et privation comme veut le dire Cassandra.
Mon mari reste chaste, comme celui de Cassandra environ trois semaines. C'est ça qui le tient dans cet état d'excitation et de dévotion que j'adore. J'ai remarqué qu'après l'orgasme, il faut le remettre à sa place très vite. J'éssaie d'obtenir une nouvelle érection presque immédiatement. Désolée de ces détails, mais pour le remettre dans le bon état d'esprit je l'envoie nettoyer les toilettes. Ca marche. Son sexe redevient dur, et je reprends le contrôle des opérations.
Ce de quoi il est privé, et bien privé, c'est de moi. J'ai accepté il y a deux ans de le laisser me faire l'amour pour son anniversaire. D'ailleurs cette idée me plaisait et j'avais même un peu envie de lui... Nulle n'est parfaite ! Le pauvre chéri m'a pénétrée deux ou trois minutes avec précaution sans s'enfoncer trop en moi de peur de jouir trop vite, ce qui lui est tout de même arrivé ! Et bien, croyez moi ou pas, après cette performance minable, il était tout fier de lui et jouait presque au coq.
Depuis fini, il le sait si bien, que quand nous sommes seuls et qu'il comprend qu'il me faudrait un homme, il sort de lui même le joli joujou en caoutchouc ! Plus gros et plus résistant.
Quand il me caresse, je lui permet d'utiliser sa langue (il est doué) et son pouce.
Voilà, je vous embrasse.
par cassandra
#818512
Le témoignage de Isadomi répond très justement à ce que je vis avec mon mari. Elle a des mots que je n'ai pas.
Comme elle le dit, je scinde bien privation de moi et gestion de l'abstinence sexuelle (le contrôle de ses éjaculations est l'élément fon-da-men-tal pour le maintenir dans un état de désir absolu. Il faut que ce désir reste à son pic pour que son amour soit ouvert à toutes les possibilités et à la plus grande attention pour moi).
Alors, oui, j'ai décidé récemment que mon mari ne me ferait plus l'amour. Je ne sais si je tiendrai, mais ma décision est ferme et réelle. Le soir où j'ai pris cette décision, cela faisait près de 8 jours qu'il n'avait pas joui. J'ai enjambé son visage, je me suis assise sur lui et je l'ai sucé. Longtemps. Le plus vicieusement possible. J'y ai mis toute la sciences de ma bouche. Je sais que les mots que j'utilise, à ce moment, ont une force insoupçonnée sur son mental. De temps en temps, je faisais une pause et je lui demandai s'il avait envie de ma chatte. Il me disait oui bien sûr : alors j'écartais ma culotte et avec la main, je guidai son visage entre mes fesses en lui disant : "bon, et bien la voilà, régale-toi !" Puis je le reprenai à nouveau dans ma bouche, et ainsi de suite. Je sais le moment où mon emprise est si forte sur lui que je peux lui faire accepter l'inacceptable. C'est là que je lui ai annoncé la nouvelle : "mon chéri, j'ai pris une décision importante et irrévocable : tous les deux, c'est terminé, on ne baisera plus. Tu en as beaucoup profité, maintenant c'est fini. Tu entends, c'est fi-ni ! Il va falloir que tu te montres à la hauteur parce que cela va avoir de grandes conséquences sur ta vie. Tu vas apprendre à te passer de moi, c'est d'accord mon cocu chéri ?"
Et il a dit oui. Il n'était plus en mesure de refuser : il a tout accepté, en bloc. Et pour être sûre de son engagement, je l'ai à nouveau sucé... jusqu'à ce qu'il me demande, de lui-même, que je ne lui offre plus mon corps. Je sais qu'il va finir par prendre la mesure de cette privation. Et que lorsque j'aurai besoin de plaisir, comme le dit Isadomi, il prendra naturellement les jouets plutôt que son sexe dont il ne sait plus avoir la maîtrise pour me faire jouir.
par cassandra
#818653
La question de la domination s'inscrit, dans mon cas, dans le cadre d'une relation amoureuse forte. Suffisamment forte pour que puissent y être rompues les frontières sociales du bien et du mal... et ouvertes toutes les possibilités d'aimer. Mon mari est mon partenaire sexuel (enfin l'était depuis que j'ai décidé qu'il ne me pénétrerait plus). Mais il est aussi le père de mes enfants, mon frère de sensibilité et le gardien d'une cellule familiale stable indispensable pour moi. Ce n'est en aucun cas une contradiction. Dans ce "cadre standard", les champs du possibles sont simplement agrandies. Transgresser les règles du mariage et du candaulisme n'est en aucun cas abolir ni les vertus du mariage ni celles du candaulisme.
Voilà pourquoi je considère que seul mon mari peut être mon "soumis" (le mot ne me satisfait pas).
Parallèlement à cette relation maritale, d'autres formes de souveraineté féminine sont bien sûr possibles. Cela m'est arrivée deux fois. Mais elles ont rapidement trouvées leurs limites, parce que ces hommes eux-même ont fini par demander à ce qu'elles soient actées dans une relation de mari et femme. Hors je suis déjà mariée.
Il pourrait, peut-être, y en avoir d'autres. Mais la possibilité me semble mince. Il me faudrait trouver et la force de les soutenir, et le temps d'en disposer... et surtout le bénéfice à y trouver.
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par utoeuta
#819336
La question de la privation se pose vraisemblablement systématiquement dans un couple candauliste. Si le couple cuckold se satisfait de relations éphémères - voire même se trouve mieux avec des partenaires multiples au fil du temps - le couple candauliste n'existe pour nous que dans une relation suivie entre l'amant et la femme (ne parlons pas des femmes candaulistes, très rares). De facto, l'amant prend de plus en plus de place, et le mari est de fait privé. Sa privation peut être jouissive pour lui, ou lui devenir insupportable. En ce dernier cas, la relation ne persiste pas (ou ne devrait pas persister).
Cassandra nous semble assez excessive...mais pourquoi pas. Ce que nous mêmes nous vivons parait certainement excessif à bien des lecteurs. Au moment même où j'écris ces lignes dans mon bureau, ma femme est dans les bras de JJ - son amant - dans notre lit. J'ai dormi dans la chambre d'amis, comme depuis qu'il est arrivé à la maison. Il est évident que si ma femme choisit de passer la nuit avec JJ et pas avec moi, je suis privé de fait de relations sexuelles avec elle.
#819404
utoeuta a écrit :La question de la privation se pose vraisemblablement systématiquement dans un couple candauliste.

Non, définitivement, non. Ce n'est en rien ma conception du candaulisme. Je ne vois vraiment pas pourquoi il devrait y avoir privation du mari. Je trouve choquant d'affirmer une telle chose. Qu'un couple souhaite instaurer cette privation, pourquoi pas, à chacun ses choix, liberte à chacun de mener la vie qu'il souhaite mener. Que ces couples viennent ici en exposer les faits et gestes, la psychologie, leur façon de vivre le candaulisme, ce forum est fait pour ça. Que les gens sensibles s'abstiennent de le lire.

Mais je refuse complètement que soient associés "systématiquement" les termes candaulisme et privation (sous-entendu du mari). Et de même, je refuse également être considéré comme cocu.

utoeuta a écrit : Si le couple cuckold se satisfait de relations éphémères - voire même se trouve mieux avec des partenaires multiples au fil du temps - le couple candauliste n'existe pour nous que dans une relation suivie entre l'amant et la femme (ne parlons pas des femmes candaulistes, très rares).


Le cuckold est une dérive assez extrême du candaulisme. Je crois qu'on est un peu en train de mélanger des films comme Emmanuelle avec les productions GGG dans lesquelles des dizaines de mâles giclent et pissent à tout va sur une ou deux filles. Quant à une relation suivie entre l'amant et la maitresse, je suis un peu plus enclin à acquiescer, encore faut-il s'entendre sur le terme "suivie". Mais à nouveau, à mon sens, considérer un couple candauliste avec un seul et même amant est une forme du candaulisme. Certains couples changent régulièrement d'amant, mais pourtant, le principe reste exactement le même.

utoeuta a écrit : De facto, l'amant prend de plus en plus de place, et le mari est de fait privé. Sa privation peut être jouissive pour lui, ou lui devenir insupportable. En ce dernier cas, la relation ne persiste pas (ou ne devrait pas persister).


L'amant prend la place que le couple lui donne, que le couple DECIDE de donner. Ce qui est votre pratique, n'est certainement pas la pratique généralement faite, et certainement pas la mienne. Pourtant, je me revendique comme étant candauliste.

utoeuta a écrit :Cassandra nous semble assez excessive...mais pourquoi pas. Ce que nous mêmes nous vivons parait certainement excessif à bien des lecteurs. Au moment même où j'écris ces lignes dans mon bureau, ma femme est dans les bras de JJ - son amant - dans notre lit. J'ai dormi dans la chambre d'amis, comme depuis qu'il est arrivé à la maison. Il est évident que si ma femme choisit de passer la nuit avec JJ et pas avec moi, je suis privé de fait de relations sexuelles avec elle.


Cassandra, excessive. Cassandra vit sa vie, semble-t-il en parfait accord et harmonie avec son mari. Ils ont choisi. Ce qu'elle accepte de nous raconter ne doit pas être jugé, ou caractérisé par des mots. Que ceux qui se sentent proche d'elle ou de son histoire, ou encore de sa conception, en discutent, et échangent. Aux autres de lire ou de passer leur chemin. Ou par curiosité, de poser des questions.

Votre démonstration générale est totalement biaisée par le fait que vous considérez comme des évidences des éléments qui ne sont que des hypothèses, ou des choix mûrement réfléchis au cours de la vie. Une chose est sûre : le candaulisme est un chemin aux dizaines de destinations différentes. A certains moments, un couple fera le choix d'emprunter l'itinéraire de gauche, ou celui de droite. Mais à nouveau, votre parcours n'est vraiment pas celui de la majorité, qui aspire plutôt à apprécier un peu de diversité, s'offrir des extras, et jouer des jeux d'adultes.

Mon avis.
par Isadomi
#819483
Eh oh les frimeurs, vous n'y connaissez rien. Il y a des garçons qui ont besoin d'obeïr et d'être soumis. Ils ne sont pas plus c... que vous pour autant. Seulement, ils ont mis leur femme au dessus de leur petit plaisir et de leurs petites branlettes. C'est tout. En contrepartie, il faut les tenir dans la voie qu'ils ont choisie et savoir être sévère quand ils jouent à touche pipi. Je ne vois pas en quoi ça vous rend dingues à ce point ! A moins que...
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par utoeuta
#820371
FernandRenaud a écrit :
utoeuta a écrit :La question de la privation se pose vraisemblablement systématiquement dans un couple candauliste.

Non, définitivement, non. Ce n'est en rien ma conception du candaulisme. Je ne vois vraiment pas pourquoi il devrait y avoir privation du mari. Je trouve choquant d'affirmer une telle chose. Qu'un couple souhaite instaurer cette privation, pourquoi pas, à chacun ses choix, liberte à chacun de mener la vie qu'il souhaite mener. Que ces couples viennent ici en exposer les faits et gestes, la psychologie, leur façon de vivre le candaulisme, ce forum est fait pour ça. Que les gens sensibles s'abstiennent de le lire.

Mais je refuse complètement que soient associés "systématiquement" les termes candaulisme et privation (sous-entendu du mari). Et de même, je refuse également être considéré comme cocu.

utoeuta a écrit : Si le couple cuckold se satisfait de relations éphémères - voire même se trouve mieux avec des partenaires multiples au fil du temps - le couple candauliste n'existe pour nous que dans une relation suivie entre l'amant et la femme (ne parlons pas des femmes candaulistes, très rares).


Le cuckold est une dérive assez extrême du candaulisme. Je crois qu'on est un peu en train de mélanger des films comme Emmanuelle avec les productions GGG dans lesquelles des dizaines de mâles giclent et pissent à tout va sur une ou deux filles. Quant à une relation suivie entre l'amant et la maitresse, je suis un peu plus enclin à acquiescer, encore faut-il s'entendre sur le terme "suivie". Mais à nouveau, à mon sens, considérer un couple candauliste avec un seul et même amant est une forme du candaulisme. Certains couples changent régulièrement d'amant, mais pourtant, le principe reste exactement le même.

utoeuta a écrit : De facto, l'amant prend de plus en plus de place, et le mari est de fait privé. Sa privation peut être jouissive pour lui, ou lui devenir insupportable. En ce dernier cas, la relation ne persiste pas (ou ne devrait pas persister).


L'amant prend la place que le couple lui donne, que le couple DECIDE de donner. Ce qui est votre pratique, n'est certainement pas la pratique généralement faite, et certainement pas la mienne. Pourtant, je me revendique comme étant candauliste.

utoeuta a écrit :Cassandra nous semble assez excessive...mais pourquoi pas. Ce que nous mêmes nous vivons parait certainement excessif à bien des lecteurs. Au moment même où j'écris ces lignes dans mon bureau, ma femme est dans les bras de JJ - son amant - dans notre lit. J'ai dormi dans la chambre d'amis, comme depuis qu'il est arrivé à la maison. Il est évident que si ma femme choisit de passer la nuit avec JJ et pas avec moi, je suis privé de fait de relations sexuelles avec elle.


Cassandra, excessive. Cassandra vit sa vie, semble-t-il en parfait accord et harmonie avec son mari. Ils ont choisi. Ce qu'elle accepte de nous raconter ne doit pas être jugé, ou caractérisé par des mots. Que ceux qui se sentent proche d'elle ou de son histoire, ou encore de sa conception, en discutent, et échangent. Aux autres de lire ou de passer leur chemin. Ou par curiosité, de poser des questions.

Votre démonstration générale est totalement biaisée par le fait que vous considérez comme des évidences des éléments qui ne sont que des hypothèses, ou des choix mûrement réfléchis au cours de la vie. Une chose est sûre : le candaulisme est un chemin aux dizaines de destinations différentes. A certains moments, un couple fera le choix d'emprunter l'itinéraire de gauche, ou celui de droite. Mais à nouveau, votre parcours n'est vraiment pas celui de la majorité, qui aspire plutôt à apprécier un peu de diversité, s'offrir des extras, et jouer des jeux d'adultes.

Mon avis.


Cher FernandRenaud
Nous avons précisé vraisemblablement systématiquement...
Nous pensons que le candaulisme (dont nous admettons bien volontiers que chacun puisse prétendre affiner sa définition) se conçoit dans la régularité. Uta libertine en ma compagnie (nous sommes mariés) depuis presque 20 ans. Plusieurs milliers de partenaires hommes et femmes ont baisé avec elle. Très vite, cela m'a absolument lassé. Je n'éprouve d'excitation à voir ma femme "s'offrir" avec mon consentement que si son/sa partenaire me parait ressentir quelque chose pour elle. Je me trompe extrêmement rarement, et en quelques minutes j'identifie un homme ou une femme pour le/la que(le) ma femme "flashe". J'évalue sur la quantité impressionnante de rencontres (pas si considérable que cela divisé par tant d'années et sachant que nous aimons les soirées "multi-couples") à entre 5 et 10 partenaires avec qui une relation "candauliste" aurait été possible sans aucun problème. Trouver le bon ou la bonne candidate est très improbable. Uta a été amoureuse d'une jeune femme qui rêvait que je tombe amoureux d'elle pour former avec nous un ménage à trois. Cette femme me plaisait, mais pas du tout sexuellement... Aucun des hommes qui plaisaient à ma femme n'étaient bisexuels. Le hasard de la vie a fait que ma femme est "tombée" sur JJ, son amant depuis 2 ans. Nous nous entendons très bien, même s'il n'est pas bisexuel. C'est ainsi, et cette relation qu'entretient ma femme avec lui - pour l'instant - m'est bénéfique autant qu'elle l'est pour ma femme.
Tout ceci pour affirmer (pour nous en tous cas), qu'un défilé de partenaires purement "sexuels" ne nous excite ni moi, ni Uta...
par cassandra
#820509
Cette référence à l'amour courtois me plaît, mon mari l'ayant évoquée dans nos échanges. Sa dévotion à moi, héritée des pratiques des chevaliers occitans... voilà qui me plaît !
Cet amour courtois est sans doute une expression, parmi d'autres, du candaulisme. L'amour éprouvé dans la distance et le sursis. La belle se dérobe toujours, mais cette distance est comme un don entre eux. Son désir inassouvi à lui ne se négocie pas contre sa chasteté à elle. Par amour, il est aussi tout ce que cette femme lui refusera. C'est la puissance romantique qui triomphe, dans la douleur et dans l'attente. Tout est permis pourvu que ce désir culmine.

Ma décision de priver définitivement mon mari de toute pénétration s'avère, au fil des jours, riche d'enseignements. Malgré quelques velléités (aussitôt réprimées), mon chéri semble se faire à l'idée de ne plus faire l'amour avec moi.
Est-ce l'expression achevée de son statut de cocu ? La révélation du plus grand amour à mon égard ?
Je l'observe. Je déambule sexy dans la maison, affichant sous une nuisette en tulle ce que je n'offrirai plus qu'à mes amants. Je glisse mes mains dans son slip, je soulève ses couilles et pèse tout le poids de leur dépendance. Je plante mes yeux dans les siens, je scrute ses pensées. Quelque chose de nouveau affleure en lui, je le sens. Et puis, pendant que je le branle doucement, tout en le fixant des yeux, l'aveu d'une révélation incroyable, d'une pensée lointaine que le candaulisme n'aurait fait qu'initier : l'idée que je suis une femme trop belle pour lui... trop désirée ailleurs pour espérer en jouir ici... qu'il l'a toujours su, redouté... et que tout devait finir (recommencer) ainsi.
Modifié en dernier par cassandra le 25 oct. 2011, 08:00, modifié 1 fois.
#821002
utoeuta a écrit :Cher FernandRenaud
Nous avons précisé vraisemblablement systématiquement...
Nous pensons que le candaulisme (dont nous admettons bien volontiers que chacun puisse prétendre affiner sa définition) se conçoit dans la régularité. Uta libertine en ma compagnie (nous sommes mariés) depuis presque 20 ans. Plusieurs milliers de partenaires hommes et femmes ont baisé avec elle. Très vite, cela m'a absolument lassé. Je n'éprouve d'excitation à voir ma femme "s'offrir" avec mon consentement que si son/sa partenaire me parait ressentir quelque chose pour elle. Je me trompe extrêmement rarement, et en quelques minutes j'identifie un homme ou une femme pour le/la que(le) ma femme "flashe". J'évalue sur la quantité impressionnante de rencontres (pas si considérable que cela divisé par tant d'années et sachant que nous aimons les soirées "multi-couples") à entre 5 et 10 partenaires avec qui une relation "candauliste" aurait été possible sans aucun problème. Trouver le bon ou la bonne candidate est très improbable. Uta a été amoureuse d'une jeune femme qui rêvait que je tombe amoureux d'elle pour former avec nous un ménage à trois. Cette femme me plaisait, mais pas du tout sexuellement... Aucun des hommes qui plaisaient à ma femme n'étaient bisexuels. Le hasard de la vie a fait que ma femme est "tombée" sur JJ, son amant depuis 2 ans. Nous nous entendons très bien, même s'il n'est pas bisexuel. C'est ainsi, et cette relation qu'entretient ma femme avec lui - pour l'instant - m'est bénéfique autant qu'elle l'est pour ma femme.
Tout ceci pour affirmer (pour nous en tous cas), qu'un défilé de partenaires purement "sexuels" ne nous excite ni moi, ni Uta...


Il est évident que votre conception personnelle et votre pratique du candaulisme ne peuvent être discutées en tant que telles. J'imagine que vous êtes disposés à en parler, à échanger (puisque vous êtes inscrits sur ce forum). Mais quoi qu'il en soit, en aucun cas, vos pratiques et votre vie ne doivent être critiquées ou jugées. C'est là, pour moi, une évidence.
Il en va de même pour l'histoire de Cassandra, ou encore celle de Steeve. Vous faites vos choix, et personne ne doit les juger.

Là où moi je ne suis plus d'accord, en synthèse, c'est que de l'avis des couples pratiquant le cuckold, le candaulisme implique des relations extra-conjugales de l'épouse sans le consentement de son mari, et encore moins sa présence. Et toujours, selon ces mêmes couples, la privation, voire la soumission du mari, sont (ou doivent être) obligatoires dans le candaulisme. Non. Le candaulisme peut tout à fait être respectueux, gentil, BCBG, sans volonté de dégrader quoi (ou plutôt qui) que ce soit. Le mari n'est pas non plus forcément le cocu que d'autres aiment être. Le candaulisme se nourrit de l'adoration ou de la vénération du mari à l'égard de sa femme. Qu'on manifeste à sa guise l'expression de ce fantasme, soit. Je ne juge pas. Mais de grâce, ne m'incluez pas dans votre courant et votre idéologie.

Mon avis.
par cassandra
#822346
Votre mot fait écho à une chose que j'ai dit à mon mari il n'y a pas si longtemps, sous le ton de la tendresse, alors qu'il m'implorait de lui faire l'amour : "comment mon chéri, tu ne voudrais quand même pas me souiller avec ton sperme de cocu !" Il y a avait là le ton d'une évidence, faite à la fois de légèreté et de fermeté, à laquelle il ne pouvait que se ranger. Cette évidence s'est comme refermée sur lui, pour l'englober dans son statut d'adorant transi...
#822391
Saisissant !

Je partage l'avis de la pollution, de la souillure. Il m'est insupportable l'idée de jouir moi-même si ma compagne n'a pas joui. En revanche, l'inverse ne me pose aucun problème. Evidemment.
par Isadomi
#822470
Le plus dur, c'est de se retenir. Quand mon chouchou se serre contre moi le matin, que je n'ai rien de prévu, et si j'ai un peu envie, j'ai envie de le laisser faire.
Mais je sais que ça gâcherait tout. Si il me fait l'amour, il devient un faux soumis. Ca devient une sorte de jeu malsain. Si je le prive vraiment, il entre vraiment dans cet etat d'esprit que j'adore. Il tremble en me regardant, il baisse les yeux, il n'ose pas rentrer dans la salle de bains quand je suis nue. etc.
Bon, je reviens sous la couette (c'est ca qui vous interesse, hein les petits cocus ?). en général, je lui donne juste l'ordre de me lécher. Si j'ai envie.
Parfois je le fais se lever ou se mettre à genoux et je regarde son sexe : tu vas me faire jouir avec ca ? Tu te sens capable. J'ai envie moi. Et je fais comme si il avait le droit. Fissa, la café à la cuisine, le chéri ! :D
Ou bien, punition, si je suis de mauvaise humeur. 10 jours de cage (croyez-moi, il ne la demande plus !) ou corvée.
Je domine mon mari depuis un certain temps, mon conseil : moins je lui en donne, plus il est serviable et amoureux. c'est triste, mais c'est dans sa tête.
#822566
Steeve a écrit :
FernandRenaud a écrit :Saisissant !

Je partage l'avis de la pollution, de la souillure. Il m'est insupportable l'idée de jouir moi-même si ma compagne n'a pas joui. En revanche, l'inverse ne me pose aucun problème. Evidemment.


Même si vous en défendez, il me semble que vous êtes bien engagé sur le chemin, long et difficile, de la soumission.



Steeve,

je m’inscris en faux. Pardon. Je partage cette notion de pollution car je considère qu'il pourrait être trop frustrant pour ma compagne de ne pas pouvoir jouir à la fin d'un ébat. Une sorte de principe d'équité. Quant à la réciproque, si je ne devais pas jouir, j'aurais eu la satisfaction de lui avoir procuré son extase. Ce qui m'importe plus que la propre mienne. Quelque soit ma partenaire - hormis une professionnelle que j'aurais pu payé (et encore ça dépend d'elle) - , je cherche avant tout le bonheur de celle-ci avant le mien.

Steeve a écrit :Le mari, le légitime, celui a qui la société a donné le droit de cuissage contre le devoir de protection, devient un nu propriétaire. C'est bien du masculin dont il s'agit, il est nu lui, devant une femme dont seul l'amant est usufruitaire. Il ne jouit plus de sa propriété qui lui devient exclusivement une charge. Il concourt (est-ce un "t") à son entretien, sa bonne tenue, voire ses impôts, mais ses fruits lui échappent au profit de l'amant.

Ainsi, la Femme a réussi à diviser les liens qui l'unissent aux hommes. Ils étaient jusque là synalagmatiques, fait d'obligations et de devoirs. Elle, souveraine, choisit d'affecter les droits à l'un et les devoirs à l'autre.

Pour sa sécurité et son plaisir.


Non non non et non. Vous venez de décrire une philosophie qui semble vous plaire et vous aller comme un gant (de cuir, de velours, de satin - quelle câtin ! - ?). C'est la psychologie de l'épouse qui fait foi. A nouveau je respecte la volonté de certaines rares épouses ayant décidé de s'orienter vers ce chemin. Je ne juge pas. Mais c'est un libre-arbitre. Et en aucun cas la finalité du candaulisme. Evitez de classer les épouses de Candaule dans ce carcan étroit qui les fait apparaître comme des Egéries enfantées de Sade. Pas la compagne qui m'a choisi, en tout cas.

Tiens, à l'occasion, je relirai Dracula d'Abraham Stoker. Le romantisme y est si intense. Je suis curieux de me remémorer les liens qui unirent le Comte à Mina Harker.
#822678
Steeve a écrit :"Evitez de classer les épouses de Candaule dans ce carcan étroit qui les fait apparaître comme des Egéries enfantées de Sade. Pas la compagne qui m'a choisi, en tout cas."

super ! Bravo !


LOL salaud :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: (en toute amitié, bien sûr)
#822772
Steeve a écrit :
FernandRenaud a écrit :
Steeve a écrit :"Evitez de classer les épouses de Candaule dans ce carcan étroit qui les fait apparaître comme des Egéries enfantées de Sade. Pas la compagne qui m'a choisi, en tout cas."

Super ! Bravo !


LOL salaud :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: (en toute amitié, bien sûr)


Tu vas y arriver. Je te fais confiance.



Noooooon arghhh ! Vade Retro, Satana !

Image
par cassandra
#824881
[quote="Steeve"]Sublime Cassandre, je baise humblement vos chevilles fines et délicates.

Dans votre beau topic "Le sperme, point de fusion...." vous ne nous dites pas si vous avez amenez votre mari à gouter le sperme de votre amant, à nettoyer votre vulve, chaude et encore pleine de jus, de sa langue de cocu ?

Pour moi ce fut l'un des instants de soumission les plus forts. Le plus violent peut-être."



Les topics se croisent. J'en profite néanmoins pour répondre ici à cette question...
Il y a une dizaine d’années, mon premier amant, dont j’étais amoureuse et avec qui j’avais des rapports sexuels naturels (sans préservatif) m’a fourni l’occasion de mettre mon mari "au contact" de mon amant. Cet événement - parce que cela en est un dans la vie d'un homme - a été fondateur de tout ce qui allait advenir par la suite.
Le contexte y était pour beaucoup : c’était le jour de l’anniversaire de mon mari et au lieu de passer la journée avec lui comme prévu pour faire du shopping, je l’ai passé dans le lit de mon amant. Quand je suis rentrée le soir, mon mari était dans tous ses états. Je ne sais comment cela est arrivé, mais une fois ma culpabilité passée, je me suis mis à le charmer. J’y ai mis tous mes talents, croyez-moi, et de baisers en caresses, j'ai repris le "dessus".
J'ai alors vu que malgré l'extrême douleur dans laquelle mon comportement l’avait plongé, son désir de moi non seulement était intact, mais submergeait aussi son libre-arbitre. Je l’ai sucé très longtemps, jusqu’à ce qu’il perde tout discernement et là, je me souviens, je me suis mis à califourchon sur sa tête. J’ai baissé ma culotte et je lui ai demandé d’enfoncer sa langue là où mon amant était entré plus tôt.
Non seulement il l’a fait, mais je l’ai mis en demeure d’accepter mes nouvelles exigences : à savoir que désormais je n’étais plus tenu de respecter mes promesses et que le temps que je passais avec mes amants ne devait pas être troublé par ses caprices de mari ! Le fait est qu’il a tout avalé : mes volontés et le sperme de mon amant qui gouttait encore de mon vagin. Ce jour-là, comme lui, j’ai pris conscience de son incapacité à me résister et de l'étendue du pouvoir qui est donné aux femmes...
#824968
Steeve, voyez-vous, Cassandre a donc bel et bien pris la décision d'imposer cet asservissement. Je cite :

désormais je n’étais plus tenu de respecter mes promesses et que le temps que je passais avec mes amants ne devait pas être troublé par ses caprices de mari ! Le fait est qu’il a tout avalé : mes volontés et le sperme de mon amant qui gouttait encore de mon vagin. Ce jour-là, comme lui, j’ai pris conscience de son incapacité à me résister et de l'étendue du pouvoir qui est donné aux femmes...


Et son mari s'est prêté volontiers à ce nouveau rôle.


Tout ça, c'est voulu, décidé.
#825064
Steeve a écrit :
FernandRenaud a écrit :Steeve, voyez-vous, Cassandre a donc bel et bien pris la décision d'imposer cet asservissement. Je cite :

désormais je n’étais plus tenu de respecter mes promesses et que le temps que je passais avec mes amants ne devait pas être troublé par ses caprices de mari ! Le fait est qu’il a tout avalé : mes volontés et le sperme de mon amant qui gouttait encore de mon vagin. Ce jour-là, comme lui, j’ai pris conscience de son incapacité à me résister et de l'étendue du pouvoir qui est donné aux femmes...


Et son mari s'est prêté volontiers à ce nouveau rôle.


Tout ça, c'est voulu, décidé.


Certes, mais encore ?


La soumission, l'avilissement, voire l'humiliation, n'est pas LE dénouement du candaulisme. Mais il résulte d'un choix, d'une volonté.
par cassandra
#828377
Week-end de Toussaint merveilleux : Fabrice, un de mes amants chéris a passé deux jours et deux nuits à la maison. Rien que lui, mon mari et moi, isolés du monde, rien que pour l’amour.

Il est arrivée de Paris, je suis allée l’accueillir à la gare en l’embrassant avec passion. Une fois chez nous, je lui ai présenté mon mari, échanges polis, partage d’un verre dans le salon. L’atmosphère s’est rapidement détendue. Mon mari, spontanément, a fait le service. Et spontanément, j’ai enlacé mon amant. Nous nous sommes embrassés longuement sur le canapé. Pendant que je dévorai ses lèvres, je voyais du coin de l’œil mon mari poser les verres, servir le champagne. Un frisson m’a parcouru les reins. On a fini par oublier sa présence, le désir était trop fort. Il a glissé sa main sous ma minijupe, m’a caressé, j’ai gémi. J’étais très excitée par lui, par la situation. J’ai pris les choses en main, je lui ai dégrafé le pantalon et j’ai sorti sa queue. J’ai regardé mon mari comme je sais le faire pour lui faire perdre toute contenance et j’ai pris Fabrice dans ma bouche. Après, tout n’a été que baisers et étreintes, dans tous les sens. Mon mari, sans doute un peu gêné, s’est effacé. Nous avons baisé sur le canapé, vite, brutalement, à moitié déshabillés. Moi sur lui et puis lui sur moi, jusqu’à ce qu’il explose en moi.
Cela a donné le tempo du week-end. Mes deux hommes n’avaient d’yeux que pour moi. Ma seule préoccupation a été de passer d’une tenue sexy à l’autre... et à me la faire enlever pour baiser. Mon mari a été génial, il s’est occupé de tout, n’affichant sa présence que lorsque je la souhaitais. Fabrice m’embrassait et me tripotais partout et à tous moments.
À table, on rigolait, plein d’immoralité heureuse. Samedi soir, à la fin du repas, je leur ai réservé une petite surprise: je suis passée sous la table et je leur ai dit que c’était le moment du « dessert ». Mais j’ai mis une condition : celui qui tiendrait le plus longtemps aurait droit de me baiser ce soir. Je les ai pris à tour de rôle dans ma bouche, passant de l’un à l’autre. Je les entendais gémir. J’ai mis les bouchées doubles sur mon mari et, comme prévu, il a fini par gicler comme un possédé. Cela fait plus d'une semaine que je l’empêche de se vider, je savais qu’il ne tiendrait pas. Je suis sortie de sous la table et je lui ai dit : mon pauvre cocu chéri, tu as perdu la seule occasion que tu avais de me baiser ! Je suis allée m'asseoir sur les genoux de Fabrice et j'ai passé mes bras autour de son cou en l'embrassant longuement. Je vais le dire brutalement, mais dans certaines circonstances, me comporter comme une salope et savoir que les hommes perdent tout contrôle quand je me comporte en tant que telle provoque une grande ivresse. C’est une brûlure qui me dévore les reins, l’esprit. Il m’arrive parfois, au plus haut de cette fièvre, de ne vouloir être que cela: une garce absolue. Deux trous pour engouffrer toute la raison des hommes. Continuer à priver mon mari de mon corps et voir ses yeux morts d'amour pour moi ont déchaîné mes envies de vice... et aiguisé mon désir de me livrer de plus belle à mon amant !
La première nuit, nous avons dormi tous les trois, c’était... mhuumm ! Fabrice m’a fait l’amour pendant que je suçais et embrassais mon mari. Le matin, réveil magique entre leurs bras, à s’embrasser et à se caresser. Mon mari a préparé le petit-déjeuner et nous l’a porté dans la chambre. Là, dans la chaleur du lit, la perversité m’a pris. J’ai dit à mon mari qu’il pouvait « dégager », que j’avais envie de Fabrice seul. Une fois restaurés, on a refait l’amour, lentement. C’était moelleux, tendre. J’ai passé toute la journée à me faire servir et cajôler, à être le seul centre de préoccupation de mes deux hommes. Je me suis baladée toute la journée de dimanche à moitié nue, dans une tunique verte très courte et translucide et de très hauts talons. On voyait ma petite culotte en transparence. Toujours leurs yeux, leurs mains à traîner sous mes fesses...
La dernière nuit avant le départ de Fabrice, j’ai souhaité la passer seule avec lui. Mon mari a dormi en bas, sur le canapé du salon. Bien sûr, il ne m’a pas baisé du week-end. Mais il n’a pas été en reste. Il m’a vu et entendu faire l’amour dans tous les sens, parfois avec une conscience effarée du naturel avec lequel je me suis laissée aller à mon désir.
Fabrice est reparti ce matin. Je vais, aujourd'hui, témoigner tout mon amour à mon chéri. Ce week-end l'a creusé psychologiquement, autant qu'il m'a creusé physiquement. Beaucoup d'images, de soupirs, de regards nous habitent encore...
par cffj14
#828391
cassandra a écrit :Week-end de Toussaint merveilleux : Fabrice, un de mes amants chéris a passé deux jours et deux nuits à la maison. Rien que lui, mon mari et moi, isolés du monde, rien que pour l’amour.

Il est arrivée de Paris, je suis allée l’accueillir à la gare en l’embrassant avec passion. Une fois chez nous, je lui ai présenté mon mari, échanges polis, partage d’un verre dans le salon. L’atmosphère s’est rapidement détendue. Mon mari, spontanément, a fait le service. Et spontanément, j’ai enlacé mon amant. Nous nous sommes embrassés longuement sur le canapé. Pendant que je dévorai ses lèvres, je voyais du coin de l’œil mon mari poser les verres, servir le champagne. Un frisson m’a parcouru les reins. On a fini par oublier sa présence, le désir était trop fort. Il a glissé sa main sous ma minijupe, m’a caressé, j’ai gémi. J’étais très excitée par lui, par la situation. J’ai pris les choses en main, je lui ai dégrafé le pantalon et j’ai sorti sa queue. J’ai regardé mon mari comme je sais le faire pour lui faire perdre toute contenance et j’ai pris Fabrice dans ma bouche. Après, tout n’a été que baisers et étreintes, dans tous les sens. Mon mari, sans doute un peu gêné, s’est effacé. Nous avons baisé sur le canapé, vite, brutalement, à moitié déshabillés. Moi sur lui et puis lui sur moi, jusqu’à ce qu’il explose en moi.
Cela a donné le tempo du week-end. Mes deux hommes n’avaient d’yeux que pour moi. Ma seule préoccupation a été de passer d’une tenue sexy à l’autre... et à me la faire enlever pour baiser. Mon mari a été génial, il s’est occupé de tout, n’affichant sa présence que lorsque je la souhaitais. Fabrice m’embrassait et me tripotais partout et à tous moments.
À table, on rigolait, plein d’immoralité heureuse. Samedi soir, à la fin du repas, je leur ai réservé une petite surprise: je suis passée sous la table et je leur ai dit que c’était le moment du « dessert ». Mais j’ai mis une condition : celui qui tiendrait le plus longtemps aurait droit de me baiser ce soir. Je les ai pris à tour de rôle dans ma bouche, passant de l’un à l’autre. Je les entendais gémir. J’ai mis les bouchées doubles sur mon mari et, comme prévu, il a fini par gicler comme un possédé. Cela fait plus d'une semaine que je l’empêche de se vider, je savais qu’il ne tiendrait pas. Je suis sortie de sous la table et je lui ai dit : mon pauvre cocu chéri, tu as perdu la seule occasion que tu avais de me baiser ! Je suis allée m'asseoir sur les genoux de Fabrice et j'ai passé mes bras autour de son cou en l'embrassant longuement. Je vais le dire brutalement, mais dans certaines circonstances, me comporter comme une salope et savoir que les hommes perdent tout contrôle quand je me comporte en tant que telle provoque une grande ivresse. C’est une brûlure qui me dévore les reins, l’esprit. Il m’arrive parfois, au plus haut de cette fièvre, de ne vouloir être que cela: une garce absolue. Deux trous pour engouffrer toute la raison des hommes. Continuer à priver mon mari de mon corps et voir ses yeux morts d'amour pour moi ont déchaîné mes envies de vice... et aiguisé mon désir de me livrer de plus belle à mon amant !
La première nuit, nous avons dormi tous les trois, c’était... mhuumm ! Fabrice m’a fait l’amour pendant que je suçais et embrassais mon mari. Le matin, réveil magique entre leurs bras, à s’embrasser et à se caresser. Mon mari a préparé le petit-déjeuner et nous l’a porté dans la chambre. Là, dans la chaleur du lit, la perversité m’a pris. J’ai dit à mon mari qu’il pouvait « dégager », que j’avais envie de Fabrice seul. Une fois restaurés, on a refait l’amour, lentement. C’était moelleux, tendre. J’ai passé toute la journée à me faire servir et cajôler, à être le seul centre de préoccupation de mes deux hommes. Je me suis baladée toute la journée de dimanche à moitié nue, dans une tunique verte très courte et translucide et de très hauts talons. On voyait ma petite culotte en transparence. Toujours leurs yeux, leurs mains à traîner sous mes fesses...
La dernière nuit avant le départ de Fabrice, j’ai souhaité la passer seule avec lui. Mon mari a dormi en bas, sur le canapé du salon. Bien sûr, il ne m’a pas baisé du week-end. Mais il n’a pas été en reste. Il m’a vu et entendu faire l’amour dans tous les sens, parfois avec une conscience effarée du naturel avec lequel je me suis laissée aller à mon désir.
Fabrice est reparti ce matin. Je vais, aujourd'hui, témoigner tout mon amour à mon chéri. Ce week-end l'a creusé psychologiquement, autant qu'il m'a creusé physiquement. Beaucoup d'images, de soupirs, de regards nous habitent encore...

superbe wd pour toi
j espere que tu va remercier ton mari comme il se doit pour ce wd
par cassandra
#829955
Amoureuse de Fabrice oui, comme il l'est de moi. Seule la distance nous empêche d'exprimer d'avantage nos sentiments.
Mon mari n'avait pas de cage ce week-end. Il ne la porte qu'en mon absence. Pendant ces deux jours, sa queue dressée vers moi était nécessaire à ma bouche, à mon excitation... et à la conscience de son "improductivité", de son caractère vain. Il bandait en quelque sorte dans le vide de moi et son désir pouvait se déployer sans fin dans ce vide tandis que celle de Fabrice entrait en moi, dans l'orifice de mon sexe offert et dérobé en même temps.
Expressions différentes de leur désir de moi... et de mon désir d'eux.
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par Erosverde76
#829961
vraiment désopilant!
La sexualité statistique énoncée par le professeur Steeve avec Madame Foldingue au bout du microscope. :lol:
A propos d'onanisme: dans quelle catégorie ranger l'onanisme intellectuel?? (onanisme torché au papier de Hollande comme disait ce vieux Léo...)
par Isadomi
#830135
Tu as fait jouir ton mari combien de fois ce we ? Tu l'as laissé se masturber ?
Moi j'évite dans ce genre de situation, car après l'orgasme mon mari peut retrouver ses reflèxes de mec gonflé comme un coq. Donc, quand un autre homme est avec moi, c'est niet. Point barre.
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par Erosverde76
#830315
Quant à moi, je n'emmène pas ma chérie se protituer dans des toilettes publiques dégoûtantes ce qu'il raconte avec force détail dans d'autres topics. Passez votre chemin, cocu honteux et respectez au moins les femmes.[/quote]

"prostituer" ? dites-vous, vous avez passé le trait ou bien vous racontez vos vérités arrangées par MP interposées.
Il s'agit d'une escapade dans un ciné porno en 1994 où effectivement les wc étaient dégoûtants ce qui nous a amenés à sortir du ciné et ne pas renouveler l'opération. Vous appelez cela prostitution, n'employez pas des mots qui n'ont rien à voir, faisant référence à des rapports d'argent qui n'ont pas eu lieu ni de près ni de loin.
Ceci est vraiment révélateur de la façon dont vous vous arrangez avec la vérité, n'est-ce pas Monsieur le statisticien!
Vous êtes en extase devant une femme qui balance des claques à son conjoint pour pouvoir se sentir "femme"!
Que dîtes-vous des hommes qui en font autant à leur femme pour se sentir mec? Moi je mets cela sur le même plan.
Pas besoin d'être à genoux devant Madame Foldingue qui n'a rien d'Artémis que je sache!
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par Erosverde76
#830361
Texte intégral et non retouché par M. Steeve qui a des arrangements avec la vérité!:

La même aventure m'est arrivé avec ma femme en 1994 mais dans les toilettes d'un ciné porno près de St Lazare (aujourd'hui disparu) elle s'est fait baiser par deux inconnus (avec capote, je précise) l'un après l'autre qui l'avaient branlée d'abord dans la salle tandis que je matais à côté! Je me suis branlé en les regardant par le trou des chiottes.
J'étais tellement excité que nous avons refait l'amour sur la 1ère aire de repos en rentrant chez nous.
Mais le lendemain en en reparlant avec elle, elle me déclara que certes elle avait vraiment pris son pied mais que la puanteur des chiottes l'avait beaucoup rebutée (plein de pisse partout!)
et surtout elle me dit que l'un des gars avait eu sa capote déchirée!!! Donc direction le centre de dépistage le plus proche et beaucoup d'angoisse pendant 3 mois (2ème test 2 mois plus tard)
Pas de photos de tout cela et pour elle pas question de revivre ce genre d'angoisse, mais elle ne regrette pas l'expérience.
Cela dit: inutile de me contacter pour me demander si on pourrait remettre ça...c'est niet, je ne suis pas d'humeur en ce moment
par Isadomi
#830395
Erosverde76 a écrit :Texte intégral et non retouché par M. Steeve qui a des arrangements avec la vérité!:

La même aventure m'est arrivé avec ma femme en 1994 mais dans les toilettes d'un ciné porno près de St Lazare (aujourd'hui disparu) elle s'est fait baiser par deux inconnus (avec capote, je précise) l'un après l'autre qui l'avaient branlée d'abord dans la salle tandis que je matais à côté! Je me suis branlé en les regardant par le trou des chiottes.
J'étais tellement excité que nous avons refait l'amour sur la 1ère aire de repos en rentrant chez nous.
Mais le lendemain en en reparlant avec elle, elle me déclara que certes elle avait vraiment pris son pied mais que la puanteur des chiottes l'avait beaucoup rebutée (plein de pisse partout!)
et surtout elle me dit que l'un des gars avait eu sa capote déchirée!!! Donc direction le centre de dépistage le plus proche et beaucoup d'angoisse pendant 3 mois (2ème test 2 mois plus tard)
Pas de photos de tout cela et pour elle pas question de revivre ce genre d'angoisse, mais elle ne regrette pas l'expérience.
Cela dit: inutile de me contacter pour me demander si on pourrait remettre ça...c'est niet, je ne suis pas d'humeur en ce moment


Eh oh, chouchou, va faire la gueule et le moralisateur ailleurs. Allez hop, dégage d'ici. Au passage, je n'ai pas lu que Cassandra file des claques à son mari. Mais à toi, ça se pourrait. Merci.
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par Erosverde76
#830416
Quand je suis arrivée chez moi, mon mari était tout anxieux, je l'ai vu quand j'ai ouvert la porte. Il m'attendait, il avait préparé le petit-déjeuner. Je l'ai embrassé voluptueusement et je lui ai dit que c'était inutile pour le petit-déjeuner, que je l'avais déjà pris. Et que j'étais fatiguée, qu'il fallait qu'il comprenne. Il s'est un peu assombri, m'a dit qu'il m'avait attendu, que j'aurai pu le prévenir que je passerai la nuit complète dehors. Ce n'est pas la première fois que cela arrive, il n'arrive pas à se faire à ce que je change mon emploi du temps sans prévenir. Je me suis plantée face à lui et je l'ai giflé. Une seule fois, mais très fort (je me suis fait un peu mal même). Je lui ai dit que lorsque j'étais au lit avec un mec, je ne voulais pas avoir à regarder ma montre ! Que ça m'exaspérait d'avoir à le répéter. Et que puisqu'il se plaignait, je pouvais tout aussi bien ne pas rentrer du tout ! ça la très vite calmé. Il a bafouillé, s'est excusé. J'ai dit que pour sa peine, j'ajoutais 2 jours de plus à sa prochaine éjaculation

Allez consulter un ophtalmo, quand j'affirme quelque chose je sais de quoi je parle!
Cela dit je vois avec plaisir que la stratégie du silence complice autour de mes posts a fait long feu...
Au cas où cela vous aurait échappé, je le redis ici, il y a une rubrique cuckold sado /maso un peu plus bas. Là vous y serez tranquilles entre gens du même monde, il s'y trouvent même des femmes qui attachent leur mari au radiateur par les couilles pendant qu'elles partent avec leur amant. (Elles ne précisent pas si le mari se fait pipi dessus pendant qu'il reste attaché toute la nuit!)
Allez y donc vous y serez bien entre nostalgiques de la rue Lauriston!
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par Erosverde76
#830564
Steeve a écrit :Erosverde, tu est vraiment ch...
Nul ne t'oblige à venir sur ce topic. Tu n'imagine même pas ce que vit Cassandra et son époux. Essaie de comprendre au moins.
Si tu savais comme elle est belle et combien il l'aime.


OK je te laisse avec ton jouet (je veux dire ta princesse) mais vous êtes d'un triste tous les 2; à ne vouloir pour intervenants ici que des bons petits soldats qui pensent comme vous, qui parlent comme vous, qui b.... comme vous!
Bref vous êtes aussi pluralistes que la brochette d'apparatchiks regardant défiler l'armée des ptits soldats du haut de leur mausolée!!
Je vous laisse à votre éloge de la claque redresseuse de bites pour mari défaillant.
Mesdames & Messieurs les onanistes du bocal je vous salue.
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par utoeuta
#835976
Steeve a écrit :Tout petit traité candauliste d’économie sociale.

Considérant 1.
La relation sexuelle fondée sur le modèle familial bijectif (à chaque homme sa femme, à chaque femme son homme) s’explique par i) la nécessité de protéger la progéniture et ii) le souci collectif d’optimiser la création de valeur dans une économie sous productive (un homme chasseur, une femme génitrice). Ce modèle a conduit à l’asservissement de la femme.
Il est dépassé du fait de la surproductivité (tant en termes d’économie que de natalité) de la société contemporaine.
Considérant 2.
85% de la population masculine est de type β : l’homme β se caractérise par sa soumission à toute forme d’autorité, sa peur de l’orgasme féminin, ses faibles performances sexuelles, la médiocrité des dimensions de son phallus et sa paresse. Cette population pratique l’onanisme de manière plus ou moins compulsive. Il est à noter que dans la population de mâles β se trouve une proportion non négligeable de mâles pouvant satisfaire les besoins secondaires des femmes supérieures (équilibre du foyer, finances, vie domestique, léchage, massage, éducation des enfants, etc.)
15% de la population masculine est de type α : l’homme α se caractérise par ses performances sexuelles, son autorité naturelle, son attention distinguée aux femmes. Son détachement au sexe s’explique par le fait qu’étant régulièrement satisfait, il n’est sujet l’appétence régulière qu’à intervalles relativement espacés (ce qui est parfois une source d’irritation pour sa partenaire principale). Il fait généralement parvenir sa partenaire à l ‘orgasme au moyen de son sexe, sans toutefois que cette question soit primordiale pour lui. Il s’adonne peu à l’onanisme.
Considérant 3.
15% de la population féminine est capable (du fait de sa beauté et/ou de ses aptitudes intellectuelles ou mentales) à assumer une position de femme supérieure. Une femme supérieure jouit des mâles α dans le cadre d’une relation égalitaire (qui s’incarne souvent dans l’orgasme vaginal). Elle jouit des mâles β de la manière qui lui convient. Seule cette population génère de véritables pulsions chez la population masculine.
Proposition.
Seuls les femmes supérieures et les mâles α entretiennent un commerce sexuel équitable.
Les femmes supérieures trouvent leur satisfaction sexuelle auprès des mâles β selon leur désir.
Les mâles β se mettent au service des femmes supérieures s’ils ont la chance d’être sélectionnés par l’une d’elles. Dans le cas contraire leur sexualité est inintéressante.


Brillant et drôle.
Qui plus est, si vrai...
Uta et Uto
par cassandra
#839539
Première rencontre avec Matthieu, chef d’entreprise, de l’esprit, de l’aisance, un faux air de Richard Berry. Un peu intimidé par ma beauté pourtant, juste ce qu’il faut. Moi déjà sous le charme.
Conversation enjouée et cultivée au restaurant, devant une coupe de champagne. Il louche sur mon décolleté, l’effet du soutien-gorge ultra push-up dont on discerne la dentelle. À la fin du dîner, je vais me remaquiller dans les toilettes. Au passage, je sens le regard des clients sur mes jambes, ma minijupe. J’entend quelqu’un dire : « regarde, ça, c’est beau ».
Fin de soirée dans un alter café. Pendant que nous marchons, baisers volés, haletants. J’ai ce geste pendant que nous nous embrassons : je le branle par-dessus son pantalon. Malgré l’envie d’aller plus loin, je ne monterai pas dans sa chambre. Pas cette fois. Je le lui dis. Au moment de le raccompagner, je gare la voiture devant son hôtel. J’enlace mes bras autour de sa nuque, nous nous embrassons très longtemps. Fièvre montante. Nos mains semblent se détacher de nous-même, de notre volonté, comme si elles avaient leur vie propre. Il plonge les siennes dans mon décolleté, caresse mes seins. J’insinue les miennes sous son pantalon. Je le dégrafe et là, malgré la rue passagère et la voiture entre ombre et néons, je plonge ma bouche entre ses jambes. Impression immédiate de dévaster sa raison. Cela m’excite, j’en rajoute, mets toute la sciences de ma bouche. Le marquer assez fort pour qu’il ait envie de revenir très vite : si cet homme vit dans les avions, je dois pouvoir le rendre assez fou de moi pour qu’il en détourne un dans ma direction. C’est une image, mais pas seulement. Pendant que je le suce, des gens passent parfois dans la rue, je me dis qu’ils doivent se régaler.
Je prends mon téléphone, je préviens Matthieu que j’appelle mon mari pour le prévenir de mon retour. Je continue de le sucer pendant que la sonnerie rententit. Il est presque 1h du matin, il doit dormir. J’insiste. Il finit par répondre, je le préviens que je serai bientôt là. Volontairement, je fais durer un peu la conversation. Entre deux phrases, ma bouche va-et-vient sur la queue de Matthieu. Je dis à mon mari : « mon cocu chéri, tu sais ce que je suis en train de faire? » Cela fait plus d’une semaine qu’il n’a pas joui, 2 mois qu’il n’a pas eu mon corps. Je sais le choc que ces mots provoquent en lui, la conscience de lui-même à laquelle ces mots le renvoient : l'image de moi suçant un autre homme dans une voiture.
Silence à l’autre bout du fil, il bafouille quelques mots. Je sais son incapacité à refaire surface, immergé qu’il est dans le seul désir de moi. Je l'entend dire que je suis une vrai salope, mélange chez lui de fascination et d'inquiétude.
Matthieu est médusé par la scène, autant que par ma bouche je crois. Je raccroche et le suce encore, sans le faire jouir. Il me plaît, je veux qu'il soit fou de moi. Il est troublé, la scène l’a enfiévré. Il parle de mes mains, de ma bouche, de ma sensualité ahurissante. Nous nous embrassons une dernière fois et nous quittons sur ce désir de nous revoir, très vite.
Sur le chemin du retour, un texto de lui : « je suis dans tous mes états... vous êtes une très vilaine fille... je vous adore... » Je me souviens que j’ai souri en regardant la nuit s’ouvrir devant les phares de la voiture.

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