- 13 avr. 2010, 15:30
#31827
Beaucoup d’épouses ne passent jamais à l’acte, quelque envie qu’elles en ait, soucieuse qu’elles sont de ne pas fauter voire pécher pour peu qu’elle pratiquent une religion. Mais, si on les y oblige, alors, ma foi, ce n’est plus leur faute... Obliger, soyons clair : il ne s’agit pas, bien entendu, de forcer la personne, ce qui serait d’une part délictueux, d’autre part inélégant... Mais de faire en sorte que refuser sera quasi impossible ou un pire scandale que d’accepter.. Et aussi savoir utiliser la tendance naturelle de certaines, fussent-elles prudes ou mijaurées, à céder à la flatterie. Et à la vanité des choses ...Relisez Laclos... C’est ainsi que j’ai contribué au cocufiage d’un jeune homme qui ne savait comment convaincre sa jeune épouse.. Fort heureusement, je l’avais dissuadé de lui en parler : c’est une erreur commune qu’ont les cocus imaginaires que de vouloir à tout prix obtenir l’agrément de leur femme : « Dis moi chérie, tu aimerais me tromper hein chérie ? » demandent-ils entre la poire et la fromage. Ou après quelque remarque désobligeante du style : « Tiens, t’as pas pris un peu des hanches cet hiver ? » Ce jeune homme, que j’avais initié à quelques pratiques pédérastiques car je suis bisexuel et volontiers initiateur et directif, rêvait de voir sa jeune épouse dans les bras d’autres. Il me parlait d’elle d’abondance tout en me tâtant ou pendant que je le sodomisais (il a des fort jolies fesses fermes et accueillantes). Il organisa une rencontre, prétextant que j’étais un ancien parmi ses professeurs de khâgne retrouvé par hasard. Il m’invita à un drink chez eux. Sa jeune épouse était adorable, vraiment, 25 ans, blonde, rosissante à souhait, timide et pudique. Une simple robe légère mettant en valeur de jolis seins pointus, une taille d’hyménoptère et de longues jambes de faon. Maquillage discret. Coiffure : queue de cheval. Une allure de lycéenne fraîche et naïve. Je savais, par son mari, qu’elle était fort sensuelle au déduit, voire déjà experte, ce qui renforçait mon désir de la posséder devant son cocu en puissance dont elle ignorait qu’il était aussi, parfois, grâce à moi, une tafiole soumise. Il ne se passa rien ce soir là, rien d’autre qu’une agréable conversation sur des riens. Quand je revis le mari en tête à tête, il me confia que sa jeune épouse me trouvait « sexy » - c’était son expression – voire même assez excitant en raison de mon grand âge. Suivant mes conseils, le mari se garda bien de poursuivre plus avant la conversation sur un thème aussi périlleux. D’autres auraient dit : « Ben s’il te plait, ma chérie, tu vas coucher avec lui devant moi ! ». Au risque de voir l’épouse se fermer comme une huître – et pour toujours ! « Non mais pour qui tu me prends ? Pour une putain ! Ça va pas non ? » Je continuais à le saillir le mari de temps à autres, et je remarquais qu’il devenait de plus en plus femelle avec moi. J’organisais un plan afin de piéger la belle ...