- 04 nov. 2011, 18:51
#835027
Ma dernière expérience de candaulisme remonte à cet été.
Petite précision : Les prénoms, localisations et certains détails ont été volontairement modifiés afin de préserver un minimum l'anonymat du couple, sans pour autant trop dénaturer le récit.
Un couple que j'avais connu il y a quelques années pour avoir fait quelques soirées ensemble, m'avait invité à passer un samedi après-midi avec eux après s'être revu lors d'un don de sang.
Paul à 45ans, 1,70m, une petite bouée en formation. Ses cheveux courts sont devenus poivre et sel. Marion est plus jeune que lui. Avec ses 1,50m et bien qu'ayant la trentaine, ou presque, elle a gardé un visage de jeune fille. Ses seins sont ronds, fermes et tiennent tout juste dans mes mains.
Marion m'accueille dans une robe d'été légère et très suggestive. Transparente, elle ne cache rien des formes de mon hôtesse et me provoque un certain émoi.
Nous nous installons sur la terrasse et nous discutons de nous, de ce que nous avons fait depuis tout ce temps.
J'apprends qu'ils rentrent de Guyane après un séjour de deux ans là-bas.
Marion me demande si j'accepterais que Paul me suce. Je lui réponds que oui et presque aussitôt, Paul s'installe entre mes jambes et commence une fellation.
Pendant que son mari s'affaire sur ma queue, Marion me dit qu'il ne l'a pas touchée depuis plus d'un an. Elle m'explique que c'est son choix et que bien que ça la chagrine parfois, elle accepte cet état de fait.
Paul me suce divinement et je bande rapidement et fortement sous ses coups de langues. Marion se déshabille et je peux voir parfaitement son pubis glabre. Je me lève et me dénude. Je m'approche de Marion et entame un cunni.
Ses lèvres sont bombées, gorgées de désirs. Je passe ma langue entre elles et recueille déjà son nectar. Son clito s'érige et se gonfle tandis que le l'aspire et le lèche simultanément. Pendant de longues minutes, je me régale de cette vulve humide et frémissante tandis que mes mains palpent ses seins et que mes doigts titillent ses tétons pointant fortement.
Complètement hors d'haleine, Marion me demande de m'arrêter. Je lui souris, la bouche enduite de son jus et l'embrasse. Paul s'est assis sur une chaise, nu et bande à la vue de sa femme prenant du plaisir avec moi.
Les tétons de Marion se sont fortement gonflés et, avec ses auréoles, ressemble à de grosses punaises posées sur ses globes d'albâtres. Je me mets à jouer avec eux avec ma bouche. Je les enserre entre mes lèvres et agite rapidement ma langue sur ces pointes sensibles. Je passe de l'un à l'autre, les léchant, les tétant et les mordillant délicatement tout en malaxant tendrement sa poitrine.
Marion gémit de plus en plus, me caresse les cheveux et me presse parfois la tête contre elle.
Pendant un long moment, je continu à "jouer" avec elle. Passant de ses seins à son minou et inversement.
Entre deux soupirs, elle me propose de passer à la suite. Elle me fait m'allonger et s'assoie sur ma queue. Je sens qu'elle est étroite et elle me répond qu'elle n'a pas eu de rapports depuis trois mois.
Tandis qu'elle commence à monter et descendre le long de ma hampe, je me mets à lui titiller les tétons. Je les fais rouler entre mes doigts, les pinces et les tire sans brusqueries.
La respiration de Marion devient de plus en plus haletante, saccadée parfois.
Nous changeons de position et Marion se met entre les jambes de son homme. Lorsqu'elle veut lui prendre la queue, il le lui interdit.
Je propose à Paul de le sucer et s'est avec plaisir qu'il se lève et me donne son queue. Je gobe son gland turgescent et le fais lentement progresser dans ma bouche. Je le masturbe tout en faisant jouer ma langue sur et autour de son gland.
Du coin de l'œil, je vois le visage empourpré de Marion déformé par un certain plaisir et une évidente envie de la queue de son homme.
Marion jouit intensément et son vagin se contracte de plus en plus vite autour de mon sexe. Elle me suggère de m'allonger sur le banc, tandis qu'elle me chevaucherait, je pourrais continuer à sucer Paul. J'accepte et nous prenons place.
Marion s'agite rapidement sur moi tandis que Paul fait glisser sa verge dans ma bouche. D'une main, je caresse la poitrine de Marion et de l'autre, fait rouler les couilles de Paul.
Au bout de quelques minutes, Paul veut se retirer, gémissant qu'il va jouir. Je le retiens fermement par les bourses et son jus explose dans ma bouche, chaud, abondant et épais. Je le masturbe énergiquement, finissant de le vider.
Paul va s'assoir et j'invite Marion à m'embrasser. Elle ne se fait pas prier et ses lèvres gobent littéralement les miennes. Nous nous échangeons pendant quelques secondes le jus de son mari et elle reprend sa chevauchée. Ses mouvements sont devenus plus rapides, presque brusques. Son puits d'amour se resserre de plus en plus et je me sens alors venir. Je la préviens mais elle poursuit ses allées venues.
Lorsque j'explose, elle s'assoit complètement sur moi en grognant et ondule son bassin de façon saccadée.
Elle s'allonge sur moi tandis que son mari se glisse entre mes jambes. Marion me "libère" et Paul me suce la queue gluante de la mouille de sa femme et de mon sperme.
Marion se lève, ses jambes flageolent. Elle s'assoit et me dit qu'elle n'avait pas jouit comme ça depuis un moment. Paul m'embrasse et me fait gouter à ce mélange.
Tandis que nous reprenons tous nos esprits, Paul me dit qu'il m'autorise à voir sa femme dès que j'en aurais envie. Il ajoute après avoir regardé sa femme, ≪même en mon absence, surtout en fait≫
Après un silence un peu pesant, ils m'invitent à rester pour manger.
Bon, elle est un peu longue, j'avoue mais j'ai un peu de mal à écrire en condensé
Le repas et plus, un peu plus tard.
Petite précision : Les prénoms, localisations et certains détails ont été volontairement modifiés afin de préserver un minimum l'anonymat du couple, sans pour autant trop dénaturer le récit.
Un couple que j'avais connu il y a quelques années pour avoir fait quelques soirées ensemble, m'avait invité à passer un samedi après-midi avec eux après s'être revu lors d'un don de sang.
Paul à 45ans, 1,70m, une petite bouée en formation. Ses cheveux courts sont devenus poivre et sel. Marion est plus jeune que lui. Avec ses 1,50m et bien qu'ayant la trentaine, ou presque, elle a gardé un visage de jeune fille. Ses seins sont ronds, fermes et tiennent tout juste dans mes mains.
Marion m'accueille dans une robe d'été légère et très suggestive. Transparente, elle ne cache rien des formes de mon hôtesse et me provoque un certain émoi.
Nous nous installons sur la terrasse et nous discutons de nous, de ce que nous avons fait depuis tout ce temps.
J'apprends qu'ils rentrent de Guyane après un séjour de deux ans là-bas.
Marion me demande si j'accepterais que Paul me suce. Je lui réponds que oui et presque aussitôt, Paul s'installe entre mes jambes et commence une fellation.
Pendant que son mari s'affaire sur ma queue, Marion me dit qu'il ne l'a pas touchée depuis plus d'un an. Elle m'explique que c'est son choix et que bien que ça la chagrine parfois, elle accepte cet état de fait.
Paul me suce divinement et je bande rapidement et fortement sous ses coups de langues. Marion se déshabille et je peux voir parfaitement son pubis glabre. Je me lève et me dénude. Je m'approche de Marion et entame un cunni.
Ses lèvres sont bombées, gorgées de désirs. Je passe ma langue entre elles et recueille déjà son nectar. Son clito s'érige et se gonfle tandis que le l'aspire et le lèche simultanément. Pendant de longues minutes, je me régale de cette vulve humide et frémissante tandis que mes mains palpent ses seins et que mes doigts titillent ses tétons pointant fortement.
Complètement hors d'haleine, Marion me demande de m'arrêter. Je lui souris, la bouche enduite de son jus et l'embrasse. Paul s'est assis sur une chaise, nu et bande à la vue de sa femme prenant du plaisir avec moi.
Les tétons de Marion se sont fortement gonflés et, avec ses auréoles, ressemble à de grosses punaises posées sur ses globes d'albâtres. Je me mets à jouer avec eux avec ma bouche. Je les enserre entre mes lèvres et agite rapidement ma langue sur ces pointes sensibles. Je passe de l'un à l'autre, les léchant, les tétant et les mordillant délicatement tout en malaxant tendrement sa poitrine.
Marion gémit de plus en plus, me caresse les cheveux et me presse parfois la tête contre elle.
Pendant un long moment, je continu à "jouer" avec elle. Passant de ses seins à son minou et inversement.
Entre deux soupirs, elle me propose de passer à la suite. Elle me fait m'allonger et s'assoie sur ma queue. Je sens qu'elle est étroite et elle me répond qu'elle n'a pas eu de rapports depuis trois mois.
Tandis qu'elle commence à monter et descendre le long de ma hampe, je me mets à lui titiller les tétons. Je les fais rouler entre mes doigts, les pinces et les tire sans brusqueries.
La respiration de Marion devient de plus en plus haletante, saccadée parfois.
Nous changeons de position et Marion se met entre les jambes de son homme. Lorsqu'elle veut lui prendre la queue, il le lui interdit.
Je propose à Paul de le sucer et s'est avec plaisir qu'il se lève et me donne son queue. Je gobe son gland turgescent et le fais lentement progresser dans ma bouche. Je le masturbe tout en faisant jouer ma langue sur et autour de son gland.
Du coin de l'œil, je vois le visage empourpré de Marion déformé par un certain plaisir et une évidente envie de la queue de son homme.
Marion jouit intensément et son vagin se contracte de plus en plus vite autour de mon sexe. Elle me suggère de m'allonger sur le banc, tandis qu'elle me chevaucherait, je pourrais continuer à sucer Paul. J'accepte et nous prenons place.
Marion s'agite rapidement sur moi tandis que Paul fait glisser sa verge dans ma bouche. D'une main, je caresse la poitrine de Marion et de l'autre, fait rouler les couilles de Paul.
Au bout de quelques minutes, Paul veut se retirer, gémissant qu'il va jouir. Je le retiens fermement par les bourses et son jus explose dans ma bouche, chaud, abondant et épais. Je le masturbe énergiquement, finissant de le vider.
Paul va s'assoir et j'invite Marion à m'embrasser. Elle ne se fait pas prier et ses lèvres gobent littéralement les miennes. Nous nous échangeons pendant quelques secondes le jus de son mari et elle reprend sa chevauchée. Ses mouvements sont devenus plus rapides, presque brusques. Son puits d'amour se resserre de plus en plus et je me sens alors venir. Je la préviens mais elle poursuit ses allées venues.
Lorsque j'explose, elle s'assoit complètement sur moi en grognant et ondule son bassin de façon saccadée.
Elle s'allonge sur moi tandis que son mari se glisse entre mes jambes. Marion me "libère" et Paul me suce la queue gluante de la mouille de sa femme et de mon sperme.
Marion se lève, ses jambes flageolent. Elle s'assoit et me dit qu'elle n'avait pas jouit comme ça depuis un moment. Paul m'embrasse et me fait gouter à ce mélange.
Tandis que nous reprenons tous nos esprits, Paul me dit qu'il m'autorise à voir sa femme dès que j'en aurais envie. Il ajoute après avoir regardé sa femme, ≪même en mon absence, surtout en fait≫
Après un silence un peu pesant, ils m'invitent à rester pour manger.
Bon, elle est un peu longue, j'avoue mais j'ai un peu de mal à écrire en condensé

Le repas et plus, un peu plus tard.
Mon plaisir passe par celui de l'autre.