- 16 nov. 2011, 17:17
#852007
j'ai ça sur le coeur depuis trop longtemps, alors je me soulage en vous le faisant partager...
c'était il y a environ quatre ans
La réunion de travail s’étant terminée plus tôt que prévu, je décidai d’avancer mon retour et d’en faire la surprise à mon épouse, Martine, que j’ai laissée seule une fois de plus.
Mon travail exige de fréquents déplacements, quelque fois de plusieurs jours, et je culpabilise toujours un peu en la quittant.
Nous habitons un petit bourg, pas toujours très animé, surtout l’hiver, et j’ai souvent peur qu’elle s’ennuie.
A bientôt quarante ans Martine a conservé une silhouette alléchante qu’elle entretient par une pratique régulière de la natation.
Brune, de taille moyenne mais bien proportionnée, ses formes avantageuses attirent souvent le regard des hommes, ce qui n’est pas toujours pour me déplaire.
Après avoir élevé nos enfants, elle occupe désormais ses journées entre des visites à quelques amies et du bénévolat dans une association caritative.
Je me fais une joie, ce soir, de l’emmener au restaurant, de passer une soirée en amoureux, les enfants ne rentrant pas avant le week-end prochain.
Après vingt ans de vie commune, il est important de se ménager de temps en temps des petits plaisirs
Arrivé prés de la maison, je me gare à distance pour qu’elle ne m’entende pas, bien décidé à lui faire la surprise.
Tout est calme, le salon est éclairé, elle doit sûrement s’y trouver.
Je rentre par le garage, sur la pointe des pieds, et longe le couloir qui donne sur le salon, sans éclairer
La porte est entrebâillée.
Je m’apprête à entrer quand je perçois des éclats de voix, ou plutôt des cris qui viennent de la pièce.
Je risque un œil dans la pièce, et découvre un spectacle qui m’immobilise sur place.
Mon épouse est étendue sur le canapé, entièrement nue, et devant elle, me tournant le dos, un inconnu, nu également, qui, manifestement, est en train de la baiser.
Pendant une minute je reste figé, appuyé contre le mur, totalement abasourdi par l’incroyable scène.
J’en ai le souffle coupé, les pensées se carambolent dans ma tête à me donner le tournis.
Peu à peu je retrouve ma respiration, un sentiment de colère m’envahit.
Sur le point de faire une entrée fracassante, je me ravise et jette à nouveau un œil dans la pièce, en repoussant légèrement la porte.
Tapi dans l’obscurité du couloir, je suis sûr qu’ils ne peuvent pas me voir.
L’homme, que je ne connais pas, doit avoir soixante, soixante-cinq ans, peut-être plus.
De taille moyenne, plutôt mince, les cheveux blancs coupés courts, son visage ridé et les membres dégarnis évoquent clairement un âge avancé.
c'était il y a environ quatre ans
La réunion de travail s’étant terminée plus tôt que prévu, je décidai d’avancer mon retour et d’en faire la surprise à mon épouse, Martine, que j’ai laissée seule une fois de plus.
Mon travail exige de fréquents déplacements, quelque fois de plusieurs jours, et je culpabilise toujours un peu en la quittant.
Nous habitons un petit bourg, pas toujours très animé, surtout l’hiver, et j’ai souvent peur qu’elle s’ennuie.
A bientôt quarante ans Martine a conservé une silhouette alléchante qu’elle entretient par une pratique régulière de la natation.
Brune, de taille moyenne mais bien proportionnée, ses formes avantageuses attirent souvent le regard des hommes, ce qui n’est pas toujours pour me déplaire.
Après avoir élevé nos enfants, elle occupe désormais ses journées entre des visites à quelques amies et du bénévolat dans une association caritative.
Je me fais une joie, ce soir, de l’emmener au restaurant, de passer une soirée en amoureux, les enfants ne rentrant pas avant le week-end prochain.
Après vingt ans de vie commune, il est important de se ménager de temps en temps des petits plaisirs
Arrivé prés de la maison, je me gare à distance pour qu’elle ne m’entende pas, bien décidé à lui faire la surprise.
Tout est calme, le salon est éclairé, elle doit sûrement s’y trouver.
Je rentre par le garage, sur la pointe des pieds, et longe le couloir qui donne sur le salon, sans éclairer
La porte est entrebâillée.
Je m’apprête à entrer quand je perçois des éclats de voix, ou plutôt des cris qui viennent de la pièce.
Je risque un œil dans la pièce, et découvre un spectacle qui m’immobilise sur place.
Mon épouse est étendue sur le canapé, entièrement nue, et devant elle, me tournant le dos, un inconnu, nu également, qui, manifestement, est en train de la baiser.
Pendant une minute je reste figé, appuyé contre le mur, totalement abasourdi par l’incroyable scène.
J’en ai le souffle coupé, les pensées se carambolent dans ma tête à me donner le tournis.
Peu à peu je retrouve ma respiration, un sentiment de colère m’envahit.
Sur le point de faire une entrée fracassante, je me ravise et jette à nouveau un œil dans la pièce, en repoussant légèrement la porte.
Tapi dans l’obscurité du couloir, je suis sûr qu’ils ne peuvent pas me voir.
L’homme, que je ne connais pas, doit avoir soixante, soixante-cinq ans, peut-être plus.
De taille moyenne, plutôt mince, les cheveux blancs coupés courts, son visage ridé et les membres dégarnis évoquent clairement un âge avancé.