Marick a raison, cela devient une "drogue", une véritable addiction.
Chez la femme c'est compréhensible. Elle prend tout d'abord du plaisir, plus qu'avec son mari. En général l'homme ou les hommes avec qui elle baise sont plus viril(s) que son mari, ou savent mieux y faire, ou les deux. Jouir intensément et se sentir désirée à chaque nouvelle rencontre par de nouveaux partenaires est vite une "drogue" pour elle. Uta, ma femme, n'a pas résisté plus de 3 ou 4 jours après notre première expérience libertine. Son plaisir sexuel avait été si intense (avec un couple en plus, se révélant bisexuelle ce que j'ignorais totalement) qu'elle a voulu sortir à nouveau. La "machine" était lancée et elle n'a jamais réussit longtemps à s'en passer. C'est bien d'addiction dont il s'agit car à plusieurs reprises pendant des semaines consécutives nous sortions jusqu'à 5 fois par semaine le soir pour assouvir sa soif de relations sexuelles, toujours multiples.
Le candaulisme est pour nous une sorte de stade "suprême" qui consacre une situation de fait dont en général on ne prend pas conscience. Voir sa femme s'envoyer en l'air est normal pour un libertin, qui lui même en fait autant en général. Le candaulisme est plus insidieux. Peu à peu le candauliste a de moins en moins de relations car il a de moins en moins de désir sexuel. Il finit par ne plus en avoir avec d'autres pour se satisfaire de voir sa femme en avoir avec d'autres. Peu importe que sa femme ait des relations avec d'autres hommes ou des femmes. Son excitation est d'autant plus importante qu'il se sent "largué". Ma femme a baisé avec des centaines de femmes, dont certaines sont vraiment superbes. Ma propre expérience se limite à quelques dizaines de femmes, et la quasi totalité des femmes avec lesquelles ma femme a baisé me paraissent si inaccessibles qu'il devient normal, explicable, que je n'y touche pas. Si elles ne me font pas directement comprendre que je ne les attire pas sexuellement, même celles que j'attire finissent par "me faire peur" du simple fait qu'elles hurlent de plaisir sous les "assauts" de la mienne, et que j'ai peur de ne pas être à "leur hauteur" car ma propre femme me parait inaccessible. Je sais, cela parait absurde, mais beaucoup de candaulistes que je connais ont cette même "peur" de la libido incroyable de leurs femmes. Curieusement donc, au lieu d'exacerber mon excitation, ma femme en tous cas et j'en suis sur beaucoup de femmes de candaulistes "castrent" en quelque sorte leurs maris. Le plaisir démonstratif qu'elles prennent avec d'autres qu'eux leur parait hors de portée.
C'est évidemment pourquoi (et c'est repris dans l'imagerie populaire sur le sujet) le "bull", le Mâle est toujours représenté sous des traits athlétiques avec une bite énorme. En fait, le candauliste se sent rassuré d'être si différent de l'homme qui baise avec sa femme. Il se "déresponsabilise", considérant à juste titre d'ailleurs n'être pas "coupable" de sa différence physique d'avec le partenaire de sa femme. Le 1er homme qui a fait jouir ma femme avec sa pine - devant moi - a une pine de...24 cm. Nous en connaissons d'autres, mais il faut bien admettre qu'une infime minorité d'hommes sont ainsi "équipés". Uta n'a bien sur (et heureusement pour elle) pas besoin d'hommes aussi membrés que son "premier" pour avoir un orgasme "pénétratif", mais elle a besoin d'une taille minimum pour en avoir un. Notre problème (pour moi autant que pour elle) est de ne pas partager d'orgasmes par la pénétration mon pénis étant trop petit pour qu'elle le ressente au point d'avoir du plaisir. (je ne suis pas ridiculement "monté", c'est ma femme qui a un sexe "très grand"
)
Donc - et les mêmes cas que le nôtre sont légions - j'assume cette différence en ma défaveur et considère absolument légitime et normal que ma femme Uta puisse donc rechercher le plaisir sexuel que je ne lui donne pas avec d'autres que moi. Bien évidemment quand elle le trouve avec une fille, je n'éprouve aucune jalousie. Au début - j'étais très dragueur et sur de moi avant de découvrir mon "incapacité" avec ma femme (je fais jouir avec mon pénis des femmes "étroites") - donc vexé que la plupart des femmes libertines se refusent à moi. Qui plus est, je suis plutôt séduisant, mais il est vrai qu'en dépit de ce fait, dans les partouzes je n'attire presque aucune nana. J'ai donc été habitué dès notre tout premier échange libertin à ce que ma femme baise avec des hommes dont les sexes sont sans aucune comparaison en taille avec le mien, et que s'il s'agit de couples que nous rencontrons, leurs maris étant toujours très bien montés, absolument aucune d'entre elle n'a eut envie que je la pénètre. Au début c'est vexant et très frustrant. Vous perdez en fait en quelques soirées toute la confiance que vous pouviez avoir en vous au niveau sexuel. Votre pouvoir de séduction est intact, mais vous ne passez jamais à l'acte. Votre femme est là, sous vos yeux, et c'est à un trio auquel vous assistez, auquel on ne vous convie pas...ni votre femme qui jouit en quelques minutes avec cet homme qu'elle connait depuis 5 minutes et avec sa femme qui elle même jouit avec son mari. Au début, c'est extrêmement difficile à vivre. Votre amour propre en prend un très sérieux coup. Mon erreur (et celle de la plupart des maris, ce qui les conduit au candaulisme) a été de me cantonner au libertinage. Dans mon cas, ce n'est évidemment pas là que je trouverai la solution pour moi, même si c'est effectivement LA solution pour ma femme...
On ne se décrète pas candauliste. Je pense qu'on le devient peu à peu, malgré soi. Pour nous, ce qui différencie le candauliste du cuckold c'est que le candaulisme suppose une relation quasi amoureuse entre l'étalon et la femme. Le sexe seul n'est pas le "ciment" de leur relation extra conjugale. Le cuckold trouve son plaisir dans l'humiliation, proportionnelle à la supériorité physique du/des partenaire(s) de sa femme. Je ne peux rien à la supériorité sexuelle du partenaire de ma femme. C'est un fait. Il est plus grand, mieux fait que moi, et son sexe est beaucoup plus gros que la normale pendant que le mien est plus petit que cette même "normalité". Qu'y faire ? Rien, donc il faut assumer!
C'est donc petit à petit qu'il devient normal au candauliste que sa femme éprouve de réels sentiments pour cet homme qui s'installe dans leur vie de couple, pour former un couple parallèle à leur propre couple. Cela se fait en douceur. Quand JJ arrive pour passer quelques jours avec Uta, il est devenu aussi naturel pour moi que pour ma femme qu'il s'installe dans notre lit. Lui, comme moi, assumons. Cela parait étrange, mais aussi bien moi que lui devons assumer. Il n'est pas si naturel que cela pour un homme de faire l'amour ou baiser devant un mari la femme auquel lui même il est attaché... Le déclic n'a pas été immédiat, surtout pour ma femme. Même si c'est avec JJ son amant que se passent la quasi totalité de ses relations sexuelles, elle m'aime aussi ou je devrais dire avant d'aimer aussi son amant...
(sommes cpl les 2 bi. Ch. Mâle pour elle...et lui)
et après encore plus car j'attends déjà le prochain rv coquin de ma femme et de son ou ses amants. Bref ! Une vraie drogue.
