- 19 févr. 2012, 21:07
#1002205
Voici la première partie de l'histoire :
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
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Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
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claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
Prenez le temps de lire notre présentation
[http://www.forum-candaulisme.fr/petite-presentation-t6494.html]
claire95
Certifié
Messages: 378
Inscription: Mar Juin 22, 2010 12:42 am
Nous sommes un couple marié depuis huit ans. Sandrine, 34 ans, belle femme, blonde naturelle, 1,68 m pour 54 kgs, les yeux bleus avec une superbe poitrine du 90b, une toison peu fournie très claire avec de grosses lèvres et un vagin étroit, presque comme une jeune vierge. Nous n’avons pas d’enfant.
Nous sommes un couple dont l’entente sexuelle est bonne, bien sur nous avons nos fantasmes comme tout à chacun. J’ai comme fantasme de la voir jouir avec un autre homme bien mieux membré que moi, même si elle dit que je lui suffis. Bien sur elle refusait de passer a l’acte disant que son amour pour moi lui convenait, mais prenait beaucoup de plaisir dans nos scénarios sur ce thème dans notre lit.
Je suis Marc est en accord avec mon épouse Sandrine, nous allons écrire ensemble une partie de l’histoire qu’a vécu notre couple.
MARC
J’ai un collègue noir (Serge) bel homme toujours avec de jolies femmes aux bras. Un jour je lui demande comment il s’y prend, il me répond qu’il est très fortement membré et que les femmes ne peuvent résister a cela, disant : « même ta femme si je la veux je peux la baiser » moi bien sur je rigole et le charrie sur sa vantardise.
Un soir que nous étions avec des amis dans une boite, Sandrine avec une petite jupe blanche transparente à contre-jour, dessous un string. En haut un chemisier avec deux boutons non boutonnés et les seins libres. Quelle n’es pas ma surprise de voir apparaître Serge, il vient vers moi et bien sur je lui présente Sandrine ma femme, Serge un collègue de travail. N’aimant pas danser je reste au bar à discuter et boire avec certains de nos amis. Serge invite mon épouse a dansé, elle accepte avec plaisir. De ma place je peux les voir danser au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de Serge qui commencent à caresser le dos de Sandrine. La jalousie et l’excitation me prennent, mais je laisse faire.
SANDRINE
Serge est vraiment un beau mec, qui de plus danse très bien. IL me conduit bien en rythme, nous dansons quelques danses un peu chaudes. Je ne sais pas si c’est l’attrait de Serge qui est très prévenant, mais j’ai de plus en plus envie de m’amuser. Mais la musique s’arrête et je rejoins mon mari qui nous regardait.
Je lui demande
- Tu es en colère ?
- Non pourquoi je le serais ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que cela me rend jaloux, mais j’ai aussi aimé te voir danser avec lui. Et toi ?
- C’était très agréable !
- Ecoute ma chérie, je sais que tu adores danser alors je ne voudrais pas t’en priver, va-y puisque tu en as envie.
Je lui souris et l’embrasse, puis je me lève et me dirige vers la piste de danse ou une série de slows débutent. Serge me rejoint de suite m’enlaçant tendrement, ses mains descendent doucement sur mes fesses, m’obligeant a me plaquer d’avantage contre lui. Je suis soudain gênée d’un contact inhabituel, et il me faut un petit moment pour réaliser que c’est son sexe d’un volume incroyable et de dureté, que je sens contre mon ventre et allant jusqu’a mon nombril et sous mes seins. J’ai un mouvement de recul, mais Serge me tient fermement et je ne peux me dérober à cette pression intime de son sexe contre mon ventre. Mon cavalier me murmure à l’oreille :
- J’ai envie de toi et je sens que toi aussi, viens allons ailleurs.
Sa grosse queue a mis le feu dans mon ventre et comme une somnambule je le suis sur le parking, il me colle contre son 4X4, m’embrasse dans le cou, une de ses main passe sous mon chemisier et l’autre sous ma jupe entre mes cuisses.
-Non pas ici !
- Mais si. Tu en meurs d’envie et moi, encore plus que toi. Regarde !
A ce moment il ouvre son pantalon et sort son sexe bien raide. IL pose ses mains sur mes épaules m’obligeant a me mettre a genoux devant lui, j’ai son sexe près de ma bouche qui me semble énorme (surtout en diamètre).
-Allez, suce-moi maintenant ! Tu n’en a jamais eu de comme ça !!
Mon dieu elle est vraiment énorme ! Son gland circoncis arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules très grosses sont bien visibles, je tends la main vers la « chose » et la prend dans ma petite main qui n’arrive pas à en faire le tour, je la sens vibrer au creux de ma paume. Je commence à la lécher par petits coups afin de m’habituer à son engin, son gland mouillé me semble encore plus gros. Enfin il me faut le prendre en bouche mais j’étouffe cela me donne des hauts le cœur.
- Vas-y … Elle est bonne ma queue …Oui comme ça …Avale bien ma grosse bite … Elle est en forme ce soir, tu va voir quand je vais te baiser, tu va en redemander ….
- Hum … oui tu suces bien ! Pas trop vite, je ne veux pas jouir dans ta bouche car je veux te baiser !
J’étais super excitée par sa queue monstrueuse et ses paroles de machos pour qui je n’étais qu’un jouet de plaisir.
-T’es vraiment une petite salope … Tu me suce la, sur un parking et ça t’excite. Dis-le que ma queue est grosse ….
- Oh ! Oui elle est grosse.
- Plus grosse que la petite bite de ton mari ?
- Oh ! Oui bien plus grosse …
- Maintenant tu vas arrêter et te lever car je veux te prendre.
IL déboutonne mon chemisier, faisant apparaître mes seins gonflés de désirs, puis il passe sa main sous ma jupe et je ne peux m’empêcher de gémir.
- T’es vraiment bien foutue, tu aimes les doigts et la bite !
- Oui
- Mais tu préfères la mienne ?
- Oui … Elle est si grosse et si dure.
- Tu vas la recevoir. Maintenant tu vas voir pourquoi j’ai acheté un 4X4.
Il ouvre la portière arrière et me fait m’allonger le dos sur la banquette.
- Tu vois, je peux te baiser sans avoir à m’allonger sur toi.
En effet mon entrejambe était à la hauteur de son sexe, je n’avais qu’à écarter mes cuisses.
- Enlève ton string, que je vois ton sexe.
Ce que je fis, me laissant ainsi offerte à son regard lubrique.
- Que c’est beau ! Tu mouilles ma belle, c’est moi qui vais profiter de ta chatte mouillée, dommage pour ton mari mais il va être cocu. Aller écarte bien que je vois ton sexe si doux et si humide. J’ai la queue si raide que je vais te baiser tout de suite. Je te sucerais une autre fois.
- Je veux sentir ta langue, lui dis-je en gémissant
Tout en me caressant le clitoris il me dit :
- C’est moi qui décide, allez écarte. Ton mari te sucera après.
Et il avança me prenant sous les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Serge ne met pas de préservatif, pourtant je ne lui fais pas la remarque et le laisse glisser son membre qui se place naturellement contre mon vagin. Son bélier se rapproche, son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs. Je soulève mon bassin pour faciliter la pénétration et j’apprécie qu’il me pénètre sans protection anticipant le plaisir de recevoir sa semence au fond de mon intimité. Un tiers de sa grosse queue est entré dans mon ventre. Je me redresse un peu et sa tête en fait de même pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres viennent au contact de sa grosse bouche d’africain et sa langue joue avec la mienne.
- Tu es bonne, tu es bien serré comme une vierge et je sens ta chatte qui me suce la queue c’est fou.
C’est vrai que mes muscles internes, se sont mis en mouvements pour enserrer cette grosse bite dans mon vagin.
IL avance encore son bassin, j’écarte le mieux que je peux mes jambes. Je sens sa grosse queue buter contre mon utérus. C’est dingue cette sensation de remplissage maximale, de sentir sa queue dans un endroit inaccessible a mon mari.
- Quel pied ! dit-il. Se faire une belle femme en manque de grosse bite, c’est bon. J’aime te baiser comme ça t’est si étroite , que je sens que tu vas prendre un pied énorme. Tu as la chatte en feu ma coquine ! Je sens que tu vas jouir !
Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous ses coups de boutoirs qui cognent ma matrice. Je crie sous la violence de l’orgasme. Je gémis : ne t’arrête pas, c’est trop bon.
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus, il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements sont désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque ma chatte malmenée. Serge se crispe et je le sens jouir de longs flots de sperme dans mon vagin. Maintenant il est fiché au plus profond de mon ventre et je sens ses dernières coulées de sperme, je me tends vers lui pour qu’il m’embroche encore plus. Comme c’est bon de se sentir une femme désirée et comblée.
- Ton mari tu l’as déjà fait cocu ?
- Non c’est la première fois
- Je suis ravi d’être le premier alors ! Bon quand est-ce que l’on peut se revoir ?
- Pas tout de suite, lui répondis-je il faut que je m’habitue a l’idée de ce qui vient de se passer entre nous.
- Oui ! mais moi je veux encore te baiser, tu n’es pas épilée, mais la prochaine fois je te veux douce de partout, lisse a 100% !
- Oui si tu veux.
- Bien sur que je veux ! quel cul tu as, tu sais que je vais aussi te prendre par là ! Aller va rejoindre ton mari il va s’inquiéter.
Serge partit en premier pendant que je remettais un peu d’ordre dans ma tenue. Me mettant de debout sur mes jambes flageolantes, sentant le sperme s’échapper de mon sexe, je m’essuie avec un kleenex et je remets mon string avec un kleenex au fond pour limiter les coulées sur mes cuisses.
MARC
Tout à ma discussion avec les amis je n’ai pas vu que ma femme s’est absentée, quand Serge est venu vers moi me disant a l’oreille :
-J’ai baisé ta femme, elle est bonne… Elle a appréciée de te faire cocu avec ma grosse queue.
Puis il est parti quittant la boite et j’aperçois Sandrine qui revient de dehors. Je la regarde me disant qu’elle ne donne pas l’impression de s’être envoyée en l’air quelques minutes plus tôt, elle cachait bien son jeu. Quand elle me vit elle s’approcha pour me faire une bise.
- Chéri je suis fatiguée, on rentre ?
- OK, on y va.
Durant le trajet en voiture pas une parole ne fut prononcée. Arrivé à la maison, nous montons directement dans notre chambre, Sandrine se couche sur notre lit conjugal.
- Alors c’était bien avec Serge ?
- Excuse moi mais je n’ai pu résister, je n’ai jamais vu ça …
- Quoi donc ?
- Son …Enfin sa … Il en a une …. C’est un vrai monstre ….
Elle est la nue sur notre lit. Je la regarde, elle est encore plus belle après avoir fait l’amour. Je descends mes lèvres sur les siennes, je lui souris. Je continu de descendre lentement sur son ventre, vers son sexe, une odeur dont je devine l’origine (ses sécrétions de femelle) chatouilles mes narines, cela déclenche en moi une érection immédiate.
- S’il te plait laisse- moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.
Je descends jusqu'à son sexe et la, je vois sa vulve encore très ouverte, luisante de sperme, mon dieu il l’a vraiment rempli de sa semence. Elle s’est fait prendre sans protection ! Sandrine me regarde inquiète.
- Mais t’as baisé sans capote, t’es malade !
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
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Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
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Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
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Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
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Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
- Je vois que de t’avoir trompé, cela excite mon petit cocu de mari.
Je commence à la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baisais comme un fou pendant quelle me racontait sa tromperie. Mon excitation était tellement grande que je n’ai pu me retenir longtemps de jouir en elle mélangeant mon sperme a celui de son amant.
Puis je suis descendu jusqu'à sa chatte trempée et je l’ai léchée, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que je venais de lui donner.
- Oui j’avais envie de le sentir éjaculer en moi.
Je suis bouleversé et pourtant fasciné par ce spectacle, par l’odeur quelle dégage, par la dépravation de ma femme qui s’est donnée sans retenue a un inconnu, noir de plus. Je lui ai demandé de me raconter son escapade avec Serge, ce quelle a commencé à faire. Montant sur elle entre ses cuisses, elle a pu voir mon érection.
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