Bonjour les amis,
Savez-vous que lorsque la pleine lune apparait pour la deuxième fois pendant un même mois, certains la nomment la Lune Bleue ? C'est ce que Manon nous a appris ce soir là dans la voiture en quittant le restaurant et en allant vers l'hôtel. Nous ? Gentilvoyeur et moi bien sûr.
Comment ? Nous ne vous l'avions pas dit ? C'était pourtant inévitable à leurs yeux, Manon et Gentilvoyeur n'ont pu s'empêcher de donner une suite à la Nuit des Etoiles Filantes (
presentation-de-madame-fantasmes-t35732-830.html#p1186577 ) . Cette nuit là, les enfants n'étaient pas là ... comment voulez-vous dire non à la femme dont le regard suppliant est encore plein d'étoiles et qui a encore des fourmillements dans le ventre à chaque fois qu'on fait une allusion à son dernier amant. D'ailleurs, je n'avais aucune intention de lui refuser ce plaisir.
Les plaisirs que je lui ai refusés, c'était avant ça, quand elle a commencé à me demander si nous pourrions revoir gentilvoyeur ce soir là. Dans ma grande cruauté je me suis amusé à l'allumer, l'exciter, lui rappeler la Nuit des Etoiles Filantes, à la faire fantasmer sur de nouvelles situations, elle en était trempée de désir. Et au moment où j'aurais pu agir pour la libérer de son excitation, j'étais soudain pris d'une fatigue assommante, ou je lui disais clairement que j'allais la faire languir jusqu'au moment de la rencontre. Elle s'endormait alors frustrée ... le sexe moite. Je dois quand même avouer ma faiblesse; je n'ai pas pu m'empêcher de lui faire l'amour pendant une si longue période. La garce jouissait alors violemment sous ma langue ou mon sexe, en pensant à celui d'un autre, et ça décuplait mon propre plaisir.
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Nous avions rendez-vous en début de soirée à la gare à l'arrivée du Thalys. Après avoir balayé tous les impératifs familiaux, Manon et moi aurions juste le temps de réceptionner la chambre d'hôtel et de filer à la gare. Contrairement à notre premier rendez-vous avec gentilvoyeur, Manon venait avec moi à la gare et nous allions dîner (souper en fait) ensemble avant d'aller à l'hôtel.
A l'hôtel, Manon se change pour rencontrer son amant. Elle passe une robe noire toute simple, des bas noirs (le seul élément que l'amant avait demandé), des petits talons (parce que Manon n'est pas très habituée et que je préfère la voir élégante en petits talons que de se cartonner avec des grands). Pour les plus curieux, ses dessous étaient noirs également.
Un petit détail encore plus discret, Manon pose sur son clitoris un petit vibromasseur télécommandé. Ce petit appareil, dont la partie vibrante est sur le clitoris, rend Manon beaucoup plus sensible qu'avec un "oeuf vibrant" classique. La télécommande possède plusieurs fonctions dont deux sont assez intéressantes. L'une permet d'accentuer les vibrations en fonction de son inclinaison, l'autre en fonction des mouvements de la télécommande, plus on la secoue, plus l'appareil vibre. Je règle la télécommande dans la seconde position et nous nous mettons en route vers la gare.
C'était assez drôle de voir le visage de Manon changer lorsque les défauts des routes pavées étaient suffisants pour provoquer de faibles vibrations.
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Notre ami semblait hésitant à retourner dans même restaurant que l'autre fois vu ce qu'il s'y était passé (
presentation-de-madame-fantasmes-t35732-850.html#p1187629 ) de peur d'être reconnu par le personnel. Pour ma part, je trouvais la chose plutôt amusante et je pense que les serveurs n'avaient rien remarqué de nos petits jeux. Nous avions un peu d'avance sur le rendez-vous et comme le restaurant était entre l'hôtel et la gare, je suis allé demander si une table était disponible pour trois personnes. Le serveur me propose une table discrète dans le fond, l'autre à l'entrée près de la vitrine. Devinez ! J'ai choisi celle à l'entrée.
Nous sommes arrivés à la gare exactement en même temps que le Thalys. En montant dans la voiture, je donne la télécommande à gentilvoyeur. "Tiens, je te confie ceci, mais attention, ne le secoue pas, ça pourrait déclencher quelque-chose". Il prend la télécommande délicatement, l'air intrigué, et moi j'avais l'impression de poser Manon dans le creux de sa main.
Le diner fût plaisant mais nous avions surtout envie de nous retrouver à l'hôtel. Gentilvoyeur trouvait tous les prétextes pour fouiller la poche de son blouson, ce qui agitait la télécommande et Manon en était toute chose à chaque fois. La batterie de l'appareil était à plat à la fin du repas, mais celles de Manon étaient chargées à bloc.
Lorsque nous sommes arrivés à l'hôtel, son sexe était humide comme je ne l'ai jamais vu sans qu'elle ne se touche. C'était uniquement ces vibrations, et surtout les deux heures qu'elle venait de passer en face de son amant sans pouvoir le toucher autrement que de la pointe de son pied sous la table, et toutes ces allusions et ces souvenirs qui avaient été évoqués pendant le repas qui l'avaient mise dans cet état.