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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
par gaspard
#31827
Beaucoup d’épouses ne passent jamais à l’acte, quelque envie qu’elles en ait, soucieuse qu’elles sont de ne pas fauter voire pécher pour peu qu’elle pratiquent une religion. Mais, si on les y oblige, alors, ma foi, ce n’est plus leur faute... Obliger, soyons clair : il ne s’agit pas, bien entendu, de forcer la personne, ce qui serait d’une part délictueux, d’autre part inélégant... Mais de faire en sorte que refuser sera quasi impossible ou un pire scandale que d’accepter.. Et aussi savoir utiliser la tendance naturelle de certaines, fussent-elles prudes ou mijaurées, à céder à la flatterie. Et à la vanité des choses ...Relisez Laclos... C’est ainsi que j’ai contribué au cocufiage d’un jeune homme qui ne savait comment convaincre sa jeune épouse.. Fort heureusement, je l’avais dissuadé de lui en parler : c’est une erreur commune qu’ont les cocus imaginaires que de vouloir à tout prix obtenir l’agrément de leur femme : « Dis moi chérie, tu aimerais me tromper hein chérie ? » demandent-ils entre la poire et la fromage. Ou après quelque remarque désobligeante du style : « Tiens, t’as pas pris un peu des hanches cet hiver ? » Ce jeune homme, que j’avais initié à quelques pratiques pédérastiques car je suis bisexuel et volontiers initiateur et directif, rêvait de voir sa jeune épouse dans les bras d’autres. Il me parlait d’elle d’abondance tout en me tâtant ou pendant que je le sodomisais (il a des fort jolies fesses fermes et accueillantes). Il organisa une rencontre, prétextant que j’étais un ancien parmi ses professeurs de khâgne retrouvé par hasard. Il m’invita à un drink chez eux. Sa jeune épouse était adorable, vraiment, 25 ans, blonde, rosissante à souhait, timide et pudique. Une simple robe légère mettant en valeur de jolis seins pointus, une taille d’hyménoptère et de longues jambes de faon. Maquillage discret. Coiffure : queue de cheval. Une allure de lycéenne fraîche et naïve. Je savais, par son mari, qu’elle était fort sensuelle au déduit, voire déjà experte, ce qui renforçait mon désir de la posséder devant son cocu en puissance dont elle ignorait qu’il était aussi, parfois, grâce à moi, une tafiole soumise. Il ne se passa rien ce soir là, rien d’autre qu’une agréable conversation sur des riens. Quand je revis le mari en tête à tête, il me confia que sa jeune épouse me trouvait « sexy » - c’était son expression – voire même assez excitant en raison de mon grand âge. Suivant mes conseils, le mari se garda bien de poursuivre plus avant la conversation sur un thème aussi périlleux. D’autres auraient dit : « Ben s’il te plait, ma chérie, tu vas coucher avec lui devant moi ! ». Au risque de voir l’épouse se fermer comme une huître – et pour toujours ! « Non mais pour qui tu me prends ? Pour une putain ! Ça va pas non ? » Je continuais à le saillir le mari de temps à autres, et je remarquais qu’il devenait de plus en plus femelle avec moi. J’organisais un plan afin de piéger la belle ...
#35109
De retour des Etats-Unis je peux continuer mon récit. Sachant le mari en voyage professionnel, je téléphonais le soir chez lui pour « reprendre contact ». Bien entendu, le mari était au courant et complice, mais l’épouse non : elle m’informa de l’absence de son mari. Quelque imbécile aurait cherché à s’imposer sottement. Que nenni. Je répondis que je rappellerai au retour car j’avais un service à demander. Elle s’enquit de la nature de ce service. J’expliquais que, vu mon âge (j’ai plus de 60 ans) et mon veuvage, je ne connaissais pas de jeunes gens, et que j’aurais aimé un avis sur un cadeau que je voulais faire à ma fille pour son anniversaire. Je me réjouissais donc d’avoir renoué avec mon ancien étudiant et d’avoir fait la connaissance de sa jeune épouse qui a précisément l’âge de ma fille. Elle me demanda si j’avais déjà acquis le cadeau. Je dis que oui, mais que j’avais des doutes sur la pertinence de mon choix et que j’étais prêt à échanger. Comme elle voulait savoir de quoi il s’agissait, je fis le mystérieux. La curiosité reste un défaut féminin. Elle m’invita à passer la voir et qu’elle verrait à me donner son avis. Je prétextais subtilement de ne pas être libre ce soir, mais le lendemain (jour de retour du mari). Je passais donc chez eux le lendemain soir. Mon cocu en puissance était là. Et sa jeune épouse aussi, très en confiance, et loin d’imaginer qu’un vieil homme comme moi, et qui plus est ayant décliné une invitation alors qu’elle était seule représentait un quelconque danger. Ils m’offrirent un verre, et je fis en sorte qu’elle but un peu. Un peu trop ...Je déballais mon cadeau que je mets en photo (la personne est un mannequin, bien entendu, mais la lingerie est précisément celle que je montrais avec les mensurations exactes de l’épouse communiquées par le mari). Le mélange d’étonnement (comment offrir une telle parure à sa propre fille !) et de convoitise car la qualité de la lingerie était exceptionnelle me montra que les choses allaient évoluer dans le bon sens. D’autant qu’il y avait deux parures : une blanche et une noire ...
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