- 23 août 2010, 18:37
#72209
Ceci est une histoire vraie, qui s’est passée il y a 10 jours avec un membre du forum, je souhaite (avec son accord) vous conter cette fantastique soirée, et je lui laisse le soin si il le désire de se manifester, mais je peux d’ores et déjà vous préciser que sa femme est absolument superbe, et qu’il sont d’une sympathie, d’une correction et d’un savoir vivre rares…
J’attendais patiemment dans cette brasserie, et mon esprit virevoltait à la perspective de cette rencontre immédiate.
J’avais rendez vous avec un couple dont les courbes de madame, et la cérébralité (et le savoir vire dois je le préciser) m’avaient interpellés. Comme c’est souvent le cas, la rencontre s’était très rapidement organisée. Nous avions échangé sur nos idées et envies respectives depuis plusieurs semaines, mais lors d’un petit message cordial, la proposition s’était transformée en rendez vous; en deux jours, nous avions finalisé les détails.
Ce soir, j’étais un homme d’affaire à qui le mari avait proposé d’offrir sa femme en échange d’une rémunération (je précise tout de suite, que cela était purement fictif). J’étais donc un client qui s’attendait à disposer d’une épouse selon ses exigences particulièrement perverse et cérébrale.
Par cette chaleur de mois d’aout parisien, je portais tout de même (l’élégance n’a pas de prix) mon costume bleu, avec ma chemise blanche je renvoyais une image de gentleman, le raffinement était apporté par ces chaussures italiennes, et ses boutons de manchette, accessoire quotidien me concernant.
L’introspection battait son plein, et je guettais l’arrivée de mes compères d’un soir, in fine, je ne savais pas grand-chose de madame, j’avais eu la chance d’apercevoir ses courbes divines, mais je ne connaissais pas son visage, ce sera donc la surprise. Mon expérience de libertin prévoyait une déception, car souvent, on idéalise les personnes lors du fantasme de la rencontre...
Je m’égarais encore dans mes pensées, ravi de l’endroit que j’avais trouvé, certes, il n’était pas désert, mais j’avais trouvé un cocon au fond d’une brasserie parisienne, nous laissant quelques libertés libertines (toute raisonnable)
Je réfléchissais d’ailleurs aux différents outrages auxquelles j’allais soumettre cette épouse devant son mari.
Puis tout d’un coup, je l’aperçus… Je me maudissais alors d’avoir anticipé une déception quand à sa vue. Elle était … divine, superbe, son visage d’ange était teinté d’un coté coquine avec un maquillage bien appuyée, par ailleurs, elle s’était apprêtée pour l’occasion. Un petit haut croisé, une petite jupe affichant de superbes jambes couvertes de nylon noir, et galbées par des hauts talons
Je me ravissais d’une telle vision, et m’éternisais sur ce magnifique spectacle. Je devais alors me raviser pour saluer monsieur, et j’embrassais madame, profitant déjà du contact de sa peau électrique…
Elle s’asseyait à ma gauche sur la banquette, et nous nous sommes mis à discuter de tout et de rien.
Cette discussion joyeuse continuait autour de mets et de vins, Montaigne avait raison, Elle était non seulement superbe mais son esprit allait de pair. Les notes d’humour fusaient, et la convivialité du diner était crescendo, cependant, les regards avec Madame étaient plus appuyés. Un océan de sensualité, de perversité, d'envie était présent en Elle, l'envie de la prendre se faisait de plus en plus pregnante. Monsieur se rendait compte de cette tension entre nous, et était ravi. La complicité avec monsieur grandissait aussi, la multiplicité des regards et clien d'oeil sur moi était une preuve qu'il appréciat particuliérement voir sa femme se laisser ainsi aller avec moi (le client !)
Je ne pouvais m’empêcher constamment de lui faire des louanges sur ses charmes.
Au détour de quelques mouvements, ma main touchait la sienne, puis mes doigts s’égaraient sur son épaule. Enfin, ma main droite avait trouvé toute sa place sur la banquette à coté de sa jambe. Tout doucement, alors que le vin coulait à flot, en tant que client, je prenais mes aises, ma main relevait sa courte jupe, laissant apparait la lisière de ses bas. D’ailleurs, les serveurs avaient la chance de profiter du spectacle de ses jambes se dénudant.
La conversation devenait un peu plus érotique, j’évoquais alors que monsieur avait vanté les qualités de Madame, et en parallèle, ma main se posait sur sa cuisse. Nous discutions toujours joyeusement à trois, et le Mari voyait avec plaisir sa dame se faire caresser devant lui en public. Mutine, ma main caresser l’intérieur de ses cuisses, et plus nous nous rapprochions de la fin du diner, plus elle se rapprochait de son entrejambe. Nous avions pratiquement fini notre activité dinatoire, que mon doigt était sur son string en train de jouer avec son bouton… Madame et monsieur était ravi.
Elle était d’ailleurs, soumise à souhait, comme une call girl qui se doit de faire plaisir à son client, l’atmosphère était de plus en plus électrique, la jupe de madame faisait foi de cette tension érotique, entièrement relevé, les bas et attaches du porte-jarretelles de madame était à la vue de tous.
Cet érotisme, cette envie prégnante fit même oublier le crumble de fruits rouges qui pourtant faisait envie à Madame, mais elle avait envie d’un dessert tout différent. C’est ainsi que je lui proposais de venir, cependant, elle devrait mériter cette gourmandise.
Nous partions ainsi du restaurant, madame nous précédait, et comme un bon client, je lui caressais les fesses en même temps, d’ailleurs, lors de notre courte marche dans la rue, mes mains faisaient relever sa jupe, offrant ainsi au quidam une sublime vue.
Monsieur nous suivait, et ne perdait pas une miette de sa superbe divinité en train de se faire outrager en pleine rue, par ce client…
Nous nous sommes retrouvés alors dans l’ascenseur, et à proximité d’Elle, je relevais complètement sa jupe, et découvrait alors un ensemble de lingerie tout à fait raffinée. Elle se laissait faire, laissant le client regarder ce pour quoi il avait payé…
Tout au long de ce voyage, je lui glissais alors des mots crus, je la traitais de superbe salope, ou de divine chienne (Madame adorant ce genre de mots crus).
Lors du périple dans les dédales de l’hôtel, Madame est ainsi, jupe relevée, montrant sa divine croupe à mes yeux et celui de son mari, encouragée par des mots de plus en plus crus, vantant sa perversité.
Nous rentrons ainsi tous les trois dans cette vaste chambre d’hôtel (j’avais pris une grande chambre – espace rare dans un hôtel parisien), j’offrais à mes convives différentes boissons alcoolisées venant du minibar, puis nous nous sommes assis sur le sofa, face à la table basse.
Dés que je fus installé, je demandais à cette superbe salope, de retirer son string.
En délicieuse coquine, elle me tourna le dos, se cambra et me montra sa croupe, se pencha en avant et l’enleva tout doucement.
Tous les deux assis sur le sofa, je lui demandais alors de se mettre à quatre pattes sur la table, afin qu’elle me présente sa croupe que j’allais saillir.
Elle s’exécuta …
(À suivre)
J’attendais patiemment dans cette brasserie, et mon esprit virevoltait à la perspective de cette rencontre immédiate.
J’avais rendez vous avec un couple dont les courbes de madame, et la cérébralité (et le savoir vire dois je le préciser) m’avaient interpellés. Comme c’est souvent le cas, la rencontre s’était très rapidement organisée. Nous avions échangé sur nos idées et envies respectives depuis plusieurs semaines, mais lors d’un petit message cordial, la proposition s’était transformée en rendez vous; en deux jours, nous avions finalisé les détails.
Ce soir, j’étais un homme d’affaire à qui le mari avait proposé d’offrir sa femme en échange d’une rémunération (je précise tout de suite, que cela était purement fictif). J’étais donc un client qui s’attendait à disposer d’une épouse selon ses exigences particulièrement perverse et cérébrale.
Par cette chaleur de mois d’aout parisien, je portais tout de même (l’élégance n’a pas de prix) mon costume bleu, avec ma chemise blanche je renvoyais une image de gentleman, le raffinement était apporté par ces chaussures italiennes, et ses boutons de manchette, accessoire quotidien me concernant.
L’introspection battait son plein, et je guettais l’arrivée de mes compères d’un soir, in fine, je ne savais pas grand-chose de madame, j’avais eu la chance d’apercevoir ses courbes divines, mais je ne connaissais pas son visage, ce sera donc la surprise. Mon expérience de libertin prévoyait une déception, car souvent, on idéalise les personnes lors du fantasme de la rencontre...
Je m’égarais encore dans mes pensées, ravi de l’endroit que j’avais trouvé, certes, il n’était pas désert, mais j’avais trouvé un cocon au fond d’une brasserie parisienne, nous laissant quelques libertés libertines (toute raisonnable)
Je réfléchissais d’ailleurs aux différents outrages auxquelles j’allais soumettre cette épouse devant son mari.
Puis tout d’un coup, je l’aperçus… Je me maudissais alors d’avoir anticipé une déception quand à sa vue. Elle était … divine, superbe, son visage d’ange était teinté d’un coté coquine avec un maquillage bien appuyée, par ailleurs, elle s’était apprêtée pour l’occasion. Un petit haut croisé, une petite jupe affichant de superbes jambes couvertes de nylon noir, et galbées par des hauts talons
Je me ravissais d’une telle vision, et m’éternisais sur ce magnifique spectacle. Je devais alors me raviser pour saluer monsieur, et j’embrassais madame, profitant déjà du contact de sa peau électrique…
Elle s’asseyait à ma gauche sur la banquette, et nous nous sommes mis à discuter de tout et de rien.
Cette discussion joyeuse continuait autour de mets et de vins, Montaigne avait raison, Elle était non seulement superbe mais son esprit allait de pair. Les notes d’humour fusaient, et la convivialité du diner était crescendo, cependant, les regards avec Madame étaient plus appuyés. Un océan de sensualité, de perversité, d'envie était présent en Elle, l'envie de la prendre se faisait de plus en plus pregnante. Monsieur se rendait compte de cette tension entre nous, et était ravi. La complicité avec monsieur grandissait aussi, la multiplicité des regards et clien d'oeil sur moi était une preuve qu'il appréciat particuliérement voir sa femme se laisser ainsi aller avec moi (le client !)
Je ne pouvais m’empêcher constamment de lui faire des louanges sur ses charmes.
Au détour de quelques mouvements, ma main touchait la sienne, puis mes doigts s’égaraient sur son épaule. Enfin, ma main droite avait trouvé toute sa place sur la banquette à coté de sa jambe. Tout doucement, alors que le vin coulait à flot, en tant que client, je prenais mes aises, ma main relevait sa courte jupe, laissant apparait la lisière de ses bas. D’ailleurs, les serveurs avaient la chance de profiter du spectacle de ses jambes se dénudant.
La conversation devenait un peu plus érotique, j’évoquais alors que monsieur avait vanté les qualités de Madame, et en parallèle, ma main se posait sur sa cuisse. Nous discutions toujours joyeusement à trois, et le Mari voyait avec plaisir sa dame se faire caresser devant lui en public. Mutine, ma main caresser l’intérieur de ses cuisses, et plus nous nous rapprochions de la fin du diner, plus elle se rapprochait de son entrejambe. Nous avions pratiquement fini notre activité dinatoire, que mon doigt était sur son string en train de jouer avec son bouton… Madame et monsieur était ravi.
Elle était d’ailleurs, soumise à souhait, comme une call girl qui se doit de faire plaisir à son client, l’atmosphère était de plus en plus électrique, la jupe de madame faisait foi de cette tension érotique, entièrement relevé, les bas et attaches du porte-jarretelles de madame était à la vue de tous.
Cet érotisme, cette envie prégnante fit même oublier le crumble de fruits rouges qui pourtant faisait envie à Madame, mais elle avait envie d’un dessert tout différent. C’est ainsi que je lui proposais de venir, cependant, elle devrait mériter cette gourmandise.
Nous partions ainsi du restaurant, madame nous précédait, et comme un bon client, je lui caressais les fesses en même temps, d’ailleurs, lors de notre courte marche dans la rue, mes mains faisaient relever sa jupe, offrant ainsi au quidam une sublime vue.
Monsieur nous suivait, et ne perdait pas une miette de sa superbe divinité en train de se faire outrager en pleine rue, par ce client…
Nous nous sommes retrouvés alors dans l’ascenseur, et à proximité d’Elle, je relevais complètement sa jupe, et découvrait alors un ensemble de lingerie tout à fait raffinée. Elle se laissait faire, laissant le client regarder ce pour quoi il avait payé…
Tout au long de ce voyage, je lui glissais alors des mots crus, je la traitais de superbe salope, ou de divine chienne (Madame adorant ce genre de mots crus).
Lors du périple dans les dédales de l’hôtel, Madame est ainsi, jupe relevée, montrant sa divine croupe à mes yeux et celui de son mari, encouragée par des mots de plus en plus crus, vantant sa perversité.
Nous rentrons ainsi tous les trois dans cette vaste chambre d’hôtel (j’avais pris une grande chambre – espace rare dans un hôtel parisien), j’offrais à mes convives différentes boissons alcoolisées venant du minibar, puis nous nous sommes assis sur le sofa, face à la table basse.
Dés que je fus installé, je demandais à cette superbe salope, de retirer son string.
En délicieuse coquine, elle me tourna le dos, se cambra et me montra sa croupe, se pencha en avant et l’enleva tout doucement.
Tous les deux assis sur le sofa, je lui demandais alors de se mettre à quatre pattes sur la table, afin qu’elle me présente sa croupe que j’allais saillir.
Elle s’exécuta …
(À suivre)
Modifié en dernier par belcomte le 23 août 2010, 19:15, modifié 2 fois.