Une histoire incroyable ! (Première partie)Mes amis, celle-là, il faut que je vous la raconte !
Tout a commencé mercredi il y a dix jours, Manon préparait le repas, je buvais un verre en lui tenant compagnie (je précise que c'est ce même mari macho qui range la cuisine après le repas

).
L. : Au fait, il n'y a rien de spécial vendredi en huit ?
M. : Heu non, pourquoi ?
L. : Hmmm ? Ho rien, il y a un type qui vient pour le système de ventilation.
Il y a quelques mois nous nous étions rendus à un salon du bâtiment. Intéressés par un système de ventilation général pour la maison, nous avions donné notre adresse pour que le bonhomme passe et vérifie si l'installation est possible, il nous envoyait un technico-commercial. Tout cela est bien banal.
Le soir, comme ça n'arrive presque jamais (sic !), Manon s'était bien chauffée sur le chat du forum et nous avons été nous coucher avec plein de fantasmes dans la tête. Sur l'oreiller, je ravive ses fantasmes et en invente de nouveaux:
L. : Et si vendredi prochain tu chauffais le mec de la ventilation ?
M. : Hmmm, cochon d'mari, comment veux-tu que je le chauffe ?
Nous jouons à ce genre de jeu quand nous en avons l'occasion et ça ne marche jamais. Je veux dire par là que ça ne mène jamais à rien de bien concret, mais le jeu est excitant. Un jour, un technicien venait à la maison pour installer des stores dans toutes les pièces. Il devait passer un certain temps dans notre chambre à coucher et nous l'avions "aménagée" en conséquence, nous espérions juste qu'il soit un petit peu curieux.
La mini-jupe et son t-shirt de la veille étaient "négligemment" posés au pied du lit, sa petite culotte en dentelle était en dessous des vêtements mais dépassait suffisamment pour qu'une personne intéressée par ce genre de chose la découvre. De son oreiller, une petite nuisette en satin noir dépassait. Si le petit curieux voulait la découvrir, il aurait découvert par la même occasion un joli vibromasseur rouge flashy. Celui-ci dépassait très légèrement de l'autre côté de l'oreiller d'ailleurs. La lecture de Manon dépassait aussi de la couette et la fin du titre était masquée, on pouvait juste lire "L'art de la fess...".
Je pense que si vous êtes en train de me lire vous allez halluciner, mais après son passage de près de trois quarts d'heure dans notre chambre sans être dérangé, rien n'avait bougé, mais rien du tout, j'avais analysé la position de la petite culotte au millimètre près et elle n'avait pas bougé d'un iota. Un moine ! Un moine vous dis-je ! Il avait aussi, à sa disposition pourrait-on dire, une petite culotte déjà portée, toute seule sur le bac à linge de la buanderie, et elle n'avait pas bougé le moins du monde.
Voilà, on dévoile l'intimité de madame, à la limite de l'exposition et l'intéressé n'est pas intéressé ! C'est frustrant, mais cette préparation génère une excitation qui nous procure énormément de plaisir, même si le jeu, au final, n'apporte rien de concret.
Il y a bien quelques autres histoires que je peux vous raconter. Rapidement pour ne pas nous éloigner du sujet. Comme cette fois où des ouvriers passaient à la maison pour d'autres travaux, Manon en jupe courte pose un genou sur sa chaise de bureau, l'autre jambe tendue et laisse basculer le dossier pour prendre quelque-chose sur la table derrière la chaise. Les deux ouvriers qui avaient assisté à la scène la regardaient, l'air un peu hagard au moment où elle s'est retournée. D'un air ingénu, elle leur a souri et a disparu de leur vue. L'un d'eux est d'ailleurs revenu quelques jours plus tard pour une finition et a pu admirer la large jarretière de ses bas lorsqu'elle était assise sur l'accoudoir d'un fauteuil du salon en croisant les jambes. Ou encore le facteur, qui était attendu, pour qui Manon avait passé une robe en laine à larges mailles sans autres vêtements que des dessous plutôt sexy. Elle est tellement adorable, mais les gens normaux sont bien trop sages. Parfois ils regardent très discrètement, mais généralement ils ne remarquent rien du tout.
A suivre ...