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Une histoire incroyable ! (Cinquième partie et fin)Je lui propose un café ou quelque-chose à boire, et il accepte volontiers un café et un verre d'eau parce qu'il a fait une longue route. Il m'accompagne dans la cuisine pour prendre son verre d'eau, et je l'invite à s'installer dans le salon en attendant le café pendant qu'il commence à regarder les plans. Il s'installe dans le fauteuil qui tourne le dos à la cuisine et Manon s'éclipse dans le bureau qui est à côté du salon. J'en étais étonné, je pensais qu'elle avait envie de continuer le jeu. Mais elle allait juste déposer sa tasse, elle revient quelques secondes plus tard et se met debout devant le feu face à lui.
De la cuisine, je n'entendais pas leur conversation. Il posait des questions à Manon à propos de nos habitudes de vie dans la maison, ce qui était intéressant pour lui pour savoir comment concevoir le système. Soudain, comme s'il en avait besoin professionnellement, il demande:
D. : De quel côté du lit dormez-vous ?
M. : A droite.
D. : Ha oui ?
M. : Heu... ça dépend de quel côté on le regarde.
D. : A gauche donc ?
M. Oui c'est ça si on le regarde du pied.
Elle rougit légèrement.
D. : J'ai trouvé un livre à propos des fessées de ce côté, vous appréciez ?
Il parlait de la lecture, elle comprend qu'il parle de la pratique. Elle devient écarlate.
M. : Oui, de temps en temps.
Il la regarde droit dans les yeux.
D. : Voyons cela, tournez-vous ...
M. : Pardon ?
Manon n'en croyait pas ses oreilles. Ses idées se bousculent. Ce petit jeu auquel nous avions si souvent joué était en train de prendre. Quel toupet il à ce gars ! Il répète en faisant un geste de la main.
D. : Tournez-vous !
Ses yeux ont brillé, elle s'est retournée, il appréciait de retrouver cette vision qu'il avait eue quand elle était passée devant lui dans l'escalier en arrivant. Il allait lui intimer l'ordre de se cambrer. Mais je passe au fond de la pièce pour aller rechercher du café à la cave interrompant une conversation dont je ne connaissais pas la teneur. Manon face au feu n'avait rien d'anormal, elle aime regarder les flammes.
Quand je quitte la pièce, elle se retourne de nouveau face à lui et ne peut cacher une certaine excitation en passant sa main sur son pubis au travers de la jupe. Le mari intrus ayant disparu, il reprend le jeu.
D. : Je veux en voir plus.
Manon était hypnotisée. Elle pose les mains sur sa jupe en appuyant sur ses cuisses et les remonte, ses yeux étaient déjà ailleurs. Il voit qu'elle porte des bas, mais elle ne monte pas plus haut. Il est aux anges, mais visiblement inquiet du mari qui pourrait les surprendre. S'il savait ! Ils sont de nouveau interrompus dans leur jeu par un bruit à l'extérieur. Elle en profite pour remettre sa jupe en place et va s'asseoir dans le divan qui est en angle droit par rapport au fauteuil du commercial. Elle croise sagement les jambes.
Ce n'était pas le mari qui revenait.
D. : Laissez-moi voir, écartez vos jambes ...
Elle avait le rouge aux joues, mais ses yeux brillaient de mille feux, elle s'exécute sagement. Il la complimente et se lève. Elle ne bouge pas. Elle ne semblait pas spécialement effarouchée ni inquiète, il prend de l'assurance et pose sa main sur le haut de sa cuisse. Ne la sentant pas spécialement contraire à ce traitement, il saisit le sexe de Manon à pleine main au travers de sa culotte, fermement, mais délicatement. Le tout a duré quinze secondes mais je remonte de la cave à cet instant.
Visiblement inquiet que je les surprenne, il croyait que j'allais revenir dans le salon avec les cafés, il retourne à sa place, mais je retourne dans la cuisine. Elle lui souffle en se mordant la lèvre "Mon mari aime ça !". Il était troublé par cette réponse, mais la phrase pouvait avoir plusieurs significations et il ne pouvait pas approfondir le sujet alors que j'aurais pu entendre leur conversation.
Il la regarde dans les yeux et soudain il sort de la poche de son veston ... la petite culotte qui était sur son lit. Il lui dit qu'il voudrait bien qu'elle la passe, là maintenant devant lui. Elle hésite. Alors il se lève pour la lui donner et se rend au bureau pour être en face d'elle et surtout hors de la vue du mari qui est toujours dans la cuisine. Il était partagé entre le désir de découvrir Manon, de la voir s'encoquiner, et la crainte du retour et de la colère du mari.
Mais il attendait qu'elle s'exécute. Elle avait déjà passé une main dans sa culotte, l'autre culotte dans sa main. Il avait le cerveau en ébullition. C'est à ce moment là que je crie de la cuisine "Vous prenez du sucre ou du lait ?" Je crois qu'il a mis un certain temps à retomber sur terre, il m'a bredouillé un truc que je n'ai pas compris. Paniqué, il a fait signe à Manon de faire semblant de rien et de cacher sa culotte noire.
Un instant plus tard, je viens apporter son café dans le salon. En arrivant je vois que Manon avait la jupe relevée bien plus haut que ses bas. Je n'étais pas au courant de leur petit jeu et je fais de gros yeux à Manon en lui montrant qu'elle avait exagéré son exhibition. Elle remet sa jupe en place, lui revient du bureau, toujours en bredouillant que "heu hmmm hmmm hmmm mesures hmmm hmmm hmmm sonde de température hmmm hmmm".
Je retourne à la cuisine pour aller chercher mon café et il reprend sa place dans le fauteuil, je reviens immédiatement. En posant mon café sur la table, il me bredouille de nouveau un truc que je ne comprends pas. Il avait l'air visiblement embarrassé. En fait il était en train de me donner une excuse pour avoir "malencontreusement" descendu cette culotte. Je ne comprenais pas de quoi il parlait parce que Manon avait caché la culotte entre sa cuisse et l'accoudoir du divan et je ne l'avais pas vue.
Avec un air délicieux de petite fille en faute, Manon écarte doucement sa cuisse et dévoile la dentelle noire de sa culotte dissimulée. Elle se lève et me souffle à l'oreille. "Il veut que je la mette devant lui". Mes sentiments étaient partagés, je tombais des nues et en même temps j'étais aux anges, j'en tremblais, qu'elle l'ait réellement aguiché, qu'il ait eu cette audace.
Je me colle à son dos, tout son corps trahit l'excitation qui la brûle de l'intérieur. Je la prends dans mes bras et lui dis "Mais qu'est-ce que tu nous fais là mon amour ?" Elle ne répond pas, elle passe de nouveau une main sur son sexe au travers de sa jupe. Je la caresse sur le haut des bras, puis sur ses hanches. Elle ferme les yeux et penche sa tête en arrière sur mon épaule. Je passe mes mains sur le haut de ses cuisses, elle pince sa lèvre entre ses dents. L'homme nous regardait. Je la retourne face à moi, l'embrasse et lui demande "Et maintenant, qu'est-ce que tu veux ?" Sa réponse est un soupir "Je ne sais pas !".
Elle passe de l'autre côté de la table. Elle tourne le dos à l'homme, écarte légèrement les jambes. Puis elle passe ses mains sous sa jupe, descend sa petite culotte et enfile l'autre. J'étais ravi de son audace, mais j'étais un petit peu déçu parce que la culotte noire n'était pas du tout assortie à ses autres vêtements et dessous. C'est à ce moment là que nous avons commencé à la caresser à quatre mains. Il n'a fallu que quelques minutes pour qu'elle soit à deux doigts de jouir.
Nous avons joué de son corps et de son esprit en alternant les plaisirs physiques et les plaisirs cérébraux. Il y eut notamment un moment particulièrement excitant lorsque nous avons commencé à parler de l'équipe des ouvriers qui viendraient faire l'installation.
Plus tard, elle ne portait plus que ses bas, elle était rayonnante d'épuisement et nous nous rafraichissions tous les trois dans la cuisine. Il nous parle de notre profession, et je lâche cette petite phrase "Oui, nous sommes souvent sur internet". Manon me regarde du coin de l'oeil. "Madame aime fantasmer sur internet, n'est-ce pas mon amour ?" Elle me répond timidement. "Même qu'elle s'y exhibe parfois." Même si nous n'avions nullement caché que Manon était une petite coquine pendant que nous jouions ensemble, ça lui plaisait que je dévoile cette autre partie de sa personnalité. Je continue, "Elle aime que les hommes la fassent fantasmer". J'aime entendre de sa bouche qu'elle s'avoue coquine et j'insiste "N'est-ce pas ma belle ?" Il était collé dans son dos en l'enlaçant. J'étais en face d'elle de l'autre côté de la table.
M. : Oui, j'aime ça.
L. : Et qui te fait fantasmer sur internet ?
Elle ne répond pas. Je me penche au dessus de la table pour être à quelques centimètres d'elle.
L. : Il y a "Julien" qui te fait fantasmer, n'est-ce pas ?
M. : Oui, "Julien" me fait fantasmer.
L. : Et qui d'autre ?
M. : ...
L. : Je suis sûr que Monsieur aimerait entendre de ta bouche les hommes qui te font fantasmer.
M. : ...
L. : Qui aimerait se coller à toi dans ton dos ? Dis le moi.
M. : Et que je sente son souffle dans mon cou ? Répond-t-elle en évoquant sans ambiguïté une conversation par chat du début de la semaine.
L. : Par exemple.
M. : ...
L. : Réponds-nous, qui est dans tes fantasmes ?
M. : ...
Manon n'osait parler, mais sentait qu'elle n'allait pas pouvoir échapper à la réponse.
M. : Durandale, il me fait fantasmer.
L. : Ha oui ?
Je lui tourne la tête en lui disant "Et tu penses que tu poserais tes lèvres sur sa bouche comme ça ?". Elle ne me répond pas et embrasse l'homme qui venait de la faire jouir plusieurs fois. J'enchaine "Tu veux qu'on aille voir sur le chat pour que tu lui racontes ce que tu viens de faire ?"
M. : Non il n'y est pas me répond-t-elle avec un nouveau sourire qui fait rayonner tout son visage.
Elle se retourne et embrasse de nouveau son amant.
-- F I N --
PS: Si vous avez aimé cette histoire, n'hésitez-pas à lire le "making of" à la page suivante (
presentation-de-madame-fantasmes-t35732-1220.html#p1282715 )