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Présentation des couples candaulistes : Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

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Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
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#1273750
fantasmes a écrit :Il était si bon de la voir obéir sans rechigner quand je lui demandais de me regarder dans les yeux en disant tout haut qu'elle méritait sa fessée et qu'elle en voulait encore juste avant d'entendre de nouveau claquer sèchement la main d'Eric sur ses fesses. Ce claquement suivit d'un cri de Manon mélangé entre la douleur et le bonheur de se sentir soumise à ses deux hommes.

Jackattaque 3 - 0018.jpg

En tout cas elle a l'air d'aimer ça ;)
#1276503
fantasmes a écrit :Vous semblez tous dire que vous aimeriez lui lécher les tétons, oseriez-vous dire que vous en resteriez là ?

Série plug verre 1 - 2.jpg


A bientôt,
Les fantasmes

humm cette grosse chatte bien ouverte merite plus d un queues tres bandante humm
#1278756
Merci à chacun d'entre vous pour ces messages, ces remerciements et ces visites silencieuses. Tout cela nous fait très plaisir. Savez-vous que Manon est très sensible à la description que vous faite de votre émoi ? Contrairement aux apparences, Manon est plutôt timide pour prendre la plume ... enfin le clavier (vous allez encore penser que j'ai l'esprit mal tourné), mais ça ne l'empêche pas d'apprécier vos témoignages à leur juste valeur.

Comme vous aimez cette photo de notre avatar et ses longs cheveux, voici la suite de cette petite série.

Lingerie 4 - 02.jpg

Bisous à tous,
Les fantasmes
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
#1278902
fantasmes a écrit :Merci à chacun d'entre vous pour ces messages, ces remerciements et ces visites silencieuses. Tout cela nous fait très plaisir. Savez-vous que Manon est très sensible à la description que vous faite de votre émoi ? Contrairement aux apparences, Manon est plutôt timide pour prendre la plume ... enfin le clavier (vous allez encore penser que j'ai l'esprit mal tourné), mais ça ne l'empêche pas d'apprécier vos témoignages à leur juste valeur.

Comme vous aimez cette photo de notre avatar et ses longs cheveux, voici la suite de cette petite série.

Lingerie 4 - 02.jpg

Bisous à tous,
Les fantasmes

Vous vous faites rares ces derniers temps :(
Mais d'un autre coté cette rareté entretient le désir....
Merci pour ces petites perles déposées sur le chemin de nos fantasmes ;)
#1278910
et surtout merci a vous pour le généreux partage que vous nous offrez..... je le redis a nouveau, miss Manon est exquise, et ce cliché encore plus , sa longue chevelure, caressant la chute de rein, a la naissance de ses jolies fesses hummm! je suis en admiration devant une tel beauté..... bisous Manon :P
#1279130
fantasmes a écrit :Comme vous aimez cette photo de notre avatar et ses longs cheveux, voici la suite de cette petite série.

Lingerie 4 - 02.jpg

Bisous à tous,
Les fantasmes


J'adore, j'adore.
Et plus c'est long (les cheveux), plus c'est bon !
#1279420
Ces cheveux aux reflet brûlants ... c'est juste une suite naturelle de tes hanches, le plein de tes fesses, la douceur ronde et pleine de "la" femme.
... il vient comme une profonde envie d'y poser les mains, et ouvrir à d'autre caresses ...

Baisers sincères, Manon !
#1280580
fantasmes a écrit :
mika007 a écrit :
fantasmes a écrit :Si je peux me permettre de parler un tout petit peu de nous, nous avons tenté la semaine dernière un plan beaucoup plus soft, mais dans le même genre, et ça n'a pas du tout fonctionné ;). Si vous êtes sages, je vous le raconterai, mais dans notre post pour ne pas polluer le vôtre ;).

Merci encore,
Les fantasmes



Hé Hop la suite Ici :lol: j'ai hate de savoir ;)

Apres avoir vu ca!! avec Gentilvoyeur on se dit que c'est pas possible qu'on vous ai fait un plan foireux :cry:


Héhé, il y a quelques personnes particulièrement attentives ici ;) . Toi justement, merci de suivre avec autant d'assiduité nos aventures. Je vais terminer la série commencée, j'en ai une autre dans les cartons, mais je vais m'atteler à raconter cette petite histoire, assez sage, rendue encore plus sage par son résultat !

Rassure-toi, nous n'avons pas été dupé, la personne en question n'était pas complice, je n'en dis pas plus maintenant :twisted:

Merci encore, à bientôt,
Les fantasmes


presentation-de-madame-fantasmes-t35732-950.html#p1203804

Bonjour Mika,

Il y a quelques mois, nous lisions l'aventure d'une star de ce forum, j'ai nommé la Bourgeoise de Luxe, qui ouvrait la porte au livreur de pizza dans une tenue très aguichante. J'avais fait la promesse de vous raconter une histoire beaucoup plus soft avec un installateur de stores à la maison, je ne vous l'avais jamais racontée. Nous avons recommencé l'expérience et c'est celle là que je vais vous raconter, en espérant que ça vous plaira.

Les fantasmes
#1280592
Une histoire incroyable ! (Première partie)

Mes amis, celle-là, il faut que je vous la raconte !

Tout a commencé mercredi il y a dix jours, Manon préparait le repas, je buvais un verre en lui tenant compagnie (je précise que c'est ce même mari macho qui range la cuisine après le repas ;-) ).
L. : Au fait, il n'y a rien de spécial vendredi en huit ?
M. : Heu non, pourquoi ?
L. : Hmmm ? Ho rien, il y a un type qui vient pour le système de ventilation.

Il y a quelques mois nous nous étions rendus à un salon du bâtiment. Intéressés par un système de ventilation général pour la maison, nous avions donné notre adresse pour que le bonhomme passe et vérifie si l'installation est possible, il nous envoyait un technico-commercial. Tout cela est bien banal.

Le soir, comme ça n'arrive presque jamais (sic !), Manon s'était bien chauffée sur le chat du forum et nous avons été nous coucher avec plein de fantasmes dans la tête. Sur l'oreiller, je ravive ses fantasmes et en invente de nouveaux:
L. : Et si vendredi prochain tu chauffais le mec de la ventilation ?
M. : Hmmm, cochon d'mari, comment veux-tu que je le chauffe ?

Nous jouons à ce genre de jeu quand nous en avons l'occasion et ça ne marche jamais. Je veux dire par là que ça ne mène jamais à rien de bien concret, mais le jeu est excitant. Un jour, un technicien venait à la maison pour installer des stores dans toutes les pièces. Il devait passer un certain temps dans notre chambre à coucher et nous l'avions "aménagée" en conséquence, nous espérions juste qu'il soit un petit peu curieux.

La mini-jupe et son t-shirt de la veille étaient "négligemment" posés au pied du lit, sa petite culotte en dentelle était en dessous des vêtements mais dépassait suffisamment pour qu'une personne intéressée par ce genre de chose la découvre. De son oreiller, une petite nuisette en satin noir dépassait. Si le petit curieux voulait la découvrir, il aurait découvert par la même occasion un joli vibromasseur rouge flashy. Celui-ci dépassait très légèrement de l'autre côté de l'oreiller d'ailleurs. La lecture de Manon dépassait aussi de la couette et la fin du titre était masquée, on pouvait juste lire "L'art de la fess...".

Je pense que si vous êtes en train de me lire vous allez halluciner, mais après son passage de près de trois quarts d'heure dans notre chambre sans être dérangé, rien n'avait bougé, mais rien du tout, j'avais analysé la position de la petite culotte au millimètre près et elle n'avait pas bougé d'un iota. Un moine ! Un moine vous dis-je ! Il avait aussi, à sa disposition pourrait-on dire, une petite culotte déjà portée, toute seule sur le bac à linge de la buanderie, et elle n'avait pas bougé le moins du monde.

Voilà, on dévoile l'intimité de madame, à la limite de l'exposition et l'intéressé n'est pas intéressé ! C'est frustrant, mais cette préparation génère une excitation qui nous procure énormément de plaisir, même si le jeu, au final, n'apporte rien de concret.

Il y a bien quelques autres histoires que je peux vous raconter. Rapidement pour ne pas nous éloigner du sujet. Comme cette fois où des ouvriers passaient à la maison pour d'autres travaux, Manon en jupe courte pose un genou sur sa chaise de bureau, l'autre jambe tendue et laisse basculer le dossier pour prendre quelque-chose sur la table derrière la chaise. Les deux ouvriers qui avaient assisté à la scène la regardaient, l'air un peu hagard au moment où elle s'est retournée. D'un air ingénu, elle leur a souri et a disparu de leur vue. L'un d'eux est d'ailleurs revenu quelques jours plus tard pour une finition et a pu admirer la large jarretière de ses bas lorsqu'elle était assise sur l'accoudoir d'un fauteuil du salon en croisant les jambes. Ou encore le facteur, qui était attendu, pour qui Manon avait passé une robe en laine à larges mailles sans autres vêtements que des dessous plutôt sexy. Elle est tellement adorable, mais les gens normaux sont bien trop sages. Parfois ils regardent très discrètement, mais généralement ils ne remarquent rien du tout.

A suivre ...
#1280770
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Une histoire incroyable ! (Deuxième partie)


Revenons-en à notre installateur de ventilation.
L. : Tu pourrais porter une jupe et des bas. Tu croiserais les jambes et tu dévoilerais la lisière de tes bas.
M. : Hmmm.

Manon ne parle pas beaucoup, elle écoute les idées perverses qui sortent tout droit de mon esprit.
L. : Il devra faire le tour de la maison pour prendre des mesures. On refera comme avec l'installateur de stores, tu laisseras ta petite culotte sur ton lit, ton gode et ta nuisette sous l'oreiller et ta lecture érotique à côté de ton lit.
M. : Mais tu sais bien que les gens ne sont pas curieux.

Dans les fantasmes tout est permis.
L. : Je te promets qu'on les mettra en évidence, et il ne pourra pas les manquer.
M. : Mais tu n'es qu'un gros pervers.
L. : Oui, tout à fait, et je sais que ça te plait.

C'est maintenant Manon qui rentre dans le jeu.
M. : Je pourrais porter la même robe en laine que pour le facteur, avec des bas et un string.
L. : Ha non, écoute, là c'est vraiment too much. C'est de la provoc à l'état pur.
M. : Et alors, c'est pas ça que tu veux ?
L. : Heu oui mais bon là, c'est un peu trop. Pour le facteur c'était ok parce qu'il allait te voir dix secondes dans l'entrebâillement de la porte, mais là le type il va rester un bon moment à tourner dans la maison pour prendre des mesures.

A ce moment, Manon avait le clitoris en feu, elle voulait jouir, commençait à perdre tout discernement et vivait dans le monde des fantasmes que j'aime tant lui construire.
M. : Mais moi ce que je veux c'est de la bite, je veux le faire bander, je veux qu'il me prenne devant toi.

Quand elle entre dans mon monde, on pousse les fantasmes à leurs limites, les histoires les plus improbables, les plus pornographiques et même les plus dangereuses ou les plus douloureuses sont scénarisées. Tout est permis, on fantasme. J'en profite pour lui expliquer que je vais l'exciter jusqu'à la venue du type, mais sans la faire jouir, sans lui donner de bite, juste pour qu'elle soit comme une chatte en chaleur à se frotter le sexe sur tout ce qu'elle trouve pour se soulager. Elle sortait de quelques jours d'abstinence forcée, n'en pouvait plus et me hurle "Oui, tout ce que tu veux, mais fais moi jouir aujourd'hui". Dans une sincérité très profonde, je dois humblement reconnaitre qu'étant donné l'état dans lequel elle était, je ne me sentais pas de force à l'empêcher de jouir pendant dix jours. Son orgasme a été très intense ce soir là.

A suivre ...


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#1280922
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Une histoire incroyable ! (Troisième partie)


Les jours qui ont suivi n'ont pas été moins chauds. Nous avions plusieurs conversations privées sur le forum qui étaient aussi agréables qu'excitantes tant pour elle que pour moi. Le dimanche, Julien, son amant virtuel, l'avait tellement chauffée pendant tout l'après-midi, que nous avons fait l'amour de manière très intense. Ma promesse de la maintenir sans orgasme jusqu'à ce vendredi s'est littéralement désagrégée et elle les a enchainés de manière très impressionnante ce soir là.

Cette fameuse visite du représentant de système de ventilation continuait à alimenter nos fantasmes. Moi particulièrement parce qu'à chaque occasion où Manon a séduit, juste pour le plaisir des yeux, un homme de la vie de tous les jours, je veux dire, pas un libertin qu'on découvre sur les sites de rencontre, mon esprit candauliste a été comblé. Le plaisir de Manon qui assume complètement d'avoir un mari aussi malade que moi n'est pas en reste. Ca lui plait de plaire, ça lui plait de me plaire et ça lui plait que j'évacue sur elle l'excitation qu'elle m'a procuré.

Les scénarios s'enchainaient, tous plus farfelus les uns qu'extravagants les autres. Elle sortirait de sa chambre en nuisette sexy au moment où je passerais dans le couloir avec le gars. Ou bien elle serait sur le lit dans la même tenue et il entrerait dans la chambre sans savoir qu'elle était là. Je lui disais que je lui proposerais un café et que je trainerais volontairement pour le préparer pendant qu'elle serait seule avec lui dans le salon. Elle reparlait souvent de sa robe en laine à larges mailles. On reparlait aussi souvent des objets "compromettants" qu'on avait disposés dans la chambre quand l'installateur de stores était venu. C'est Manon qui irait lui ouvrir la porte et passerait devant lui dans l'escalier en se déhanchant. Etc, etc ...

Le jour de la visite approchant, je me rendais compte que je pensais plus à la séduction de Manon sur ce gars qu'à préparer sa visite efficacement. Ca me plait évidemment, je suis aux anges quand les fantasmes remplissent mon esprit, mais les plans de la maison n'étaient pas prêts, et je n'avais lu aucune documentation sur les systèmes de ventilation.

Concernant le petit jeu, j'avais finalement tranché pour sa tenue et il était hors de question qu'elle ait l'air d'une salope face à un type avec qui on allait peut-être avoir une relation commerciale. Elle serait élégante en style "bobo" et juste sexy pour qui voudrait bien voir. Une jupe en daim assez courte, des bas autofixants couleur chair avec une large jarretière pour qu'on la voit quand elle s'assied même si elle reste sage, des bottillons assortis à sa jupe, un t-shirt moulant à manches longues vert olive, et un pull à col roulé de la même couleur au cas où elle aurait froid.

Pour les objets "compromettants" dans la chambre, nous allions jouer le jeu exactement comme nous l'avions dit. Il était de toute manière peu probable qu'il visite en profondeur, mais le savoir à quelques décimètres des objets intimes de Manon générait un risque qui nous excitait. Ses vêtements de la veille seraient posés au pied du lit, y compris ses sous-vêtements. Une lecture érotique sous un autre livre sage. Une nuisette sexy sous l'oreiller, ainsi qu'un gode dont le bout dépasserait. C'était un peu osé, mais vu que l'installateur de stores n'avait rien vu, le risque était limité.

Par contre, nous avions tellement fantasmé sur cette visite que le représentant était devenu plus un fantasme de Manon qu'un type qui venait prendre des mesures. J'ai eu l'impression d'avoir poussé le bouchon trop loin. Et j'ai donc été dans cette situation incroyable pour un homme qui aime chauffer sa femme, dans l'obligation de calmer sa frénésie: "Mon amour, tu seras simplement une épouse élégante, on verra la lisière de tes bas, mais tu n'en fais pas trop, ce type vient pour bosser". Après l'épisode du restaurant lors d'une autre rencontre, cette précaution était indispensable. Elle me répond avec beaucoup de tact que de toute manière, s'il est vieux et moche, il pourra à peine voir. "Je ne sais pas, je ne le connais pas".


A suivre ...


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#1281272
Avec l'impatience que ce recit et son coté original et presque innocent puisque ne mettant pas en scene un libertin ou pretendu tel, mais bien un "pauvre" homme sans doute tout retourné de son bonheur inattendu ... et ne sachant que faire ;)
#1281281
fantasmes a écrit :Pour vous remercier de vos commentaires, une petite série de cinq photos :)

Manon et Gentilvoyeur: La Nuit de la Lune Bleue

La position que gentilvoyeur a fait découvrir à Manon lors de notre première rencontre, et il excelle dans la pratique.

download/file.php?id=615069&mode=view/Gentilvoyeur%202%20-%200072.jpg


Magnifique cambrure de la femme devenue animale, femelle qui cherche son plaisir autant qu'on le lui donne, en se cambrant, en tendant sa croupe vers le sexe de son amant pour le sentir, encore et encore .... ses soupirs se devinent à l'expression de son ravissant visage, à ses rictus de plaisir .... Bravo pour avoir su saisir ces instants ...
#1281284
fantasmes a écrit :Manon et Gentilvoyeur: La Nuit de la Lune Bleue

Vision candauliste : download/file.php?id=609988&mode=view/Gentilvoyeur%202%20-%200036.jpg

Gentilvoyeur 2 - 0036.jpg



Super original .... Bravo !! ....
#1281572
pierrotmartine01 a écrit :éh bien c'est chaud chez vous, hummm!!!! j'adore ces moments d'attentes pour Manon.... superbe récit, je suis fan, merci a vous! ;)


Libertins49 a écrit :Avec l'impatience que ce recit et son coté original et presque innocent puisque ne mettant pas en scene un libertin ou pretendu tel, mais bien un "pauvre" homme sans doute tout retourné de son bonheur inattendu ... et ne sachant que faire ;)


couplenovice78 a écrit :On fantasme de lire la suite ! Biz coquine


LeodeH a écrit :Récit très alléchant, duquel transparaît votre grande complicité... bravo et vivement la suite !


Merci à tous, voici donc la suite ;)

Les fantasmes
#1281574
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Une histoire incroyable ! (Quatrième partie)


Ce vendredi matin, Manon était habillée comme prévu à ce détail près que ses bas à large jarretière avaient une filante et elle en a donc choisi d'autres avec une jarretière plus étroite. Elle s'était fait une queue de cheval dans les cheveux et je la trouvais très élégante dans sa simplicité. J'avais aménagé en vitesse la chambre comme nous l'avions prévu. Ses dessous de la veille étaient craquants, un soutien-gorge noir et une petite culotte en satin et dentelle assortie; je ne peux m'empêcher de la porter à mon nez avant de la poser dans une savante négligence sur le reste de ses vêtements. J'avais l'impression de préparer un piège pour débusquer un pervers.

Il était en retard, et je n'étais pas mécontent parce que nous étions en retard aussi. Je n'avais pas encore préparé les plans de la maison, et je n'avais toujours lu aucune documentation sur les systèmes de ventilation. Le fantasme était tellement ancré dans ma tête que j'ai profité de ce temps libre pour remettre mes idées en place, le bonhomme vient prendre des mesures, le bonhomme vient prendre des mesures, le bonhomme vient prendre des mesures, le bonh... ding dong !

Manon retombait sur terre. "Ha, on a sonné à la porte, je vais ouvrir." Je la regarde "Ben oui, tu vas ouvrir".

Resté dans mon bureau, je me demandais si elle allait se déhancher en remontant les escaliers devant lui... Merde ! Le bonhomme vient prendre des mesures, le bonhomme vient prendre des mesures, le bonh...

"Bonjour Monsieur", "Bonjour Monsieur Xxx, Yyyy de la société Zzz" "Enchanté" "Vous avez fait bonne route ?", etc etc ... les présentations d'usage. Mais qu'est ce que j'ai dans la tête moi ? Je n'arrive pas à me concentrer. J'explique vaguement le projet. Manon ramasse une petite brindille tombée de la réserve de bois en se mettant accroupie les jambes serrées. Ca ne dure qu'une seconde, elle sait très bien qu'on voit la lisière de ses bas dans cette position. Je feins de ne pas l'avoir remarqué surtout pour rester concentré sur mon explication, mais elle me lance ce regard que moi seul peux décrypter "Tu as vu ce que je viens de faire hein ?". Je crois que lui ne l'a pas vu, c'est peut-être mieux ainsi.

Il analyse l'orientation des pièces, donne quelques commentaires que je ne comprends pas à propos de sondes de température. Mais, il est bien sympathique, la conversation est plaisante et dévie parfois sur quelques considérations personnelles. Il complimente Manon d'avoir commencé à jouer du piano en lui faisant un joli sourire et la taquine en lui demandant d'en jouer un morceau; de ce point de vue, je savais qu'il n'avait aucune chance d'obtenir une faveur.

Je lui propose de monter à l'étage pour qu'il se fasse une idée de l'agencement des pièces et de l'endroit où se trouverait l'appareil en lui-même. Manon retourne travailler à son bureau. A l'étage, il regarde vaguement dans le grenier où sera placé l'appareil, il regarde aussi vaguement les autres pièces.

J'ai un coup au coeur quand je lui ouvre la porte de notre chambre, celle dans laquelle nous avons disposé les effets intimes de Manon. Qu'est-ce qu'on peut être con parfois de lancer des jeux pareils ! Heureusement, notre chambre commence par un couloir/dressing et le lit est de l'autre côté. Pour voir comment la buse de ventilation peut passer, il me demande un escabeau. Je redescends donc le chercher. En passant, je vais voir Manon et lui dis "tu vois, c'est pas un vieux et moche", elle me répond qu'il n'est pas mal du tout. Je la taquine "Il m'a demandé pour avoir un escabeau et que je lui ai déjà montré notre chambre, il est peut-être en train de la visiter."

Je remonte et retrouve le gars, qui continue l'analyse de la maison, dans notre chambre à coucher. Nous redescendons pour étudier les plans et regarder la documentation.

A suivre ...


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#1281625
Un beau récit qui nous tient en haleine depuis quelques jours ... J'attends avec impatience la suite. Voir si votre visiteur a craqué sur Manon et si les préparatifs dans la chambre ont eu l'effet escomptée !!!
Bise à vous deux
#1282038
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Une histoire incroyable ! (Cinquième partie et fin)


Je lui propose un café ou quelque-chose à boire, et il accepte volontiers un café et un verre d'eau parce qu'il a fait une longue route. Il m'accompagne dans la cuisine pour prendre son verre d'eau, et je l'invite à s'installer dans le salon en attendant le café pendant qu'il commence à regarder les plans. Il s'installe dans le fauteuil qui tourne le dos à la cuisine et Manon s'éclipse dans le bureau qui est à côté du salon. J'en étais étonné, je pensais qu'elle avait envie de continuer le jeu. Mais elle allait juste déposer sa tasse, elle revient quelques secondes plus tard et se met debout devant le feu face à lui.

De la cuisine, je n'entendais pas leur conversation. Il posait des questions à Manon à propos de nos habitudes de vie dans la maison, ce qui était intéressant pour lui pour savoir comment concevoir le système. Soudain, comme s'il en avait besoin professionnellement, il demande:
D. : De quel côté du lit dormez-vous ?
M. : A droite.
D. : Ha oui ?
M. : Heu... ça dépend de quel côté on le regarde.
D. : A gauche donc ?
M. Oui c'est ça si on le regarde du pied.

Elle rougit légèrement.
D. : J'ai trouvé un livre à propos des fessées de ce côté, vous appréciez ?

Il parlait de la lecture, elle comprend qu'il parle de la pratique. Elle devient écarlate.
M. : Oui, de temps en temps.

Il la regarde droit dans les yeux.
D. : Voyons cela, tournez-vous ...
M. : Pardon ?

Manon n'en croyait pas ses oreilles. Ses idées se bousculent. Ce petit jeu auquel nous avions si souvent joué était en train de prendre. Quel toupet il à ce gars ! Il répète en faisant un geste de la main.
D. : Tournez-vous !

Ses yeux ont brillé, elle s'est retournée, il appréciait de retrouver cette vision qu'il avait eue quand elle était passée devant lui dans l'escalier en arrivant. Il allait lui intimer l'ordre de se cambrer. Mais je passe au fond de la pièce pour aller rechercher du café à la cave interrompant une conversation dont je ne connaissais pas la teneur. Manon face au feu n'avait rien d'anormal, elle aime regarder les flammes.

Quand je quitte la pièce, elle se retourne de nouveau face à lui et ne peut cacher une certaine excitation en passant sa main sur son pubis au travers de la jupe. Le mari intrus ayant disparu, il reprend le jeu.
D. : Je veux en voir plus.

Manon était hypnotisée. Elle pose les mains sur sa jupe en appuyant sur ses cuisses et les remonte, ses yeux étaient déjà ailleurs. Il voit qu'elle porte des bas, mais elle ne monte pas plus haut. Il est aux anges, mais visiblement inquiet du mari qui pourrait les surprendre. S'il savait ! Ils sont de nouveau interrompus dans leur jeu par un bruit à l'extérieur. Elle en profite pour remettre sa jupe en place et va s'asseoir dans le divan qui est en angle droit par rapport au fauteuil du commercial. Elle croise sagement les jambes.

Ce n'était pas le mari qui revenait.
D. : Laissez-moi voir, écartez vos jambes ...

Elle avait le rouge aux joues, mais ses yeux brillaient de mille feux, elle s'exécute sagement. Il la complimente et se lève. Elle ne bouge pas. Elle ne semblait pas spécialement effarouchée ni inquiète, il prend de l'assurance et pose sa main sur le haut de sa cuisse. Ne la sentant pas spécialement contraire à ce traitement, il saisit le sexe de Manon à pleine main au travers de sa culotte, fermement, mais délicatement. Le tout a duré quinze secondes mais je remonte de la cave à cet instant.

Visiblement inquiet que je les surprenne, il croyait que j'allais revenir dans le salon avec les cafés, il retourne à sa place, mais je retourne dans la cuisine. Elle lui souffle en se mordant la lèvre "Mon mari aime ça !". Il était troublé par cette réponse, mais la phrase pouvait avoir plusieurs significations et il ne pouvait pas approfondir le sujet alors que j'aurais pu entendre leur conversation.

Il la regarde dans les yeux et soudain il sort de la poche de son veston ... la petite culotte qui était sur son lit. Il lui dit qu'il voudrait bien qu'elle la passe, là maintenant devant lui. Elle hésite. Alors il se lève pour la lui donner et se rend au bureau pour être en face d'elle et surtout hors de la vue du mari qui est toujours dans la cuisine. Il était partagé entre le désir de découvrir Manon, de la voir s'encoquiner, et la crainte du retour et de la colère du mari.

Mais il attendait qu'elle s'exécute. Elle avait déjà passé une main dans sa culotte, l'autre culotte dans sa main. Il avait le cerveau en ébullition. C'est à ce moment là que je crie de la cuisine "Vous prenez du sucre ou du lait ?" Je crois qu'il a mis un certain temps à retomber sur terre, il m'a bredouillé un truc que je n'ai pas compris. Paniqué, il a fait signe à Manon de faire semblant de rien et de cacher sa culotte noire.

Un instant plus tard, je viens apporter son café dans le salon. En arrivant je vois que Manon avait la jupe relevée bien plus haut que ses bas. Je n'étais pas au courant de leur petit jeu et je fais de gros yeux à Manon en lui montrant qu'elle avait exagéré son exhibition. Elle remet sa jupe en place, lui revient du bureau, toujours en bredouillant que "heu hmmm hmmm hmmm mesures hmmm hmmm hmmm sonde de température hmmm hmmm".

Je retourne à la cuisine pour aller chercher mon café et il reprend sa place dans le fauteuil, je reviens immédiatement. En posant mon café sur la table, il me bredouille de nouveau un truc que je ne comprends pas. Il avait l'air visiblement embarrassé. En fait il était en train de me donner une excuse pour avoir "malencontreusement" descendu cette culotte. Je ne comprenais pas de quoi il parlait parce que Manon avait caché la culotte entre sa cuisse et l'accoudoir du divan et je ne l'avais pas vue.

Avec un air délicieux de petite fille en faute, Manon écarte doucement sa cuisse et dévoile la dentelle noire de sa culotte dissimulée. Elle se lève et me souffle à l'oreille. "Il veut que je la mette devant lui". Mes sentiments étaient partagés, je tombais des nues et en même temps j'étais aux anges, j'en tremblais, qu'elle l'ait réellement aguiché, qu'il ait eu cette audace.

Je me colle à son dos, tout son corps trahit l'excitation qui la brûle de l'intérieur. Je la prends dans mes bras et lui dis "Mais qu'est-ce que tu nous fais là mon amour ?" Elle ne répond pas, elle passe de nouveau une main sur son sexe au travers de sa jupe. Je la caresse sur le haut des bras, puis sur ses hanches. Elle ferme les yeux et penche sa tête en arrière sur mon épaule. Je passe mes mains sur le haut de ses cuisses, elle pince sa lèvre entre ses dents. L'homme nous regardait. Je la retourne face à moi, l'embrasse et lui demande "Et maintenant, qu'est-ce que tu veux ?" Sa réponse est un soupir "Je ne sais pas !".

Elle passe de l'autre côté de la table. Elle tourne le dos à l'homme, écarte légèrement les jambes. Puis elle passe ses mains sous sa jupe, descend sa petite culotte et enfile l'autre. J'étais ravi de son audace, mais j'étais un petit peu déçu parce que la culotte noire n'était pas du tout assortie à ses autres vêtements et dessous. C'est à ce moment là que nous avons commencé à la caresser à quatre mains. Il n'a fallu que quelques minutes pour qu'elle soit à deux doigts de jouir.

Nous avons joué de son corps et de son esprit en alternant les plaisirs physiques et les plaisirs cérébraux. Il y eut notamment un moment particulièrement excitant lorsque nous avons commencé à parler de l'équipe des ouvriers qui viendraient faire l'installation.

Plus tard, elle ne portait plus que ses bas, elle était rayonnante d'épuisement et nous nous rafraichissions tous les trois dans la cuisine. Il nous parle de notre profession, et je lâche cette petite phrase "Oui, nous sommes souvent sur internet". Manon me regarde du coin de l'oeil. "Madame aime fantasmer sur internet, n'est-ce pas mon amour ?" Elle me répond timidement. "Même qu'elle s'y exhibe parfois." Même si nous n'avions nullement caché que Manon était une petite coquine pendant que nous jouions ensemble, ça lui plaisait que je dévoile cette autre partie de sa personnalité. Je continue, "Elle aime que les hommes la fassent fantasmer". J'aime entendre de sa bouche qu'elle s'avoue coquine et j'insiste "N'est-ce pas ma belle ?" Il était collé dans son dos en l'enlaçant. J'étais en face d'elle de l'autre côté de la table.

M. : Oui, j'aime ça.
L. : Et qui te fait fantasmer sur internet ?

Elle ne répond pas. Je me penche au dessus de la table pour être à quelques centimètres d'elle.
L. : Il y a "Julien" qui te fait fantasmer, n'est-ce pas ?
M. : Oui, "Julien" me fait fantasmer.
L. : Et qui d'autre ?
M. : ...
L. : Je suis sûr que Monsieur aimerait entendre de ta bouche les hommes qui te font fantasmer.
M. : ...
L. : Qui aimerait se coller à toi dans ton dos ? Dis le moi.
M. : Et que je sente son souffle dans mon cou ? Répond-t-elle en évoquant sans ambiguïté une conversation par chat du début de la semaine.
L. : Par exemple.
M. : ...
L. : Réponds-nous, qui est dans tes fantasmes ?
M. : ...

Manon n'osait parler, mais sentait qu'elle n'allait pas pouvoir échapper à la réponse.
M. : Durandale, il me fait fantasmer.
L. : Ha oui ?

Je lui tourne la tête en lui disant "Et tu penses que tu poserais tes lèvres sur sa bouche comme ça ?". Elle ne me répond pas et embrasse l'homme qui venait de la faire jouir plusieurs fois. J'enchaine "Tu veux qu'on aille voir sur le chat pour que tu lui racontes ce que tu viens de faire ?"
M. : Non il n'y est pas me répond-t-elle avec un nouveau sourire qui fait rayonner tout son visage.

Elle se retourne et embrasse de nouveau son amant.



-- F I N --



PS: Si vous avez aimé cette histoire, n'hésitez-pas à lire le "making of" à la page suivante ( presentation-de-madame-fantasmes-t35732-1220.html#p1282715 )
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