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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
par mohican
#1350096
Introduction.

Pour ceux qui n’ont pas suivi mes post précédents et qui prennent donc cette histoire en route, ma femme devait rencontrer son amant le 6 mai dernier. Passage à l’acte qui a effectivement eu lieu. Pour ne pas décevoir les membres qui me feront l’honneur de parcourir ces lignes, vous n’y trouverez pas de détails croustillants auxquels, de toute façon, je n’ai pas assisté. Ces confessions sont plus un exercice thérapeutique qu’un « partage », même si elle peuvent peut-être éclairer certaines personnes qui comme moi et d’autres, ont longtemps hésité.

Prologue.

Nous sommes en couple depuis 22 ans et parents. Mon épouse est une jolie femme de 44 ans (jolie étant parfaitement subjectif et relatif à des critères généralement admis considérant les mensurations tout au moins ; pour sa physionomie, chacun se détermine pas sa propre sensibilité à ses propres critères..). Le candaulisme est entré dans notre vie il y a trois ans (par mon fait) et je rêvais initialement de la matérialisation de ce fantasme avec la dernière détermination. Ma femme a accepté ce fantasme et a joué le jeu –virtuellement- sans envisager une seconde de le matérialiser un jour, considérant la fidélité comme un pacte inaliénable au sein du coupe. J’ajoute que nous avons connu une sexualité fluctuante au cours de ces nombreuses années (enfants, travail.. comme chacun)mais s’améliorant plutôt en audace et intensité. Cependant, le poids des années étant incompressible, le frisson du désir et les palpitations de la nouveauté ont déserté depuis longtemps l’alcôve de nos étreintes.

Le vif du sujet..

Nous sommes devenus membres « actifs « d’un site libertin que nous fréquentions assidûment sans pour autant aller plus loin. Ce n’est au reste pas facile (intendance familiale en particulier). Puis, fin février (18 pour être précis), alors que j’étais absence pour la semaine, elle « rencontrait » un homme via un jeu en ligne. Le contact fut électrique et a rapidement évolué vers un désir partagé avec tachts torrides, échange de photos audacieuses, fantasmant la rencontre au travers de nombreuses confidences sur leurs désirs respectifs. Ma femme était volcanique. Je faisais office de substitue commode à leurs jeux. Lui de l’autre côté de l’écran, usait et abusait de la « veuve poignée », bien qu’il soit en couple stable (homme infidèle).

Nous devions faire un petit voyage familial et l’opportunité se présentait d’organiser un séjour en suivant lui permettant de rencontrer cet amant, virtuel pour le moment. Ma femme, résolument fidèle jusqu’alors, se transformait sous mes yeux. Je la laissais orchestrer l’organisation de ce séjour, à quoi elle ne faillit pas, tant sa détermination était farouche.
Je m’étais habitué à sa résistance au passage à l’acte et je l’avais accepté puis finalement avait fini par trouver cette situation commode n’étant finalement plus aussi certain d’être prêt à la savoir étreindre un autre homme.
Comme j’ai eu l’occasion de le développer, la date approchant, les doutes ont commencé à m’envahir insidieusement et le malaise s’est installé en moi à mesure que je l’observais se préparer pour cette rencontre : calibrant cette évènement en fonction de ses règles, prenant ses rendez-vous beauté avec une attention toute particulière pour la date envisagée. Je m’en agaçais. Moi, auquel toute jalousie avait toujours été étrangère, je la sentais germer et s’enraciner sournoisement. Je m’ouvrais auprès de ma femme de ces émotions et rencontrais une hostilité à laquelle je ne m’attendais pas. La complicité dans laquelle j’imaginais vivre cette expérience s’évaporait. Elle sortait les griffes. Elle estimait avoir quelque chose à vivre, et demeurait sourde à toute réserve de ma part. De mon côté j’étais paniqué. Je connaissais les limites de notre sexualité et ses aspirations à éprouver à nouveau des émotions comparables à celles de l’adolescence. Je me suis ouvert dans ces colonnes de la peur qui me gagnait qu’elle connaisse une « révélation » sexuelle en comparaison de laquelle notre intimité apparaîtrait comme fade et sans saveur. Qu’elle me revienne différente, devenue une maitresse complaisante et non plus l’amante investie que j’avais étreinte jusqu’alors. Elle s’énervait de cette rhétorique, la qualifiant de chantage ayant pour vocation de la contraindre à renoncer. Elle ne voulait rien entendre de tel en m’opposant un chantage inverse. Si je la forçais à abandonner, elle se fermerait à toute émancipation de notre vie sexuelle. Elle m’expliquait à l’envi qu’elle avait besoin de cette expérience pour se tester elle-même et qu’à partir de là nous pourrions ensemble explorer de nouveaux horizons. Le discutions furent difficiles. J’arguais que j’étais dans une situation « perdant-perdant » : contraint d’accepter puisque quoiqu’il arrive, je prenais le risque de la voir m’en vouloir ou de la perdre suite à une expérience modifiant ses paradigmes. Je suis devenu totalement bipolaire, alternant confiance en l’avenir et inquiétude névrotique. J’étais, de toute façon, le monstre d’égoïsme voulant l’empêcher de vivre quelque chose qui lui était propre. J’oubliais qu’il était évidemment hors de question que je sois témoin de cette expérience ! Il faudrait que je disparaisse le temps nécessaire.

Un autre doute m’a ensuite envahi. Comment la verrai-je, moi, après ? Mes sentiments vis à vis d‘elle n’auraient-ils pas changé dans cette situation qui ne me convenait pas et qu’elle entendait m’imposer à force forcée. Je lui ai confessé ce risque également. Elle m’assurait que rien ne serait changé et qu’elle serait la même, qu’elle avait assez d’intelligence pour faire la part des choses et que si en outre, son corps exprimait des changements, elle saurait le discipliner. Cette conviction m’amusait puisqu’il n’y a rien de plus transparent que son corps de femme que je connais depuis plus de 20 ans (je sais que toutes vont hurler de rire en lisant ces lignes en pensant aux multiples fois où elles ont simulé sans que leur partenaire ne s’en aperçoive… je ne parle que de mon cas personnel et ma femme n’a jamais triché : si elle n’a pas envie, elle se laissera faire mais ne jouira pas, il n’y aura rien à obtenir, si elle est pétrie de désir, elle est plus ardente que la braise). Rien n’y fit donc. Je passais certains jours accablés d’une colère rentrée jusqu’à ce qu’on évoque le sujet et que je m’apaise avant de me tendre à nouveau comme la corde d’une arbalète. Les jours se sont empilés, l’échéance approchait.

Je m’inquiétais enfin terriblement de ma capacité à encaisser le moment venu. Comment j’allais céder la place ? à quelle heure ? Dans quelles dispositions ? Avec dignité ? Pathétiquement ?

Le dimanche soir, tout s’est à peu près passé normalement. Nous avons vécu une bonne soirée et fait l’amour avec tendresse et intensité. J’ai dormi presque normalement, il faut dire que nous avions eu 24 heures de transit de retour de voyage éprouvants, mais je me suis réveillé très tôt. Les sentiments négatifs ont commencé à s’insinuer avec plus de prégnance. Je la câlinais et lui faisais l’amour pour la « tester » un peu. Elle n’était plus là, plus à moi, c’était évident. Je l’avais provoqué, je savais qu’elle n’était plus, dans sa tête, à mes côté. Ma colère est remontée très vite. Je n’ai pas joui, je n’en éprouvais pas le désir, elle non plus. Je me préparai immédiatement, préparais mes affaires sans un regard, le cœur lourd et hargneux, les mains glacées. J’emportais de quoi passer la nuit ailleurs. Dès la veilles je m’étais agacé violemment sur le fait qu’ils allaient faire l’amour dans notre lit puisque le logement n’en contenait qu’un. Elle a fait semblant de ne pas comprendre, contestant mes prérogatives sur le lit en question. Elle ne voulait pas entendre que je n’ai aucune envie de dormir dans la sueur de leur(s) étreinte(s) et les exhalaisons d’un autre homme et m’a promis de faire sur des matelas (des chaises longues). J’ai fait semblant de la croire. Je partais sans un mot ni un regard. J’avais ma réponse. J’étais pathétique. Détail important, j’ai eu la malice de positionner mon caméscope en fonction enregistrement audio (très longue capacité ainsi) en partant. L’enregistrement a démarré au moment de mon départ. Elle a vaguement suggéré que je reste, sans insister, mais je savais que ce n’était pas ma place et c’est ce que ce que je lui ai répondu sans détour. Je sentais que j’aurais pu m’immoler par le feu, qu’elle n’aurait pas dévié d’un millimètre. Enfin, je n’avais surtout pas envie d’assister à ses préparatifs….

J’ai passé la pire journée de ma vie. J’ai fais beaucoup de kilomètres (en conduisant on pense moins faute de ne plus penser du tout). Je savais qu’il était disponible dès 9h00, j’ai quitté les lieux vers 9h15. Les heures se sont passées très lentement. Je me suis occupé tant bien que mal, cela n’a pas d’intérêt. Mais je me suis éloigné sensiblement.
Elle m’a appelé vers 14h15. Je lui ai raccroché au nez. Les SMS ont suivi, assez directs. Simplement : « tu es où ?», « c’est fini, il est parti »… J’ai prétendu ne pas envisagé de rentrer avant le lendemain mais j’ai finalement craqué et était revenue deux heures plus tard (route). Ma tension était à son comble mais c’était rien à côté de ce que j’allais vivre encore.

Elle m’ouvrait la résidence (espace privé). Je rejoignais le logement pendant qu’elle m’attendait à la piscine. J’étais tremblant et hypnotisé par l’obsession malsaine d’écouter l’enregistrement que j’avais fait à leur insu de leurs ébats. Mes gestes étaient saccadés comme ceux d’un toxicomane gravement en manque. Ma poitrine menaçait de se déchirer de l’intérieur sous l’effet de mes contractions cardiaques. Je crois que si j’avais eu le cœur fragile, je n’aurais en toute sincérité, pas résisté. La chose dont j’étais absolument certain était que je n’avais pas bandé de la journée et que cela n’était pas à la veille de survenir… Candauliste, moi ? Foutaise !

La première chose que je vis fut un flacon de vaporisateur que nous utilisons pour faciliter les relations anales sur la table de nuit. Mon cœur s’est serré comme écrasé par les serres d’un vautour affamé. Je cherchais partout un préservatif usagé : j’avais été plus que ferme sur le sujet. Sans succès. Elle me dira qu’il l’avait emporté. Je trouvais le caméscope en récupérait maladroitement la carte SD et l’introduisait dans mon PC, haletant. Je décortiquais la bande, à la recherche DU moment… totalement fébrile et respirant à peine. Je le trouvais. Leurs mots, leurs phrases, leurs rires, leurs baisers, bientôt leurs soupirs puis ses gémissement (à lui bien davantage qu’à elle), j’étais anéanti, déchiré, dévasté. Je n’ai pas pu même pleurer et pourtant je crois que ça m’aurait fait du bien !

Je l’avais laissé en lui montrant un visage peu amène et un malaise évident et elle se livrait avec le dernier naturel à cet homme déployant manifestement pour lui sa science érotique. Qui était cette femme que je chérissais plus que tout ? Comment était-ce possible ? J’étais accablé, ridicule, pitoyable, le casque sur les oreilles, la tête dans les mains à essayer de toute déchiffrer à partir des sons et des paroles échangées. Mes tremblements étaient à leur paroxysme, je n’arrivais plus à marcher ni à respirer, pourtant j’étais rassuré comme un abruti : elle n’avait pas joui. Il avait été très moyen et la réalité n’avait pas été à la hauteur du fantasme qu’ils avaient construit, au moins pour mon épouse ! Consolation qui ne m’apaisera pas longtemps, mais sur le moment, j’en étais, si ce n’est heureux, au moins un tout petit peu moins atterré et content d’avoir fait cet enregistrement espion pour disposer d’éléments objectifs. Compte tenu de mes craintes, j’étais persuadé qu’elle tricherait avec la réalité dans sa confession pour me ménager, rajoutant du doute à la torture.
J’avais cependant besoin d’elle, de la sentir, de la serrer dans mes bras. C’était physique. Je la retrouvais paisible et sereine, au moins en apparence, alanguie au soleil. Je m’allongeais à ses côtés sans la toucher, le souffle court, cherchant de l’air, les mains dignes d’un patient atteint d’une maladie de Parkinson très avancée. Je sanglotais presque, dans un état de souffrance que je ne me souviens pas avoir connu avec autant d’intensité auparavant, tant la nature même de cette souffrance était nouvelle pour moi. J’ai fini par parler et lui dire que je lui avais fait le plus beau cadeau que j’étais en mesure d’offrir (qu’elle m’avait arraché en fait, soyons honnêtes). Nous nous sommes pris dans les bras et avons échangé de longs baisers et des mots d’amour merveilleux. Je lui avouais l’enregistrement alors qu’elle s’empressait de me dire qu’elle n’avait pas joui, ce que je savais. Nous avons passé la soirée en amoureux mais le dîner a été un peu houleux, pour finir.

J’ai été très clair sur mes limites et mon incapacité à accepter un nouvel épisode de ce genre. Que je ne pourrais souffrir qu’elle partage à nouveau du temps avec un amant sans moi. Qu’il fallait qu’on avance dans le libertinage, et/ou le candaulisme, main dans la main pour que l’évolution soit progressive et que je puisse me tester, et, en définitive, que je vérifie que j’étais capable de la partager, ce dont je doutais totalement désormais. Un sentiment de responsabilité/culpabilité probablement, l’amenait à me promettre de se montrer disponible, même pour une relation à trois avec une autre femme (vieux fantasme masculin)… Mais, en femme de caractère, elle manifestait un peu de résistance par rapport à d’éventuelles rencontres qu’elle pourrait faire… seule et desquelles elles n’avaient pas envie de se priver pour se « respecter » comme elle aime à le dire. J’opposais une farouche hostilité au principe. Je lui avouais que ma confiance était désormais rompue. Je savais de quoi elle était capable si elle le décidait, et que je savais ne représenter maintenant pour elle qu’un paramètre encombrant qu’il faudrait gérer par le mensonge si nécessaire (extrapolation de ma part mais tel était mon ressenti). Elle rechignait, c’était palpable, mais mon discours était sans appel. Si cela se reproduisait, je me « respecterais » aussi (pas de raison) en imposant une séparation sans délai puis un divorce. La souffrance avait été trop vive pour que je supporte un nouvel opus. C’était ensemble ou pas du tout et si je n’étais pas capable de vivre une sexualité alternative autrement qu’en fantasme, ce ne serait pas du tout. Libre à elle de ne pas s’en satisfaire. Nous nous séparerions. Elle affirmait, comme elle l’avait toujours fait, que cette expérience n’était que le tremplin nécessaire pour qu’on vive autre chose et que c’était dans ce sens qu’elle en avait eu besoin. Qu’il ne s’agissait de rien d’autre. Je ris à la prétendument innocence de cet infidélité compte tenu de l’acharnement avec lequel elle l’avait méprisé toutes mes mises en gardes et réserves pour finaliser son rendez-vous. La gaîté de sa voix dans l’étreinte avec son amant, puis, plus tard, le ton de leur échange téléphonique (chronologiquement antérieur mais que j’écoutais une fois rentré chez nous), me montrant sa capacité à faire abstraction de tout, et égoïstement de moi, pour vivre son plan Q.

Je lui proposais pour la « tester » un peu, de conserver sur elle des préservatifs dans son sac au cas où... Elle s’en emparait avec un empressement avide qui me fit mal compte tenu de ce que nous avions évoqués ensembles précédemment.

Le lendemain fut une journée de couple exceptionnelle de complicité et de bonheur, fini en apothéose. Le paradis après l’enfer. Mais le retour à la maison voyait mes démons reprendre presque instantanément le dessus. J’y pense à longueur de journée (étant en période de transition professionnelle, je ne travaille pas) et ressent une coulée d’acide me parcourant depuis l’échine jusqu’aux pieds. Je l’entends s’extasier sur le physique de Pierre, Paul ou Jacques (auxquels je suis loin de ressembler) et ressent avec une douleur exagérée ce qui autrefois m’était indifférent, puisqu’aujourd’hui je sais que si un homme se montre suffisamment adroit pour la séduire elle ne résistera pas longtemps, ou alors juste par la force de sa raison et non par la fidélité de son désir. Avant qu’elle ne consomme, je m’amusais pourtant de ses émeuvements. Plus maintenant. Je n’ai plus envie de la toucher, ni de tendresse avec elle. La souffrance est là, tue mon sommeil et m’interdit presque toute concentration durable. Je me montre impatient avec les enfants.
Je lui ai expliqué ma situation. J’ai évoqué ouvertement le principe d’une séparation, dans l’immédiat impossible, puis de divorce. Je suis meurtri qu’elle veuille savoir si sa prestation buccale a été appréciée de son amant. Infidèle notoire, il a eu beaucoup d’expériences et est donc plus légitime que moi (elle a été la première à me faire découvrir ce délice pour lequel elle se montre d’une douceur ferme merveilleuse à mes sens) pour lui fournir une appréciation objective. Ce qui conduit ma pensée négative à imaginer la gourmandise dont elle a dû faire preuve pour se montrer à la « hauteur » compte tenu du challenge qu’elle voulait inconsciemment relever. Cette idée me ravage l’estomac.
Je n’ai pas su gérer et ne le sais toujours pas. La femme qu’elle est devenue est celle dont j’ai sans doute toujours rêvé assumant sa féminité, audacieuse avec intelligence dans ses tenues, mais elle me renvoie à mes propres insuffisances et je ne l’assume pas. J’ai voulu ce qui arrive incontestablement, ou l’ai provoqué. Je me suis convaincu qu’elle n’irait jamais jusqu’au bout et j’ai donc motivé son passage à l’acte persuadé de sa résistance. Je me trompais. Et maintenant je me morfonds. Je suis toujours aussi pathétique, à me replier sur moi-même et à « pleurer » sur mon sort. Nous ne parlons plus que pour des raisons qu’exige le fonctionnement du foyer. Je suis las. Elle m’a bien affirmé qu’elle ne me trahirait pas, que maintenant, tout exotisme sexuel serai partagé. Je n’ai plus foi en ces belles intentions. L’image que je me fais de moi-même est lourdement atteinte et altérée. Je peux me montrer changeant et vivre un revirement radical demain mais pour le moment, j’en suis là. L'aimais-je assez ?

Les contraintes matérielles nous obligent à cohabiter. J’aurai déserté illico sinon et serais en mesure de le faire d’ici à quelques semaine, une fois mon établissement professionnel en fonction. Le ferais-je, je ne sais. Je n’ai pas la capacité de cloisonner mes émotions : conjugales, parentale, professionnelle. Si je me sens mal, je le suis pour tout, si je suis bien, je le suis également dans tous les domaines….

Pour ceux qui m’ont fait l’honneur d’avoir lu jusqu’ici, je les en remercie. Je ne suis pas à la recherche de reconnaissance (remerciement ou autres) et n’attends de personne qu’il prenne le temps de commenter. Merci de votre lecture, voilà tout.

Cdlt.
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par Candaul84
#1350218
Bon, il semblerait que ça ne soit pas la joie ...

Je me trompe peut être mais ce qui ressort, c'est principalement un manque de confiance en TOI...

Elle s'est peut être envoyée en l'air avec son amant, mais, tout expérimenté que tu le vois, il n'a pas réussit à la faire jouir. Pour un mec avec autant de réussite à son actif (que tu crois toujours) ce n'est pas si brillant ...

Après qu'elle ait voulu savoir si elle était capable de faire une bonne fellation, ça me parait normal, vu qu'elle avait un "pro" sous la main (si je peux dire ...)

J'ai un peu l'impression qu'à vous deux, vous avez réalisé un beau gâchis.... Entre toi qui à un fantasme, qui veut le réaliser mais finalement pas tant que ça et elle qui reste intransigeante sur la manière de faire (non, tu ne seras pas présent ..pas très malin !)
Vous êtes très fort.

Attention je ne dis pas que c'est facile, je ne t'ai devancé que de quelques mois et le passage à l'acte n'a pas été facile à digérer. Moi aussi j'ai douté, de moi surtout ... Après c'est à deux que l'on remonte la pente, que l'on se rend compte qu'évidemment qu'elle prend un pied nirvanesque avec lui mais, à la fin, c'est avec nous qu'elle rentre...

Alors OK, notre ego en prend un coup, mais il vaut voir l'ensemble du problème et non pas juste ce qu'il nous arrange de voir...

Tu es dans le fond du trou, maintenant il,faut que tu discutes avec ta femme, que vous mettiez carte sur table, et que vous preniez en compte les souffrance de l'autre. Elle comme toi !
L'expérience tentée et réussie par ta femme lui à permi de grandir, d'être moins dépendante de toi, à toi de grandir aussi ;)

Je trouve que tu affirmes beaucoup des je ne suis pas à la hauteur, etc, quel est le problème ? TU ne te sens pas à la hauteur '? Devient le !

Voilà, je ne t'ai pas caressé dans le sens du poil mais, il s'est passe quelque chose que tu désirais, maintenant vous deux, oui vous deux, devez faire avec (et pas en se séparant!)

Le problème avec le candaulisme c'est qu'il agit comme un révélateur, donc une fois que les problèmes apparaissent, et bien il faut les traiter ...

Allez hop, reprend toi, mohican, ok tu as pris un gros pain dans la gu...., mais maintenant il faut se relever.
Ok tu te croyais plus fort que tu n'es réellement, et alors, la belle affaire ...
Ok tu la voyais autrement qu'elle n'est devenue, mais où est le problème, elle a changé, à toi de la voir avec des yeux neufs, c'est bien toi qui te lamentait sur l'absence de nouveauté de votre vie ! Et bien maintenant, tu es servit.

Ce qui t'arrive c'est ce que tu voulais, que ta femme s'émancipe, qu'elle devienne maîtresse de son destin (enfin pas trop) il semblerait qu'elle ait voulu aller plus vite et plus loin, maintenant c'est à vous d'en discuter ... Ne jamais oublier que le candaulisme se pratique en discutant ...

A vous de jouer !

Et non, mohican, je ne ferai pas un post aussi long que le tien ! Je résiste, je résiste ! ;)

ENJOY!
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par Erosverde76
#1350365
Oh là mon cher Mohican, tu parles de divorce à ta femme! Tu devrais être le dernier à évoquer cela puisque tu l'aimes comme un fou ( à moins que tu ne t'aimes toi plus que tout et que Narcisse en ait pris un coup dans l'estomac!)
J'essaie de faire court car j'ai des obligations domestiques, mais je t'assure qu'en te relisant, surtout le ressenti, je me suis vu quelques trente quatre ans en arrière (sauf que moi j'aurai tout fait pour rester voir, ce que ma femme rejetait après plusieurs trios où j'avais voulu tout diriger)
Elle lui a fait une belle fellation? et alors? Tu aurais voulu qu'elle la fasse à moitié ou qu'elle lui y mette les dents pour te rester fidèle en quelque sorte? Une fois au lit avec un amant, autant faire en sorte que ce soit une réussite pour elle non?
Sinon où est l'intérêt?
Moi aussi je ne comprenais pas que malgré mon évident chagrin quand elle me téléphonait pour me dire "je vais avec lui ce soir, je ne rentre pas, ne cherche pas dans quel hôtel on va" je ne comprenais pas dis-je qu'elle y aille quand même, me sachant triste. Mais à chaque fois finalement, elle n'a jamais revu plus de 6 ou 7 fois (grand maxi) le même mec. Une fois en avoir "fait le tour" comme elle disait, elle passait à un autre. Puis, elle a tout arrêté quand elle a voulu avoir nos enfants.
Plus tard, nous avons vécu des expériences mais ensemble le plus souvent et de plus en plus rarement car on ne recherchait plus de rencontres préparées (souvent décevantes) mais seulement se présentant spontanément (plutôt rares certes)
Pourtant, je sais qu'elle ne s'interdit rien, et j'en termine là pour ce présent post. je la pousse à concrétiser si l'occasion se présente, lors d'un stage professionnel de 2 jours à Paris vers le 20 juin. Car elle ne veut pas du tout se compromettre dans notre région (responsabilités publiques). mais elle ne le fera que si un mec lui plait et la branche sur le stage ou le soir (fête de la musique?)
Pour l'instant elle fantasme avec moi sur cette possible rencontre et je me demande si je dois "forcer" le destin en faisant appel à un bon cocufieur du forum...Elle n'apprécierait peut-être pas qu'encore une fois je cherche à régenter ce qui doit rester son truc à elle en premier même si elle me le fera partager en me racontant après coup (sachant qu'elle ne s'attardera pas sur les détails que l'on recherche toujours).
Voilà, excuse moi pour cette digression, Mohican, mais à son âge ta femme a besoin de découvrir que des hommes peuvent avoir envie d'elle et qu'elle est capable de séduire d'autres hommes qu'un mari forcément attaché à elle...
dans ce cas, la meilleure façon de lui montrer ton amour n'est pas de parler divorce, à mon sens, mais de la reconquérir et surtout en lui disant "ne me quitte pas" et non "je me barre" qui laisserait croire que tu peux facilement aller ailleurs ...qu'avec elle.
par nousdu56
#1350437
Bonjour
Dans le candaulisme , les deux partenaires doivent y trouver leur compte sinon a quoi bon.
La c’est du polyamour ( de la part de madame) et c'est autre chose.Un rapport de force s'est donc installé entre Mohican et sa femme.Et il y a donc un perdant.S'il reste ce rapport de force va d’accentué.C'est a son épouse de rentrer "dans l'ancien ordre" car elle aurait pu tout annuler quand elle voyait bien qu'elle mettait en danger son couple.Je suppose que tous les deux sont des êtres intelligents, et que l'un deux faisait confiance a l'intelligence de l'autre, et pourtant cela a dérapé.
J'ai souvent suggéré a ma femme d'aller voir seule un homme car j'ai confiance en elle mais elle a toujours refusé
Aucun intérêt si tu n'es pas présent me répondait elle.
L’expérience que vient de vivre Mohican sert a quelque chose, il est fixé sur ce qu'il doit attendre de sa femme et c'est bien ainsi.Foutre en l'air tant d'années de vie commune pour un "jouet" qu'est ce qu'il faut en penser? Il reste deux solutions: vivre malheureux avec elle ou malheureux sans elle.Pesons.Je serais tenté de répondre que c'est l'amour qui l'emportera mais comme l'intelligence a déjà perdu que peut l'amour?
par reverencieux
#1350498
je crois qu on a tous besoind e moments de liberté et il serait bon que tuacaceptes Mohican que ton epouse ait des envies d' etre seule avec son amant, même si tu en e s jaloux ou alors il ne fallait pas la pousser a l'infidelité fallait y reflechir avant, mais maintenant que c 'est fait, il s'agit de gerer la situation intelligemment mais ave c l'intelligence du coeur
Moi aussi j'ai eu quelques hesitations alaisser ma femme seule avec un auyre hommes mais finalement j'ai assimilé ce fait car je sais qu'elle profite pleinement ces moments d intimité avec son amant sans ma resence et elle me revient plus amoureise,r econaisante pour mon attitude
ça m'arrive mememaintenant d'aller la mener chez un amant pour une nuit ou un WE et d'attendre qu elle me telephone pour me demander d'aller la rechercher après
si vosu etes capables d'en arriver là sans heurts, sans jalousie, enfin sans manifester, vous serez sauvés... sinon...
et tu verras que tu pourras ^rendre un plaisir accru lorsqu'elle fera l'amour devant toi en plus
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par Candaul84
#1350553
Mohican a t il finit de ruminer ?

Vous, tu en es où ?

Avez-vous discuté de vos problèmes, de vos limites ?
par reverencieux
#1350625
Candaul84 a écrit :Mohican a t il finit de ruminer ?

Vous, tu en es où ?

Avez-vous discuté de vos problèmes, de vos limites ?



Candaul84, on en fait plus des comme ça...c'est le dernier des Mohicans !!!!! ;) :D
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par Candaul84
#1350812
mohican a écrit :merci à tous, je reviens très vite pardonnez-moi, j'ai des "urgences" à gérer
merci encore !

Le ton semble déjà plus optimiste, c'est déjà ça ... 8-)

ENJOY!
par mohican
#1350920
Il est toujours surprenant de constater comme nos analyses et observations restent fidèles à nos systèmes de pensée. Les posts des uns ou des autres reflètent nos systèmes de valeurs et nos modes de réflexions avec constance. Ainsi, candaul84, révérencieux, nousdu56, erosverde76 m’avez offert le reflet exact de ce que j’ai pu lire de vous sur d’autres sujets, comme les miens sont pareillement la reproduction de mon fonctionnement.

Je vous remercie sincèrement de vous être pliés à l’exercice laborieux de cette lecture qui était singulièrement dépourvue de toute dimension érotique propre à attirer le plus grand nombre (en ce qui vous concerne, je ne m’attendais pas à moins, dois-je le reconnaître ? :) ).

Je loue votre bienveillante écoute et patiente analyse qui tente d’apaiser et de faire prendre le recul nécessaire à des décisions justes, non inspirées par la colère, puisque l’élément majeur est, bien plus que tout autre chose, la colère. Qu’elle soit le fruit d’un manque de confiance en moi est un fait acquis en effet qui remonte déjà à loin. Mais « on ne se fâche jamais bien longtemps quand on se fâche tout seul » selon l’apophtegme de G. Sand, et, en effet, j’étais le seul à être dans cette disposition, mon épouse étant bien loin de ce sentiment.

Ne voulant toutefois pas me bloquer dans un mutisme stérile, et ayant pris, il y a quelque temps, la décision de ne plus figer notre couple dans une situation de conflit durant des jours et des jours (à nos âges, le temps est précieux et passe trop vite pour s’abîmer, à mon avis, dans ce genre de postures trop longtemps), j’ai donc initié un dialogue et mis en évidence l’intensité de la souffrance que je traversais ce qu’elle admit bien volontiers. J’ai voulu obtenir d’elle un semblant de « repentance » ou de « regrets ». J’ai échoué, je vous le dit tout net :evil: . Elle ne regrette pas le moins du monde. Elle estime qu’elle devait vivre son truc pour elle, pour relever le défis qu’elle s’était fixé à savoir coucher avec un type sans la moindre attache affective, se prendre pour un « homme », selon sa perception de l'homme, l’espace d’un moment, –mais elle ne voulait toutefois pas d’un inconnu du quart d’heure précédent-. Elle est satisfaite d’avoir pu constater sa capacité à détacher ses sentiments de son corps pour cette parenthèse, pour elle sans conséquence aucune, bien entendu. Elle s’est défendue âprement de m’avoir méprisé pour assouvir son fantasme…. Mouais…. :?

Je lui ai fait valoir ce qu’elle avait accepté de me faire vivre pour réaliser son « truc », comme elle dit, mais elle estime que c’était le moment, que si elle ne le faisait pas là, elle ne le ferait jamais. Si je lui oppose le danger qu’elle a fait courir à notre couple pour une simple histoire de cul, elle balaye l’idée d’un revers de main et se soumet à ma décision si jamais je décidais que nous devions nous séparer. Cette affirmation n’a pas manqué de me dérouter tant elle semblait désinvolte. Je pense surtout (ou je veux croire, ça m’arrange mieux) qu’elle n’a jamais cru un seul instant que cela puisse être possible. Elle affirme comprendre ma souffrance et prétend qu’elle saura être patiente.

Si j’invoque ma confiance en elle hypothéquée, elle traite cette observation par le mépris jurant qu’elle m’avait donné sa parole qu’il ne se passerait plus jamais rien en dehors de notre couple sans moi, que je connaissais suffisamment sa force de caractère pour savoir qu’elle serait imployable sur le sujet, même si son désir la tourmentait douloureusement. Force est de reconnaître qu’elle est effectivement ce genre de femme. Ses décisions sont souvent sans appel et il faut développer des trésors de malice pour la faire plier un peu dans certains cas, car toute médaille a son revers et sa détermination n’est pas toujours constructive. :roll:

Elle a clairement exprimé son souhait de voir son image dans mes yeux bouger. Elle ne veut plus avoir le sentiment que je la traite comme une Madone, que je cesse de m’inquiéter de savoir si son dos la fait souffrir pendant l’amour ou de son confort. Elle aspire à plus de « fémélité » et prétend qu’avoir laissé traîner les indices d’une disponibilité totale de tout son corps pour son amant lorsque je suis rentré –ce qui m’a broyé- (amant qui n’a franchement pas été à la hauteur de son rendez-vous et qui d’ailleurs ne donne plus aucun signe de vie depuis…), n’était pas forcément dénué d’intention à mon endroit… :roll:

Elle désire devenir un peu plus « femme objet », ce qui est à l’opposé total de qu’elle aspirait il n’y a pas si longtemps quand elle refusait farouchement de porter la moindre lingerie sous prétexte que ça lui donnait l’impression d’en être une !! Elle a adoré se promener dans une robe en vinyle à faire décrocher la mâchoire (la mienne tout au moins) sur des talons de 13 cm qui ont débouchés sur quelques consultations d’urgence chez des ostéopathes pour luxations cervicales chez certains, ce qu’elle n’aurait jamais fait auparavant. :lol:

Evidemment et vous avez bien entendu tous raison, je l’aime :oops: ! Je n’ai pas honte de l’avouer même si mon orgueil, qui a été blessé profondément, plus que moi sans doute…, me défends de le reconnaître tout à plein.

Ma complexion m’interdit la rancune même si ma femme m’a appris le supplice de la jalousie et que je ne saurais encaisser un nouveau passage par la salle de torture, encore que je vois certains, qui ont la patience de poursuivre cette lecture, sourire en pensant : » que tu crois ! ». :mrgreen:

Non, je ne vais pas me séparer, oui la nuit a été torride (le réveil pas mal non plus). Je sais la chance que j’ai ou que nous avons peut-être. J’ai quelques responsabilités dans l’émergence de la femme qu’elle est devenue/devient. Je lui ai demandé si elle était heureuse de ce qu’elle vivait, manifestement assez. Elle regretterait presque que les enfants ne soient pas assez grands… :shock:

Comme en toute chose, il faut de la mesure et c’est un équilibre difficile à trouver. Combien de fois m’avez-vous lu fustiger des comportements que je qualifiais sans détour de dérive. A moi maintenant de démontrer que j’étais « crédible » (à moi-même pardonnez-moi, pour les autres, ce qu’ils en pensent…). Nous allons essayer d’évoluer ensembles comme c’était mon souhait au départ et le sien maintenant, une fois ce cap, qu’elle s’est acharné à franchir, dépassé en dépit de tout. Elle est impatiente de me voir étreindre une autre femme, je ne sais pas si j’en serai capable n’en nourrissant aucun désir pour le moment à moins que…. Nabila…. Allo quôi !!!! (je préfèrerais Nathalie Portmann, cela dît, mais elle n’est pas disponible à ce qu’on m’a confessé !).

Merci encore, et désolé pour cette diatribe une nouvelle fois pharaonique. Le premier texte m’a permis d’évacuer pas mal. J’ai toujours fonctionné par l’écrit, d’autres que moi privilégient également ce mode d’expression, d’où la longueur du propos ! Cette seconde intervention vient surtout éclairer celles et ceux qui ont eu un peu d’empathie pour cette histoire et seront sensibles au fait d’en connaître la suite. Elle a moins fonction thérapeutique ! ;)

Bien à vous tous
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par Erosverde76
#1350978
merci pour cette seconde intervention, plus "apaisée" dirons nous. Maintenant vivre des expériences ensemble, pourquoi pas, mais pas sûr que celles-ci soient équilibrées car comme tu le dis tu n'en ressens pas le besoin vraiment. Si tu fonctionnes comme moi, je sais que dans ce cas de figure, je délaisse ma partenaire du moment pour me concentrer sur ce que ma femme et son partenaire font ensemble et surtout comment ma femme agit et réagit.
Du coup si nos 2 couples sont dans 2 pièces différentes, je suis incapable de bander, quelles que soient les qualités de ma partenaire car je me focalise sur ce que ma femme peut bien être en train de faire dans l'autre pièce. C'est pourquoi j'ai toujours préféré les trios, mais étant un peu trop "présent" et crispant pour l'amant, ma femme a vite préféré être seule avec l'amant du moment afin que tous les deux,ils se lâchent bien! :?
Du coup c'était un peu sans issue et c'est pourquoi, je n'ai que très rarement depuis 15 ans essayé de provoquer des rdv.
Ce n'est que depuis 2 ou 3 ans, en suivant ce forum, et avec la maturité (59 ans quand même) que je suggère à ma femme de mettre à profit ses périodes de stage, où de toute façon nous serions séparés, pour en profiter, si l'occasion se présente, (un mec qui lui plaise, c à dire 40-50 ans, séduisant, entreprenant sans être lourdingue)
Pour moi c'est différent que d'aller à l'hôtel à 10km de chez nous avec un amant en me sachant seul et triste à la maison. ;)
Bref, tu as encore de quoi méditer et surtout dialoguer avec ta femme sachant vos deux fortes personnalités doivent mettre leur fierté de côté pour avancer l'un vers l'autre. Vous semblez prouver que vous en êtes capables! ;)
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par Candaul84
#1351052
Ça y est, mohican a avalé sa pilule ... ;)

J'ai l'impression que ce ne sera pas la dernière ..... :lol:

En tout cas ça va mieux, le couple à l'air un peu plus apaisé 8-) .
j'aimerai bien être une petite souris pour voir la tête de mohican la première fois qu'il verra sa femme monter au rideau avec son amant :oops: va y avoir du sport :lol:

en tout cas, ça évolue dans le bon sens .'

ENJOY! :roll:
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par Candaul84
#1351093
cple36 a écrit :je vous souhaite de trouver ce qui vous convient.

Madame


Il faudrait déjà que mohican sache ce qu'il veut .... Il est très changeant :mrgreen:
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par Candaul84
#1351117
cple36 a écrit ::lol: certains fantasmes doivent rester fantasmes ...
mais sa femme ne me parait pas tendre avec lui quand même ...

Madame

Il semblerait que toutes les femmes ne soient pas tendre avec leur mari, il y en a qui ont la dent dure :o d'autres qui savent exactement ce qu'elle recherche... ;)
par nousdu56
#1351178
Ces moments que vit Mohican sont très intéressant pour lui tout d'abord.Au moins la routine ne s'est pas installé dans son couple , il en apprend tous les jours sur lui même et sur sa femme; son cœur son cerveau sont constamment en éveil.moi La condition sinequanone pour etre candauliste est d'aimer énormément sa femme en espérant que c'est réciproque (et çà l'est en général car elle couche avec un autre par amour pour nous ;disent elles n'est ce pas?) Et on en est convainque a juste titre.Au cours de ces expérience, elle évolue doucement au fils des rencontres des situations, prend conscience de ses charmes et confiance en elle etc...et nous aussi on évolue par la même occasion .Cela se fait simultanément.On se découvre redécouvre on se remet sans cesse en question.On scrute le moindre détail, le moindre geste, parole de son conjoint et c'est tout un travail.On se torture l'esprit et on aime ça.Les jours passent mais ne se ressemble pas, notre vie est bien nourrie.
Je crois que la femme de Mohican se comporte comme un homme et elle a bien raison après tout.Je disais dans un post précédent qu'il ne devrait pas y avoir de différence entre les deux sexes , bref qu'une femme peut raisonner sexuellement comme un homme, consommer du sexe comme elle l'entend et surtout a sa façon (ce que font très bien les hommes -non candaulistes bien sur-).Et donc on est pas du tout préparé a cela elles non plus et quand ça nous tombe dessus on rame car on a loupé quelques choses, il n'y a plus de repères ni de frontières.Si ce que dit la femme de mohican est sincère alors je la comprend.Il faut respecter son choix.Elle a choisi de jouer sa propre partition et on est pas un chef d'orchestre .Pourquoi attendre d'elle un sentiment de repentance ou de regrets?
Si j’étais Mohican je regretterai surtout qu'elle soit tombée sur un mauvais coup (ce qui arrive bien souvent hélas, n'est pas chers candaulistes.A ce sujet, il faudra vraiment remédier a ce problème trop de mauvais 'coup" a mon gout.
Expérience a recommencer Mohican .Le jeu a été faussé, elle a droit a un autre essai jusqu’à satisfaction totale ou remboursé.(sourire).
Ce que je retiens, maintenant que je suis un peu plus éclairer en ayant lu le dernier post de Mohican , certes elle ne sera jamais franche totalement mais elle a droit de cultiver son petit jardin secret et je dis bien petit.Ca va être un peu difficile pour mohican mais si c’était facile ou serait l’intérêt?Vivre des emotions intenses , bien sur ça fait parfois un peu mal,mais ce n'est pas donné a tout le monde.Sinon on ne serait pas CANDAULISTE.
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par Candaul84
#1351183
nousdu56 a écrit :.../
Au cours de ces expérience, elle évolue doucement au fils des rencontres des situations, prend conscience de ses charmes et confiance en elle etc...et nous aussi on évolue par la même occasion
Dans toutes interactions sociales, les interlocuteurs évoluent (enfin normalement, il y en a qui reste bloqués complétement sur une position :evil: ) pourquoi en serait il différemment des interactions sexuelles dans un couple ?
Même si elles sont un peu hors normes .... (et encore, s'il n'y avait pas la pression sociale, je pense que de nombreuse femmes adopteraient ce principe :))

nousdu56 a écrit :.../
Je crois que la femme de Mohican se comporte comme un homme et elle a bien raison après tout.Je disais dans un post précédent qu'il ne devrait pas y avoir de différence entre les deux sexes , bref qu'une femme peut raisonner sexuellement comme un homme, consommer du sexe comme elle l'entend et surtout a sa façon (ce que font très bien les hommes -non candaulistes bien sur-)
C'est surtout que l'âge venant, les enfants étant (plus ou moins) élevé, la femme s'inquiète de son pouvoir de séduction. Elle sait qu'il n'est pas éternel et que la date de préemption approche, il lui faut donc se dépêcher et se rassurer...
Une femme n'est pas un homme comme les autres ;)

ENJOY!
par reverencieux
#1351227
hum si je calcule bien Mme Mohican a 44 ans donc cela lui laisse largement encore au moins 10 ans de plein emploi d'amants divers et variés, plus une autre décennie d'atterissage en douceur, donc en tout au moins 20 années de possibilités de plaisirs charnels (et cerebraux?), il y a meme des dames de 70ans et plus qui continuent leur vie sexuelle, car il y a des amateurs, certains "jeunes" de 40 ou 50 ans ou... qui aiment leurs ainées, alors il peut n'y avaoir pas de veritable de péremption comme le pretend Candaul84, enfin c'est une opinion, cependant ,c'est vrai qu'a partir d'un certain âge, même d'un âge certain les partenaires se raréfient et sa propre libido a tendance à se... calmer
mais Mesdames,ne perdez pas espoir, une femme peut toujours... elle...!!!!
mais toutd e même profitez dès l'instant présent, le temps perdu ne se rattrape jamais . ;) :twisted:
par mohican
#1351368
Merci à tous encore une fois.

Oui j'ai bien "morflé", et ce n'est pas fini, même si je me soigne. Non, elle ne m'a pas fait de cadeau. C'est dit.

Les lignes se déplacent, se redéfinissent. J'apprends, elle aussi.

Ce n'est pas tant qu'il ait été un mauvais coup, même si c'était le cas, qu'il n'ait eu aucune élégance. Il a été pathétique, venant tirer son coup vite fait. Elle n'a pas ressenti les émotions qu'il lui avait adroitement procuré lors de leurs échanges en tchats... beau "parleur". En "live", puisque j'ai capté leur rencontre (ce que je ne regrette pas même si n'était pas très délicat, et d'ailleurs elle a tès envie d'écouter... sans moi cependant et elle a raison), il a été consternant de platitude et de banalité. C'est simplement un type infidèle qui consomme sans profiter, la culpabilité infiltré dans le sexe et la montre dans l'estomac. Elle a su, dès qu'elle l'a embrassé en le rencontrant, que ce ne serait pas ça, même si elle avait envie de lui. Elle voulait surtout se prouver qu'elle était capable de le faire. C'est bien ce que je lui reproche. Elle était prète à tout sacrifier pour ce simple défit un peu puéril.

Il n'avait pas le profil "libertin" ou "amant" qui se met au service de la sirène qui se donne à lui. Dans la même position, sachant qu'il n'y aurait qu'une partie, j'aurais essayé de la faire s'étirer, d'en jouir (sans jeu de mots) intensément et le plus longtemps possible, de faire durer le plaisir. Je ne me serais pas enfui, ou presque, une fois l'affaire réglée pour moi. J'imagine qu'il doit (je l'espère pour lui) avoir un peu de ressources et être capable de rejouer sans attendre une demi journée (à 45 ans, il ne me faut pas 1 heures pour être à nouveau opérationnel, alors à 39 ans !! bon, mon problème c'est que ça va fumer avant que je jouisse, je suis "trop" long, mais ce n'est pas de moi dont il s'agit)... Mais, non.
Mais, enore une fois, je ne peux pas nier être perfidement heureux qu'il ait été aussi mesquin... C'est déjà suffisament souffrant comme ça. Il aurait été formidable, je n'imagine pas dans quel état je serais.

Je suis aujourd'hui toujours affligé du manque de "désir" animal qu'elle éprouve pour moi qui n'ai jamais faibli dans le mien pour elle et qui peux l'honnorer chaque jour, sans jamais me lasser. Jamais elle ne se refuse, ni n'est pour autant passive et inerte dans nos rapports, mais il lui manque le feu qu'elle cherche. Au demeurant, nous étions en séjour dans un endroit dans lequel les corps peuvent s'autoriser toute les licences imaginables aux us et vues de tous, et, s'il y a une chose qui sautait aux yeux, c'était bien l'impression qu'il n'y avait aucune intensité émotionnelle dans ces démonstrations. Comme s'ils couraient après des émotions qu'ils espèrent pouvoir trouver dans la trangression sans jamais les obtenir. Cet étalage n'a rien d'excitant de fait (enfin pou moi) et apparait plutôt consternant finalement, comme banalisé.

Elle est convaincue que me voir dans d'autres bras contribuerait à catalyser son appétit pour moi dont elle regrette qu'il ne soit pas plus impérieux, d'autant que notre amour est très intense (c'est un fantasme récurrent qu'elle a toujours nourri alors même qu'elle s'est montrée d"une jalousie pathologique jusqu'à presque aujourd'hui, au point de mettre en péril notre couple pour des histoires qui n'étaient que le fruit de son imagination manipulée par cette même jalousie). Ce sera donc la prochaine étape, quand bien même j'ai peu d'appétit à cette expérience, sans doute en parti par manque de confiance en moi (et par le simple fait que je me sens comblé dans mon couple). Mais la perpective de lui faire plaisir est suffisante à me motiver. Les sollicitations ne manquent pas puisqu'elle n'est pas hostile à mettre la main à la patte et que sa présentation attire des femmes (bi) en recherche également (bon, c'est vrai, le bon sens marketing conduit à éviter de montrer ma trogne sur notre fiche, donc c'est pas gagné quand-même !!)

Dans tous les cas, mes limites ont été fixées et si elle n'ont pas de caractères définitifs, j'entends qu'elles soient respectées jusqu'à ce qu'elles soient redéfinies, si nous en décidons ainsi, mais à deux ! Elle s'y est engagée avec ferveur... Si je ne suis pas son amant idéal, j'ai la chance d'être encore son "mari" idéal... laisson la modestie aux gens qui n'ont pas de qualité !! ;) Gageons sur son intégrité, ce qui n' empêche pas d'être méfiant, et aujourd'hui bien plus qu'hier, forcément... ou lucide ? :?
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par Candaul84
#1351538
reverencieux a écrit :hum si je calcule bien Mme Mohican a 44 ans donc cela lui laisse largement encore au moins 10 ans de plein emploi d'amants divers et variés, plus une autre décennie d'atterissage en douceur, donc en tout au moins 20 années de possibilités de plaisirs charnels (et cerebraux?), il y a meme des dames de 70ans et plus qui continuent leur vie sexuelle, car il y a des amateurs, certains "jeunes" de 40 ou 50 ans ou... qui aiment leurs ainées, alors il peut n'y avaoir pas de veritable de péremption comme le pretend Candaul84, enfin c'est une opinion, cependant ,c'est vrai qu'a partir d'un certain âge, même d'un âge certain les partenaires se raréfient et sa propre libido a tendance à se... calmer
mais Mesdames,ne perdez pas espoir, une femme peut toujours... elle...!!!!
mais toutd e même profitez dès l'instant présent, le temps perdu ne se rattrape jamais . ;) :twisted:


C'est bien la peine de dire que tu n'es pas d'accord avec moi pour, finalement l'être...

Cette histoire de date de préemption n'est pas ce que je pense mais ce que certaines de ces dames pensent, la nuance est d'importance ...
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par Candaul84
#1351563
Je crois que passé un certains nombre d'années ensemble, le "feu", s'il ne s'éteint pas, subit quand même une sacré baisse de régime.

Un mari ne peut rivaliser avec un amant, il n'est qu'un mari après tout .... Il nous manque la nouveauté, l'attrait de l'interdit etc. Il faut que nous nous fassions une raison, sexuellement, nous sommes un peu out :twisted: c'est la vie ;)

ENJOY!
par mohican
#1351568
Candaul84 a écrit :Je crois que passé un certains nombre d'années ensemble, le "feu", s'il ne s'éteint pas, subit quand même une sacré baisse de régime.

Un mari ne peut rivaliser avec un amant, il n'est qu'un mari après tout .... Il nous manque la nouveauté, l'attrait de l'interdit etc. Il faut que nous nous fassions une raison, sexuellement, nous sommes un peu out :twisted: c'est la vie ;)

ENJOY!


:cry: :cry: :cry: :evil: :evil: :evil:
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par Candaul84
#1351606
mohican a écrit :
Candaul84 a écrit :Je crois que passé un certains nombre d'années ensemble, le "feu", s'il ne s'éteint pas, subit quand même une sacré baisse de régime.

Un mari ne peut rivaliser avec un amant, il n'est qu'un mari après tout .... Il nous manque la nouveauté, l'attrait de l'interdit etc. Il faut que nous nous fassions une raison, sexuellement, nous sommes un peu out :twisted: c'est la vie ;)

ENJOY!


:cry: :cry: :cry: :evil: :evil: :evil:


Tu me rappelles un mari qui croyait mordicus qu'aucun autre homme ne pouvait mieux faire jouir sa femme que lui :twisted:
Quand je les vois ensemble, il y a bien des moments ou je lui suis supérieur, mais, dans l'ensemble, "il" la fait mieux jouir que moi...
Le il entre guillemet est là car ce n'est pas seulement l'amant qui fait jouir ma femme, mais c'est la situation, la préparation, le lieu, l'absence d'enfants, l'immoralité de la chose, etc c'est ça qu'il faut accepter. Nous ne sommes que des mari, lorsqu'elle est avec nous, notre femme ne jouit pas devant nous, pour nous ...

Tout cela est un peu compliqué à intégrer mais une fois l'effort fait, tout va beaucoup mieux.

De mes discussions avec Uto, il est ressorti que pour le mari, il vaut mieux que l'amant lui soit supérieur (physiquement, en endurance, etc) comme ça le mari n'a pas de regret :lol: :twisted:

J'ajouterai que l'endurance dans le couple n'est pas de l'endurance en trio ou en passant après l'amant ... Il arrive même que le mari, tellement il est excité, va jouir sans se toucher, juste en voyant la queue de l'amant pénétrer sa femme pour la première fois.
Il ne faut JAMAIS oublier que nous jouissons avec notre cerveau, s'il est excité, pschittt :twisted:

ENJOY!
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par Erosverde76
#1351668
Point de vue tout à fait personnel que le tien Candaul84 même s'il peut être partagé par d'autres, il n'en fait pas pour autant une vérité universelle... ;)
Personnellement j'ai une autre expérience (qui n'a rien d'universel non plus certes) car même si c'est la situation qui prime d'abord, bien avant l'amant lui même, encore faut-il au bout d'un moment que celui-ci soit à la hauteur de cette situation et de plein de choses. :?
Madame Erosverde ne m'a jamais caché qu'à part un qui l'avait particulièrement fait grimper aux rideaux au début de leur relation, la plupart des hommes qu'elle avait connus seule l'avaient assez vite déçue, soit qu'ils en faisaient des tonnes et que cela l'énervait à force d'attendre, soit qu'ils passaient à côté de ses zones les plus sensibles. Mais surtout bien des amants n'auraient jamais dû se mettre à parler, car souvent à l'opposé de ses idées politiques (voire carrément fachos) ou se montrant intolérants au niveau culturel ce qui avait le don de la mettre en colère et de la fermer complètement sur le plan sexuel, car elle ne fait pas l'amour qu'avec son sexe mais avec tout son affect et son intelligence.
Et de ce point de vue, nous communions tellement ensemble qu'elle m'est toujours revenue plus amoureuse que jamais d'autant que tous ses petits coins cachés accélérateurs de jouissance, j'ai appris à les connaître avec le temps et la patience (avantage du mari sur l'amant s'il s'en donne la peine!) :) :)
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par Candaul84
#1351687
Je parle d'un avantage à l'amant côté sexualité et erosverde me répond discussion philosophique .... :shock: :o :?: :?:

Jamais je n'ai dit que l'amant devait remplacer le mari, il (l'amant) est une sorte de gâteau plaisir pour la femme, après, à chacune d'agrémenter son gâteau de la sauce de son choix ....

À propos de la "supériorité" de l'amant, il faut bien que cet homme ait des talents pour faire aussi bien jouir une femme sinon, pourquoi donc irait elle avec lui ... Elles ne sont ni maso, ni morte de faim, donc, si,Elles décident d'aller avec un homme c'est qu'il a quelque chose de plus que son mari ...

Petit aparté, si l'amant m'était inférieur en tout et qu'il fasse jouir ma femme comme rarement, je me sentirais un poil humilié, me demandant, et pourquoi moi je n'y arrive pas aussi bien !
Il n'est pas question de se dévaloriser, mais juste d'accepter nos limites ...voire d'utiliser l'amant et ses connaissances pour s'améliorer soit même ...

ENJOY!
par nousdu56
#1351767
supériorité, endurance ! On parle voitures?Une femme peut toujours trouver mieux que son mari et vice versa c'est une boucle sans fin.La question n'est pas la;ma femme a rencontré un homme qui ne rebandé jamais même après avoir joui.C’était flatteur pour elle mais sans plus.Elle n'a jamais demandé a le revoir.Il a beau être supérieur et endurant, il a quand même été recalé.Je ne pense pas qu'il s'agisse de compétition ou comparaison, mais plutôt d'une différence entre le mari et l'amant.Un autre corps, une odeur un sens du toucher etc...tout est tactile.La plupart des hommes s'y prennent mal
quelques soient leur physique leur niveau intellectuel ...Certains ont des pinces a la place des doigts, vont directement au sexe, cherche dans la minute la fellation et j'en passe.An début ma femme se laisser faire, n'osait pas stopper, et contrairement a Mohican si l'amant n'a pas été a la hauteur j'ai le sentiment qu'elle a été souillée que cet amant ne lui a pas fait honneur.A quoi sert un amant si ma femme femme reste sur sa faim;que de temps et d'illusions perdus.Maintenant au premier contact ma femme n’hésite pas a le remballer s'il n'y a pas feeling.C'est déjà dur de trouver un bon créneau horaire pour se libérer.
Je suis d'accord avec Erosverde76



Re: et maintenant....

Message non lupar Erosverde76 » Hier, 22:03
Point de vue tout à fait personnel que le tien Candaul84 même s'il peut être partagé par d'autres, il n'en fait pas pour autant une vérité universelle... ;)
Personnellement j'ai une autre expérience (qui n'a rien d'universel non plus certes) car même si c'est la situation qui prime d'abord, bien avant l'amant lui même, encore faut-il au bout d'un moment que celui-ci soit à la hauteur de cette situation et de plein de choses. :?
Madame Erosverde ne m'a jamais caché qu'à part un qui l'avait particulièrement fait grimper aux rideaux au début de leur relation, la plupart des hommes qu'elle avait connus seule l'avaient assez vite déçue, soit qu'ils en faisaient des tonnes et que cela l'énervait à force d'attendre, soit qu'ils passaient à côté de ses zones les plus sensibles. Mais surtout bien des amants n'auraient jamais dû se mettre à parler, car souvent à l'opposé de ses idées politiques (voire carrément fachos) ou se montrant intolérants au niveau culturel ce qui avait le don de la mettre en colère et de la fermer complètement sur le plan sexuel, car elle ne fait pas l'amour qu'avec son sexe mais avec tout son affect et son intelligence.
Et de ce point de vue, nous communions tellement ensemble qu'elle m'est toujours revenue plus amoureuse que jamais d'autant que tous ses petits coins cachés accélérateurs de jouissance, j'ai appris à les connaître avec le temps et la patience (avantage du mari sur l'amant s'il s'en donne la peine!) :) :)


Caudaul84 a écrit: Il nous manque la nouveauté, l'attrait de l'interdit etc
Certes mais pourquoi parler de rivalité? Je préférai dire : COMPLÉMENTARITÉ
Caudaul84 écrit que nous sommes limités, mais en quoi?
par reverencieux
#1351775
bah nous ne sommes ni les uns ni les autres à une contrariété près (dans le sens qu'on se contredit parfois), on pense tout et son contraire parfois ds la meme minute, ce qui nous permet d'expérimenter des plaisirs divers... tels masochisme, soumission,domination.. fidelité,exclusivité, partage,dispersion... on fait son marché, on tâte,on évalue, on essaye et on retient ce qui nous plait le mieux, si ma femme aimeles cornichons, je les essaye pour voir et selon cas je les adopte ou bien en laisse la consommation a ma femme,et inversement si j'aime les melons ma femem fait la meme d emarche etc etc
quoiqu'encore les femmes ont plus tendance à rester sur ce que-elles- elles aiment sans trop aller tâter des gouts différents de leur homme, l'homme est plus compréhensif, fait plus d'efforts pour faire plaisir a sa femme ce qui lui procure aussi à lui du plaisir...
on eut épiloguer longtemps comme ça...
le ppal n'est il pas finalement les plaisirs physiques, sexuels, cérébraux qu'on peut ressentir,chacun, chacune à sa manière... ?
:P :oops: :evil: :twisted: :) ;) :!:
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par Candaul84
#1351796
nousdu56 a écrit :Caudaul84 a écrit: Il nous manque la nouveauté, l'attrait de l'interdit etc
Certes mais pourquoi parler de rivalité? Je préférai dire : COMPLÉMENTARITÉ

Parce que j'en suis encore à penser principalement rivalité et non complémentarité ... C'est aussi simple que ça :evil:
Je sais que c'est pas bien mais il est difficile de changer ;) J'ai été éduqué dans ce dogme, et maintenant, pour changer de façon de voir ...
Cela dit, à tête reposé, je suis entièrement d'accord avec nousdu56, ce que cherche les femmes c'est une complémentarité avec leur mari, d'ailleurs, la mienne ne compare pas son amant et son mari, elle trouve les expériences différentes.

Oui mais moi, lorsque je visionne les vidéos, je compare, et je n'y peux rien :?


nousdu56 a écrit :Caudaul84 écrit que nous sommes limités, mais en quoi?
Alors là c'est à chacun de les connaitre ses limites, mais penser que nous sommes sans limites, illimités en quelques sorte, est un peu présomptueux ;) des sortes de petits dieux ...
lorsque je fais une randonnée sportive, je sais où sont mes limites (physiques, psychologiques) et je joue avec, pour les repousser.

L'homme sage est celui qui connait ses limites ... :D

Désolé, je n'ai pas pu m'en empêcher :roll:
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par Candaul84
#1351805
reverencieux a écrit :bah nous ne sommes ni les uns ni les autres à une contrariété près (dans le sens qu'on se contredit parfois), on pense tout et son contraire parfois ds la meme minute, ce qui nous permet d'expérimenter des plaisirs divers... tels masochisme, soumission,domination.. fidelité,exclusivité, partage,dispersion... on fait son marché, on tâte,on évalue, on essaye et on retient ce qui nous plait le mieux, si ma femme aimeles cornichons, je les essaye pour voir et selon cas je les adopte ou bien en laisse la consommation a ma femme,et inversement si j'aime les melons ma femem fait la meme d emarche etc etc
quoiqu'encore les femmes ont plus tendance à rester sur ce que-elles- elles aiment sans trop aller tâter des gouts différents de leur homme, l'homme est plus compréhensif, fait plus d'efforts pour faire plaisir a sa femme ce qui lui procure aussi à lui du plaisir...
on eut épiloguer longtemps comme ça...
le ppal n'est il pas finalement les plaisirs physiques, sexuels, cérébraux qu'on peut ressentir,chacun, chacune à sa manière... ?
:P :oops: :evil: :twisted: :) ;) :!:

Hooops je viens de remercié le message, désolé :(


Il y a toujours une différence entre ce que l'on aimerait être et ce que l'on est en réalité (n'est-ce pas mohican :mrgreen: ), certaines femmes ne veulent pas passer pour des "salopes" mais se libèrent totalement avec leur amant, certains maris savent que le plaisir est dans la complémentarité, le partage, mais ne peuvent s'empêcher de penser rivalité ... 8-)
C'est comme ça
Cela dit, cette histoire de rivalité n'est pas négative, elle pousse à se remettre en question, à s'améliorer alors que si l'on reste dans la complémentarité stricto sensus, on ne fait rien pour changer puisque les autres sont là pour ça ...

Bref, pour paraphraser Ésope, la complémentarité est elle la meilleure ou la pire des choses ?
par reverencieux
#1351937
Candaul84 a écrit :
reverencieux a écrit :bah nous ne sommes ni les uns ni les autres à une contrariété près (dans le sens qu'on se contredit parfois), on pense tout et son contraire parfois ds la meme minute, ce qui nous permet d'expérimenter des plaisirs divers... tels masochisme, soumission,domination.. fidelité,exclusivité, partage,dispersion... on fait son marché, on tâte,on évalue, on essaye et on retient ce qui nous plait le mieux, si ma femme aimeles cornichons, je les essaye pour voir et selon cas je les adopte ou bien en laisse la consommation a ma femme,et inversement si j'aime les melons ma femem fait la meme d emarche etc etc
quoiqu'encore les femmes ont plus tendance à rester sur ce que-elles- elles aiment sans trop aller tâter des gouts différents de leur homme, l'homme est plus compréhensif, fait plus d'efforts pour faire plaisir a sa femme ce qui lui procure aussi à lui du plaisir...
on eut épiloguer longtemps comme ça...
le ppal n'est il pas finalement les plaisirs physiques, sexuels, cérébraux qu'on peut ressentir,chacun, chacune à sa manière... ?
:P :oops: :evil: :twisted: :) ;) :!:

Hooops je viens de remercié le message, désolé :(


Il y a toujours une différence entre ce que l'on aimerait être et ce que l'on est en réalité (n'est-ce pas mohican :mrgreen: ), certaines femmes ne veulent pas passer pour des "salopes" mais se libèrent totalement avec leur amant, certains maris savent que le plaisir est dans la complémentarité, le partage, mais ne peuvent s'empêcher de penser rivalité ... 8-)
C'est comme ça
Cela dit, cette histoire de rivalité n'est pas négative, elle pousse à se remettre en question, à s'améliorer alors que si l'on reste dans la complémentarité stricto sensus, on ne fait rien pour changer puisque les autres sont là pour ça ...

Bref, pour paraphraser Ésope, la complémentarité est elle la meilleure ou la pire des choses ?


Heu en ce qui concerne Esope, j'ai souvenance qu'il aurait dit " La langue est la meilleure et la pire des choses"
je ne savais point qu'il aurait dit la même chose en parlant d e la complémentarité
mais pourquoi pas?
quand on a trouve une formule, c'est bon de la répéter à propos d'autre chose, ça fait bien dans la conversation...
de toutes façons, la parole d'Esope n'est pas, pour moi, parole d'Evangile, comme d'ailleurs n'importe laquelle de n'imorte qui
bon Esope n'etait pas n'importe qui, soit ! mais quand même on lui prête sans doute plus qu'il n'en a dit et il a dit beaucoup de bêtises aussi
mais on s'écarte du sujet, on digresse... alors je reviens au sujet""duquel c'est quoi qu'on cause" (influence de Bérurier de San Antonio,hihi ) à propose dela langue
ça peut être détourné pour s'appliquer à la langue du mari pour faire plaisir a sa petite femme, vs voyez ce que je veux dire? oui? cochon vas :lol: ;)
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par Candaul84
#1352049
[quote reverencieux]Heu en ce qui concerne Esope, j'ai souvenance qu'il aurait dit " La langue est la meilleure et la pire des choses"
je ne savais point qu'il aurait dit la même chose en parlant d e la complémentarité, ;)[/quote]
C'est pour ça que je parlais de paraphraser Esope ... Bien évidement qu'il n'a pas écrit sur la complémentarité ... :shock:

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