- 26 sept. 2013, 08:44
#1425306
Au passage, je précise que je n'ai pas joui depuis 5 jours (tout le monde s'en fout, c'est vrai) et quand on pratique la masturbation compulsive, cela équivaut à tenir une érection en se retournant sur le décolleté d'une grand mère : à fleur de peau, les nerfs à vifs, le Diable incarné.
La soirée d'hier fut compliquée, après quelques verres, peut-être par excès de confiance ou d'euphorie, elle a demandé à lire le présent post et j'accepte tout naturellement. J'ai écrit plus haut que Lili venait de temps en temps ici, et c'est la vérité... Reste que je redoutais quand même quelques passages.
Et ça a pas raté, choquée par la confrontation de nos fantasmes - l'amant et le cocu s'en donnent à cœur joie derrière son dos - je l'ai sentie destabilisée, je savais pourtant qu'il était inutile de lui faire lire : les lubies masculines sont à cent lieux des préoccupations féminines et cela à failli compromettre la rencontre de vendredi.
C'était bien vu le coup de la franchise, le jeu a quand même failli s'arrêter.
Je dis bien "failli" : le souvenir de ses coups de queues est bien trop vivace pour venir perturber l'inéluctable.
En même temps quoi de plus charmant que de sentir son épouse fébrile, déstabilisée, mais tenaillée par l'idee fixe de rejoindre celui qu'elle considère comme le meilleur coup de sa vie.
"Que va-t-il m arriver? Que va-t-il me faire ? Qu'est-ce que tu manigances ? Il me parle une seule fois d'éjaculation dans la bouche et tout est fini."
Une rebuffade que je mets sur le compte de la maladresse, la mienne, elle n'avait pas besoin de connaître nos échanges.
Alerte, donc.
On met ici le doigt sur l'épineux dossier de la manipulation masculine, les bonnes vieilles pulsions égocentriques, quand il faut songer avec lucidité au plaisir de sa femme, avant toute chose. Difficile cependant pour le candauliste de mettre ses pulsions de côté...
Ce soir ma femme est inquiète, tourmentée... et pleine d envie.
Résultat, je fais chambre à part dès ce soir, ça m'apprendra, paraît que j'étais tendu quand elle me posait des questions sur mes échanges avec son amant.
À l'heure oû j'écris ces mots, elle est devant la webcam avec lui, mais pas d'images ce soir.
La porte est fermée,
Le supplice à commencé,
je suis pratiquement hors-jeu.
Doutes, au final.
Et devinez quoi, tout cela est bon signe.
La soirée d'hier fut compliquée, après quelques verres, peut-être par excès de confiance ou d'euphorie, elle a demandé à lire le présent post et j'accepte tout naturellement. J'ai écrit plus haut que Lili venait de temps en temps ici, et c'est la vérité... Reste que je redoutais quand même quelques passages.
Et ça a pas raté, choquée par la confrontation de nos fantasmes - l'amant et le cocu s'en donnent à cœur joie derrière son dos - je l'ai sentie destabilisée, je savais pourtant qu'il était inutile de lui faire lire : les lubies masculines sont à cent lieux des préoccupations féminines et cela à failli compromettre la rencontre de vendredi.
C'était bien vu le coup de la franchise, le jeu a quand même failli s'arrêter.
Je dis bien "failli" : le souvenir de ses coups de queues est bien trop vivace pour venir perturber l'inéluctable.
En même temps quoi de plus charmant que de sentir son épouse fébrile, déstabilisée, mais tenaillée par l'idee fixe de rejoindre celui qu'elle considère comme le meilleur coup de sa vie.
"Que va-t-il m arriver? Que va-t-il me faire ? Qu'est-ce que tu manigances ? Il me parle une seule fois d'éjaculation dans la bouche et tout est fini."
Une rebuffade que je mets sur le compte de la maladresse, la mienne, elle n'avait pas besoin de connaître nos échanges.
Alerte, donc.
On met ici le doigt sur l'épineux dossier de la manipulation masculine, les bonnes vieilles pulsions égocentriques, quand il faut songer avec lucidité au plaisir de sa femme, avant toute chose. Difficile cependant pour le candauliste de mettre ses pulsions de côté...
Ce soir ma femme est inquiète, tourmentée... et pleine d envie.
Résultat, je fais chambre à part dès ce soir, ça m'apprendra, paraît que j'étais tendu quand elle me posait des questions sur mes échanges avec son amant.
À l'heure oû j'écris ces mots, elle est devant la webcam avec lui, mais pas d'images ce soir.
La porte est fermée,
Le supplice à commencé,
je suis pratiquement hors-jeu.
Doutes, au final.
Et devinez quoi, tout cela est bon signe.
"Être cocu n'est rien d'autre qu'une façon un peu étrange et pas trop ennuyeuse de vivre"
Notre présentation : http://www.forum-candaulisme.fr/ma-femme-lili-36-ans-rejoint-son-amant-vendredi-pour-la-nuit-t56732.html
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