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par manukib56
#1482196
Une journée d’affaires (d’enfer) 2

13h00 :

Le chef d’entreprise, la jeune cadre dynamique et la stagiaire rentrèrent en même temps dans un des restaurants le plus en vogue de la ville.

Beaucoup d’hommes d’affaires replissaient le restaurant, de gros contrats étaient certainement en train d’être signés.

Ils s’installèrent tous les trois sur une table ronde, où Marc se tenait en face de ses deux jeunes salariées.
Il était de très bonne humeur et semblait parfaitement détendu. Sa journée s’annonçait bonne, il venait de signer un gros contrat et s’était vu offrir une magnifique récompense dans son agence.

Les échanges étaient maintenant tournés un peu plus sur le domaine professionnel. Camille lui reportait un peu l’activité de l’agence Bordelaise.
Elle n’était pas passée inaperçu entre les rangées de tables, les regards masculins se posaient volontiers sur elle. Marc était fier d’être ainsi accompagné à sa table, il faisait des envieux.

« Tiens, si tu veux jouer avec elle. »
« Quoi ici ? Mais vous êtes fou ? »
Marc venait de faire glisser sur la table à l’encontre de Camille la petite télécommande.
« T’inquiètes, elle a l’habitude. On est jouet ou on ne l’est pas. »
« C’est assez excitant dites-moi. Allez, je me laisse tenter. » Camille prit dans sa main la petite télécommande et actionna le potentiomètre de manière mesurée cette fois-ci. Le résultat eu tout de suite son effet. Manue ressentie comme un coup de chaud, la frustration qu’elle connaissait maintenant depuis quelques jours avait du mal à s’attiser. Aussitôt que l’on la sollicitait, cela prenait des proportions démesurées. Elle sentit son visage rougir sous la chaleur que lui procurait son petit jouet intime. Ses jambes tremblaient et cela devenait difficile pour elle de tenir en place. Mais elle essayait de faire bonne figure au milieu de tous ces gens.

« Et toi Manue, je peux t’appeler Manue ? D’où tu viens ? »
Manue essaya du mieux qu’elle pouvait de répondre aux questions de sa nouvelle collègue malgré les vibrations intérieures.

Manue respectait cette jeune cadre dynamique, elle ne voyait pas en elle de mauvaises intentions. Elle se livra donc tout naturellement à ses confidences du pourquoi du comment elle était arrivée à travailler dans la même agence qu’elle.

« Tu vois Manue, ce qui me rassure, c’est que je ne suis pas la seule à être tombée entre ses mains. Mais tu verras au final on y apprend beaucoup et je dois beaucoup à Marc maintenant. »
« Que d’éloges pour moi dis donc ! » Manue commençait à se sentir un peu mal. Sa tête tournait, le plaisir était trop intense et pompait toute son énergie. L’estomac vide elle se sentait partir.
« Ca va Manue ? » Camille coupa le jouet pour la laisser reprendre un peu ses esprits
« J’ai la tête qui tourne mais ça va aller. »
« Va aux toilettes et hommes. Attends-moi là-bas je te rejoints. Et soit discrète » Une nouvelle fois la jeune fille n’arrivait pas à comprendre où voulait en venir son patron. Mais disciplinée elle se leva de table pour sortir de la pièce.

Elle arriva devant la porte à l’intention de la gente masculine, l’ouvrit prudemment en s’assurant que personne n’y était.
A peine avait-elle franchie la porte qu’elle se précipita dans l’enclave du fond, normalement prévu pour les personnes à mobilité réduite. Elle savait que Marc la rejoindrait et qu’ils auraient besoin d’espace. Elle referma le loquet derrière elle et pouvait enfin respirée de soulagement. Par mécanisme et par éducation elle savait qu’elle se retrouvait dans un endroit clos et qu’il fallait donc se dévêtir, sans attendre d’avantages son patron elle commença machinalement à se déshabiller intégralement.
Elle prit soin de bien plier ses vêtements pour qu’ils ne paraissent trop froissés par la suite. Elle les posa au-dessus de la cuvette sur le petit muret en plâtre. Elle s’assit un instant sur le WC pour reprendre son souffle et se prit la tête entre les mains.

La grande porte s’ouvrit et des pas venaient en sa direction. Quelqu’un toqua. Sans aucun doute elle déverrouilla le loquet. Marc entra dans le box et referma derrière lui.

Sans aucun échange de paroles, il déboutonna son pantalon pour le rabaisser jusqu’aux chevilles.

« Je suis désolée, … »
« Ah non commence pas avec les pardons ! Tu as bien compris que je ne suis pas du tout content de toi. Mais alors pas du tout. Dégage de là faut que je pisse. »

Manue se releva de la cuvette où elle était sagement assise totalement nue attendant la sentence de son chef.

Marc la contourna et urina sans aucune gêne devant la jeune fille.

« Alors comme çà on fait un malaise à table entre bonne compagnie »
« Je vous le dis je suis vraiment désolée, toute cette excitation et je pense qu’il est temps que je passe à table. »
« Tiens pour une fois, voilà quelque chose de sensé. J’ai mis le couvert y’à plu qu’à becqueter »
Marc lui proposa son sexe mou.
« Allez, viens reprendre des forces. Ça va te revitaliser. »

Manue s’agenouilla encore une fois devant l’assureur et saisit son sexe en bouche. Il avait une forte odeur d’urine, cela la dégoutait encore plus. Mais elle savait très bien qu’elle ne devait faire aucune manière, sinon il serait encore plus odieux avec elle. Elle prit donc sur elle pour ne pas ressentir l’envie de vomir devant ce fort gout. Elle se rappela comment Camille avait réussi à faire monter quasi instantanément le plaisir chez son patron. Elle imita les gestes en espérant pouvoir procurer un plaisir semblable.
Elle saisit le sexe en main et exerça une forte pression et le masturbait vigoureusement. Elle alternait des passages en bouche, en cherchant à l’introduire le plus profondément, et le ressortait quasi instantanément. Et comme le faisait sa camarade, il y a encore quelques heures, cracha sur le sexe pour l’enduire de sa salive et activer ainsi le contact humide entre l’organe et ses lèvres. Marc l’agrippa par les cheveux, pour lui donner la cadence. Cette prise de contrôle de l’homme montrait que les efforts de la jeune fille portaient leurs fruits. Elle continua dans sa lancée et sentait le sexe gonfler dans sa bouche.

Une fois la verge bien dure, elle la poussa toujours un peu plus pour venir en butée au fond de sa gorge. La main de son chef allait dans ce sens en maintenant sa tête en position. Son front venait maintenant s’appuyer contre la chemise à peine relevée du cadre en assurance.
Marc se pencha pour venir agripper un sein et tira dessus fermement. Cela ne semblait pas déstabilisée la jeune fille qui s’activait à la tâche en prenant bien soin de tout bien faire comme sa prédécesseur.

Elle sentait dans l’attitude de l’homme, qu’elle était en train de sucer, que sa méthode était la bonne. Elle le sentait plus nerveux que les autres fois, chaque coup de langue sur la verge provoquait un sursaut chez le mâle. Elle était proche du but.

En un temps record, elle sentie enfin l’homme exploser dans sa bouche. Une chance pour elle qu’il s’était déjà laissé aller il y’a même pas une heure entre les cuisses de Camille. La quantité n’était pas abondante et Manue l’assimila facilement en une gorgée.

« Et bien on dirait que notre petite amie Camille t’a beaucoup inspirée. Mais tu ne crois tout de même pas qu’une fille comme toi puisse rivaliser avec une de son niveau ? aahhhhahhhhh ma pauvre Manue, la route va être encore longue pour toi. Va déjà falloir dire à ton homme de te baiser correctement. »
Il se rhabilla et sorti comme il était venu des toilettes pour retourner à table.

Manue les rejoints quelques minutes plus tard, le temps pour elle de se rhabiller et de faire bonne figure. Bizarrement ce petit interlude dans les WC du grand restaurant lui avait redonné des couleurs et elle se sentait maintenant requinquée.

« Tu as meilleure mine Manue. Ça va mieux ? » Camille semblait désolée des proportions qu’avait pu avoir son petit jeu de tout à l’heure.
« Oui merci. Juste un petit coup de mou »
« Elle avait besoin d’un petit remontant » surenchéri Marc.
« Cet après-midi, je vais devoir vous laisser je dois voir B…e, Manue tu pourras rester à l’agence avec Camille si tu veux. Tu as de quoi te connecter au réseau et ainsi bosser de là-bas. »
« Oui très bien. »
« Vous voyez B..e ? »
« Oui, si j’arrive à le faire rentrer chez nous, on touche le jackpot. »
« C’est qui B..e »
« Oh ! B..e est un très gros vignoble de la région. Son domaine est sans doute un des plus importants et le plus productif du moment. Mais c’est très difficile de le toucher, il se méfie de tout. Surtout depuis que les chinois s’intéressent à notre patrimoine viticole. »
« Oui, Camille a raison. Ils nous créés de sérieux problèmes, nos vignobles craignent tout et s’opposent catégoriquement à investir d’avantage. »

Le déjeuner prit une dimension beaucoup plus professionnelle. Camille et Marc expliquait à Manue les rouages de leurs montages financiers sur un secteur très fermé.
par manukib56
#1491121
Une journée d’affaires (d’enfer) 3

15h00 :

Marc arrêta sa voiture devant l’agence et y déposa ses deux salariés.

« Bon à tout à l’heure. Bon après-midi les filles. Et pas de bêtises ! »

Camille et Manue rentrèrent dans l’agence.

« Toi aussi tu as comme règle que dès que tu es dans un endroit clos, il faut que tu sois nue en sa présence ? »
« Oui, à chaque fois il m’oblige à me déshabiller. Pour faire la route de Vannes à Bordeaux, j’ai dû voyager nue dans sa voiture.
« Je le reconnais bien là. Par contre, si ça ne te dérange pas on devrait peut-être se dévêtir. Comme l’agence est fermée au public aujourd’hui, il est capable d’arriver ici à l’improviste et s’il nous trouve habillée sachant que nous sommes soumises toutes les deux à la même règle on risque d’en payer les frais. »
« Comme tu veux. » répondit elle résignée à son sort.

Chacune de leur côté, elles enlevèrent un à un leur vêtement. Manue ne cessait de regarder Camille s’effeuiller. Son corps était beau, ses courbes étaient harmonieuses. Elles avaient les formes où il fallait avec la fermeté qu’il fallait. Elle était envieuse de cette jeune cadre dynamique qui avait tout pour elle. Une carrière professionnelle assurée, une beauté naturelle pour la servir.

« Pourquoi me regardes tu comme çà ? »
« Oh pour rien » rougit-elle
« Si je vois bien que tu me regardes avec attention »
« Non c’est tout simplement que je te trouve très jolie. »
« Tu aimes les femmes ? »
« Non je ne crois pas. Enfin je ne sais pas … Mais en tout cas je sais dire si une femme est belle ou pas. Tes seins sont magnifiques, je rêverai d’avoir les tiens. »
« Pourquoi dis-tu çà, les tiens sont très jolis aussi. »
« Mais ils sont tout petits »
Camille s’approcha de Manue et tendit sa main pour venir très délicatement se poser sur le sein droit de la jeune fille. Sa main était chaude et douce. La stagiaire baissa la tête prise de gêne face à cette caresse. Elle rougit légèrement ce qui éveilla à Camille l’émotion qu’elle produisait à la jeune fille.

« Moi, je les trouve très beaux. Ils sont peut-être un peu plus petits que les miens mais ils tiennent bien en main et je peux t’assurer qu’ils sont très doux. Tu n’as pas de quoi complexer, tu es belle. Et crois-moi, si Marc t’a choisi aussi ce n’est pas par hasard. »
Camille embrassa Manue sur la bouche pour prendre congé d’elle avant de retourner à son bureau.

Manue s’installa sur une petite table dans l’accueil pour finaliser le contrat qu’elle avait brillamment obtenue.

L’après-midi fût studieuse pour les filles, et les échanges entre elles étaient peu nombreux

16h30 :

Camille sortit de son bureau.
« Tu as reçu un texto de Marc ? »
« Heuu je ne sais pas, je n’ai pas regardé mon téléphone » Manue se leva de sa chaise et alla dans le coin de la pièce où toutes ses affaires étaient entreposées. Elle était gênée en traversant l’accueil, elle savait pertinemment que Camille était en train de poser son regard sur sa nudité. Elle se sentait mal à l’aise. Timidement elle se pencha pour fouiller dans son sac.
Elle trouva son portable. Trois messages non lus, deux venant de moi lui demandant des nouvelles et savoir comment elle allait. Le troisième était envoyé à 16h03 et était rédigé par Marc.

« Dîner très important ce soir. Soyez prêtes à 19h00 à l’hôtel. Ne lésinez pas sur votre tenue»

« Bon, je crois qu’on va faire chauffer la carte bleue. Allez, on se rhabille, je ferme l’agence et je vais te montrer des boutiques super sympas. »

Il ne fallut pas plus de cinq minutes aux filles pour se revêtir de leurs habits. Les ordinateurs de chacune s’éteignirent un à un et la porte de l’agence se ferma à double tour.

Camille invita Manue à monter dans sa voiture. C’était une BMW série 1 de couleur rouge. Encore une fois la preuve de la réussite sociale de cette très jolie blonde trentenaire.

« Bon ce genre de soirée est très important. Ne faut rien négliger. »
« Oh mais tu sais mon budget est limité, je ne suis qu’étudiante. »
« Mais t’inquiète, tu n’auras pas à dépenser un centime. C’est l’agence qui paye. Marc dégage toujours une ligne de budget annuelle à ce qu’il appelle Les frais annexes. Tu sais il n’est pa à quelques euros prêt quand il s’agit de signé un gros contrat pour plusieurs milliers d’Euros, il intègre çà à de l’investissement. »

Les filles défilèrent dans tous les magasins huppés de la ville. Elles essayaient tenues sur tenues sans se soucier un instant du prix que cela pouvait couter. Après avoir dépensé en espace de quelques heures leurs salaires mensuels additionnés, elles firent un petit décrochées par chez Camille, afin qu’elle puisse prendre quelques affaires pour se préparer elle aussi à l’hôtel où séjournait Manue. Les filles avaient décidé de se préparer ensemble pour permettre à chacune de s’entraider pendant leur préparatif.

La berline rouge se stoppa devant l’entrée de l’hôtel, un groom vint à leur rencontre. Tandis que le portier s’occupa de la voiture, le groom avait déjà déchargé le coffre de tous les sacs des plus grandes enseignes de la ville.

« Je les dépose dans votre chambre Mademoiselle ? »

Les deux jeunes femmes étaient traitées comme des princesses, elles étaient dans une euphorie non dissimulable.
Arrivées toutes les deux dans la chambre, il ne leur restait plus beaucoup de temps pour se préparer. Elles se devaient d’être efficaces.

A peine la porte de la chambre passée, les filles se déshabillèrent en laissant leurs vêtements sur place et foncèrent dans la salle de bain. C’est Manue qui investit la première la grande douche italienne pendant que sa compère était occupée à tout déballer leurs petites emplettes.

« Et ben ma chérie, je peux te dire que ce soir on va avoir la cote avec les hommes ! »
« Oui tu parles avec toi dans les parages, ça va être difficile. »
« Arrête de te dénigrer comme çà Manue »

Il leur fallut bien plus d’une heure pour qu’elle soit enfin prête mais quand Marc vint les chercher à l’hôtel son regard, sur elles, montrait bien que cela en valait la peine.

Camille avait optée pour les cheveux détachés tombant sur les épaules dénudés, sa robe largement décolletée offrait une vue imprenable sur sa jolie poitrine mise en valeur par une petite dentelle noire aussi. Sa robe cintrait joliment sur ses fines hanches et venait parfaitement épouser ses jolies formes. Son fessier se moulait parfaitement dans le tissu et quand on y faisait attention on pouvait surprendre la présence d’un petit string lui aussi en dentelle. Sa robe descendait juste au-dessus de ses genoux.

Manue avait été plus entrepreneuse en osant la robe très cintrée noire aussi avec un très grand dos nue qui tombait au creux de ses reins. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge et la faible épaisseur du tissu voilait très légèrement sa petite poitrine dont on apercevait la forme des petits tétons.

Délicatement maquillées les filles étaient de véritable bombes. Leurs charmes à chacune étaient largement mis en valeur avec gout et sensualité. Marc trépignait d’impatience d’arriver au restaurant pour faire son entrée triomphale aux bras de ses deux jolies demoiselles.

Le moment fatidique était enfin arrivé, Marc stoppa son véhicule devant le grand restaurant très renommé de la ville, un portier vint ouvrir la portière pour les filles. Marc se plaça entre chacune d’elles et leur proposa son bras.

Les personnes avec qui ils allaient diner étaient déjà tous présents à table, ne manquait plus que l’assureur et ses petites salariées. Les hommes en costumes étaient des grands noms de la région : conseillers, riches industriels, politiciens. Les quatre hommes tout de noir vêtus n’en croyaient pas leurs yeux devant ses deux magnifiques jeunes femmes.
Manue pensait bien qu’ils les prenaient pour des prostitués mais Marc coupa court aux préjugés.

« Messieurs, je vous présente Camille et Emmanuelle. Camille est ma salariée permanente à l’agence de Bordeaux tandis qu’Emmanuelle est la toute dernière à avoir rejoint le cabinet. Elle travaille avec moi sur Vannes, elle est actuellement en alternance. Mais croyez bien qu’on a déjà à faire à une jeune qui a un devenir dans le monde de l’assurance. »

« En tout cas mon cher Marc je vois que vous savez vous bien vous entourer ». Lui répondit le plus gros de l’assemblée.

Le repas se déroula dans une atmosphère tout à fait étrange, les hommes ne cessaient de poser des regards lourds et absolument dégradants sur les jeunes filles. Certains même faisaient des allusions vraiment très provoquantes et cela ne semblait déplaire à Marc.

Pendant tout le repas les bouteilles de vin, de champagne, sans compter les verres de scotch défilèrent sur la table. Les hommes s’enivraient un peu plus à chaque plat qui leur était proposé. Marc était totalement sous l’emprise de l’alcool.

« Vous savez messieurs, ces deux jeunes demoiselles ne sont pas que mes salariées. Je dispose d’elles comme je le veux. »

L’un d’eux lui répondit même : « D’un côté mon cher Marc, en matière de femmes tu as toujours été très bien accompagné. Lors de ton dernier déplacement, tu étais encore accompagné d’une. Elle était jeune celle-là. Une petite rousse si je me souviens bien. »

Manue comprit très vite, que c’était d’Emilie qu’ils étaient en train de parler. Elle se souvint alors qu’il y a effectivement quelques semaines Emilie avait découché de l’appartement. Elle savait maintenant c’était pour aller où.

« Oui, mais comme vous savez je ne suis toujours pas prêteur messieurs. Par contre, je peux égayer vos yeux si vous le voulez. »

« Toi tu sais parler aux gens. Allons boire le digestif à ton hôtel. » Tous les hommes se levèrent en même temps et prirent congés du restaurant.

C’est Camille qui prit le volant de la grosse voiture de Marc, le patron n’était malheureusement plus en état de conduire. Ils arrivèrent tous ensemble à l’hôtel. Marc invita les hommes d’affaires à monter dans sa chambre.

« Garçon, vous pourrez faire monter votre meilleure bouteille de cognac dans ma chambre. Mes invités et moi allons prendre le digestif dans mon salon privé. » Marc ne disposait pas d’une simple chambre dans l’hôtel mais d’une suite qui disposait de son propre petit salon. Ce genre de pièces est très prisé dans le monde des affaires. Cela permet de signer de gros contrats en parfaite intimité.

Les cinq hommes, Camille et Manue montèrent dans le même ascenseur. Manue était inquiète de la tournure que commençait à prendre la soirée.

Ils arrivèrent dans l’immense chambre du patron en assurances qui avait plutôt les dimensions d’un appartement privé. Toujours est-il, le confort et le luxe étaient présents.

Les hommes s’installèrent dans les deux canapés qui encerclaient une large table basse en verre.

« Vous savez entre nous, on a des petites règles. Je leur impose à chacune de se déshabiller totalement quand nous sommes dans un endroit clos. Cela ne vous pose pas de problèmes à ce que je leur demande de se mettre à leur aise ? »

Le plus ventru des quatre donna son aval sans attendre. Manue sentait ses jambes trembler. Elle ne savait que faire, devait elle fuir, accepter les idées saugrenues de son employeur ? Tout se mélangeait dans sa tête. Elle était loin de tout, elle était livrée à elle-même.

A peine avait-elle le temps de se rattacher à la réalité tellement prise dans ses pensées, elle sentie une main froide se poser sur son dos dénudé. La main descendait délicatement du haut de ses épaules vers le creux de ses reins. Elle était douce et malgré la froideur de celle-ci elle ressentait de légers frissons. Elle retourna doucement la tête pour savoir qui était en train de la toucher et fût soulager de voir que c’était Camille.

Camille avait senti le malaise s’installer chez sa jeune collègue et prit donc les devants pour l’inviter à se mettre à l’aise. Elle entoura ses bras autour de ses hanches et lui posa un doux baiser entre son cou et son épaule droite. Elle remonta ses mains sur les épaules de la jeune stagiaire et dans un mouvement ample laissa filer les bretelles de sa robe de soirée le long de ses bras. Le tissu glissa lentement laissant apparaitre les jolies petites formes de Manue. En quelques secondes sa poitrine était maintenant totalement dénudée. Les mains de Camille viennent saisir les seins et la fraicheur de ce touché ne manqua pas de faire réagir ses petites auréoles roses. Après les avoir gentiment caressés et provoqué chez la jeune adulte des frissons sur tout le corps, Camille les abandonna pour venir sur ses hanches. Elle agrippa la robe et l’aida une nouvelle fois dans sa descente. La robe noire termina sa course aux pieds de ma petite amie laissant ainsi aux hommes la vision de la petite lingerie fine qui l’habillait. Elle n’était maintenant vêtue que d’un petit string noir en légère dentelle. Camille couvrait son dos de doux baisers, elle descendait au fur et mesure de ses câlins pour en arriver à genoux derrière elle. C’était maintenant ses petites fesses qui étaient couvertes de baisers. Les mains de Camille s’agrippèrent sur la ficelle de la lingerie, et tiraient le seul petit bout de tissus qui lui restait vers le bas. Il ne résista pas longtemps, et son intimité fut ainsi dévoilée à toute l’assemblée. Obéissante aux règles que lui imposait son maitre de stage, son sexe était parfaitement épilé et luisait à lumière douce de la pièce. Ce traitement pubien semblait être apprécié des hommes d’affaires. L’un d’eux se permit même une petite réflexion.

« Et bien, elle nous cachait un bien joli corps ta petite stagiaire ! »

Ce moment intime fût dérangé par un bruit sourd au niveau de la porte.

« Ben quoi ? Reste pas plantée là, va donc ouvrir ! »
« Mais je ne peux pas. »
« Bien sûr que si. Allez dépêche-toi »

Manue se retourna en direction de la porte et s’y dirigea sans grande ambition. Les hommes profitèrent de ce moment pour profiter de la magnifique vue sur son fessier. Elle prit une grande inspiration pour se donner du courage avant d’entrouvrir la porte. C’était le garçon d’étage qui venait apporter les victuailles. Manue se souvint du week-end que nous avions passé tous les quatre à l’hôtel pour son anniversaire. Ce qui la rassura un peu et lui permis d’assumer un peu plus sa position et sa tenue devant ce jeune homme. Elle ouvrit plus largement la porte afin que le serveur puisse accéder à la chambre avec son petit chariot. A peine avait-il passé le pas de la porte qu’elle la referma instantanément. Le vingtenaire avait du mal à se concentrer, son regard hésitait à se poser franchement sur le corps dénudé mais la beauté de Manue semblait lui plaire. Manue eu un sentiment de honte, que pouvait-il penser d’elle ? Il devait se dire que c’était une prostituée et que la jolie blonde en devait être une aussi.
« Approchez mon garçon, venez nous servir à table. » Marc avait bien l’intention de faire durer l’intervention du groom dans la chambre. Ce qu’il ne se fit pas prier. Pendant qu’il était en train de servir les verres de Cognac pour les hommes et les coupes de Champagne pour les deux demoiselles, Camille entama un strip-tease dès plus langoureux. Très vite elle se retrouva à son tour totalement nue et vint à la rencontre de Manue.

Doucement elle lui glissa à l’oreille : « ne t’inquiète pas tu ne risques rien. Fais-moi confiance. » Elle l’embrassa fougueusement sur la bouche, Manue ne résistât pas longtemps avant de lui ouvrir sa bouche pour venir en contact avec sa langue. Les filles s’enlacèrent, leur poitrine venait s’écraser l’une contre l’autre.

Le garçon de l’hôtel ne savait plus où il en était de son service. Ce spectacle tout à fait hors normes le troublait, ces jeunes femmes qui pour lui étaient des Escort-girls étaient absolument magnifiques. Il ne lui en fallut pas plus pour que cela s’aperçoive à travers son pantalon. Le jeune homme devait avoir tout au plus une vingtaine d’années, sans aucun doute il était le benjamin de la pièce. Camille qui assumait totalement sa présence ici et son appétit pour le sexe, devait le trouver à son gout. Elle laissa Manue en la quittant d’un dernier baiser pour aller à la rencontre du serveur. Elle le prit par la main et l’invita à se mettre lui aussi au milieu de la pièce.

« Toi reste pas planter là ! Tu vois bien qu’il n’a pas fini son travail. Sers donc mes invités ! »

Encore une nouvelle fois Marc se montra autoritaire envers Manue, et elle due prendre la place de serveuse. Elle s’approcha donc de ses hommes d’affaires, totalement nue, pour leur servir leur digestif. Aucun d’eux ne prit la peine de s’intéresser à elle tellement subjugués par la prestation de la jeune cadre dynamique. Camille était maintenant à genoux devant le jeune garçon s’agrippant à sa braguette pour faire sortir son sexe dur. Aussitôt l’organe dévoilé elle l’aspira instantanément au fond de sa bouche. Elle excellait dans les gorges profondes et voulait bien en faire la démonstration avec ce jeune sexe.

« Excusez-moi messieurs, vous comprendrez bien que pour des raisons éthiques je ne peux vous convier à cette étreinte. Il serait mal venu d’essayer de soudoyer des hauts fonctionnaires, des politiques de vos envergures. J’espère tout de même que vous passerez à nos côtés un très bon moment. » Tout en blablatant ces paroles à ses clients Marc abandonnait à son tour sa tenue de commercial pour se retrouver ainsi nu devant l’assemblée.

« Manue vient ici me la faire lever. » Marc lui tendait son sexe à demi mou, bien éduquée elle vint sans broncher au niveau de son patron et devant le public s’agenouilla à son tour pour le prendre en bouche. Marc l’agrippait fermement par les cheveux et la maintenait bien, de peur qu’elle ne recule sa tête. Il pilonnait de manière très brutale sa bouche, sa verge se gonfla vite et venait taper maintenant le fond de sa gorge. Elle avait des sursauts comme si elle allait vomir mais impossible pour elle se dégager. Il fallait faire avec. Il se pencha au-dessus d’elle et avec son autre main attrapa le sein droit de la jeune stagiaire, il le mal menait. Il serait fort sa main comme pour l’aplatir. Il le tirait dans tous les sens, très vite le sein devint rouge et les traces de doigts semblaient tatouées sur la peau. Il sorti son sexe d’entre ses lèvres et lui donnait des gifles avec. Les coups étaient forts et des assauts venaient forcer à nouveau le passage de sa bouche et la verge venait taper contre l’intérieur de sa joue. Il poussait fort comme pour transpercer sa peau. Des larmes coulaient sur le visage de Manue, son mascara laissait une longue trainée noire sur toute la surface de ses joues.

Camille quant à elle était toujours occupée avec son jeune, elle voulait à tout prit le préserver pour ne pas qu’il explose tout de suite. Elle se redressa et alla s’étendre sur la table du salon aux pieds des hommes d’affaires pour offrir son sexe au jeune homme. Le salarié de l’hôtel s’accroupi et glissa sa tête entre les cuisses de la jolie blonde et entama un cunnilingus. La bordelaise apposa ses mains sur l’arrière de sa tête pour bien lui faire comprendre qu’elle voulait plus de contact entre sa langue et son sexe totalement humide. Le jeune homme accentua donc son mouvement, et s’amusait à glisser son petit bout de langue dans le vagin. C’était la première pour lui qu’il découvrait un sexe totalement épilé, cette sensation de douceur ne faisait qu’attiser son désir.

Marc repoussa Manue, qui bascula en arrière et se retrouva allongée à même le sol. « C’est bon, j’ai eu ce que je voulais. Reste comme çà, allongée tu feras tapis ! »

L’assureur alla maintenant à la rencontre des deux autres. « Dis donc mon garçon faut savoir partager. Tu sais on ne sera pas de trop à deux dessus. Alors ça te fait plaisir ton pourboire ? »
« Oui monsieur merci. »
Camille se releva de la table pour venir se placer entre les deux hommes, une main sur chaque sexe elle les alterna dans sa bouche avec une grande vivacité.
Un des quatre hommes ne semblait plus tenir en place et s’excusa auprès de ses confrères et amis de ne pouvoir se retenir plus longtemps. Sans pudeur, il déboutonna son pantalon pour sortir son sexe et se palucha devant tout le monde. Très vite les trois autres hommes l’imitèrent, cela était tout de même bien plus plaisant de se masturber devant un tel spectacle que devant un film de cul.

Camille se positionna à quatre pattes sur le sol, prête à accueillir maintenant le sexe des hommes. Marc invita le serveur à aller se servir dans la salle de bain en capotes, il en trouverait dans une petite trousse noire. Afin de ne pas perdre de temps, il lui demanda de ramener la trousse.

Pendant qu’il était en train d’aller la chercher, Marc investi le sexe de la jeune blonde le premier. Il posa ses mains sur les fines hanches et la pénétra d’une traite. Ses testicules tapaient sur les lèvres, son rythme était rapide, il ressortait à peine son sexe que déjà il assignait un autre coup. Camille semblait apprécier cette chevauchée. Le jeune garçon arriva la trousse à la main. Marc marqua une pause et prit la trousse en main.
« Tiens, enfile une capote. Tu as déjà sodomisé une fille ? »
« Heu non jamais monsieur »
« Tu entends çà Camille ? Lui ferais tu l’honneur de lui offrir ta petite intimité ? »
« Bien entendu »

Manue assistait à ces ébats avec, encore une fois, beaucoup de frustrations. Elle se sentait humiliée d’être ainsi mise de côté. Elle commençait à se rendre compte à quel point cet homme avait de l’emprise sur elle et comment il arrivait à créer chez elle ce sentiment de soumission. Il n’était pas du tout comme çà avec Camille, bien au contraire. Il était plus doux, plus à l’écoute de son désir et de son plaisir. Etait-ce le prix à payer pour être considérée ainsi par la suite ?

Pendant que le jeune homme s’appareillait d’un préservatif, Marc avait sorti de la trousse une petite fiole de lubrifiant et de manière consciencieuse enduisait la partie intime de sa salariée.

« Bon tu vas y aller doucement. Ok ? Ne te précipite pas. Tu vas voir, tu vas te sentir beaucoup plus serré, le risque chez vous les jeunes, qui n’ont jamais fait çà avant, c’est que vous éjaculiez tout de suite. Alors prends ton temps, laisse la faire. Crois-moi elle a l’habitude »

Il s’agenouilla derrière elle, le sexe en main. Il tremblait d’excitation. Il vint mettre en contact son gland sur la petite auréole rose. Il ne savait que faire.

« Voilà ne bouge plus maintenant, laisse la faire. » Camille fléchit tout doucement sur ses genoux pour basculer son bassin en arrière. Sa petite rondelle vint se plaquer sur le sexe en attente, elle progressait doucement, étape par étape. Très vite le bout du sexe ne se faisait plus voir, et en quelques secondes c’était la totalité qui était aspiré. Quand son sexe fut entré entièrement il ne put s’empêcher de lâcher un gros gémissement. La sensation d’étroitesse sur son organe lui provoquait un plaisir jamais égalé. Il prenait de l’assurance, et commença à venir gentiment coulisser entre les cuisses de la jeune femme d’au moins dix ans son ainée.
Il posa ses mains sur les fesses et les écartaient légèrement pour bien voir son sexe entrer et sortir dans cette partie jamais explorée. Camille était loin de cacher le plaisir qu’elle était en train de prendre, ses gémissements ne cessaient de prendre de l’ampleur.

« Alors mon garçon ça te plait ? »
« Terriblement Monsieur. »
« Alors vas-y défoule toi ! »
Encouragé par notre chef d’entreprise le jeune s’en hardi et entama un rythme beaucoup plus soutenu. Les quatre hommes, toujours avachis dans leur canapé, ne rataient pas une seconde de ce spectacle, leur sexe toujours en main.
« Allez mon garçon, laisse-moi la place » Il se retira de Camille et se décala sur la droite pour lui laisser place. Marc s’allongea sur le dos et invita la jolie blonde à venir s’empaler sur lui. Accroupie au-dessus, dos à lui, elle agrippa son sexe et le présenta à l’entrée du sien, le plus lentement possible il vint s’empaler. Une fois la verge totalement disparue, elle recula ses mains pour prendre appuis directement sur le sol et s’allonger ainsi sur l’homme. Avec ses jambes elle essayait de surélever légèrement son bassin, pour laisser à Marc la liberté de pouvoir la limer de manière agitée. Sa magnifique poitrine ballotait à chaque coup de reins qu’elle recevait, ceci pour ne déplaire à ses voyeurs.

« T’en voudrais bien une deuxième en même temps ? »
« Bien sur »
Camille se retourna pour venir faire face à Marc, toujours en elle il vint l’encercler de ses bras pour venir la cambrer et la coller à lui.
« Dis-moi mon garçon comment tu t’appelles ? »
« Thomas, Monsieur. »
« Bien. Ecoute Thomas, tu vas te mettre derrière elle et l’enculer à nouveau. Et on y va, à deux on arrivera peut-être à la faire jouir. Par contre, si toi tu veux jouir, tu te retiens. On a notre vide couille pour ça. »

Docile, notre nouvel ami Thomas, reprit sa position initiale et cette fois ci ne se laissa pas guider pour trouver l’entrée. Il avait pris en assurance. Son sexe coulissait à merveille entre les reins de Camille, à chaque fois qu’il arrivait en butée dans son fessier ses testicules venaient caresser l’autre sexe masculin qui était en train de la baiser. Marc ne la ménageait pas non plus. Elle semblait apprécier cela preuve en ait que ses gémissements c’étaient transformés en petits cris. Ils tenaient bons. L’orgasme arriva enfin chez elle. Thomas sentait lui aussi monter le plaisir.

« Monsieur, je crois que je vais jouir ! »
« Manue !!!! Qu’est-ce que tu fous ! Viens récolter son jus. Allez allonge toi à ses pieds »
Prise de cours, elle ne laissa pas place à la réflexion et alla s’allonger aux pieds du jeune homme. Elle fermait les yeux pour ne pas avoir en plus à subir le regard du garçon d’étage.
Il se dégagea de Camille, et dans le même geste ôta son préservatif. Bien au-dessus de Manue, il se masturba un petit instant avant d’exploser à l’air libre un gros jet de foutre qui vint s’étaler sur le corps interne de notre chère étudiante. Il s’amusait à vouloir viser sa poitrine, tantôt cela tombait sur le ventre, tantôt sur le menton mais le plus gros reposait bien entre ses deux seins.

« Marc, tu nous prêtes ton essuies tout ? »
« Bien entendu messieurs, elle l’est là pour ça. »
Manue comprit sa destinée et se releva toute collante pour aller vers ces hommes bedonnants. Sa tête resta baissée, et elle resta plantée là devant le canapé à attendre sa sentence. Le plus gros des quatre prit les devants et se leva du canapé. Son pantalon glissa le long de ses cuisses pour terminer sa course sur ses chevilles. Son sexe était petit bien qu’il soit en érection. Il se mit face à elle, la menaçant avec sa petite bite. Mais elle cachait bien son jeu, la quantité de sperme qui en sortie était phénoménale. Les jets de sperme étaient forts et venaient à chaque sursaut gifler le visage de ma douce. Elle se gardait bien de fermer la bouche pour ne pas à avoir à avaler ce liquide. Le temps lui semblait interminable. Quand il eut terminé de jouir sur son visage, avec ses mains elle balaya le sperme frais de ses yeux. A peine eut-elle le temps de les rouvrir qu’un deuxième sexe pointa son nez et se dégorgea à nouveau sur elle. Cette fois c’était à nouveau ses petits seins qui étaient visés, cette semence était pour le coup plus liquide que les deux premières et sentait particulièrement fort. Une chance pour elle qu’il n’ait pas privilégié son visage, l’odeur lui aurait été plus insoutenable. Heureusement cela ne dura pas longtemps, mais très vite les deux autres hommes d’affaires qui étaient toujours assis sur le canapé se levèrent en même temps et étaient bien disposés à jouir en même temps sur Manue. Le plus grand des deux se plaça sur le coté droit de Manue tandis que l’autre prit le côté gauche, ils astiquaient leur sexe avec vigueur et en même temps déchargèrent sur elle. Elle en recevait de tous les côtés, aussi bien dans les cheveux, que sur les joues. Ses épaules en étaient immaculées.

« Moi messieurs si vous me le permettez, je vais m’offrir un petit privilège. » Marc quitta Camille pour à son tour se pointer devant son « vide couille ».
« Moi mon vide-couille doit me servir à bon escient. Je veux que ma giclée soit la plus bénéfique pour elle et qu’elle ne soit pas gaspillée. Allez, ouvre la bouche ! Mais regarde-moi comment ils t’ont repeinte. Je suis sûr que tu n’auras jamais été aussi inondée. Allez, ouvres bien. Plus grand que ça ! Montres à ces messieurs à quel point tu aimes boire le sperme. »
Timidement elle ouvrit sa bouche en prenant bien soin de sortir sa langue. Marc posa sur la langue tendue son sexe, il pinçait légèrement le bout, comme on le fait sur un tuyau d’arrosage pour augmenter le débit. Ses jets de foutre étaient puissants et venaient taper le fond de la gorge de la jeune fille, qui se retenait de ne pas vomir. Voyant qu’elle toussotait, il préféra finir son éjaculation bien au fond de sa gorge, la bouche pleine elle n’avait d’autre choix que d’avaler ce liquide infâme.

« Allez nettoie moi bien tout çà ! Fais la reluire ! T’aime çà être considérée comme un sac à foutre. Malheureusement pour toi tu ne mérites guère plus. »
Pendant que Marc œuvrait à ce qu’il savait le mieux faire à savoir la manipulation psychologique sur Manue, les quatre hommes d’affaires se rhabillèrent et prirent congés.

Camille alla chercher un billet pour donner un pourboire au garçon et le remercia de sa participation. En plus de s’être fait invité à une partie de jambes en l’air, il s’était vu largement dédommagé. Il sorti de la pièce ravi de sa soirée.

Ils étaient à nouveau tous les trois.

« Bon mesdemoiselles, merci pour cette soirée une nouvelle fois vous avez su donner de votre personne pour une bonne cause. Je saurai être reconnaissant. Maintenant excusez-moi mais demain on se lève tôt, on a la route du retour. »

Elles n’eurent pas le temps de se rhabiller que les vêtements dans les bras elles se retrouvèrent à la porte de la chambre totalement nues dans les couloirs de l’hôtel. Par chance la chambre de Manue était attenante.

Manue et Camille prirent une bonne douche bien chaude et se couchèrent ensemble dans le même lit épuisée par leur soirée.
par manukib56
#1502889
La mère Noël

Cela faisait maintenant plus d’un mois que Manue était revenue de son voyage d’affaires à Bordeaux. Son retour c’était fait sans nouvelles péripéties. Marc savait qu’il en avait beaucoup demandé à sa stagiaire pendant ce déplacement et il comptait bien la laisser un peu tranquille.

Mais son besoin de dominer et l’amour qu’il peut avoir pour les femmes ne l’assouvirent jamais. Et cette fois ci il comptait bien s’en prendre une nouvelle fois à sa petite préférée : Audrey.

Depuis sa dernière manigance, il avait toujours gardé une certaine emprise sur elle. Ce n’était pas rare qu’ils s’envoyaient des petits messages, grâce à cela il gardait plus ou moins par cette correspondance le contrôle sur elle. Leurs discussion était des plus intimes, il la questionnait sur ses ressentis, ses sentiments. Il arrivait par ce jeu de questions réponses à s’immiscer dans son quotidien et à prendre une place plus ou moins importante.

Sans s’en rendre compte Audrey était vulnérable face à Marc, il avait une emprise sur elle qui lui était totalement incontrôlable. Elle aussi était devenue au fil du temps sa soumise.

Dans un de ses textos Marc l’invita à passer chez lui pour un avis sur un cadeau de noël qui aimerait bien faire. Mais avant de se lancer il voulait un avis féminin. Audrey savait bien qu’il y avait un sous-entendu derrière cette pseudo invitation, mais sans explication concrète elle se sentait obligée d’y aller.

C’est donc un samedi après-midi, toute seule, qu’elle se rendit chez le riche assureur. Elle n’avait pas forcément fait d’effort vestimentaire pour ce rendez-vous mais sa tenue était tout de même très féminine. Un pantalon tailleur, petits souliers à talons, joli chemisier dans les couleurs roses moulant magnifiquement sa majestueuse poitrine. Ses cheveux bruns étaient attachés en arrière qui lui donnait un petit côté autoritaire sérieux.

La boule au ventre elle martela avec sa main la lourde porte de la propriété. De longues secondes passèrent avant que la porte ne s’ouvrit. C’est Emilie qui lui ouvrit, totalement nue.

« Bonjour Audrey. Comment vas-tu ? Vas y rentre. Je t’en prie, je peux te débarrasser de tes vêtements ? »
« Comment ça ? »
« Tu n’es pas censée ignorer la règle, Marc insiste sur le fait que tout le monde soit nu dans un endroit confiné. »
« Mais cela n’est valable que pour toi et Manue ? »
« Parce que tu crois qu’en acceptant de venir ici aujourd’hui tu ne te soumettrais pas à lui ? »
« Ben … mais … »
« Suis-moi »
Toutes les deux, elles allèrent dans la petite pièce attenante au couloir d’entrée. Et Emilie entreprit délicatement l’effeuillage d’Audrey qui se résigna sans mots dire.
Une fois, notre jolie brune mise à nue, elle aussi, les deux amies pouvaient maintenant sans craindre des représailles se présenter devant le propriétaire de la maison.
Marc les attendait dans le salon.

« Audrey, ma chère Audrey !! Quel plaisir de te voir ! Dis-moi ça fait longtemps que nous nous ne sommes pas vu ? »

Audrey se souvint de la dernière fois. L’image d’elle attachée à cet arbre se faisant baiser à tour de bras hantait toujours son esprit. Elle ne répondit pas.

« Je peux te servir quelque chose ? Un café ? »
« Oui merci »
« Emilie, tu nous en sers un ? »
« Oui oui. »
La jeune rousse quitta la petite assemblée pour servir son maitre.

Audrey était timide et mal à l’aise devant lui, ce qui la rendait encore plus vulnérable. Elle se sentait une proie devant son prédateur. Elle se tenait debout à une bonne distance de lui.

« Alors et ton boulot ? Comment ça se passe ? »
« Ça va, je commence à m’y faire. Je décroche quelques contrats et mon patron semble assez content. »
« Je n’en doute pas une seconde. Il a le flair notre cher Jean Pierre. Tiens d’ailleurs il ne devrait plus tarder. »
« Ah Jean Pierre doit venir aussi. »
« Oh oui faut qu’on voit ensemble deux trois trucs. Mais assis toi, je t’en prie. Quel plaisir j’ai à chaque instant à te regarder. »

Marc posa longuement ses yeux sur le corps dénudé de la jeune fille, qui était mal à l’aise devant ce regard lourd. Avec ses bras elle essayait de dissimuler ses attributs mais cela ne stoppa pas l’insistance de l’homme.

Emilie arriva de nouveau dans la pièce chargée d’un plateau sur lequel deux tasses de café fumantes les attendaient. La jeune étudiante rousse semblait totalement à l’aise avec sa nudité, elle s’était maintenant faite une raison et assumait totalement sa soumission envers cet homme.

« Tiens pose le plateau sur la table et va nous chercher le colis. »

Emilie prit une nouvelle fois congé.

« Oui j’aimerai que tu essayes un petit quelque chose. Je m’étais dit que les périodes fêtes arrivant il fallait un peu se mettre dans l’ambiance. »

La jolie rousse arriva avec un carton dans les mains et invita Audrey à se lever. Dans le paquet plusieurs bouts de tissus rouge et blanc apparaissaient. C’était un déguisement de père noël ou plus précisément de mère Noël. Mais une mère Noël un peu particulière, bas résilles, string rouge avec un petit liserai blanc en fourrure, un caraco rouge transparent avec le même liserai blanc, et pour couronner le tout un serre-tête en forme de cornes de cerf. Le parfait petit déguisement de soubrette de Noël. Audrey se demanda même si elle ne préférait pas rester nue que de porter ces vêtements. Emilie l’aida dans l’habillage, elle se montrait très câline envers sa camarade et cherchait à la rassurer.
Audrey monta sur une paire de talons qui donnait un aspect encore plus érotique à la tenue. Emilie termina de préparer la jeune fille en lui posant les cornes en velours sur la tête. Elle lui offrit un doux et long baiser avant de ne la mettre aux mains de son maitre.

« Voilà une vraie petite pute ! Comme je les aime. Autant te le dire tout de suite tu vas prendre aujourd’hui. Allez Emilie, ouvre-moi tout çà ! »

Emilie invita Audrey à se mettre à genoux aux pieds de l’homme d’affaires. Qu’elle humiliation habillée ainsi de devoir se coucher devant les pieds d’un homme. Elle se mit à quatre pattes pour qu’Emilie puisse avoir accès à son entre cuisse. Installé derrière elle, elle lui dégagea la ficelle du string d’entre ses fesses et commença à venir glisser sa main sur son sexe. Arrivée au niveau des lèvres, elle ne prit pas le temps de savoir si elle était suffisamment excitée pour y glisser un premier doigt. L’intrusion de cette phalange ne se fît pas avec facilité, la jolie brune était encore très étroite. Mais cela ne découragea pas sa cadette qui força très légèrement l’entrée pour le rentrer totalement. Elle entama des premiers vas et viens assez soutenus ce qui provoqua chez notre amie une certaine excitation qui lui permis enfin de mouiller un peu et détendre son vagin. Emilie profita de la situation pour aussitôt glisser un deuxième doigt, qui même pas cinq secondes après avoir été introduit fût rejoint par un troisième. Audrey n’avait d’autre choix que de se détendre le plus possible, elle savait qu’elle n’était qu’aux préliminaires et qu’elle devait s’attendre au pire.

Marc était spectateur et restait totalement impassible à ce qui était en train de se passer à ses pieds. Il alla même jusqu’à les enjamber pour quitter la pièce. Cela devenait plus difficile pour Audrey de se voir ainsi livrée à cette gamine sans pouvoir réagir. Emilie s’amusait toujours avec la chatte de sa copine et était maintenant en train de l’écarteler pour ouvrir grand le passage. Elle cracha sur sa petite rondelle, le signal qu’elle voulait maintenant s’attaquer à autre chose. Avec son autre main, elle poussa fortement sur la petite rondelle pour venir glisser un premier doigt, puis un deuxième. Ses deux mains se livrèrent à un vrai martelage, elle y allait fortement. Sous les assauts Audrey ne pouvait plus se retenir de crier. La jeune soumise n’était pas là pour administrer quel que plaisir à sa jeune amie brunette, elle se devait être efficace et la préparer au mieux pour la suite.

Marc réapparut dans la pièce armé de deux sex-toys affutés.

« Tiens, branle là avec ça ! Et cesse de gueuler toi ! Tu n’as encore rien vu. Si tu cris avec seulement des doigts dans la chatte qu’est-ce que ça sera quand tu auras deux bites dedans. Tu savais bien qu’en venant ici on ne t’aurait pas épargnée alors arrête de geindre et assumes ta position de salope »

Il donna à Emilie les deux ogives en plastique. L’un d’eux était tout en longueur et de couleur rose, sa circonférence était quasi similaire au sexe de Mathias. Qui par rapport à la normal est classé dans les grosses tailles. Le second était beaucoup plus court mais par contre extrêmement large. Malgré sa forme conique, la base demeurait néanmoins impressionnante. Pour se donner une idée, le diamètre se rapprochait de celui d’une canette de soda.

C’est d’ailleurs avec ce dernier que la jolie rousse entama sa préparation. En ayant bien pris soin de saliver abondamment sur le plastique, elle présenta le gode entre les lèvres encore endolorie de la jeune fille. Elle poussa fort pour le faire entrer d’une traite. Audrey sentie son sexe s’écarteler autour de cet objet, l’intrusion fût douloureuse. A peine eut elle le temps de reprendre un soupçon d’esprit que sa cadette lui enfourna le deuxième dans son anus. De par sa longueur, il venait directement taper contre la paroi de ses intestins. Jamais avant elle n’avait été pénétrée aussi profondément. Elle n’était pas à sa première sodomie mais celle-là était unique dans son genre.

Emilie s’agenouilla derrière elle, et prit l’autre extrémité du gode pour venir se l’insérer à son tour dans son sexe. Elles étaient maintenant liées par un étrange objet. Emilie fléchissait ses jambes pour appuyer sur le gode, elle y mettait tout son poids pour essayer de grappiller encore quelques millimètres dans le cul d’Audrey.

Cette double pénétration et la vigueur de la jeune fille à vouloir les faire rentrer à tout prix, faisaient crier toujours un peu plus notre amie.

Pendant qu’elle était en train de se faire baiser, Jean Pierre arriva enfin. Elle les entendait discuter dans l’autre pièce. Elle se doutait bien qu’il était en train de délibérer sur son sort.

Ils arrivèrent tous les deux totalement nus dans le salon. Leurs sexes étaient déjà en érection. Marc s’approcha le premier de la jolie brune toujours à quatre pattes sur le sol avec deux godes dans les orifices. Emilie se dégagea pour laisser place à son maitre. Il gifla la fesse droite d’Audrey.

« Alors la mère Noël, on prépare les fêtes ? On va te garnir la hotte avec Jean Pierre » Il la claqua à nouveau. Après avoir bien fait rougir son fessier, il empoigna sa tignasse pour lui faire relever la tête.

« Ben pourquoi tu baisses ta tête comme ça ? Tu as honte d’avoir été traitée comme une moins que rien par une gamine de dix-huit ans à peine ? Mais va falloir vivre avec ! Toi et ta copine Manue vous êtes juste bonnes ça. On a certainement plus de considération pour les putes que pour des filles comme vous. La preuve vous ne méritez même pas d’être payées. »

Pendant que Marc était occupé à descendre plus bas que terre la copine de Mathias, Jean Pierre alla se positionner en face d’elle. Et avec élan lui frappait son visage à l’aide de son sexe utilisé pour le coup comme un gourdin. Ses coups étaient forts ce qui ne lui ressemblait pas, il avait été toujours plus modéré que Marc et essayait toujours d’arrondir les angles mais cette fois ci il se donnait à cœur joie. Entre les coups de bites et les gifles Audrey perdait totalement pied, elle ne savait plus comment réagir.

Emilie, se mit à sa hauteur et agrippa son petit corset pour en faire jaillir sa lourde poitrine. Ses seins étaient maintenant ballotant dans le vide, la jeune garce les saisissait fermement et les mal traitait comme si elle était jalouse de ne pas en avoir des semblables. Elle tirait très fort sur ses tétons pour les faire pointer. Aucun des trois n’était pour la tendresse envers elle.

Emilie alla même jusqu’à glisser ses mains entre ses lèvres pour lui maintenir la bouche grande ouverte pendant que Jean Pierre s’occupait de la remplir avec son sexe. Il y allait le plus profondément possible cherchant à faire vomir la soumise. Il entrait et sortait de manière très brutale ce qui ne laissait pas le temps à Audrey de reprendre son souffle. Le peu de maquillage qu’elle s’était mise sur le pourtour des yeux coulait le long de son visage. Son serre tête était en train de glisser. Elle ne ressemblait plus à rien.

A quatre pattes sur le sol, avec un gode dans le cul et un autre dans la chatte, ses fesses rougies par les traces de main, ses seins pendouillant dans le vide, son visage colorié en noir par les coulures du rimmel : ils avaient raison elle n’avait plus rien de respectable.

Marc lui ôta le premier gode, celui de la largeur d’une canette.

« Hey Jean Pierre, le trou est fait ! Y’a de la place pour nous deux. »

Il s’allongea aussitôt sur le dos et fît comprendre à Audrey de venir sur lui. Toujours avec le long dans le rectum elle se hissa au-dessus de lui et en le sentant à peine vint s’empaler sur son sexe. C’est bien la première fois qu’elle se sentie aussi dilaté au point de ne même pas sentir l’organe en elle.

Très vite Jean Pierre arriva derrière elle, et la poussa pour qu’elle vienne s’allonger sur Marc afin de lui ouvrir un peu plus ses cuisses. Il se positionna et vint faire glisser son gourdin sur le sexe de son ami pour trouver plus facilement l’entrée. Il senti une légère obstruction qui céda tout naturellement à son premier coup de rein. Ils étaient maintenant bien tous les deux en elle. Jean Pierre se redressa un peu pour laisser place à Emilie qui saisit le long gode et dans le même rythme que les garçons s’amusait à le faire entrer et sortir.

Cette punition dura de très longues minutes qui semblaient interminables pour la jeune vingtenaire. Et les deux hommes n’étaient pas près de se laisser aller tout de suite, ils avaient bien envie de profiter du moment le plus longtemps possible.

Jean Pierre retira le dernier gode, et vint prendre sa place. L’anus de la jeune avait beau été préparé, la pénétration du sexe eu son effet. Jean Pierre avait un sexe très volumineux qui en plus d’être le plus longs il avait une circonférence bien plus épaisse. Il se donnait à fond entre les cuisses d’Audrey, il la culbutait le plus énergiquement qu’il pouvait. Marc se sentait même écrasé en dessous.

« Et bien mon JP je ne t’ai jamais vu aussi énervé sur le cul d’une jeune fille. » Marc se dégagea de dessous d’Audrey. Jean Pierre lui donna sa place, il avait besoin de souffler un peu. Marc ne se fit pas prier et à son tour la sodomisa.

Après avoir passé quelques minutes entre ses fesses, il en ressorti pour venir avec son ami présenter son sexe à sucer. Audrey pu enfin se redresser un minimum pour atteindre les verges et les alterner dans sa bouche. Elle savait qu’elle devait monter dans leur estime, pour prétendre être mieux traitée. Elle s’efforçait donc à chaque passage en bouche de leur offrir une gorge profonde. Encore une fois contre toutes attentes c’est Jean Pierre qui se montra plus vif dans les gestes, il empoigna le cou de la jeune pendant qu’elle le prenait en bouche et le serra comme pour l’étrangler. Elle suffoquait mais se devait continuer sa caresse buccale en apnée.

Quand Jean Pierre retira sa main du cou de la jeune fille, une marque rouge apparaissait. Preuve qu’il n’y allait pas avec le dos de la cuillère.

Marc dans un signe de tête à l’intention d’Emilie, lui désigna le canapé sur lequel il était assis.
Elle alla s’y avachir. Elle écarta les jambes pour bien ouvrir ses cuisses aux convives.
C’est Marc qui fût le premier : debout entre les jambes de la jeune fille il éjacula sur son sexe totalement imberbe. Jean Pierre le suivit de peu et à son tour éjacula sur le dessus de la vulve. Marc attrapa par les cheveux Audrey et la fit avancer à quatre pattes jusqu’à l’entre jambe de la jeune rousse.

« Allez, tu vas nous nettoyer tout ça ! Je ne veux plus voir une trace »
Il lui plaqua son visage contre le sexe gluant. Elle n’avait d’autre choix que de sortir sa langue pour venir laper par petits coups le sperme fraichement déposé.

Audrey s’étonna de trouver agréable la sensation de glisser sa langue sur le sexe d’Emilie grâce au sperme. Cela lui dégagea même une certaine excitation, qui vint peut être un peu tard mais elle devait se l’avouer elle était bien là.

Après avoir bien nettoyé le dessus, elle prit sur elle pour venir explorer du bout de sa langue l’abricot d’Emilie qui était suintant de plaisir. La petite rousse appliqua ses mains sur l’arrière de la tête de sa compère pour bien lui faire comprendre que ses caresses étaient à couler de plaisir. Ceci ne fît qu’augmenter la motivation de notre amie.

Marc coupa court à ce moment qui devenait agréable.

« Tu crois tout de même pas qu’on en a fini avec toi ? On va dire que ce n’était que l’entrée. »
Il l’agrippa à nouveau par les cheveux et la fit se déplacer à quatre pattes comme un petit chien tenu en laisse. Audrey n’avait d’autre choix que d’avancer à sa vitesse pour ne pas que cela tire trop sur ses cheveux.
Marc l’amena dans son bureau qui avait été aménagé pour l’occasion.

Un grand tapis meublé le centre de la pièce. Sur ce tapis un petit coussin de la taille d’un édredon y était posé et quatre longues chaines avec au bout une menotte attachées à différents points de la pièce (radiateur, meuble etc) rejoignait le centre de la pièce. Il ne fallait pas être dupe pour vite comprendre qu’ils voulaient l’attacher et comment était disposer les chaines de telle manière qu’elle soit limite écartelée.

« Allez, va t’allonger sur le coussin, mets le au niveau de ton ventre ! » Audrey s’allongea donc à plat ventre contre le sol avec cet édredon au niveau du bas ventre. C’est Jean Pierre qui la menotta aux poignets, tandis que Marc s’occupait d’immobiliser ses chevilles. Harnachée fermement, elle était tirée de partout. Son entre jambe était totalement entre ouvert alors que ces bras étaient tirés en arrière. Elle comprit à ce moment l’utilité de ce coussin qui n’avait que fonction à la tenir cambrer pour bien ouvrir son fessier.

Elle se retrouvât donc ainsi le cul en l’air totalement immobile à attendre la suite que l’on comptait lui donner.

Tout le monde quitta la pièce et la laissa ainsi livrée à elle-même.

Elle n’entendait plus rien autour d’elle, le silence était lourd et pesant. Qu’allait-il lui arriver.

Un bruit de sonnette la sortie de ses pensées. Mince des personnes sonnaient à la porte et s’ils la voyaient ainsi. Elle entendit Marc ouvrir la porte.

« Ah mes amis, content de vous voir. Vous arrivez à la bonne heure. Allez y entrez ! »

Audrey espérait une nouvelle fois que c’était une petite manigance de Marc comme il en avait l’habitude et qu’il avait invité Mathias et moi-même pour se prendre du bon temps avec elle. Comme l’histoire dans le bois. Mais elle déchanta très vite quand elle entendu des voix qu’elle ne reconnaissait pas. Il n’avait pas quand même osé lui faire ça.

Elle essaya de tirer sur ses liens mais très vite abandonna voyant qu’elle n’y arriverait pas à bout et que ses poignets lui faisaient terriblement mal. Elle était en train de s’imaginer les pires scénarios. Et le mot fatidique lui vint à la pensée : elle allait se faire violer !

Elles entendaient des rires dans l’autre pièce, selon les sons ils devaient être tous installés dans le salon. Elle n’arrivait pas à distinguer clairement leur discussion.

Après de longues minutes elle reconnue les gémissements d’Emilie qui résonnaient dans toute la maison. Il n’y avait aucun doute, ils étaient tous en train de passer dessus, mais combien étaient-ils exactement ?

Elle allait très vite le savoir. Elle entendit du déplacement et la porte de bureau s’ouvrit.

« Vous voyez les gars quand je vous disais que je vous réservais une surprise pour le final. »
« Tu nous étonneras toujours mon petit Marco ! »

Audrey honteuse releva timidement la tête pour se rendre compte du public qu’elle avait autour d’elle. Ce n’était pas quatre personnes qu’elle avait à ses côtés mais bien huit (dont Marc et Jean Pierre), tous totalement nus leur sexe à la main. Emilie les rejoignit bien après.

« Alors allez-y elle est là pour ça. Videz-vous et visez bien. »

Les hommes se coltinèrent autour d’elle en rond tout en astiquant leur membre sauf un : Jean Pierre qui lui se posta derrière elle pour une nouvelle fois venir investir son petit orifice. A en croire selon l’étonnement des autres il en avait encore besoin avant de pouvoir décharger une nouvelle fois.

« Et d’un côté, il aurait été dommage qu’aucun ne profite de l’occasion, ce n’est pas tous les jours que l’on se voit offert un cul dans une telle position » souligna Marc.

Le supplice ne dura que quelques instants mais suffisant pour bien éveiller la jeune fille. A peine le sexe sortait de ses entrailles qu’elle commençait à sentir les premières gouttes de sperme couler sur elle. C’était le plus jeune des hommes qui se déchargea le premier sur elle, elle sentait son liquide couler entre ses épaules, et très vite un autre jet se fît sentir sur le bas du dos dans le creux de ses reins. L’ordre d’ouvrir le feu était donné, une explosion de jouissance vint l’inonder. Chacun y mettait du sien pour viser au plus juste. Tout ce foutre qui venait la recouvrir dépassait toutes les espérances. Audrey avait toujours trouvé les éjaculations faciales ou autres marrantes et s’en amusait souvent entre nous mais cette fois ci cela la faisait moins rire. Pour les hommes qui l’entouraient cela semblait être le contraire, ils étaient excités de pouvoir se vider sur pareil objet.

Quand ils eurent terminé chacun à leur tour quittèrent la pièce pour aller se rhabiller dans le salon. Audrey se retrouva à nouveau seule recouverte d’une pellicule blanchâtre forte odorante. Elle était partagée par un drôle sentiment de contrariété, encore une fois elle se sentait humiliée et mise plus bas que terre mais cette idée l’amusait et l’excitait même.
Elle se sentait honteuse de ressentir telles émotions, elle se disait même ne pas être normale.

Elle entendit la porte d’entrée se refermer, et quelques instants après c’est Emilie qui vint à elle pour la délivrer.

« Tiens tes habits, Marc a eu ce qu’il voulait. Il te recontactera au besoin. »

Voilà toute la considération dont elle avait à faire. Audrey se rhabilla seule dans la pièce et claqua derrière elle la porte d’entrée laissant Marc, Jean Pierre et Emilie a leurs occupations.
par manukib56
#1508198
Si je prends la définition faite du mot causdaulisme sur Wikipédia :

"Le candaulisme est une pratique sexuelle dans laquelle l'homme ressent une excitation en exposant sa compagne ou une image de celle-ci à d'autres hommes ou à d'autres femmes. Par extension, on parle aussi de candaulisme lorsque des rapports sexuels ont lieu entre une femme et un ou plusieurs hommes ou femmes, devant le regard consentant et demandeur du partenaire exclusif de celle-ci ; cette pratique se distingue cependant du cuckolding par l'absence de besoin d'humiliation du partenaire voyeur1. Le candaulisme n'implique pas non plus la réciprocité de la pratique de l'échangisme."

Mes notes :

Le candaulisme est une pratique sexuelle dans laquelle l'homme ressent une excitation en exposant sa compagne (...) à d'autres hommes.

Si je publie ici mes récits, c'est bien la preuve que la situation que nous sommes en train de vivre m'excite, d'où mon besoin de le partager.


on parle aussi de candaulisme lorsque des rapports sexuels ont lieu (...) devant le regard consentant et demandeur du partenaire exclusif de celle-ci


Si je peux témoigner ici des aventures que nous vivons c'est en grande partie grâce aux retours que peut me faire Manue. Ce qui insinue bien qu'il y a entre nous un dialogue et que nous assumons totalement notre relation du fait de notre complicité. J'ai l'impression, au risque de choquer certains d'entre vous, que Manue s’extériorise plus et assume sa féminité grâce à ces différentes expériences. En effet cela peut paraitre brutal mais nous avons confiance dans les personnes que nous côtoyons. Même si les pratiques semblent douteuses pour certains.

Le candaulisme n'implique pas non plus la réciprocité de la pratique de l'échangisme

Je ne qualifie en rien notre relation d'échangisme dans le sens où nous cottoyons toujours les même personnes sans attente particulière de réciprocité. Ce qui est d'ailleurs le cas.

Permettez moi donc d'en conclure que nous nous sentons plus dans le candaulisme que quelque soit une autre forme de relation. D'où ma volonté à ce que les récits soient publiés sur ce forum en particulier.

J'espère en tout cas avoir pu répondre au mieux à vos interrogations et que vous continuerai à suivre nos aventures, qui je vous l'accorde vont crescendo.
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par pierrotmartine01
#1508597
davivb69 a écrit :Attention, je ne parle pas des récits concernants manue, qui eux me semblent comme vous le dites, tout a fait dans le candaulisme, puisqu'il y a un partage du plaisir et de la pratique. Ce sont plutôt, les derniers récits sur Audrey qui me dérangent...puisque, comme indiqué dans le récit, on sent bien qu'elle se force et surtout, ce n'est pas mathias qui en témoigne!! Les récits sur la vie de Manue dont très excitants et très agréables a suivre, ceux sur Audrey, beaucoup moins...


A davivb69, le sujet dont tu parle est quelque peut trash ou violent, en tout cas pas dans mes gouts, mais chacun ses gouts et couleurs comme on dit, il en faut pour tout le monde ;) , certains aiment, d'autre non. Son auteur n'enfreint pas les CGU, ni les règles du forum ;)

Pour ce qui est de sujets candaulisme, beaucoup de postes ici n'ont rein a voir avec ça (les miens entre autre....). ;)

L'info est remontée en modération, on partage les même avis avec mes collègues modérateurs, attendons l'avis de l'administrateur.... ;)
par manukib56
#1518750
A nouveau tous les quatre

Nous ressuâmes chacun de nous quatre une invitation personnalisée de la part de Marc pour nous convier au réveillon de la Saint Sylvestre. Après concertation pour la première depuis longtemps qui décidons de décliner l’invitation pour nous concocter notre propre réveillon avec l’intimité que nous nous connaissons.

C’est Mathias qui prit contact directement avec Marc pour lui faire la politesse de nous excuser de ne pas pouvoir répondre présent à son invitation.

Marc sembla surpris de ce refus mais accepta tout de même non sans un certain agacement.

Nous étions tous les quatre très excités par l’idée de notre petite soirée en cercle restreint.

Nous décidâmes de faire notre petit réveillon chez Mathias, c’était lui le seul de nous quatre à disposer d’une maison pouvant tous nous accueillir pour dîner mais aussi pour dormir. Nous avions bien intégrer que nous ne comptions pas boire que de l’eau et qu’il sera préférable d’opter pour la sécurité.

Les rôles furent partagés équitablement, nous les hommes étions en charge du menu et des vins, tandis que les demoiselles seraient quant à elles en charge de la décoration et de l’ambiance.

Par pure simplicité masculine nous avions préféré opter pour un traiteur, gage de qualité et pas de temps à passer en cuisine. Mathias connaissait un petit caviste sur Auray qui sut nous conseiller à merveille sur des vins de qualité pour une soirée qui promet d’être bien arrosée.

Les filles avaient maintenu le mystère de leurs préparatifs pour nous faire la surprise le moment voulu.

Notre 31 décembre s’annonçait des plus prometteurs.

Nous nous n’étions pas vu depuis une bonne semaine, tous dispersés à droite et à gauche dans nos familles respectives.

Le fait de nous retrouver était un bonheur pour chacun. Cette soirée allait s’annoncer très festive.

Mathias et moi avions du prendre congé toute l’après-midi afin de laisser aux filles le temps et de se préparer mais de préparer leur ambiance.

Nous étions donc tous les deux chez moi à nous préparer pour le réveillon excités comme des gamins.

Un texto nous invita enfin à les rejoindre, le signal pour nous dire que tout était prêt et que nous pouvions arriver.

Les filles nous accueillirent à la porte d’entrée de chez Mathias, toutes les deux étaient aussi resplendissantes l’une et l’autre.

L’ambiance de la maison était très tamisée et seules quelques bougies venaient éclairer la pièce principale. De grands voilages habillaient le salon et de nombreux coussins ornaient le sol qui n’était meublé que d’un grand tapis.

Les filles avaient imaginé un pique-nique d’intérieur dans une atmosphère très érotique.

Audrey était tout de noir vêtue. Une robe très ajustée moulait sensuellement ses jolies formes. Une grande échancrure dans le tissu ouvrait sur sa jambe droite. Elle n’avait pas attaché ses cheveux, ce qui n’était pas dans ses habitudes mais cela lui donnait un côté plus fatal.
Manue était quant à elle habillée d’une jupe droite très courte, qui volontairement laissait surprendre son porte jarretelle rouge accroché à des bas nylons. Elle portait un chemisier que je ne connaissais pas et au vu de la matière, j’ai très vite compris que cela devait être offert de la part de Marc. Bien qu’elle fût maintenant dans la vie active, elle n’avait pas encore les moyens de se payer ce genre de vêtement. Ce petit habit cachait un joli déshabillé rouge assorti à sa jarretière.

Elles étaient toutes les deux maquillées très légèrement et s’étaient parfumées. Leur petit jeu de séduction ne pouvait nous laisser insensible.

Nous allons tout naturellement sur l’espace qui nous avait été aménagé, les filles avaient prévus du champagne pour commencer la soirée. Chacun sa coupe à la main nous trinquions à nos retrouvaille et à cette soirée. L’ambiance était détendue et nous profitions chacun de ce moment calme où nous pouvions discuter.

Le temps passait et le champagne ne s’arrêtait de couler. Nous avions prévus un apéritif dinatoire, pour éponger l’ivresse du champagne nous nous délections de quelques petits fours et verrines délicieusement préparés par un chef traiteur de la région. Au champagne vint s’ajouter un magnifique vin rouge millésimé proposé par un caviste que Mathias connaissait très bien.

Je commençais à ressentir les effets de l’alcool et mes compères aussi. Les éclats de rires en étaient le témoin. Nous étions maintenant bien avancés dans la soirée, et les douze coups de minuits n’allaient pas tarder à raisonner. Les filles prirent congés de nous pour aller préparer leur passage en 2014.

Mathias et moi décomptions le temps à voix haute.

« 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 !!!! Bonne année !!!!! »

La musique »You can leave your hat on » de Jo Cocker retentie dans toute la maison, et les filles une à une défilèrent au milieu de nous de la manière la plus langoureuse.
Nous étions en train d’assister en première loge à un strip-tease des plus prometteurs.

Audrey s’arrêta devant moi et s’effeuilla au rythme de la musique tandis que Manue offrait le même spectacle à Mathias. Audrey avait caché sous sa robe un magnifique déshabillé noir tout en satin avec une jolie dentelle sur les côtés. Le caraco qu’elle portait offrait une vue pigeonnante sur sa poitrine qui en plus par la forme du bonnet remontait très légèrement le dessus de ses seins. On aurait envie d’y plonger le visage. Elle se dandinait ainsi devant moi dans la plus sexy des tenues. Son petit string était agrémenté directement de petites ficelles qui venaient soutenir ses bas.

Après avoir passé un peu de temps à se déhancher devant nous, elles se retrouvèrent au milieu de nous pour se lover entre elles. Je remarquai que Manue avait beaucoup plus d’assurances et était plus entreprenante qu’avant. Elles s’embrassèrent à pleine bouche laissant leurs mains caresser leurs corps respectifs. Cette scène provoqua chez moi un sursaut d’excitation.

Mathias n’en menait pas large non plus, je voyais bien que lui aussi était excité par la scène, il faut se l’avouer cela faisait un moment que nous n’avions pas partagé de moments intimes comme celui-là. Nous comptions bien en profiter.

Manue alla chercher Mathias et l’invita à se lever en lui prenant la main. A peine était-il debout, qu’elle était déjà à genoux devant lui les mains sur sa ceinture. Elle le déboutonna très vite et son sexe encore à demi mou disparu dans sa bouche. Elle s’appliquait et salivait abondamment pour bien le faire coulisser entre ses lèvres.

Audrey fît de même avec moi, à la différence qu’elle ne m’offrit pas ses lèvres comme première approche mais sa voluptueuse poitrine. Mon sexe s’y prêtait déjà beaucoup mieux, étant déjà en érection depuis plusieurs minutes. Elle savait à quel point je fantasmais sur ses seins et cette caresse en était le plus beau cadeau. J’épiais tout de même ma chère et tendre, malgré notre relation qui date depuis maintenant de longs mois entre nous quatre, j’arrivais toujours à ressentir un petit pincement à la voir s’y appliquée pour procurer du plaisir à un autre homme que moi. Depuis qu’elle était salariée chez Marc elle se métamorphosait de jour en jour. La pression psychologique qu’il exerçait sur elle était à double tranchant. Cela l’affirmait dans son travail mais la rendait vulnérable sur le plan sexuel. En tout cas, toujours est-il, elle avait encore progressé dans sa manière de faire à en voir le regard crispé de Mathias.

Audrey voyait bien que mon attention était ailleurs, c’est tout naturellement qu’elle me prit à son tour en bouche pour me faire penser à autre chose. Elle pratiquait avec talent la gorge profonde, millimètre par millimètre elle aspire mon sexe gorgé de sang dans le plus profond de sa bouche. Elle arrivait à le faire disparaitre dans sa totalité. Mes mains vinrent spontanément se poser sur sa tête pour lui faire comprendre de tenir dans la longueur.

S’en était déjà terminé de la caresse buccale pour Manue, sentant que son compagnon était suffisamment raide elle lui demanda de bien vouloir l’honorer. C’est à quatre pattes qu’elle vint se mettre devant lui, toujours en déshabillé rouge, elle avait écarté son string de son entrecuisse. Mathias la pénétra sans plus attendre, et alla le plus vigoureusement possible. Il avait compris que la jeune fille avait un appétit. Il passa ses mains sur son torse pour lui saisir sa petite poitrine. Une fois bien agrippée à elle il se mit en extension un peu au-dessus d’elle et commença à lui assigner des coups de reins toujours un peu plus forts. Elle restait insensible ce qui provoqua l’incompréhension chez le jeune homme. Ce n’était pas la première fois qu’il avait des rapports avec elle, mais jamais elle n’était restée aussi de marbre.

Quant à moi avec Audrey, nous étions aussi passés à l’étape supérieure. Je me sentais redevable de sa magnifique fellation et à mon tour je lui offris un cunnilingus. Allongée sur le dos à même le sol, ma tête se perdait entre ses cuisses pendant que ma langue jouait de manière habile avec son petit bouton. Je sentais le gout de cyprine preuve que mon petit jeu de langue portait ses fruits. Cela ne pouvait que me motiver à continuer. J’aime y glisser mon petit bout de langue dans l’entrée de son sexe et ainsi m’abreuver du précieux liquide directement à la source. Mes doigts vinrent s’y glisser et j’en conclue avec plaisir qu’ils s’y inséraient sans difficultés. La jeune brune était parfaitement humide et prête à recevoir le sexe d’un homme. Je retirai les derniers habits qui me restaient et dans la plus simple position qui existe m’allongea sur elle pour venir l’honorer. Mon sexe trouva facilement l’entrée de son sexe et s’y engouffra en une seule fois. Je pris soin de relever légèrement ses jambes afin de m’assurer de bien la pénétrer. J’y allais avec la même vigueur que mon ami.

« Prends-moi par le cul ! » Cette demande nous stoppa tous dans nos ébats, jamais avant nous avions entendu un tel langage de la bouche de ma chère et tendre. Voyant à quel point Mathias se démenait dans son vagin et que ne cela lui procurait qu’un petit plaisir, elle voulut passer à l’étape supérieur. Mathias sagement l’écouta et se retira, il se relevait pour aller chercher de quoi la préparer, mais une nouvelle fois il fut estomaqué par sa réaction.
« Mais vas-y, ce n’est pas la première fois que tu m’encules ! N’y mets pas les formes ! »
Prit dans sa virilité, il cracha dans sa main pour enduire son sexe d’un minimum de salive et investit directement le petit orifice de ma concubine.

« Ah ouai, tu veux jouer les petites saintes nitouches ! Et bien on va voir si tu ne vas pas gueuler après çà. » Il enfonça de manière très forte son sexe aux dimensions qu’on lui connait dans son anus. Le petit orifice s’élargit sous la pression et laissa entrer la verge jusqu’à la garde. Mathias n’en croyait pas ses yeux, c’est bien la première fois où il arrive à pénétrer une fille avec autant de facilité sans l’avoir préparée avant. Mais peu importe il avait tout de même réussit à lui faire dégager un petit cri.

Il s’accrocha à sa jarretière telle des rênes pour l’empêcher de se dégager et commença à la monter énergiquement. Manue s’affala sur le sol tellement les assauts étaient virils. Mathias l’écrasait de tout son corps et comptait avoir sa revanche.

Il me héla pour lui venir en aide.

« Fred, viens me donner un coup de main. Elle s’est bien émancipé ta copine on dirait chez son boss. »

Cette petite vanne me piquait droit au cœur, je savais que Manue avait changé depuis son alternance mais de l’entendre de la part d’un autre me rendait encore plus jaloux.

Je délaissai donc Audrey sur le sol pour venir prendre le relai de mon ami dans le cul de ma petite amie.

Mathias se décala et alla rejoindre sa belle et tendre. Pendant qu’il était occupé à jouer lui aussi avec son petit bouton du bout de la langue, je me délectais d’un plaisir immense de sodomiser mon amie.

Les couples étaient maintenant reformés, j’appréciais ce petit moment. Mais il fût de courte durée, Mathias se lassait d’Audrey.

Quant à elle c’était tout à fait l’inverse de Manue, depuis qu’elle voyait Marc, elle était plus timide et plus réservée sur l’aspect du sexe. Elle était toujours d’un tempérament entrepreneur quand nous l’avions connue, maintenant on pourrait penser le contraire. Elle a un besoin de se sentir dominée pour exister. Mathias en avait pleinement conscience et c’est ce qui le rendait le plus jaloux. Il avait perdu le contrôle de sa petite amie, Marc était décidemment beaucoup plus fort que lui.

Tous les deux nous nous acharnions sur Manue, chacun à notre tour nous alternions nos coups de reins. C’est Mathias qui pour le coup craqua le premier et explosa en elle, il ressorti son sexe totalement enduit de son foutre et s’adressa à Audrey.

« Viens me nettoyer, tu ne vois pas que ça dégouline ! » Obéissante elle arriva à la hauteur de son homme et le prit en bouche pour lui retirer tout le sperme de son sexe.
Un peu au-dessus de Manue, j’éjaculai dans le bas de son dos et sur ses fesses. J’aime beaucoup cette zone pour jouir. Une fois n’est pas coutume ma quantité était assez importante, sans doute du fait que je faisais moins l’amour.

Mathias agrippa Audrey par les cheveux, comme t’aimes bien être traitée de la sorte et bien faisons le. Il la tira vers Manue pour qu’elle la nettoie à son tour de tout le foutre que je lui avais mis. Docilement elle essuya de sa langue tout le précieux liquide sur le corps de sa copine.

Mathias et moi les avions déjà quittées pour aller nous resservir en vin.
par manukib56
#1534642
Galette des Rois

Nous avions été tous heureux de pouvoir enfin nous retrouver tous les quatre ensembles et partager à nouveau des moments d’intimités. Pour cela nous avions du décliner une invitation de la part de Marc à passer le réveillon avec lui.

Comme il ne se laisse jamais abattre Marc recontacta Mathias pour convenir d’une date où nous pourrions être dispo tous ensemble afin de « marquer le coup », comme il disait, notre passage dans cette nouvelle année.

Devant l’insistance de l’homme, ils convinrent d’une date : le samedi 11 janvier était retenue.
Il nous donna rendez-vous dans un restaurant très réputé de la région de Vannes.

Mathias et moi étions craintifs devant cette invitation, ce qui ne semblait être le cas des filles. Quand nous nous préparions pour ce diner je voyais bien que Manue portait de l’importance aux moindres de détails de sa tenue. J’appris plus tard que Mathias s’était fait la même réflexion pour Audrey quand il l’avait vu se préparer.

Nul besoin de vous dire dans quelle splendeur était donc nos chères conjointes pour ce dîner.

Nous arrivions à l’entrée du restaurant où le garçon ne table nous débarrassa de nos manteaux et nous accompagna jusqu’à la grande table ronde qui nous était réservée. Marc n’était pas encore arrivé.

L’établissement aux premiers abords ne payait pas de mine mais une fois à l’intérieur on pouvait apprécier le coté cosy du lieu, les lumières étaient tamisées et l’ambiance feutrée donnait un caractère très agréable à la soirée. Le restaurant ne servait pas beaucoup de tables, sans doute une volonté de la maison pour éviter le brouhaha des discussions.

Un garçon vint nous servir une bouteille de champagne.

« Désolé nous n’avons pas encore commandé. » s’excusa Audrey
« Oh ne vous inquiétez pas Mademoiselle, vous êtes les invités de Monsieur Marc ? Il aime avoir ses petites habitudes vous savez. »
Même ici il était encore connu, chaque jour que nous le côtoyons nous apprenons encore un peu plus sur lui et sommes toujours surpris de voir jusqu’où peut rayonner sa réputation.

Le garçon nous servit donc une coupe de champagne à chacun pour nous faire patienter. Ce n’est qu’un petit quart d’heure plus tard que nous vîmes, ceux qui allaient s’installer sur les quatre chaises manquantes, arriver dans le hall d’accueil. Manue rougit quasi instantanément à la vue de ces personnes pourtant toute familière à l’exception d’une d’entre elle.

Une magnifique blonde habillée dans une tenue de soirée fît irruption dans la salle, son entrée provoqua retournement de tous les hommes. Mathias et moi étions subjugués par la beauté de cette jeune femme, ce qui provoqua chez nos petites amies un regard un peu houleux.

« Bonsoir les amis, désolé de notre retard. Mathias, Frédéric, Audrey je vous présente Camille. Manue je crois que vous vous connaissez. » Bien entendu qu’elles se connaissaient même intimement. Manue ne releva pas cette interjection de la part de son patron.
« Camille travaille avec moi dans un de mes cabinets, elle s’occupe du secteur Sud-Ouest et est basée à Bordeaux. » Mathias se leva de sa chaise pour lui faire une poignée de main.
« Mathias, enchanté. Bonsoir Jean Pierre ! Salut Emilie. »

Notre table de huit était maintenant remplie. Malgré toute l’attirance que je peux avoir pour Manue et toute l’affection, je n’arrivai pas à détacher mes yeux de Camille, jamais je n’avais vu une femme aussi belle. Son corps était harmonieux, ses courbes étaient parfaitement dessinées. Mathias n’était pas en reste non plus.

Le repas fut somptueux, chaque plat était une explosion de saveurs. Nous nous détendions de plus en plus et savourions chaque fourchetée. Les discussions entre chacun de nous allaient de bon train et abordaient des sujets d’actualités après un bref arrêt sur chacun de nous pour dire où nous en étions dans notre vie de tous les jours.

C’est ainsi que nous apprenions, que nous serons amenés à rencontrer un peu plus souvent Camille. Pour de tactique professionnelle, Marc souhaiterait faire évoluer son agence de Bordeaux et ainsi déléguer sa gestion de manière plus autonome à Camille. Mais pour cela elle aura besoin de venir de temps en temps sur Vannes pour le transfère de compétence. Ce qui je dois vous l’avouer n’était pas pour me déplaire. J’ai bien vu dans le regard de Manue une pointe de jalousie face à cette concurrente professionnelle mais aussi féminine.

Nous sortîmes du restaurant il était presque une heure du matin, il ne restait plus que nous à table. Jean Pierre nous proposa de prendre un dernier verre chez lui, on ne pouvait pas se quitter comme çà. Dans l’euphorie de la soirée nous acceptions bien volontiers cette invitation.

Arrivés dans la belle maison bourgeoise de Jean Pierre, la soirée prit une tournure différente.
Nous nous installions dans son salon pendant qu’Emilie, comme à l’accoutumé, se hâta pour nous préparer le digestif.

Nous nous installions confortablement dans les canapés et fauteuils de notre jeune retraité pour continuer cette agréable soirée, quand tout d’un coup nous vîmes réapparaitre Emilie portant un plateau avec une bouteille de cognac et huit verres, à un détail près qu’elle était totalement dénudée.

« Ne soyez pas ainsi étonnés vous n’êtes pas sans savoir qu’il existe entre nous des règles. Je ne peux que saluer la bonne éducation de notre chère Émilie. » S’amusa Marc en nous narguant Mathias et moi. Audrey peut être plus craintive que les autres des conséquences que cela pourraient avoir pour elle, se leva de son fauteuil pour dans un coin de la pièce se déshabiller à son tour. Mathias ne voulait y croire, commet cet homme avait-il pu prendre ainsi le contrôle de sa petite amie au point de la voir transformée. Elle était devenue très craintive.

Marc s’accorda une nouvelle fois une remarque qui agaça mon ami. « J’ai beau les voir régulièrement ils m’exciteront toujours autant ses gros seins. Viens donc voir ici ! »
Audrey s’approcha de Marc. Il saisit les deux ses entre ses doigts et pinça durement les petits bouts. « Ce que j’aime le plus c’est quand ils sont bien durs. N’est-ce pas ? » Termina t’il sa phrase en s’adressant à Mathias qui n’osa dire un mot.

Toujours d’un air provoquant il la fit s’assoir sur ses genoux et tout en malaxant ses seins devant l’assemblée tenait ce discours.

« Vous savez on s’occupe bien de vos petites copines en vos absences. Regardez celle-là comment elle est docile maintenant ? N’ayez crainte Jean Pierre et moi on prend bien soin d’elles. » Pendant qu’il était occupé à jouer avec nos nerfs, Manue se résigna elle aussi à abandonner sa tenue de soirée conformément au souhait de son patron. Mathias et moi hallucinions devant cette soumission.

« Ma petite Camille, permets à ces deux garçons de baiser une belle jeune femme comme toi. »

Sans mots dire, la jeune et jolie cadre dynamique se leva et dans un mouvement sensuel se déshabilla de la manière la plus érotique qu’il soit. Elle laissa tomber sa robe au niveau de ses chevilles, sa plastique était d’autant plus belle que sa lingerie de dentelle haut de gamme ravivait sa beauté.

Elle vint tout d’abord à ma rencontre et me susurra dans mon oreille : « si tu baises comme ta copine, tu vas faire une heureuse » Et m’embrassa langoureusement avec sa langue.
La baiser dura de longues minutes, il n’en fallait pas plus pour moi pour sentir mon sexe se durcir à travers mon pantalon.

Manue m’observait d’un ton agacé, je voyais bien en elle la jalousie naissante. Mais moi je me laissais faire par cette envoutante blonde. Mes bras l’enlacèrent et caresserait son dos et ses longs cheveux. Elle marqua une courte pause à notre baiser pour inviter du regard mon ami Mathias. Il s’approcha d’un pas tranquille vers nous comme s’il ne voulait pas déranger.

« Déshabille toi, je m’occupe de toi tout de suite. » lui lança-t-elle. Elle saisit mes mains pour les poser sur les agrafes de son déshabiller, elle était en train de me donner le feu vert pour passer aux choses plus concrètes.
La tentation était trop forte, c’est donc agrafes après agrafes que j’ouvre ce qui encore masquait son magnifique corps. Une fois la guêpière entièrement ouverte je pus enfin apprécier sa magnifique poitrine, Manue m’en avait déjà parlé lors de ses derniers récits mais j’étais enfin devant eux pour les admirer en vrai. Ni trop gros, ni trop petits ils avaient la parfaite proportion et la forme qu’on adorerait prendre en main. Ce qui est le cas pour moi, je ne pus m’empêcher plus longtemps de venir les saisir et de me faire ma propre idée sur leur fermeté.

Comme envouté ou hypnotisé c’est ma bouche qui vint maintenant à leurs rencontres. Avec habilité ma langue vint enrouler ses petites auréoles roses pour faire légèrement durcir ses petits bouts. Pendant que j’étais occupé à embrasser ses magnifiques protubérances, mon acolyte vint à notre niveau totalement nu le sexe bien édifié. Elle me laissa à mes occupations et sans grande dédale prit Mathias en bouche. Pour se sentir plus à l’aise et pour être à la hauteur du sexe qui lui était tendu elle s’assit à califourchon sur moi. Je sentais son sexe frotter sur le mien à travers mon jean. A voir le visage de Mathias, la fellation qu’elle était en train de lui administrer était phénoménal. Elle avait une façon de faire bien particulière entre ses lèvres et son petit jeu de langue. La pratique de la gorge profonde ne semblait pas lui poser de problème et était pour elle une pratique tout à fait normale. Ce qui enchantait mon ami.

Manue était laissée seule dans la pièce, Marc, Jean Pierre, Emilie se défoulaient sur Audrey. On entendait résonner dans la pièce les claques que chacun lui administrait sur son fessier, qui était devenu rouge écarlate. Elle était à quatre pattes sur le sol et pendant qu’Emilie lui écartait les cuisses, Marc et Jean Pierre se succédaient à la pénétrer sauvagement. Un coup vaginalement, un coup analement. Emilie prenant à un malin plaisir à cracher sur les orifices de la jeune brune comme pour lui donner une bonne raison de devoir accepter les sexes.

Mon sexe était drôlement à l’étroit dans mon pantalon, cela faisait longtemps que je n’avais pas été excité autant. Faut qu’avec Manue nos rapports sexuels étaient un peu moins fréquents du fait de son emploi du temps chargé.
Camille fît une pause dans sa fellation ce qui permit à Mathias de reprendre ses esprits. Elle quitta mes genoux pour s’y mettre à genoux entre nous deux.

« Si tu veux que je te prenne en bouche aussi va falloir me retirer tout çà. »
Il ne me fallut pas cinq minutes pour me retrouver totalement nu, le sexe en main pour le lui proposer. Elle me fît la primeur de me prendre le premier, pendant que son autre main masturbait le sexe de mon ami. Jamais avant on ne m’avait sucé de cette manière. Je crois bien que c’est même indescriptible, mais une chose est sure c’était phénoménal !
Elle maniait l’art de la fellation comme personne. Nos sexes s’alternaient un à un dans sa bouche allant à chaque fois toujours un peu plus profond. Elle salivait abondamment pour bien rendre coulissant nos corps étrangers dans sa bouche.

Elle marqua une petite pause pour retirer ce qui lui restait comme habits. Totalement nue entre nous deux, elle nous invita à nouveau à s’approcher d’elle. Nous étions comme deux adolescents timides en face d’un corps féminin que nous devions honorer.

Nos mains s’entremêlèrent sur son corps, nos caresses un peu intrusives semblaient la combler au plus haut point. On sentait qu’elle aimait être mise ainsi à disposition à plusieurs hommes à la fois et surtout que c’était loin d’être sa première fois.

Elle alla prendre place sur le canapé et ouvrit ses jambes pour nous convier à nous y glisser entre. Chacun d’un côté, c’était à nous de briller dans nos caresses buccales pour être à la hauteur de ce qu’elle avait pu nous offrir. Nos langues glissaient sur son sexe absolument lisse, nous jouions avec son petit bouton et de temps à autre nos langues s’entre choquaient l’une contre l’autre. Ses mains appuyaient nos têtes sur son entre cuisse pour bien nous faire comprendre qu’elle était toujours en demande et qu’elle en voulait plus. Mon petit bout de langue alla se glisser à l’intérieur de ses lèvres et récolta le fruit de nos caresses. Sa cyprine était juteuse et avait un gout sucré, je me délectais de son nectar. Pendant que j’étais bien installé entre ses jambes, Mathias s’occupait de lui malaxer les seins en essayant de se faire sucer à nouveau.

Marc s’accorda un instant de répit pour s’adresser à Manue, qui était toujours seule de son côté totalement nue à attendre que quelqu’un veuille bien se soucier d’elle.

« Hey toi ! Ne reste pas planter là, tu vois bien que tes deux amis vont avoir besoin de préservatifs pour s’accoupler avec la jolie Camille. Va en chercher dans la salle de bain »
Elle arriva à mon niveau la tête baissée, honteuse d’être ainsi traitée devant moi. Elle savait que j’avais conscience que Marc l’a manipulait mais je ne pensais pas autant. Et qu’elle n’était pas la seule. Qu’il avait au fil du temps réussit à tisser un véritable harem : Manue, Audrey, Emilie et Camille.

Elle me présenta un préservatif, elle n’était pas dupe elle voyait bien au combien j’étais excité par cette femme. Et que je n’avais qu’une envie …

Elle regarda Marc qui lui fît un signe non trompeur. Il était en train de lui ordonner de me passer le préservatif. Je lui présentai donc ma verge pour qu’elle puisse faire glisser le petit bout de latex. A peine avait elle finit de le dérouler que je m’apprêtais déjà à honorer la jolie blonde.

Mon sexe glissa d’une traite dans le sexe de la jeune cadre dynamique, je m’agrippai à ses jambes pour bien m’assurer de la coller le plus à moi. Ses petits gémissements de mon intrusion étaient camouflés par le sexe de Mathias dans sa bouche. Qu’il dû retirer pour se faire mettre un préservatif à son tour par Manue.

« Laisse les respirer maintenant, retourne à ta place tu reviendras quand ils auront besoin de se vider ! » Manue retourna à sa place désemparée et toujours aussi houleuse.

Mathias me fit de l’épaule pour qu’à mon tour je lui laisse la place, que je lui cédai volontiers.

Il s’introduit de manière plus virile, en donnant dès les premiers centimètres une cadence soutenue à son jeu de bassin. Sa jolie poitrine ballotait dans un mouvement ample ce qui pour moi accentuait le côté érotique et sexuel de la chose. Avec mon sexe je venais jouer avec, je frottais mon gland contre se seins et essayais de titiller les tétons. Très vite mes petites caresses se transformèrent en petites tapes. J’étais tout simplement en train de lui biffler les seins.

Il me laissa la place pour reprendre un peu son souffle, mais Camille avait décidé autrement, elle s’agenouilla sur le canapé et s’accouda au dossier. Son intention était claire elle voulait être prise en levrette. C’était donc de mon devoir de la satisfaire, je m’agrippai à ses hanches et l’honora dans un mouvement bref et direct. J’adoptai la même cadence que mon prédécesseur, on y coulissait de mieux en mieux. Preuve qu’elle était bien excitée.

Pendant ce temps-là, Mathias ne cessait de regarder du côté d’Audrey pour voir à quel point elle était mal menée.

Marc et Jean Pierre alternaient leurs passages dans son petit orifice qui était maintenant bien ouvert. Voyants que le copine de leur proie les observait ils décidèrent de passer à l’étape supérieur. Jean Pierre s’allongea sur le dos pour venir la mettre au-dessus de lui. A peine avait-elle coulissé sur son sexe, que Marc par derrière vint rajouter son sexe dans le sien. Elle était prise en double vaginale. Emilie lui imposait son sexe à lécher, Audrey ne savait plus où donner de la tête face à ces sollicitations.

« Ah mais oui c’est vrai, cette salope est habituée au luxe maintenant. Ce n’est pas ton homme qui doit t’offrir ce genre de prestations hein ? Manue, va chercher une bouteille de champagne, ta copine aime être baisée par un goulot de pétillant. »

Manue toujours obéissante alla chercher dans la cuisine une bouteille de champagne et la donna à Emilie. La jeune étudiante fît sauter le bouchon en ayant bien pris soin de faire jaillir le plus possible le précieux liquide un peu partout sur le trio. Marc se retira du cul de la jeune brune et saisit la bouteille. Sans aucune attention particulière il l’inséra dans le rectum d’Audrey. Il poussait fort comme pour la faire rentrer complètement. Audrey poussait des cris puissants.

J’en avais fini avec Camille et laissa ma place à Mathias.

« Fred, vas-y allonge toi on va la prendre en sandwich. »

J’écoutai mon ami et comme Jean Pierre prit la position la plus agréable malgré le fait que j’allais subir le poids de deux personnes.

Camille prit tout de suite les devants et vint s’empaler sur mon sexe et aussitôt se pencha pour bien s’ouvrir à Mathias. Sauf qu’elle ne s’attendait pas à ce qu’il préfère la prendre en anal plutôt quand vaginal comme moi. Il avait à peine salivé sur le petit orifice qu’il tentait déjà de s’y introduit mais une nouvelle fois elle était bluffante. Le sexe de Mathias qu’on connait maintenant tous bien, même ‘il n’est pas de la dimension de Jean Pierre est relativement important par rapport à la normal des hommes, s’engouffra sans trop de résistance. Nous avions vraiment à faire à une experte en la matière, il n’y avait nul doute sur le fait qu’elle a été bien éduquée. Il la secouait fort et à chaque fois qu’il essayait de grappiller quelques centimètre dans son cul je sentais son bassin appuyer toujours un peu plus sur mon ventre.

Dans un timing quasi parfait nous étions maintenant tous les quatre prêts à jouir en même temps. Marc ordonna une nouvelle fois à Manue de venir se mettre au milieu de la pièce allongée. Nous l’encerclèrent tous les quatre et chacun à notre tour venons l’inonder de notre foutre encore chaud. Elle s’en prenait partout, aucune partie de son corps n’était épargnée, Emilie termina le reste du champagne sur son corps. Totalement inerte à même le sol, ma petite amie était totalement défigurée, j’en avais presque pitié. Pitié aussi partagée pour Audrey qui fût ordonnée de nettoyer Manue avec comme pour outil sa propre langue.

Il lui fallut plusieurs longues minutes pour tout éponger pendant que nous étions occupés à boire le champagne cette fois ci pas gaspillé.
par manukib56
#1561033
Son harem

Cela fait un petit moment que je n’ai pas pris le temps de rédiger un nouveau récit, pour la bonne et simple raison que depuis notre dernier soirée, où nous avons eu la délicieuse surprise de rencontrer Camille, il ne s’est rien passé de particulier.

Au plus étrange que cela puisse paraitre, il arrive chez nous de temps à temps à autre que le train-train de la vie quotidienne s’installe.

Je suis dans une année charnière pour mes études et mon temps pour étudier ne cesse de prendre de l’importance aux détriments peut être de mon couple. Je me dis que ces derniers sacrifices ne pourront que peser ensuite dans la balance quand à mon tour je serai dans la vie active et serait pour ainsi dire au même titre que Manue.

Manue, s’éclate toujours autant dans son travail et les responsabilités que lui donnent Marc ne cessent de forger son professionnalisme.

Même si nous sommes liés par des sentiments forts, qui par les péripéties que nous vivons depuis ces derniers ne cessent d’accroitre pour moi un profond désir pour ma petite amie. Je me sens tout de même responsable de ne pouvoir lui accorder plus de temps en ayant conscience que Marc le tire à son avantage.

J’ai tout de même ressentie chez Manue, et selon les dire de Mathias chez Audrey cela se traduit de la même manière, une certaine possession sur notre relation. Elle a bien vu lors de notre dernière soirée que Camille ne m’avait pas laissée indifférent. Même si pour elle cela était une évidence, quelle femme ne pourrait être jalouse de cette trentenaire cadre dynamique ? Elle se devait de se montrer plus présente dans notre couple de peur que je ne lui échappe.

Ce sentiment de jalousie ne pouvait que me satisfaire au plus haut point, voilà pour moi des semaines que je dois vivre avec l’idée qu’un autre homme ai pouvoir de décision sur elle. Même si, dans notre relation, on s’impose une parfaite transparence dans nos vies, j’arrive toujours à m’imaginer les pires atrocités quand elle est avec lui ne serait-ce qu’au travail.

Le mercredi était toujours la journée la plus stressante pour moi, je savais bien que l’espace confiné du bureau et les règles qui s’y imposaient donnaient le parfait pouvoir au Patron de l’agence.

De toutes les filles que j’ai pu rencontrer depuis mon adolescence, et malgré tout le respect et l’affection que j’ai pour ma petite amie, je dois l’avouer que l’expérience de Camille ne m’a pas laissé indifférent. Jamais je n’avais rencontré une fille qui s’assumait autant et dont pour elle le sexe était totalement désinhibé. Certes son physique quasi parfait ne pouvait que la motiver dans cette complaisance. J’en ai discuté avec Mathias, qui a connu plus d’expériences que moi, et lui aussi admet volontiers une certaine « bombe sexuelle », comme il aime la qualifier.

De nous être exhibé ainsi aux regards de nos conjointes respectives sans pour autant cacher ce que nous étions en train de vivre, notre complicité c’est renforcé dans chacun de nos couples. Les moments plus intimes devinrent plus importants. Je crois bien que depuis cette aventure nos rapports sont devenus tendres et complices même si nous nous voyons moins.

Je voyais aussi qu’au fil des jours, Manue s’assumait plus dans sa féminité et dans ses désirs. Le travail que menait Marc sur elle, je suis obligé de l’avouer, portait ses fruits. J’imagine que pour Camille cela avait dû être pareil à ses débuts, dans un petit coin de ma tête j’étais en train d’acquiescer l’emprise de Marc sur ma douce.

Et il n’en était qu’à ses débuts, il avait envie de passer encore à un stade supérieur.

Mercredi 26 mars 2014 :


Comme tous mercredis, Manue arriva à l’agence sur les coups de 8h30. Marc n’était pas encore arrivé. Dans ses habitudes il arrivait plus vers les 9h00.

Manue ouvrit l’agence en prenant bien soin de fermer derrière elle, de peur qu’un potentiel client ne fasse pas attention aux horaires d’ouvertures et rentre comme çà dans l’établissement.
Elle traversa le hall d’accueil pour aller dans la salle de pause, où très cérémoniellement se déshabilla totalement. Elle accrocha ses vêtements sur le cintre prévu à cet effet, et prépara le café qu’elle amènera à son patron quand il arrivera.

Cette petite habitude du mercredi était maintenant entrée dans son quotidien et elle prenait un certain plaisir à se pavaner totalement nue dans les bureaux. La nudité ne la dérangeait plus du tout. L’exigence de son maitre de stage sur le fait que son sexe soit totalement imberbe était aussi maintenant entrée dans les mœurs, elle s’était même pris un abonnement au salon d’esthétisme de Vannes où hebdomadairement elle s’y rend pour entretenir son petit jardin secret afin que tout soit impeccable n’importe qu’elle jour de la semaine. Elle avait ses rendez-vous le mardi soir, ainsi elle était sure d’être irréprochable le jour de travail nudiste.

Marc lui a accordé depuis maintenant deux trois semaines de ne plus s’équiper de l’œuf vibrant. Il avait rempli sa tâche et l’habitude étant Manue n’en ressentait plus trop les effets. Mais elle devait tout de même le garder à portée de mains au cas où …

Elle s’apprêtait de sortir de la salle de pause pour se rendre dans son bureau, quand elle entendit une clé dans la serrure. Son chef était bien matinal, à moins que cela ne soit Emilie qui vienne donner un coup de main pour l’administratif. Elle n’apporta pas d’importance à cette porte et alla dans son bureau pour lancer son ordinateur, le temps que Windows se lance elle aura bien le temps de dire bonjour.

Une voix inconnue raisonna dans son bureau, elle sursauta à la vue d’un homme dans l’entrebâillement de sa porte.

« Bonjour Mademoiselle ! »
« Mais qu’est-ce que vous faites ici. L’agence est fermée au public ! »
Assise derrière son bureau, elle essayait de cacher avec ses mains le peu de dignité qui lui restait. Comment cet étranger a-t-il pu entrer dans l’agence, elle était sûre d’avoir fermé derrière elle. Ses mains essayaient du mieux qu’elles pouvaient de masquer sa petite poitrine. Elle était figée dans son siège dans l’incapacité totale de se lever, au risque de dévoiler encore un peu plus de son anatomie.

« Excusez-moi mon intrusion, Marc ne vous a pas prévenu de ma venue ce matin ? Comme il aurait un peu de retard, il m’a confié ses clés et m’a invité à patienter dans l’agence. Je suis totalement confus de faire éruption comme cela. »

L’homme tandis le trousseau de clés, que Manue n’eut pas de peine à reconnaitre. Enfin effet il appartenait bien à son patron.

« Je ne me suis pas présenté, je suis Gaël, un ami de longue date de Marc. »
« Je peux vous faire patienter dans son bureau ? »

Poliment l’homme alla s’assoir dans le canapé du directeur d’agence. Elle ne pouvait en vouloir à ce Gaël, elle savait bien que cela relevait encore d’une idée farfelue de son chef, qui avait bien prédit qu’à cette heure elle serait seule à l’agence et totalement nue. Le parfait guet-apens pour la surprendre dans la tenue d’Eve. Elle n’osait bouger de son bureau, quand elle entendit pour le coup son patron arriver à l’agence. Voyant de la lumière dans son bureau il s’y dirigea en premier en omettant de venir saluer sa jeune stagiaire.

« Gaël !!! Comment vas-tu ? Ça fait longtemps que tu es là ? »
« Non, j’arrive à l’instant »
« Bon, tu as rencontré ma petite stagiaire ? Manue ? »
« Oui, oui nous avons fait brièvement connaissance. »
« Tu veux une café ? »
« Volontiers, si tu en prends un ? »
« Bien sûr, je ne commence jamais une journée sans boire mon petit café. » il saisit le combiné.
« Manue, tu peux venir avec le café ? Tu rajouteras une tasse pour mon ami. »

Habituellement le plateau ne comportait que deux tasses, ce café était l’occasion pour eux de faire un petit point de mi semaine. Mais cette fois ci, il allait être perturbé par l’arrivé de cet inconnu.

L’homme oscillait dans les quarante ans, guère plus. Blond coupé court, les yeux bleus, il dégageait un petit côté surfeur. Son teint mat le trahissait sur le fait qu’il devait effectivement passé du temps sur l’eau. Il était assez grand et bien charpenté. Son côté sportif lui donnait un certain sex-appeal.

Elle arriva timidement dans le bureau de son chef et posa le plateau sur la petite table basse. Elle servi les trois tasses, et tandis la première à l’invité.
Gaël la remercia d’un large sourire, il ne semblait pas plus intimidé que çela de se voir servi ainsi par une jeune fille nue. Preuve encore qu’il était bien ami avec Marc. Quand on connait Marc, plus rien ne peut surprendre.

« Assis toi ! Tu ne connais pas Gaël ? »
« Non. »
« J’ai rencontré Gaël lors de soirées un peu spécifique. Gaël est disc-jockey, très reconnu dans le monde de la nuit libertine sur la région. On le rencontre aujourd’hui parce que je voudrai organiser une soirée privée chez moi. Et pour cela il va nous être un parfait consultant. »
La porte s’ouvrit à nouveau, mais les bruits de talons parcourant la pièce pour se diriger vers la salle de pause, rassura Manue. C’était cette fois ci Emilie qui allait aussi se mettre en règle par rapport au dressing code du mercredi.

Elle arriva à son tour au bureau de Marc pensant nous trouver tous les deux au café, mais sa réaction fut la même quand elle découvrit cet individu. Elle aussi totalement nue essaya dans une instant de survie de camoufler ce qu’elle pouvait, mais voyant que c’était peine perdue. Elle se fît une raison et entra dans la pièce comme telle.

« Gaël, je te présente Emilie. La cadette ! »
« Elles sont quatre, c’est bien cela ? »
« Oui mais Camille ne sera pas présente. Elles ne seront que trois : Manue, Emilie et Audrey, qui ne sera pas là aujourd’hui. Prends une chaise Emilie. Je te présente donc Gaël, comme je disais à l’instant à Manue. Gaël est Disc-jockey dans des établissements libertins, s’il est ici aujourd’hui c’est pour m’aider dans l’élaboration d’une soirée privée chez moi. De par son job, il a un carnet d’adresses impressionnant, que je compte mettre à profit. »
« D’ailleurs Marc, j’ai réussi à trouver tout ce que tu voulais. Il n’y a plus qu’à fixer la date du rendez-vous. »
« Ecoute ne perdons plus de temps, est-ce que pour toi le samedi 29 mars, soit samedi prochain tu penses que c’est jouable ? Cela te laisse trois jours pour tout finaliser. »
« Cela peut le faire. J’avais plus moins anticipé cette date, il ne me reste plus qu’à confirmer auprès de tout le monde. Tu avais validé les modèles des tenues ? »
« Oui comme je te le disais dans mon mail avec les tailles. »
« Bon, donc je ne vois pas de point bloquant sur le fait que cette soirée ne puisse pas avoir lieu samedi prochain. En tout cas, tu vas encore faire parler de toi. Si j’en crois ce que je vois, tu as eu le nez fin dans le choix, elles sont magnifiques ! »
« Et tu n’as rien vu, quand elles sont excitées elles sont prêtes à tout. »

Manue et Emilie se regardèrent, elles se doutaient bien que c’était d’elles qu’ils étaient en train de discuter, mais qu’avait-il encore mit dans sa tête pour être aussi mystérieux.

Gaël quitta le bureau du chef en prenant bien soin de saluer chacune d’elle. A la différence de tout à l’heure, il marqua plus de temps sur les corps nus des jeunes filles, s’assurant du moindre détail.

Marc alla jusqu’à raccompagner son ami à la porte laissant ainsi les filles dans son bureau.

« Tu sais quelque chose toi ? » interrogea Manue.
« Non, il m’a juste appelé hier soir, pour me demander de venir à l’agence ce matin. Je pensais qu’il avait des photocopies à faire. C’est qui ce gars ? C’est quoi l’histoire de samedi soir ? »
« Je ne sais pas, il a déboulé comme çà ce matin. Il ne semblait pas étonné de nous voir ainsi nues. »
« D’un côté si il bosse dans des boites libertines, il doit en voir du monde à poils »

« Bon les filles, vous avez fait connaissance de Gaël ? Qu’est-ce que vous en avez pensé ? Sympathique, hein ? Vous verrez c’est quelqu’un de très pro, je n’ai jamais été déçu. »
« Mais Marc, qu’est-ce qu’il a samedi ? Vous nous en avez jamais parlé ? »
« T’inquiète ma petite Manue. Tout est géré, une nouvelle expérience dont vous en ressortirez changées. Vous allez vraiment connaitre vos limites. »
Marc reprit le cours de la journée comme si il ne c’était rien passé ce matin-là. Les filles étaient interrogatives par rapport à cette rencontre fort matinale.
par manukib56
#1562142
Son harem 2


Samedi 29 mars 2014 :

Au même instant nous reçûmes un sms sur nos portables. Pour Manue, Audrey et Emilie, le message leur demandait de se rendre disponible chez Emilie à 14h00 précise. Une voiture les attendrait devant l’appartement. Quant à Mathias et moi, le message était beaucoup plus ambigu.
« Ce soir vous serez connecté sur Skype à partir de 20h15, sous le pseudo monharem, mot de passe …. »

Les dés étaient jetés, et comme d’habitude nous n’avions plus la main sur nos moitiés.

Manue se renfermait dans le mutisme pendant toute la journée. Je crois bien que c’est la première fois que je la vois aussi décontenancée face à une nouvelle manigance de son employeur. Elle savait que cette fois ci, cela serait différent des autres fois, mais que faire marche arrière pourrait avoir des conséquences désastreuses. Solidaire avec ses amies elle se devait une nouvelle fois faire profil bas et accepter ce que Marc voulait entreprendre pour elles.

Elle retrouva ses copines pour déjeuner dans un petit restaurant du port de Vannes à deux pas de l’appartement. Elles étaient toutes les trois très interrogatives sur le déroulement de cette journée.
Leur repas s’accompagna de nombreux verres de vin histoire d’apporter un certain côté festif à la chose et surtout désinhiber leur appréhension.

L’heure fatidique s’approchait dangereusement et les visages se refermaient un à un. C’est Audrey qui engrangea le pas : « Bon les filles, quand il faut y aller, faut y aller. Advienne qui pourra ! »

Toutes les trois se levèrent de table pour se diriger d’un pas lent vers l’arche qui donne sur la petite cour privative de l’appartement d’Emilie. Une grosse berline noire siégeait devant la porte, il n’y avait nul doute, ce véhicule leurs était destiné. Il n’était pas possible de savoir qui était au volant de cette grosse cylindrée, les vitres opaques masquaient tout l’intérieur.
La porte arrière droite s’ouvrit comme par magie et invita les jeunes convives à y entrer.

Avec une certaine inquiétude, elles y entrèrent pour s’installer sur la banquette arrière. Une femme tenait le volant. D’allure Hispanique, elle imposait une certaine classe malgré son âge certainement très avancé. Il était difficile de lui assigner une classe d’âge mais aux rides marquées sur son visage et la silhouette qui pouvait se laisser entrevoir, la cinquantaine était déjà bien amorcée.

A peine Emilie eut refermé la portière derrière elle, que la voiture déboita de sa place pour prendre la route. Le silence était pesant dans l’habitacle, le chauffage était fort ce qui n’arrangeait rien au bien-être de nos petites amies. Aucune d’elle ne décrocha un mot, chacune attendait d’en savoir un petit peu plus sur ce qui pouvait leur arriver.
Le trajet ne dura pas plus de dix minutes, elles étaient toujours à Vannes. La voiture s’immobilisa devant une grande propriété enfermée derrière un gros portail en fer. La conductrice actionna une petite télécommande qui provoqua l’ouverture lente du rideau de fer.
La berline s’engouffra entre les deux panneaux et poursuivit sa course sur le chemin de gravillons blancs. La maison était bourgeoise avec de grandes ouvertures, elle était typique du paysage Vannetais.

« Allez descendez ! Suivez-moi ! »

Sans mots dire, elles descendirent du véhicule et suivirent très sagement la dame. Elle était habillée d’un tailleur strict, ses cheveux mi gras étaient retenus par un serre tête, qui lui donnait un côté hautain et autoritaire.

Elles s’arrêtèrent dans une petite pièce seulement meublée d’une table et d’une chaise.

« Restez ici je reviendrai vous chercher. Pendant ce temps-là déshabillez-vous et déposez vos vêtements sur la table. On passera les prendre »

Elle claqua derrière elle la porte. Les filles se regardèrent l’une et l’autre sans comprendre vraiment ce qui était en train de se passer. Qui était cette femme au fort accent espagnol, qui était très directive envers elles.

Dans le principe où elles avaient accepté de monter dans cette voiture, c’est qu’elles avaient donné leur aval sur les suites de cette journée. Ne sachant pas que faire c’est une nouvelle fois Audrey qui prit les devants en commençant à dégrafer son petit chemisier blanc. Aussitôt elle fût imitée par Emilie et Manue engrangea le pas par la suite.

Cela ne faisait même pas cinq minutes qu’elles étaient entrées dans cette maison qu’elles y étaient déjà entièrement nues. Chacune d’elle avait apporté une attention particulière à leur épilation pubienne en sachant que Marc y était intransigeant.

La porte s’ouvrit et une jeune fille, dans les vingt-cinq ans, habillée comme les servantes dans les films, avec une petite robe courte noir en dessous un petit tablier en dentelle blanc, apparue dans la pièce.

« Excusez-moi, je viens retirer vos habits. » Elle fît un bref passage. S’empara des vêtements, sous-vêtements qui s’amoncelaient sur la table et quitta la pièce.

« Vous avez vu comment elle était habillée. Sérieux les filles où est-ce qu’on a atterri ? »
« T’en fais pas Manue, de toute façon on reste ensemble. » essaya de la rassurer, Emilie.

La femme fît irruption dans la pièce.

« Bon vous êtes prête ? Allez suivez-moi, on monte à l’étage. » Entièrement nues, à la file indienne nos trois jeunes amies parcoururent toute la propriété en suivant leur chauffeuse.

Une nouvelle pièce s’ouvrit devant elles, aux premiers abords rien de surprenant dans celle-ci. Un lit était calé dans le coin, une petite table de nuit venait s’ajouter et un grand tapis ancien masquait le vieux parquet en chêne d’époque.

Mais un détail vînt tout de même inquiéter Manue. Une sorte de bâche nappait le dessus de lit, et une cuvette y était posée dessus. Elle s’approcha pour en voir un peu plus et dans cette cuvette reposait une poire en plastique, ressemblant étrangement à une poche de cuisine. Mais à quoi cela pouvait il bien servir.

« Marion ! Marion ! »
« Oui Madame. » la petite soubrette apparue dans la chambre.
« Allez me chercher de l’eau tiède. Vérifiez avant de me l’amener que la température soit bien aux environs des 41°C ».
« Bien Madame »
« Bon mesdemoiselles, comme vous le savez ce soir vous avez rendez-vous et pour cela je dois vous préparer. » Elle alla s’assoir sur le lit et invita de la main Emilie à s’approcher d’elle.
« Tenez allongez-vous sur mes genoux » Emilie prit la position de la petite fille qui s’allonge sur les genoux de son père pour prendre une fessée. On a tous cette image en tête, mais dans ce cas si la soumission à cette femme est vraiment mise à l’honneur.

Marion arrive dans la chambre avec une jarre d’eau, et le posa aux pieds de sa patronne en ayant pris soin de remplir la cuvette. Aucune des filles n’avaient à ce jour connu le lavement anal, elles connaissaient toutes la pratique de la sodomie avec des expériences diverses et variées mais jamais elles n’avaient anticipés à ce point.

La femme prit la poire et aspira l’eau saumâtre. Sans grande précaution enfonça le petit bout fin dans l’anus de la jeune rousse et évacua le liquide dans son rectum pour le ré-aspirer dans la minute. En prenant soin de bien le vidanger par la suite, elle renouvela son geste trois fois pour bien s’assurer de la propreté intime de la cadette des trois.

Vînt le tour de Manue. Toute tremblante elle prit place sur les genoux de cette vieille femme. Sa peau en contact des collants lui donnait une sensation pas très agréable. Elle appréhendait le moment où la petite sonde allait s’introduire dans son petit orifice. L’hispanique l’enfourna, et d’une pression forte et brève inonda tout l’intérieur de ma chère et tendre. Contre toute attente, la sensation ne lui parut pas si insurmontable que cela. L’eau tiédie remplissait son ventre et provoquait une petite caresse chaude dans ses intestins. Une fois propre, elle laissa sa place à la brune pulpeuse, qui à son tour se vit infliger la même sentence que ses copines.

« Bon, très bien. Avant de passer à l’habillement vous allez vous ouvrir un peu. » Elle fît un hochement de tête à l’attention de Marion. Qui aussitôt se précipita vers les filles en leur tendant à chacune un sextoy et un petit tube de lubrifiant.

« Prenez chacune le vôtre, mettez-y un peu de lubrifiant et faites travailler votre cul mesdemoiselles. Allez, on n’a pas toute la soirée pour ça ! » Devant ce ton directif, les filles prirent dans les mains de la servante le gode, chacune à leur tour l’enduire de gel.

Audrey s’allongea sur le lit et inséra le membre dans son orifice. Emilie préféra la position debout, penchée sur le lit les jambes suffisamment écartées pour se l’insérer elle aussi ans difficulté. Quant à Manue, voyant que toutes les places étaient prises, elle n’eut d’autre choix que de se mettre à quatre pattes sur le vieux tapis aux pieds de la cinquantenaire et son esclave. Elle appuya sur son membre en plastique pour se l’enfoncer dans sa partie intime mais son anus ne voulait se détendre. Elle s’y prit à plusieurs fois pour le faire progresser que de quelques centimètres. Aujourd’hui n’était pas son jour pour la sodomie, elle n’était suffisamment pas assez décontracter pour se détendre de cette partie. Malheureusement elle n’eut pas le choix. Sous la directive de la chauffeuse, Marion empoigna l’objet et força le passage. Un cri se dégagea de Manue à l’intrusion du jouet malgré sa cambrure il eut du mal à passer mais petit à petit au fil des allers et venues entre ses cuisses. Elle sentie enfin son orifice se détendre et épouser le diamètre qu’on lui imposait.
Mais elles n’étaient pas là pour le plaisir, une fois son anus suffisamment dilaté, la jeune fille retira le gode.

« Bon, nous allons passer à l’habillement. Venez avec moi. » Une nouvelle fois les filles sont amenées à changer de pièce, toujours en se pavanant totalement nues.

La pièce juxtaposait la chambre, et tenait lieu de dressing. D’énormes armoires et penderies étaient accolées à chaque mur. Les vêtements qui y étaient en pendant étaient pour le moins loufoque. Elles pouvaient apercevoir différents costumes tous plus ou moins extravagants les uns que les autres. Des tenues d’infirmières, de policières, des déguisements d’animaux. Elles virent même le même costume que portait Marion.
Mais ce genre de tenues ne leurs étaient pas destinées. La vieille femme leur sortie des combinaisons en latex un peu à la manière de Catwoman. Le tissu semblait très très fin.

« Tiens la maigrichonne, celle-là t’ira. Toi, prends celle-ci. Ah oui la brune aux gros seins, celle-ci devrait passer. »

Chacune d’elles enfilèrent leur tenue à même la peau sans aucuns sous-vêtements en dessous. Le vêtement était moulant et épousait au plus possible les moindres courbes de leur corps.
Des chaussures noires à très hauts talons leurs sont proposées, elles se hissèrent dessus.
La cambrure de leur corps était ainsi mise en valeur. Elles étaient amusées de se voir ainsi habillée de la même manière.

« Tenez, mettez ceci sur vos cheveux pour bien les tenir en arrière. Lissez les le plus raidement possible. » Elle leur tendit un tube de laque capillaire pour à la manière de ripoux italiens gominer leur cheveux en arrière. Ce qui leur donnait à leur costume un ton autoritaire.
Un petit détail vint terminer leur transformation, une paire de lunettes de soleil pour cacher leur regard.

Elles étaient maintenant fin prête pour se rendre chez Marc, qui elles s’en doutaient allait encore leurs réserver de nombreuses surprises.
par manukib56
#1581268
Son harem 3


Samedi 29 mars 2014 :

La lumière commençait à s’estomper dans les rues de Vannes, cela faisait maintenant quasiment deux heures que nos trois copines patientaient dans le grand salon de la propriété.

Leurs tenues étaient heureusement assez souples pour ne pas avoir à trop les subir, malgré chez certaines quelques difficultés à marcher avec ces talons.

Cette longue attente avait le mérite de leur faire ressasser ce qui pouvait leur arriver dans les prochaines heures.

La femme hispanique vint à nouveau les chercher.

« Allez, il va être l’heure ! »

Une nouvelle fois les filles montèrent dans la berline noire, et sortirent de la propriété. Elles reconnurent cette fois ci le parcours et étaient maintenant sûres qu’elles se rendaient bien chez Marc.

Elles arrivèrent devant l’immense maison du chef d’entreprise. La lumière était allumée au niveau de la verrière qui abritait son espace spa comme il aimait à dire. (Piscine, sauna)

Elles descendirent de la berline et à peine avoir foulées le sol, la porte d’entrée s’ouvrit devant elles. Marc les accueilli habillé en tenue d’affaires, pantalon, chemise, cravate. Manue le côtoyait tous les jours mais c’était rare de le voir ainsi sur son trente et un. Les fois où elle avait eu la surprise de le voir ainsi c’était pour des diners d’affaires très important où la vie de l’agence en dépendait.

« Ah voilà mes filles ! Vous êtes magnifiques ! Entrez, je vous en prie. Mes invités ne devraient plus tarder »

Il attendait donc du monde, mais combien ? Les filles passèrent devant lui pour entrer dans la maison.

« Regardez-moi ces petites salopes. Vos tenues vous vont à ravir. Par contre je ne leur donne pas cher de leur temps. » Un petit rictus vint terminer sa phrase, chose qui n’arrangeait guère l’état d’esprit des jeunes filles.

A peine avaient elles passé le pas de la porte qu’elles eurent la surprise de voir que tout était déjà en place pour une soirée qui s’annonçait des plus extravagantes.

Au milieu de la pièce principale, trônait une espèce d’estrade circulaire molletonnée par un revêtement en mousse vinyle noire. Des fauteuils étaient disposés en cercle tout autour de cette scène, de petits guéridons disséminés un peu partout entre ceux-ci supportaient des sauts à Champagne avec une bougie d’ambiance.

De lourds rideaux en velours rouges obstruaient les nombreuses baies de la pièce, ce qui feutrait encore plus l’ambiance.

Cette ambiance, Audrey la connaissaient un peu pour avoir déjà fréquenté à l’occasion certains clubs libertins de la région. Cette atmosphère lourde et confinée n’était que le pire reflet de ce qui s’annonçait pour cette soirée. Elles comprirent très vitre que cette petite scène leur était destinée et qu’un large public était attendue pour les regarder. Mais à quel genre de spectacle allaient-elles devoir se livrer ?

Manue était de plus en plus mal à l’aise face à la situation quelle était en train de vivre, elle prenait conscience qu’elle ne maîtrisait plus rien et qu’elle venait de mettre le doigt dans un engrenage sans fin. Seule Emilie semblait la plus à l’aise des trois, sans doute était elle maintenant habituée à toutes les surprises que pouvait lui réserver son propriétaire.

Manue et Audrey pensaient avoir tout vu avec cet homme, mais encore une fois il avait prit le dessus.

« Donc voici où va se dérouler la soirée, faudra vous montrer performantes les filles ce soir, nous allons avoir du beau monde. Bon je vous laisse avec Marie José pour les derniers petits préparatifs, vous êtes entre de très bonnes mains. Et je vous dis à tout de suite. »

La vieille femme hispanique avait donc bien un nom : Marie-José. Un prénom qu’on n’est pas prêt d’oublier. Elle entra dans la pièce totalement métamorphosée, elle était vêtue d’un ensemble tailleur noire très serré, et à la même manière que les filles ses cheveux étaient plaqués en arrière. Dans sa main droite elle tenait un petit fouet, telle une dompteuse de fauves qui entre dans la cage aux lions.

« Toi les gros seins avance par ici. » elle s’adressait à Audrey qui fût la première à s’avancer devant elle. Marie José lui mit autour du cou un collier en cuir qui était orné d’une boucle en acier en son milieu. Vînt ensuite le tour de Manue qui se vu habillée de la même manière pour finir ensuite par Emilie. Elle vint clipper à chaque anneau un petit mousqueton où pendouille une longue chaine en inox emmanchée d’une dragonne en cuir. Les voici ainsi misent au stade de soubrettes et de véritable petites chiennes.

« Allez vous mettre en position au pied de la scène » Elles n’eurent même pas le temps de faire un pas, qu’elles se virent toutes les trois administrer une véritable correction avec le fouet.
« Depuis quand des chiennes de votre genre se déplacent sur leurs deux pattes ? Allez mettez vous au sol. » Docilement une nouvelle fois les filles obéirent aux ordres et se mirent à quatre pattes pour rejoindre la scène. A peine étaient elles arrivées à coté, que la lumière baissa à nouveau en intensité pour plonger, à l’exception de cette petite estrade, la pièce dans la pénombre. Leurs lunettes de soleil imposées par leur gouvernante accentuaient le coté sombre, elles n’arrivaient pas à voir à plus d’un mètre d’elles.

Elles étaient toutes les trois accolées au strapontin à quatre pattes attendant de nouvelles instructions. Elles entendirent des bruits sourds provenant du couloir, des dialogues de nombreuses personnes. C’était les invités qui arrivaient. Au brouhaha que cela produisait, il était impossible de déterminer combien ils étaient, mais une chose était sur ils étaient nombreux et mixtes. Des voix de femmes et d’hommes s’interposaient dans les discussions.

Une à une les personnes prirent leur place sur les fauteuils très silencieusement. Un grand moment de calme régna dans la pièce de longues minutes avant que Marc ne viennent l’interrompre.

« Mesdames et messieurs, permettez moi tout d’abord de vous remercier d’avoir répondu présent à cette invitation. Je suis honoré de votre présence et j’espère que cette soirée sera pour vous autant excitante qu’elle le sera pour moi. Comme vous vous commencez à le savoir, j’attache une certaine importance à la beauté féminine et mes gouts vous les connaissez pour les belles choses. Ce soir, ce n’est pas une jeune fille dont je vous ferai l’honneur mais trois. Ce travail de plusieurs mois est un aboutissement pour moi. Ce soir, je suis fier de vous livrer trois physiques vraiment atypiques avec trois caractères différents mais complémentaires. Ces jeunes filles ont été dressées et éduquées avec toute la rigueur et l’amour du travail bien fait que l’on me connait. Je profite de ce petit laïus pour remercier encore une fois mon ami de toujours Jean Pierre, qui m’a été d’une grande aide pendant cette phase d’éducation. » Si Jean Pierre était cité dans ce discours c’est qu’il devait être présent lui aussi pensa Manue. Devant cette élocution elle sentait ses membres trembler, l’étau se resserrait sur elle.

« Allez mes amis, sans plus attendre je vous présente notre première soumise de la soirée. La cadette : Emilie ! »

Marie José empoigna sa laisse et lui donna l’ordre par un grand coup de martinet de monter sur la petite scène toujours à quatre pattes. Comme dans une foire à bestiaux, elle la fit se déambuler sur tout le périmètre pour bien montrer au public chaque face de son physique.

« Cette jeune étudiante de tout juste 18 ans est le stéréotype même du fantasme que l’on peut se faire sur les jeunes rousses. Elle pèse à peine 45kg et offre pour les amoureux des petites poitrines une très petite paire de seins. Son jeune âge fait d’elle une partenaire sexuelle vive et toujours dans l’attente de nouvelles expériences. Elle apprend beaucoup et comprend très vite les attentes de ses partenaires. Bisexuelles assumées, elle sait donner autant de plaisir à un homme qu’à une femme. Elle pratique la sodomie avec de grandes facilités et ses jolies petites tâches de rousseurs n’attendent plus que votre sperme chaud. »

Pendant que la gouvernante hispanique la faisait défiler sur la scène Marc énumérait toutes les qualités sexuelles et physiques de sa jeune locataire.

« Sa mise à prix pour ce soir est de 100€. »
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