- 31 déc. 2013, 15:43
#1491121
Une journée d’affaires (d’enfer) 3
15h00 :
Marc arrêta sa voiture devant l’agence et y déposa ses deux salariés.
« Bon à tout à l’heure. Bon après-midi les filles. Et pas de bêtises ! »
Camille et Manue rentrèrent dans l’agence.
« Toi aussi tu as comme règle que dès que tu es dans un endroit clos, il faut que tu sois nue en sa présence ? »
« Oui, à chaque fois il m’oblige à me déshabiller. Pour faire la route de Vannes à Bordeaux, j’ai dû voyager nue dans sa voiture.
« Je le reconnais bien là. Par contre, si ça ne te dérange pas on devrait peut-être se dévêtir. Comme l’agence est fermée au public aujourd’hui, il est capable d’arriver ici à l’improviste et s’il nous trouve habillée sachant que nous sommes soumises toutes les deux à la même règle on risque d’en payer les frais. »
« Comme tu veux. » répondit elle résignée à son sort.
Chacune de leur côté, elles enlevèrent un à un leur vêtement. Manue ne cessait de regarder Camille s’effeuiller. Son corps était beau, ses courbes étaient harmonieuses. Elles avaient les formes où il fallait avec la fermeté qu’il fallait. Elle était envieuse de cette jeune cadre dynamique qui avait tout pour elle. Une carrière professionnelle assurée, une beauté naturelle pour la servir.
« Pourquoi me regardes tu comme çà ? »
« Oh pour rien » rougit-elle
« Si je vois bien que tu me regardes avec attention »
« Non c’est tout simplement que je te trouve très jolie. »
« Tu aimes les femmes ? »
« Non je ne crois pas. Enfin je ne sais pas … Mais en tout cas je sais dire si une femme est belle ou pas. Tes seins sont magnifiques, je rêverai d’avoir les tiens. »
« Pourquoi dis-tu çà, les tiens sont très jolis aussi. »
« Mais ils sont tout petits »
Camille s’approcha de Manue et tendit sa main pour venir très délicatement se poser sur le sein droit de la jeune fille. Sa main était chaude et douce. La stagiaire baissa la tête prise de gêne face à cette caresse. Elle rougit légèrement ce qui éveilla à Camille l’émotion qu’elle produisait à la jeune fille.
« Moi, je les trouve très beaux. Ils sont peut-être un peu plus petits que les miens mais ils tiennent bien en main et je peux t’assurer qu’ils sont très doux. Tu n’as pas de quoi complexer, tu es belle. Et crois-moi, si Marc t’a choisi aussi ce n’est pas par hasard. »
Camille embrassa Manue sur la bouche pour prendre congé d’elle avant de retourner à son bureau.
Manue s’installa sur une petite table dans l’accueil pour finaliser le contrat qu’elle avait brillamment obtenue.
L’après-midi fût studieuse pour les filles, et les échanges entre elles étaient peu nombreux
16h30 :
Camille sortit de son bureau.
« Tu as reçu un texto de Marc ? »
« Heuu je ne sais pas, je n’ai pas regardé mon téléphone » Manue se leva de sa chaise et alla dans le coin de la pièce où toutes ses affaires étaient entreposées. Elle était gênée en traversant l’accueil, elle savait pertinemment que Camille était en train de poser son regard sur sa nudité. Elle se sentait mal à l’aise. Timidement elle se pencha pour fouiller dans son sac.
Elle trouva son portable. Trois messages non lus, deux venant de moi lui demandant des nouvelles et savoir comment elle allait. Le troisième était envoyé à 16h03 et était rédigé par Marc.
« Dîner très important ce soir. Soyez prêtes à 19h00 à l’hôtel. Ne lésinez pas sur votre tenue»
« Bon, je crois qu’on va faire chauffer la carte bleue. Allez, on se rhabille, je ferme l’agence et je vais te montrer des boutiques super sympas. »
Il ne fallut pas plus de cinq minutes aux filles pour se revêtir de leurs habits. Les ordinateurs de chacune s’éteignirent un à un et la porte de l’agence se ferma à double tour.
Camille invita Manue à monter dans sa voiture. C’était une BMW série 1 de couleur rouge. Encore une fois la preuve de la réussite sociale de cette très jolie blonde trentenaire.
« Bon ce genre de soirée est très important. Ne faut rien négliger. »
« Oh mais tu sais mon budget est limité, je ne suis qu’étudiante. »
« Mais t’inquiète, tu n’auras pas à dépenser un centime. C’est l’agence qui paye. Marc dégage toujours une ligne de budget annuelle à ce qu’il appelle Les frais annexes. Tu sais il n’est pa à quelques euros prêt quand il s’agit de signé un gros contrat pour plusieurs milliers d’Euros, il intègre çà à de l’investissement. »
Les filles défilèrent dans tous les magasins huppés de la ville. Elles essayaient tenues sur tenues sans se soucier un instant du prix que cela pouvait couter. Après avoir dépensé en espace de quelques heures leurs salaires mensuels additionnés, elles firent un petit décrochées par chez Camille, afin qu’elle puisse prendre quelques affaires pour se préparer elle aussi à l’hôtel où séjournait Manue. Les filles avaient décidé de se préparer ensemble pour permettre à chacune de s’entraider pendant leur préparatif.
La berline rouge se stoppa devant l’entrée de l’hôtel, un groom vint à leur rencontre. Tandis que le portier s’occupa de la voiture, le groom avait déjà déchargé le coffre de tous les sacs des plus grandes enseignes de la ville.
« Je les dépose dans votre chambre Mademoiselle ? »
Les deux jeunes femmes étaient traitées comme des princesses, elles étaient dans une euphorie non dissimulable.
Arrivées toutes les deux dans la chambre, il ne leur restait plus beaucoup de temps pour se préparer. Elles se devaient d’être efficaces.
A peine la porte de la chambre passée, les filles se déshabillèrent en laissant leurs vêtements sur place et foncèrent dans la salle de bain. C’est Manue qui investit la première la grande douche italienne pendant que sa compère était occupée à tout déballer leurs petites emplettes.
« Et ben ma chérie, je peux te dire que ce soir on va avoir la cote avec les hommes ! »
« Oui tu parles avec toi dans les parages, ça va être difficile. »
« Arrête de te dénigrer comme çà Manue »
Il leur fallut bien plus d’une heure pour qu’elle soit enfin prête mais quand Marc vint les chercher à l’hôtel son regard, sur elles, montrait bien que cela en valait la peine.
Camille avait optée pour les cheveux détachés tombant sur les épaules dénudés, sa robe largement décolletée offrait une vue imprenable sur sa jolie poitrine mise en valeur par une petite dentelle noire aussi. Sa robe cintrait joliment sur ses fines hanches et venait parfaitement épouser ses jolies formes. Son fessier se moulait parfaitement dans le tissu et quand on y faisait attention on pouvait surprendre la présence d’un petit string lui aussi en dentelle. Sa robe descendait juste au-dessus de ses genoux.
Manue avait été plus entrepreneuse en osant la robe très cintrée noire aussi avec un très grand dos nue qui tombait au creux de ses reins. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge et la faible épaisseur du tissu voilait très légèrement sa petite poitrine dont on apercevait la forme des petits tétons.
Délicatement maquillées les filles étaient de véritable bombes. Leurs charmes à chacune étaient largement mis en valeur avec gout et sensualité. Marc trépignait d’impatience d’arriver au restaurant pour faire son entrée triomphale aux bras de ses deux jolies demoiselles.
Le moment fatidique était enfin arrivé, Marc stoppa son véhicule devant le grand restaurant très renommé de la ville, un portier vint ouvrir la portière pour les filles. Marc se plaça entre chacune d’elles et leur proposa son bras.
Les personnes avec qui ils allaient diner étaient déjà tous présents à table, ne manquait plus que l’assureur et ses petites salariées. Les hommes en costumes étaient des grands noms de la région : conseillers, riches industriels, politiciens. Les quatre hommes tout de noir vêtus n’en croyaient pas leurs yeux devant ses deux magnifiques jeunes femmes.
Manue pensait bien qu’ils les prenaient pour des prostitués mais Marc coupa court aux préjugés.
« Messieurs, je vous présente Camille et Emmanuelle. Camille est ma salariée permanente à l’agence de Bordeaux tandis qu’Emmanuelle est la toute dernière à avoir rejoint le cabinet. Elle travaille avec moi sur Vannes, elle est actuellement en alternance. Mais croyez bien qu’on a déjà à faire à une jeune qui a un devenir dans le monde de l’assurance. »
« En tout cas mon cher Marc je vois que vous savez vous bien vous entourer ». Lui répondit le plus gros de l’assemblée.
Le repas se déroula dans une atmosphère tout à fait étrange, les hommes ne cessaient de poser des regards lourds et absolument dégradants sur les jeunes filles. Certains même faisaient des allusions vraiment très provoquantes et cela ne semblait déplaire à Marc.
Pendant tout le repas les bouteilles de vin, de champagne, sans compter les verres de scotch défilèrent sur la table. Les hommes s’enivraient un peu plus à chaque plat qui leur était proposé. Marc était totalement sous l’emprise de l’alcool.
« Vous savez messieurs, ces deux jeunes demoiselles ne sont pas que mes salariées. Je dispose d’elles comme je le veux. »
L’un d’eux lui répondit même : « D’un côté mon cher Marc, en matière de femmes tu as toujours été très bien accompagné. Lors de ton dernier déplacement, tu étais encore accompagné d’une. Elle était jeune celle-là. Une petite rousse si je me souviens bien. »
Manue comprit très vite, que c’était d’Emilie qu’ils étaient en train de parler. Elle se souvint alors qu’il y a effectivement quelques semaines Emilie avait découché de l’appartement. Elle savait maintenant c’était pour aller où.
« Oui, mais comme vous savez je ne suis toujours pas prêteur messieurs. Par contre, je peux égayer vos yeux si vous le voulez. »
« Toi tu sais parler aux gens. Allons boire le digestif à ton hôtel. » Tous les hommes se levèrent en même temps et prirent congés du restaurant.
C’est Camille qui prit le volant de la grosse voiture de Marc, le patron n’était malheureusement plus en état de conduire. Ils arrivèrent tous ensemble à l’hôtel. Marc invita les hommes d’affaires à monter dans sa chambre.
« Garçon, vous pourrez faire monter votre meilleure bouteille de cognac dans ma chambre. Mes invités et moi allons prendre le digestif dans mon salon privé. » Marc ne disposait pas d’une simple chambre dans l’hôtel mais d’une suite qui disposait de son propre petit salon. Ce genre de pièces est très prisé dans le monde des affaires. Cela permet de signer de gros contrats en parfaite intimité.
Les cinq hommes, Camille et Manue montèrent dans le même ascenseur. Manue était inquiète de la tournure que commençait à prendre la soirée.
Ils arrivèrent dans l’immense chambre du patron en assurances qui avait plutôt les dimensions d’un appartement privé. Toujours est-il, le confort et le luxe étaient présents.
Les hommes s’installèrent dans les deux canapés qui encerclaient une large table basse en verre.
« Vous savez entre nous, on a des petites règles. Je leur impose à chacune de se déshabiller totalement quand nous sommes dans un endroit clos. Cela ne vous pose pas de problèmes à ce que je leur demande de se mettre à leur aise ? »
Le plus ventru des quatre donna son aval sans attendre. Manue sentait ses jambes trembler. Elle ne savait que faire, devait elle fuir, accepter les idées saugrenues de son employeur ? Tout se mélangeait dans sa tête. Elle était loin de tout, elle était livrée à elle-même.
A peine avait-elle le temps de se rattacher à la réalité tellement prise dans ses pensées, elle sentie une main froide se poser sur son dos dénudé. La main descendait délicatement du haut de ses épaules vers le creux de ses reins. Elle était douce et malgré la froideur de celle-ci elle ressentait de légers frissons. Elle retourna doucement la tête pour savoir qui était en train de la toucher et fût soulager de voir que c’était Camille.
Camille avait senti le malaise s’installer chez sa jeune collègue et prit donc les devants pour l’inviter à se mettre à l’aise. Elle entoura ses bras autour de ses hanches et lui posa un doux baiser entre son cou et son épaule droite. Elle remonta ses mains sur les épaules de la jeune stagiaire et dans un mouvement ample laissa filer les bretelles de sa robe de soirée le long de ses bras. Le tissu glissa lentement laissant apparaitre les jolies petites formes de Manue. En quelques secondes sa poitrine était maintenant totalement dénudée. Les mains de Camille viennent saisir les seins et la fraicheur de ce touché ne manqua pas de faire réagir ses petites auréoles roses. Après les avoir gentiment caressés et provoqué chez la jeune adulte des frissons sur tout le corps, Camille les abandonna pour venir sur ses hanches. Elle agrippa la robe et l’aida une nouvelle fois dans sa descente. La robe noire termina sa course aux pieds de ma petite amie laissant ainsi aux hommes la vision de la petite lingerie fine qui l’habillait. Elle n’était maintenant vêtue que d’un petit string noir en légère dentelle. Camille couvrait son dos de doux baisers, elle descendait au fur et mesure de ses câlins pour en arriver à genoux derrière elle. C’était maintenant ses petites fesses qui étaient couvertes de baisers. Les mains de Camille s’agrippèrent sur la ficelle de la lingerie, et tiraient le seul petit bout de tissus qui lui restait vers le bas. Il ne résista pas longtemps, et son intimité fut ainsi dévoilée à toute l’assemblée. Obéissante aux règles que lui imposait son maitre de stage, son sexe était parfaitement épilé et luisait à lumière douce de la pièce. Ce traitement pubien semblait être apprécié des hommes d’affaires. L’un d’eux se permit même une petite réflexion.
« Et bien, elle nous cachait un bien joli corps ta petite stagiaire ! »
Ce moment intime fût dérangé par un bruit sourd au niveau de la porte.
« Ben quoi ? Reste pas plantée là, va donc ouvrir ! »
« Mais je ne peux pas. »
« Bien sûr que si. Allez dépêche-toi »
Manue se retourna en direction de la porte et s’y dirigea sans grande ambition. Les hommes profitèrent de ce moment pour profiter de la magnifique vue sur son fessier. Elle prit une grande inspiration pour se donner du courage avant d’entrouvrir la porte. C’était le garçon d’étage qui venait apporter les victuailles. Manue se souvint du week-end que nous avions passé tous les quatre à l’hôtel pour son anniversaire. Ce qui la rassura un peu et lui permis d’assumer un peu plus sa position et sa tenue devant ce jeune homme. Elle ouvrit plus largement la porte afin que le serveur puisse accéder à la chambre avec son petit chariot. A peine avait-il passé le pas de la porte qu’elle la referma instantanément. Le vingtenaire avait du mal à se concentrer, son regard hésitait à se poser franchement sur le corps dénudé mais la beauté de Manue semblait lui plaire. Manue eu un sentiment de honte, que pouvait-il penser d’elle ? Il devait se dire que c’était une prostituée et que la jolie blonde en devait être une aussi.
« Approchez mon garçon, venez nous servir à table. » Marc avait bien l’intention de faire durer l’intervention du groom dans la chambre. Ce qu’il ne se fit pas prier. Pendant qu’il était en train de servir les verres de Cognac pour les hommes et les coupes de Champagne pour les deux demoiselles, Camille entama un strip-tease dès plus langoureux. Très vite elle se retrouva à son tour totalement nue et vint à la rencontre de Manue.
Doucement elle lui glissa à l’oreille : « ne t’inquiète pas tu ne risques rien. Fais-moi confiance. » Elle l’embrassa fougueusement sur la bouche, Manue ne résistât pas longtemps avant de lui ouvrir sa bouche pour venir en contact avec sa langue. Les filles s’enlacèrent, leur poitrine venait s’écraser l’une contre l’autre.
Le garçon de l’hôtel ne savait plus où il en était de son service. Ce spectacle tout à fait hors normes le troublait, ces jeunes femmes qui pour lui étaient des Escort-girls étaient absolument magnifiques. Il ne lui en fallut pas plus pour que cela s’aperçoive à travers son pantalon. Le jeune homme devait avoir tout au plus une vingtaine d’années, sans aucun doute il était le benjamin de la pièce. Camille qui assumait totalement sa présence ici et son appétit pour le sexe, devait le trouver à son gout. Elle laissa Manue en la quittant d’un dernier baiser pour aller à la rencontre du serveur. Elle le prit par la main et l’invita à se mettre lui aussi au milieu de la pièce.
« Toi reste pas planter là ! Tu vois bien qu’il n’a pas fini son travail. Sers donc mes invités ! »
Encore une nouvelle fois Marc se montra autoritaire envers Manue, et elle due prendre la place de serveuse. Elle s’approcha donc de ses hommes d’affaires, totalement nue, pour leur servir leur digestif. Aucun d’eux ne prit la peine de s’intéresser à elle tellement subjugués par la prestation de la jeune cadre dynamique. Camille était maintenant à genoux devant le jeune garçon s’agrippant à sa braguette pour faire sortir son sexe dur. Aussitôt l’organe dévoilé elle l’aspira instantanément au fond de sa bouche. Elle excellait dans les gorges profondes et voulait bien en faire la démonstration avec ce jeune sexe.
« Excusez-moi messieurs, vous comprendrez bien que pour des raisons éthiques je ne peux vous convier à cette étreinte. Il serait mal venu d’essayer de soudoyer des hauts fonctionnaires, des politiques de vos envergures. J’espère tout de même que vous passerez à nos côtés un très bon moment. » Tout en blablatant ces paroles à ses clients Marc abandonnait à son tour sa tenue de commercial pour se retrouver ainsi nu devant l’assemblée.
« Manue vient ici me la faire lever. » Marc lui tendait son sexe à demi mou, bien éduquée elle vint sans broncher au niveau de son patron et devant le public s’agenouilla à son tour pour le prendre en bouche. Marc l’agrippait fermement par les cheveux et la maintenait bien, de peur qu’elle ne recule sa tête. Il pilonnait de manière très brutale sa bouche, sa verge se gonfla vite et venait taper maintenant le fond de sa gorge. Elle avait des sursauts comme si elle allait vomir mais impossible pour elle se dégager. Il fallait faire avec. Il se pencha au-dessus d’elle et avec son autre main attrapa le sein droit de la jeune stagiaire, il le mal menait. Il serait fort sa main comme pour l’aplatir. Il le tirait dans tous les sens, très vite le sein devint rouge et les traces de doigts semblaient tatouées sur la peau. Il sorti son sexe d’entre ses lèvres et lui donnait des gifles avec. Les coups étaient forts et des assauts venaient forcer à nouveau le passage de sa bouche et la verge venait taper contre l’intérieur de sa joue. Il poussait fort comme pour transpercer sa peau. Des larmes coulaient sur le visage de Manue, son mascara laissait une longue trainée noire sur toute la surface de ses joues.
Camille quant à elle était toujours occupée avec son jeune, elle voulait à tout prit le préserver pour ne pas qu’il explose tout de suite. Elle se redressa et alla s’étendre sur la table du salon aux pieds des hommes d’affaires pour offrir son sexe au jeune homme. Le salarié de l’hôtel s’accroupi et glissa sa tête entre les cuisses de la jolie blonde et entama un cunnilingus. La bordelaise apposa ses mains sur l’arrière de sa tête pour bien lui faire comprendre qu’elle voulait plus de contact entre sa langue et son sexe totalement humide. Le jeune homme accentua donc son mouvement, et s’amusait à glisser son petit bout de langue dans le vagin. C’était la première pour lui qu’il découvrait un sexe totalement épilé, cette sensation de douceur ne faisait qu’attiser son désir.
Marc repoussa Manue, qui bascula en arrière et se retrouva allongée à même le sol. « C’est bon, j’ai eu ce que je voulais. Reste comme çà, allongée tu feras tapis ! »
L’assureur alla maintenant à la rencontre des deux autres. « Dis donc mon garçon faut savoir partager. Tu sais on ne sera pas de trop à deux dessus. Alors ça te fait plaisir ton pourboire ? »
« Oui monsieur merci. »
Camille se releva de la table pour venir se placer entre les deux hommes, une main sur chaque sexe elle les alterna dans sa bouche avec une grande vivacité.
Un des quatre hommes ne semblait plus tenir en place et s’excusa auprès de ses confrères et amis de ne pouvoir se retenir plus longtemps. Sans pudeur, il déboutonna son pantalon pour sortir son sexe et se palucha devant tout le monde. Très vite les trois autres hommes l’imitèrent, cela était tout de même bien plus plaisant de se masturber devant un tel spectacle que devant un film de cul.
Camille se positionna à quatre pattes sur le sol, prête à accueillir maintenant le sexe des hommes. Marc invita le serveur à aller se servir dans la salle de bain en capotes, il en trouverait dans une petite trousse noire. Afin de ne pas perdre de temps, il lui demanda de ramener la trousse.
Pendant qu’il était en train d’aller la chercher, Marc investi le sexe de la jeune blonde le premier. Il posa ses mains sur les fines hanches et la pénétra d’une traite. Ses testicules tapaient sur les lèvres, son rythme était rapide, il ressortait à peine son sexe que déjà il assignait un autre coup. Camille semblait apprécier cette chevauchée. Le jeune garçon arriva la trousse à la main. Marc marqua une pause et prit la trousse en main.
« Tiens, enfile une capote. Tu as déjà sodomisé une fille ? »
« Heu non jamais monsieur »
« Tu entends çà Camille ? Lui ferais tu l’honneur de lui offrir ta petite intimité ? »
« Bien entendu »
Manue assistait à ces ébats avec, encore une fois, beaucoup de frustrations. Elle se sentait humiliée d’être ainsi mise de côté. Elle commençait à se rendre compte à quel point cet homme avait de l’emprise sur elle et comment il arrivait à créer chez elle ce sentiment de soumission. Il n’était pas du tout comme çà avec Camille, bien au contraire. Il était plus doux, plus à l’écoute de son désir et de son plaisir. Etait-ce le prix à payer pour être considérée ainsi par la suite ?
Pendant que le jeune homme s’appareillait d’un préservatif, Marc avait sorti de la trousse une petite fiole de lubrifiant et de manière consciencieuse enduisait la partie intime de sa salariée.
« Bon tu vas y aller doucement. Ok ? Ne te précipite pas. Tu vas voir, tu vas te sentir beaucoup plus serré, le risque chez vous les jeunes, qui n’ont jamais fait çà avant, c’est que vous éjaculiez tout de suite. Alors prends ton temps, laisse la faire. Crois-moi elle a l’habitude »
Il s’agenouilla derrière elle, le sexe en main. Il tremblait d’excitation. Il vint mettre en contact son gland sur la petite auréole rose. Il ne savait que faire.
« Voilà ne bouge plus maintenant, laisse la faire. » Camille fléchit tout doucement sur ses genoux pour basculer son bassin en arrière. Sa petite rondelle vint se plaquer sur le sexe en attente, elle progressait doucement, étape par étape. Très vite le bout du sexe ne se faisait plus voir, et en quelques secondes c’était la totalité qui était aspiré. Quand son sexe fut entré entièrement il ne put s’empêcher de lâcher un gros gémissement. La sensation d’étroitesse sur son organe lui provoquait un plaisir jamais égalé. Il prenait de l’assurance, et commença à venir gentiment coulisser entre les cuisses de la jeune femme d’au moins dix ans son ainée.
Il posa ses mains sur les fesses et les écartaient légèrement pour bien voir son sexe entrer et sortir dans cette partie jamais explorée. Camille était loin de cacher le plaisir qu’elle était en train de prendre, ses gémissements ne cessaient de prendre de l’ampleur.
« Alors mon garçon ça te plait ? »
« Terriblement Monsieur. »
« Alors vas-y défoule toi ! »
Encouragé par notre chef d’entreprise le jeune s’en hardi et entama un rythme beaucoup plus soutenu. Les quatre hommes, toujours avachis dans leur canapé, ne rataient pas une seconde de ce spectacle, leur sexe toujours en main.
« Allez mon garçon, laisse-moi la place » Il se retira de Camille et se décala sur la droite pour lui laisser place. Marc s’allongea sur le dos et invita la jolie blonde à venir s’empaler sur lui. Accroupie au-dessus, dos à lui, elle agrippa son sexe et le présenta à l’entrée du sien, le plus lentement possible il vint s’empaler. Une fois la verge totalement disparue, elle recula ses mains pour prendre appuis directement sur le sol et s’allonger ainsi sur l’homme. Avec ses jambes elle essayait de surélever légèrement son bassin, pour laisser à Marc la liberté de pouvoir la limer de manière agitée. Sa magnifique poitrine ballotait à chaque coup de reins qu’elle recevait, ceci pour ne déplaire à ses voyeurs.
« T’en voudrais bien une deuxième en même temps ? »
« Bien sur »
Camille se retourna pour venir faire face à Marc, toujours en elle il vint l’encercler de ses bras pour venir la cambrer et la coller à lui.
« Dis-moi mon garçon comment tu t’appelles ? »
« Thomas, Monsieur. »
« Bien. Ecoute Thomas, tu vas te mettre derrière elle et l’enculer à nouveau. Et on y va, à deux on arrivera peut-être à la faire jouir. Par contre, si toi tu veux jouir, tu te retiens. On a notre vide couille pour ça. »
Docile, notre nouvel ami Thomas, reprit sa position initiale et cette fois ci ne se laissa pas guider pour trouver l’entrée. Il avait pris en assurance. Son sexe coulissait à merveille entre les reins de Camille, à chaque fois qu’il arrivait en butée dans son fessier ses testicules venaient caresser l’autre sexe masculin qui était en train de la baiser. Marc ne la ménageait pas non plus. Elle semblait apprécier cela preuve en ait que ses gémissements c’étaient transformés en petits cris. Ils tenaient bons. L’orgasme arriva enfin chez elle. Thomas sentait lui aussi monter le plaisir.
« Monsieur, je crois que je vais jouir ! »
« Manue !!!! Qu’est-ce que tu fous ! Viens récolter son jus. Allez allonge toi à ses pieds »
Prise de cours, elle ne laissa pas place à la réflexion et alla s’allonger aux pieds du jeune homme. Elle fermait les yeux pour ne pas avoir en plus à subir le regard du garçon d’étage.
Il se dégagea de Camille, et dans le même geste ôta son préservatif. Bien au-dessus de Manue, il se masturba un petit instant avant d’exploser à l’air libre un gros jet de foutre qui vint s’étaler sur le corps interne de notre chère étudiante. Il s’amusait à vouloir viser sa poitrine, tantôt cela tombait sur le ventre, tantôt sur le menton mais le plus gros reposait bien entre ses deux seins.
« Marc, tu nous prêtes ton essuies tout ? »
« Bien entendu messieurs, elle l’est là pour ça. »
Manue comprit sa destinée et se releva toute collante pour aller vers ces hommes bedonnants. Sa tête resta baissée, et elle resta plantée là devant le canapé à attendre sa sentence. Le plus gros des quatre prit les devants et se leva du canapé. Son pantalon glissa le long de ses cuisses pour terminer sa course sur ses chevilles. Son sexe était petit bien qu’il soit en érection. Il se mit face à elle, la menaçant avec sa petite bite. Mais elle cachait bien son jeu, la quantité de sperme qui en sortie était phénoménale. Les jets de sperme étaient forts et venaient à chaque sursaut gifler le visage de ma douce. Elle se gardait bien de fermer la bouche pour ne pas à avoir à avaler ce liquide. Le temps lui semblait interminable. Quand il eut terminé de jouir sur son visage, avec ses mains elle balaya le sperme frais de ses yeux. A peine eut-elle le temps de les rouvrir qu’un deuxième sexe pointa son nez et se dégorgea à nouveau sur elle. Cette fois c’était à nouveau ses petits seins qui étaient visés, cette semence était pour le coup plus liquide que les deux premières et sentait particulièrement fort. Une chance pour elle qu’il n’ait pas privilégié son visage, l’odeur lui aurait été plus insoutenable. Heureusement cela ne dura pas longtemps, mais très vite les deux autres hommes d’affaires qui étaient toujours assis sur le canapé se levèrent en même temps et étaient bien disposés à jouir en même temps sur Manue. Le plus grand des deux se plaça sur le coté droit de Manue tandis que l’autre prit le côté gauche, ils astiquaient leur sexe avec vigueur et en même temps déchargèrent sur elle. Elle en recevait de tous les côtés, aussi bien dans les cheveux, que sur les joues. Ses épaules en étaient immaculées.
« Moi messieurs si vous me le permettez, je vais m’offrir un petit privilège. » Marc quitta Camille pour à son tour se pointer devant son « vide couille ».
« Moi mon vide-couille doit me servir à bon escient. Je veux que ma giclée soit la plus bénéfique pour elle et qu’elle ne soit pas gaspillée. Allez, ouvre la bouche ! Mais regarde-moi comment ils t’ont repeinte. Je suis sûr que tu n’auras jamais été aussi inondée. Allez, ouvres bien. Plus grand que ça ! Montres à ces messieurs à quel point tu aimes boire le sperme. »
Timidement elle ouvrit sa bouche en prenant bien soin de sortir sa langue. Marc posa sur la langue tendue son sexe, il pinçait légèrement le bout, comme on le fait sur un tuyau d’arrosage pour augmenter le débit. Ses jets de foutre étaient puissants et venaient taper le fond de la gorge de la jeune fille, qui se retenait de ne pas vomir. Voyant qu’elle toussotait, il préféra finir son éjaculation bien au fond de sa gorge, la bouche pleine elle n’avait d’autre choix que d’avaler ce liquide infâme.
« Allez nettoie moi bien tout çà ! Fais la reluire ! T’aime çà être considérée comme un sac à foutre. Malheureusement pour toi tu ne mérites guère plus. »
Pendant que Marc œuvrait à ce qu’il savait le mieux faire à savoir la manipulation psychologique sur Manue, les quatre hommes d’affaires se rhabillèrent et prirent congés.
Camille alla chercher un billet pour donner un pourboire au garçon et le remercia de sa participation. En plus de s’être fait invité à une partie de jambes en l’air, il s’était vu largement dédommagé. Il sorti de la pièce ravi de sa soirée.
Ils étaient à nouveau tous les trois.
« Bon mesdemoiselles, merci pour cette soirée une nouvelle fois vous avez su donner de votre personne pour une bonne cause. Je saurai être reconnaissant. Maintenant excusez-moi mais demain on se lève tôt, on a la route du retour. »
Elles n’eurent pas le temps de se rhabiller que les vêtements dans les bras elles se retrouvèrent à la porte de la chambre totalement nues dans les couloirs de l’hôtel. Par chance la chambre de Manue était attenante.
Manue et Camille prirent une bonne douche bien chaude et se couchèrent ensemble dans le même lit épuisée par leur soirée.