- 03 juil. 2014, 00:51
#1616359
Salut tout le monde !
En rapport indirect avec l'histoire que j'avais raconté ici il y a quelques mois, voici les toutes premières aventures candaulistes (et non cuckoldistes je viens de jeter un œil au dico
) de moi et ma compagne.
Tout d'abord nous avions eu une relation de 3 ans avant qu'elle ne me quitte, avons été séparés presque 6 mois avant de revenir l'un vers l'autre. J'étais son premier copain, sa première relation sexuelle aussi, et nous vivions à 300 km l'un de l'autre... pas facile de tenir la distance ni de résister à la tentation. Oui parce que j'ai appris assez récemment qu'elle m'avait quitté pour pouvoir expérimenter les joies du sexe avec divers partenaires, bien que cela n'ait jamais été son dada en ma présence. On avait des relations sexuelles tout à fait convenables mais pas vraiment épanouissantes, il faut dire comme je l'avais déjà évoqué qu'elle était complexé par son physique pourtant très attirant, et pas que pour moi !
Ni elle ni moi ne sommes très enclins à parler de notre période de célibat mais je sais de source sûre qu'elle s'est envoyée en l'air avec mon actuel colloc' qui était une simple connaissance à elle et qui est devenu un excellent pote à moi entre temps, chez ses parents à elle dans sa chambre d'enfance s'il vous plaît. Elle s'est aussi tapée un black dans une voiture à la sortie d'une boîte de nuit (il avait une bite penchée ça a marqué la miss), un collègue relou de boulot saisonnier qui la draguait déjà à l'époque ou j'étais avec elle (mais selon ses dires de l'époque je n'avais aucune inquiétude à me faire, il ne l'intéressait pas parce qu'il voulait juste "se vider les couilles"), un mec de sa promo chez qui elle prétendait bosser pour se dédouaner auprès de tout le monde, et enfin le type avec qui elle faisait du covoiturage toutes les 2 semaines pour rejoindre la capitale (presque 10 ans de plus qu'elle le gars)... et ça c'est seulement ce que je sais !
Bon j'ai appris presque tout ça d'un coup, et pas par elle, alors je dois avouer que j'en ai souffert 1 jour ou 2. Mais je dois aussi confesser que je ne me suis jamais autant masturbé en pensant à elle, certains comprendront.
Et donc, aujourd'hui nous sommes à nouveau en couple, elle à "perdu ses kilos en trop" selon ses dires je précise, et elle s'affirme beaucoup plus. Elle n'hésite plus à jouer de son image et à rentrer dans le jeu de séduction des mâles, sans jamais franchir la ligne rouge. Un épanouissement que j'ai su mettre à profit durant nos première vacances ensemble il y a quelque semaines de cela à Séville, durant la feria de abril.
Nous avions été 2 fois dans un bar libertin en février-mars, hélas sans succès, ne sachant probablement pas ce que nous y cherchions. Cette fois on en avait explicitement parlé, on était prêts à réaliser nos fantasmes en Espagne...
Malheureusement je ne me sens pas une âme de poète quand il s'agit de relater nos expériences sexuelle, veuillez m'excuser si je gâche le plaisir.
1- C'était organisé à l'avance, on s'est fait un plan à 3 avec une connaissance féminine à elle qui nous a hébergé pour la nuit. C'est ma copine qui en a le plus profité parce que je dois avouer que j'ai stressé, j'ai bu, et j'ai été incapable d'éjaculer. C'était la 2e expérience lesbienne de ma chérie, la 1ère en ma présence, très excitant.
2- On a baisé dans les rues de Séville par 2 fois. Pour ceux qui connaissent, la feria attire énormément de monde, certains jours jusqu'à 6h du matin, alors c'était un réel fantasme pour moi d'avoir une relation en extérieur dans ces conditions, malheureusement personne ne nous a surpris.
3- Elle a branlé un jeune espagnol de 19 ans dans le hall d'un immeuble du centre-ville. Là-bas tout le monde discute avec tout le monde, ça tchatche pas mal, on a rencontré le gars complètement par hasard, il nous a guidé pendant une bonne heure et finalement "on" l'a remercié (moi uniquement en cautionnant l'acte). Par contre lui était excité comme un puceau et a essayé de lui mettre la main dans la culotte et lui enlever son pantalon au moins 5 ou 6 fois.
On a retenté le coup le lendemain mais les jeunes n'étaient pas réceptifs ou alors un peu effrayés, il y a bien un vieux qui a pigé le manège et qui a tenté sa chance mais nous nous sommes barrés fissa. Après coup je regrette ça aurait pu être génial.
4- Et le clou de cette semaine intense, une pratique candauliste qui m'excite énormément... si seulement elle savait à quel point ! On logeait dans un hôtel un peu paumé à Alcala de Guadaira, à 30 minutes en bus du centre de Séville, très peu animé mais c'est parfait quand on rentre à 7h du mat' pour pioncer toute la journée.
On avait convenu qu'elle pourrait coucher avec un homme durant le séjour du moment que tout soit bien planifié à l'avance. Il y avait quasi exclusivement des couples plus âgés que nous et des familles, pas idéal pour s'éclater mais ma chérie a trouvé la perle rare : le vendeur de glaces de l'hôtel, ou du moins le mec qui vends ses glaces à la sortie de l'hôtel, je ne sais toujours pas. Aisément la vingtaine, agréable à regarder sans être spécialement beau ni en forme physique étincelante, bref je ne nourrissait aucun complexe vis-à-vis du mec, ça me convenait très bien.
Comme je voulais être le plus proche possible de la scène, pour une question d'excitation certes, mais aussi de sécurité, on a trouvé un plan génial : il se ramène tous les jours à midi, elle l'aurait bien chauffé la veille pour lui faire comprendre que le lendemain il se passerait quelque chose, l’amènerait dans la chambre ou je ferais semblant de dormir, l'alcool aidant, volets fermés, le lit double préalablement séparé en 2 lits simples et toutes les couvertures avec moi pour qu'ils n'aient nulle part où se cacher. Le plan aurait pu se dérouler sans anicroche, sauf qu'au bout d'un quart d'heure elle est revenue bredouille, le vendeur ne voulait rien savoir.
J'ai bien vu qu'elle était déçue et j'ai vite compris qu'elle attendait un signe de ma part pour l'autoriser à trouver un plan de secours, ce que j'ai fait sans hésitation, l'excitation était à son comble d'autant plus que nous n'avions pas fait l'amour ce "matin" là ni la veille au soir. Elle est donc ressortie, de longues minutes, assez pour que je m'endorme et que seule leur entrée ne me réveille, ce qui a d'ailleurs bien failli faire capoter le plan mais il a fini par piger que j'étais sensé être ivre mort. A mon grand regret j'ai eu un mal fou à discerner le type, selon elle il avait 30 ans ou moins, un peu bedonnant avec un combiné casquette-tshirt-bermuda de mauvais goût.
Mais alors il l'a pilonné comme un athlète... en levrette, en missionnaire où il a même essayé de lui voler un baiser ce qui m'a procuré un plaisir coupable. Il a fini au bout d'environ 30 minutes dans un râle absolument pas retenu, j'ai a-d-o-r-é. Ensuite il est allé se laver dans notre salle de bains pendant que ma copine vidait son paquet de mouchoirs pour s'essuyer... et là surprise, il décide de remettre le couvert. Je dis bien "décide" parce qu'ils ne s'étaient pas dit mot depuis le commencement de leur ébats quand elle lui avait fait comprendre qu'ils utiliseraient une capote, et le voilà qui se pointe sur elle le sexe en érection. Elle était assise sur le lit, il lui a caressé les épaules et les seins avant de vite lui agripper la nuque pour lui obliger ou inciter délicatement à sucer sa verge. Je ne saurais dire si elle n'osait refuser ou bien si elle était aussi excitée que moi mais elle s'est exécutée avec brio, n'arrêtant que quand l'heureux cocufieur y allait trop fort (avec moi elle aurait dit stop bien avant je vous le garantie) pour l'inviter à s'allonger sur le lit afin qu'elle puisse le chevaucher. Elle maîtrisait parfaitement son sujet on aurait pu tourner un super film, une prochaine fois peut-être ? En tout cas cela n'a pas duré longtemps, il l'a vite retourné pour se finir en position du missionnaire, la tête dans ses seins.
Puis il est retourné se laver, se rhabiller et dire adieu à ma belle, et un peu la sienne aussi, en lui arrachant un bref baiser tout en lui pelotant les fesses, fin de l'histoire... pour lui.
Parce que évidemment si elle ne s'était pas rhabillée c'était pour que j'en profite à mon tour. J'avais peur de finir trop vite avec l'excitation qui était à son apogée mais la transpiration et l'odeur du mec sur son corps m'ont bien aidé à retarder l'éjaculation à plusieurs reprises. Et quand on a eu terminé, je crois bien pouvoir affirmer qu'on était plus amoureux que jamais.
Voilà j'espère que ça vous a plu parce que cela m'étonnerait qu'on en reste là !
En rapport indirect avec l'histoire que j'avais raconté ici il y a quelques mois, voici les toutes premières aventures candaulistes (et non cuckoldistes je viens de jeter un œil au dico

Tout d'abord nous avions eu une relation de 3 ans avant qu'elle ne me quitte, avons été séparés presque 6 mois avant de revenir l'un vers l'autre. J'étais son premier copain, sa première relation sexuelle aussi, et nous vivions à 300 km l'un de l'autre... pas facile de tenir la distance ni de résister à la tentation. Oui parce que j'ai appris assez récemment qu'elle m'avait quitté pour pouvoir expérimenter les joies du sexe avec divers partenaires, bien que cela n'ait jamais été son dada en ma présence. On avait des relations sexuelles tout à fait convenables mais pas vraiment épanouissantes, il faut dire comme je l'avais déjà évoqué qu'elle était complexé par son physique pourtant très attirant, et pas que pour moi !
Ni elle ni moi ne sommes très enclins à parler de notre période de célibat mais je sais de source sûre qu'elle s'est envoyée en l'air avec mon actuel colloc' qui était une simple connaissance à elle et qui est devenu un excellent pote à moi entre temps, chez ses parents à elle dans sa chambre d'enfance s'il vous plaît. Elle s'est aussi tapée un black dans une voiture à la sortie d'une boîte de nuit (il avait une bite penchée ça a marqué la miss), un collègue relou de boulot saisonnier qui la draguait déjà à l'époque ou j'étais avec elle (mais selon ses dires de l'époque je n'avais aucune inquiétude à me faire, il ne l'intéressait pas parce qu'il voulait juste "se vider les couilles"), un mec de sa promo chez qui elle prétendait bosser pour se dédouaner auprès de tout le monde, et enfin le type avec qui elle faisait du covoiturage toutes les 2 semaines pour rejoindre la capitale (presque 10 ans de plus qu'elle le gars)... et ça c'est seulement ce que je sais !
Bon j'ai appris presque tout ça d'un coup, et pas par elle, alors je dois avouer que j'en ai souffert 1 jour ou 2. Mais je dois aussi confesser que je ne me suis jamais autant masturbé en pensant à elle, certains comprendront.
Et donc, aujourd'hui nous sommes à nouveau en couple, elle à "perdu ses kilos en trop" selon ses dires je précise, et elle s'affirme beaucoup plus. Elle n'hésite plus à jouer de son image et à rentrer dans le jeu de séduction des mâles, sans jamais franchir la ligne rouge. Un épanouissement que j'ai su mettre à profit durant nos première vacances ensemble il y a quelque semaines de cela à Séville, durant la feria de abril.
Nous avions été 2 fois dans un bar libertin en février-mars, hélas sans succès, ne sachant probablement pas ce que nous y cherchions. Cette fois on en avait explicitement parlé, on était prêts à réaliser nos fantasmes en Espagne...
Malheureusement je ne me sens pas une âme de poète quand il s'agit de relater nos expériences sexuelle, veuillez m'excuser si je gâche le plaisir.
1- C'était organisé à l'avance, on s'est fait un plan à 3 avec une connaissance féminine à elle qui nous a hébergé pour la nuit. C'est ma copine qui en a le plus profité parce que je dois avouer que j'ai stressé, j'ai bu, et j'ai été incapable d'éjaculer. C'était la 2e expérience lesbienne de ma chérie, la 1ère en ma présence, très excitant.
2- On a baisé dans les rues de Séville par 2 fois. Pour ceux qui connaissent, la feria attire énormément de monde, certains jours jusqu'à 6h du matin, alors c'était un réel fantasme pour moi d'avoir une relation en extérieur dans ces conditions, malheureusement personne ne nous a surpris.
3- Elle a branlé un jeune espagnol de 19 ans dans le hall d'un immeuble du centre-ville. Là-bas tout le monde discute avec tout le monde, ça tchatche pas mal, on a rencontré le gars complètement par hasard, il nous a guidé pendant une bonne heure et finalement "on" l'a remercié (moi uniquement en cautionnant l'acte). Par contre lui était excité comme un puceau et a essayé de lui mettre la main dans la culotte et lui enlever son pantalon au moins 5 ou 6 fois.
On a retenté le coup le lendemain mais les jeunes n'étaient pas réceptifs ou alors un peu effrayés, il y a bien un vieux qui a pigé le manège et qui a tenté sa chance mais nous nous sommes barrés fissa. Après coup je regrette ça aurait pu être génial.
4- Et le clou de cette semaine intense, une pratique candauliste qui m'excite énormément... si seulement elle savait à quel point ! On logeait dans un hôtel un peu paumé à Alcala de Guadaira, à 30 minutes en bus du centre de Séville, très peu animé mais c'est parfait quand on rentre à 7h du mat' pour pioncer toute la journée.
On avait convenu qu'elle pourrait coucher avec un homme durant le séjour du moment que tout soit bien planifié à l'avance. Il y avait quasi exclusivement des couples plus âgés que nous et des familles, pas idéal pour s'éclater mais ma chérie a trouvé la perle rare : le vendeur de glaces de l'hôtel, ou du moins le mec qui vends ses glaces à la sortie de l'hôtel, je ne sais toujours pas. Aisément la vingtaine, agréable à regarder sans être spécialement beau ni en forme physique étincelante, bref je ne nourrissait aucun complexe vis-à-vis du mec, ça me convenait très bien.
Comme je voulais être le plus proche possible de la scène, pour une question d'excitation certes, mais aussi de sécurité, on a trouvé un plan génial : il se ramène tous les jours à midi, elle l'aurait bien chauffé la veille pour lui faire comprendre que le lendemain il se passerait quelque chose, l’amènerait dans la chambre ou je ferais semblant de dormir, l'alcool aidant, volets fermés, le lit double préalablement séparé en 2 lits simples et toutes les couvertures avec moi pour qu'ils n'aient nulle part où se cacher. Le plan aurait pu se dérouler sans anicroche, sauf qu'au bout d'un quart d'heure elle est revenue bredouille, le vendeur ne voulait rien savoir.
J'ai bien vu qu'elle était déçue et j'ai vite compris qu'elle attendait un signe de ma part pour l'autoriser à trouver un plan de secours, ce que j'ai fait sans hésitation, l'excitation était à son comble d'autant plus que nous n'avions pas fait l'amour ce "matin" là ni la veille au soir. Elle est donc ressortie, de longues minutes, assez pour que je m'endorme et que seule leur entrée ne me réveille, ce qui a d'ailleurs bien failli faire capoter le plan mais il a fini par piger que j'étais sensé être ivre mort. A mon grand regret j'ai eu un mal fou à discerner le type, selon elle il avait 30 ans ou moins, un peu bedonnant avec un combiné casquette-tshirt-bermuda de mauvais goût.
Mais alors il l'a pilonné comme un athlète... en levrette, en missionnaire où il a même essayé de lui voler un baiser ce qui m'a procuré un plaisir coupable. Il a fini au bout d'environ 30 minutes dans un râle absolument pas retenu, j'ai a-d-o-r-é. Ensuite il est allé se laver dans notre salle de bains pendant que ma copine vidait son paquet de mouchoirs pour s'essuyer... et là surprise, il décide de remettre le couvert. Je dis bien "décide" parce qu'ils ne s'étaient pas dit mot depuis le commencement de leur ébats quand elle lui avait fait comprendre qu'ils utiliseraient une capote, et le voilà qui se pointe sur elle le sexe en érection. Elle était assise sur le lit, il lui a caressé les épaules et les seins avant de vite lui agripper la nuque pour lui obliger ou inciter délicatement à sucer sa verge. Je ne saurais dire si elle n'osait refuser ou bien si elle était aussi excitée que moi mais elle s'est exécutée avec brio, n'arrêtant que quand l'heureux cocufieur y allait trop fort (avec moi elle aurait dit stop bien avant je vous le garantie) pour l'inviter à s'allonger sur le lit afin qu'elle puisse le chevaucher. Elle maîtrisait parfaitement son sujet on aurait pu tourner un super film, une prochaine fois peut-être ? En tout cas cela n'a pas duré longtemps, il l'a vite retourné pour se finir en position du missionnaire, la tête dans ses seins.
Puis il est retourné se laver, se rhabiller et dire adieu à ma belle, et un peu la sienne aussi, en lui arrachant un bref baiser tout en lui pelotant les fesses, fin de l'histoire... pour lui.
Parce que évidemment si elle ne s'était pas rhabillée c'était pour que j'en profite à mon tour. J'avais peur de finir trop vite avec l'excitation qui était à son apogée mais la transpiration et l'odeur du mec sur son corps m'ont bien aidé à retarder l'éjaculation à plusieurs reprises. Et quand on a eu terminé, je crois bien pouvoir affirmer qu'on était plus amoureux que jamais.
Voilà j'espère que ça vous a plu parce que cela m'étonnerait qu'on en reste là !

titigrominet a liké