A; ne voulait pas rester nue comme le désirait D, mais elle avait lu et relu plusieurs fois la lettre dans l'avion et une fois la colère passée au vu des propos que D tenait dans son courrier, une fois encore son excitation était tel que rien ne pouvais plus la faire reculer.
" c'est ça que nous les cocus nous ne savons pas faire; tenir les femmes suffisamant excitées pour obtenir d'elles ce que nous désirons"Déja dans l'avion lorsque il lui était indiqué qu'elle ne devait plus porter de dessous sans que D lui en donne l'ordre, elle avait jugé cette demande un peu ridicule. Rien que le fait de mettre la tenue que V lui avait donné pour partir lui avait demandé un effort surhumain, alors ne rien porter dessous était au dessus de ses moyens.
Seulement voila, une fois le lettre lu, V la lui repris sans faire de commentaires.
- Tu as bien lu la lettre?
- Oui bien sur
- Et alors tu n'oublies rien?
- Non pourquoi?
- Si tu es dans cet avion c'est bien parceque tu désires revoir D?
- Oui mais quel est le rapport?
- Ne joue pas à ça avec moi petite bourgeoise, je sais très bien ce qu'il y a d'inscrit dans cette lettre et j'ai bien vu ta réaction en la lisant. Tu ne peux pas cacher ton excitation, tu as la chair de poule et il ne fait pas froid dans cet avion.
- Oui bien sur, mais j'ai un peu peur; je ne sais pas ce qu'il m'arrive, je ne suis pas comme ça, je suis une femme d'affaire maintenant et c'est moi qui donne des ordres maintenant. Quand j'étais mannequin, tout le monde était à mes pieds et on me passait tout mes caprices.
- Seulement voila, tu te découvres une ame de soumise et tu ne veux pas l'admettre.
- Je ne suis pas soumise!
- Je sais ce qu'il c'est passé au bord du lac, ne le nie pas, tu as aimé cette situation.
- Je ne sais pas.
- Maintenant fait ce qu'il te demande, D n'est pas un homme dangereux et tu as tout à gagner d'être sa maîtresse.
A; voullu ce lever pour se rendre aux toilette.
- Ou vas tu?
- Vous le savez bien, la lettre.
- Tu n'as pas besoin d'aller aux toilettes pour ça, il n'y a pas grand monde dans l'avion et personne ne te vois.
- Et si une hotesse passe.
- Ne t'en fait pas, elles en ont vu d'autres. Deshabille toi!
Heureusement A était coté hublot. Elle retira son chemisier en mousseline pout quitter son sg puis le remis prestemment. En soulevant légèrement les fesses, elle retira son string de dessus son pj.
- Alors comment te sens tu?
- Bizarre....
- tu vois ce n'était pas si dur, ce le sera bien plus lorsque tu devras te mettre nue devant des inconnus!
- Comment?
-Tu verras bien le moment venu, maintenant repose toi et dort un peu.
Je vois que vous me comprenez parfaitement et sachez cher monsieur que je suis comblé. Mon épouse qui au début ne comprenait ma démarche, c’est comment me faire plaisir. Elle connaît tout mes fantasmes, donc elle peut sans retenue me raconter dans les moindres détails ces aventures qui depuis maintenant un peu plus de dix sont innombrables.
A, ne voulant pas sortir sans rien sur son corps D lui proposa un compremis ;
- Ok j’accepte que tu portes quelque chose sur toi mais sache que ce n’est pas gratuit !
- Ah et qu’est ce que je risque ? Pourquoi je dois me plier à toutes tes exigences ? je suis bien venu de Suisse dans le tenue que tu m’a demandé et pourtant je ne suis pas une putain ?
- Tu n’ai pas une putain, mais tu rêves de l’être.
- Ca va pas non !
- Toutes les bourgeoises rêvent de faire la pute !
- Non D, la tu vas trop loin.
- Alors va t’en et vite.
A ; c’est mise à pleurer (A pleure beaucoup, comme une petite fille). Que faire, partir loin et ne plus en parler ? Oui mais d’un autre côté, qu’est ce que je risque ? ( Tiens je crois que A est amoureuse )
Valérie entre à ce moment dans la chambre avec un paréo.
- Tiens met ça et vient
- Il accepte ?
- Oui
- Et c’est quoi le dil ?
- Je te punirai, tu le sais très bien.
- Comment ?
- C’est mon affaire, tu le sauras bien à temps.
- Pourquoi ce n’est pas D qui me puni ?
- Seules les femmes savent comment « corriger » une autre femme.
- Allez viens ne le fait pas attendre.
A ; nouea le paréo sur ses seins et sorti. ( je joins une photo de ses seins qui sont je pense splendides)
Ils visitèrent le domaine et une fois sur la plage, devant ce bleu azur A ; voulu ce baigner. Elle allais ce jeter à l’eau, mais un réflexe la stoppa comme une étincelle.
- D ; je peux me baigner ?
- Demande poliment !
- ?
A ce lance timidement
- D ; Me permettez vous de me baigner ?
- Eh bien voilà, ce n’est pas difficille !tu peux y allez.
- Merci Monsieur.
A enlève son paréo et ce jette dans l’eau. A sa sortie, D lui temps le paréo qu’elle renoue sur ses seins.
A arrive dans sa chambre et prend une douche pour ce rincer. Un moment après V arrive avec une robe du soir, des escarpins et des dessous très chics.
- c’est pour toi ce soir, mais la je dois te corriger.
- Comment ?
- je vais de donner le fouet.
- Je ne vais pas supporter ?
- Si tu veux je peux t’attacher !
- Comment dois je me mettre ?
- Tiens toi debout face à la glace, mets tes mains sur ta tête et écarte les jambes.
A ; pris la position demandé, elle se voyait dans la glace et avait honte. Elle se pris d’un tremblement qui annonce l’excitation .
Elle aperçu V derrière elle avec un long martinet à plusieurs mèches, puis fermant les yeux, elle accusa les premiers coups sans rien dire. Puis les larmes lui vinrent aux yeux et après une douce chaleur lui envahir le corps. Elle était sur le point de jouir quand V stoppa les coups.
- Réveille toi, tu ne dois pas jouir, c’est une punition pas une récompence ! En tout cas D ; ne c’est pas trompé, tu aimes ça, la prochaine fois je pourrais vraiment te fouetter.
A se tourne et se regarde dans la glace. Son dos et ses fesses étaient rouges mais sans marques, juste quelques picottements et une envie de se toucher pour se libérer de toute cette tension.
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