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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
par beauthe
#17988
Je suis marié depuis 20 ans à un ancien mannequin qui n'a rien perdu de sa beauté. Elle est peut être même encore plus belle maintenant. Je n'ai jamais été un amant à la hauteur et peu à peu nos rapports se sont dégradés jusqu'au point de non retour. Je sachant pas comment lui donner du plaisir je lui ai dit qu'elle pouvait prendre un amant. Elle ne voulait pas faire le premier pas, alors, je me suis arrangé pour provoquer cette rencontre. Pour ma femme ce fut vraiment une révélation. Elle à découvert qu'elle était plutôt soumise. Voila pourquoi ça ne pouvait pas marcher avec moi. Je ne suis pas capable de tenir le rôle de celui qui porte la culotte. Petit à petit elle est devenue la chose de cet homme. Moi je suis ravi, ma femme à litéralement changée. Elle assume complétement son rôle. On en parle beaucoup et maintenant qu'elle a compris pourquoi je l'aime ainsi, nous sommes tout les deux plus épanouis. Je me plais à la voir se préparer et pendant ces longues heures d'absences, je fantasme et me livre à des plaisirs solitaires. Nous faisons chambre à part pour que son intimité soit respecté. Mon rôle désormais est de la protéger et de subvenir à ces besoins. Je choisi sa lingerie, mais jamais je ne la vois la porter. Mon plaisir en est encore décupler. Elle doit être vraiment sexy puisqu'au fil du temps, les tenues le sont de plus en plus. De plus avec toute sa finesse, j'aime quand elle me fait comprendre qu'elle a un rendez vous. Ils pratiquent ensemble les jeux les plus érotiques et lorsque je peux écouter discrètement leurs conversations téléphoniques, je me rends bien compte qu'elle lui décrit comment elle a réalisé ce qu'il lui a imposé. J'ai même découvert un livre dans lequel tout est noté. Je n'aurai jamais cru ma femme capable de réaliser de tel scénarios. Finalement je suis heureux d'avoir laissé ma place. Je ne suis pas capable de rendre une femme heureuse en amour, d'autres le font mieux que moi.
Je suis un homme comblé, si vous voullez en savoir plus ou si vous aussi vous avez des envies idendiques, je peux vous aider dans votre démarche. ;)
par visnou65
#17994
Intrigué... j'aimerai en savoir plus sur sa "soumission" et les scénarios que son amant lui impose??? Moi je propose ce que j'appelle des petits "défis" à ma femme; on a certainement des bons échanges de procédé à faire ;) ;)
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par sergio
#18009
Merci beauthe pour cette presentation. Tu me donnes envie d'en savoir plus sur le changement de comportement de ta moitié. :P
par beauthe
#18024
Tout à commencé à Genève. Nous nous étions rendu en Suisse pour que ma belle puisse faire de achats et que nous profitions de cette belle journée pour flaner et faire le point sur notre "future" relation. Toute la journée nous regardions les passant et elle me disait si tel ou tel personne etait "son genre". De toute évidence, elle voullait quelqu'un de plus agé BCBG et cultivé.
Nous avions retenu une chambre à l'hôtel de Grand Bretagne au bord du lac et le soir nous nous sommes installés au bar pour nous détendre. c'est la que assis seul à une table, ma femme à tout de suite flaché sur un homme.
J'étais assez surpris . Il était grand, svelte, pas mal phisyquement mais relativement agé. Je lui ai dit ma surprise sur son choix. Elle me dit qu'au moins elle était sur que ce ne serait pas un voyou ou autre malfaisant.
Seulement voila, comment faire sa connaissance?
Je me suis retiré pour la laisser seule et que le hasard fasse bien les choses. Deux solutions; ou il venait la voir et c'était gagné, ou ce ne serait pas lui.
Le hasard à bien fait les choses.
Ma belle parle parfaitement l'anglais et c'est lorsque ce monsieur à demandé un service au personnel de l'hôtel dans un français approximatif qu'elle est intervenue pour faire la traduction.
Il l'a donc invité à sa table pour la remercier et devant une telle gentillesse du monsieur, elle se laissa séduire.
Il avait remarqué qu'elle était accompagnée, elle me fit donc passé pour un collègue de travail.
Elle s'auto proclamma séparée depuis quelque temps de son maris, le temps de faire un point sur son couple.
par beauthe
#18064
Notre hôtel n’ayant pas de restaurant ils sont partis à Lausanne diner dans une auberge au bord de l’eau.
Il faisait relativement chaud, ma belle choisi une petite robe légère mais très correct pour ne pas trop aguicher, ou gèner son partenanre. La soirée fut très agréable, et tout semblait penser que cela finirait dans une chambre d’hôtel. Il était doux, cultivé et avenant, exactement ce qu’aime Madame.
Après avoir passé de longues heures à parler de tout et de rien, ils sont rentrés à Genève et la surprise ; il la remercia de la soirée et lui souhaita bonne chance dans vie.
Interloquée elle rentra dans la chambre en colère et nous nous sommes disputé. Il m’en voulait de l’avoir entrainé dans mes fantasmes et toutes mes « conneries » comme elle dit. En fait elle était surtout vexée qu’il ne lui propose pas de passer le reste de la nuit ensemble. Elle n’a pas l’habitude qu’on lui refuse quelque chose.
Elle se déshabilla prestemment en jetant ses affaires par terre et enfila un peignoir. Puis passant devant la fenêtre, elle l’apperçu dans son cabriolet en train de fumer une cigarette.
Elle remis sa robe et le rejoint bien décidée d’avoir une explication sur son comportement.
Je me suis mis à la fenêtre pour la surveiller au cas ou elle aurait besoin d’aide.
:|
par visnou65
#18068
Je suspecte que le cabriolet s'est envolé avec ta femme et son amant après que tu aies pu profiter de leurs baisers fougueux...
par beauthe
#18084
Je ne voyais pas trop ce qu’il se passait, mais je l’apercevais faire de grands gestes. Plusieurs fois elle disparu et revint sur ces pas. Je me doutais que les explications devaient êtres houleuses. Ce qui était surprenant c’est qu’il semblait lui être très calme. Il était resté dans sa voiture et elle debout sur le trottoir se penchait de temps à autre. Lorsque le calme revint, il y eu un long moment ou rien ne se passa, ma belle semblait hésiter puis après avoir regardé à droite et à gauche releva sa robe par-dessus ces fesses. J’étais comme un fou, elle n’avait pas remis de dessous pour descendre et la elle montrait son minou dans le rue à un homme qu’elle ne connaissait pas le veille.
Il lui ouvrit la portière droite; elle comme une automate le rejoint dans la voiture qui démarra rapidement.
par beauthe
#18117
Je suis resté des heures à l’attendre. Ce fut un véritable calvaire. Tout me passait par la tête. Puis je me suis couché et lorsqu’au reveil elle n’était toujours pas la, j’ai vraiment eu peur.
Elle est rentrée au petit matin, lasse mais heureuse. Elle sourillait du bout des lèvres et sans un mot, elle s’allongea sur le lit pour dormir.
Je l’ai laissé comme ça sans lui parler et je l’ai regardé dormir. J’étais heureux. Très jaloux de ne pas savoir ce qu’il s’était passé, mais honteux de la situation. Je réalisais que j’étais excité comme jamais et que c’est ça que j’aimais.
Elle n’a pu me raconter que plusieurs jours après ce qu’il s’était passé.
C’était forcément quelque chose de spécial. Pas une simple baise sinon elle m’en aurait parlé tout de suite. Quelque chose avait changé en elle, mais quoi ?

Lorsqu’elle est retournée le voir dans la rue, elle ne pensait pas à ce genre de réaction de sa part. Elle pensait qu’il lui proposerait de monter pour discuter encore et encore, mais quand elle arriva près de la voiture, il la tutoya immédiatement alors que toute la soirée, il s’étaient vouvoyer en parlant soit en français soit en anglais.
- Je savais que tu reviendrais lui dit il d’un ton sec
- Comment pouvez vous en êtes si sur ?
- Parce que tu es frustrée et que tu as envie de moi.
- Pas du tout, vous êtes très agréable mais je ne suis pas une fille facile ;
- Si tu n’étais pas si facile tu ne serais pas descendu à poil sous ta robe !
- Je ne vous permets pas, et je ne suis pas nue.
- Ok, alors remonte ta robe et fait moi voir ta culotte !

Voilà pourquoi il y eu ce long moment ou ma belle ne bougeait plus.
C’est parcequ’elle était dans un état d’excitation terrible et par défi qu’elle s’exécuta.

- Tu es en manque et tu ne te connais pas. Si tu le désires je peux te faire découvrir qui tu es vraiment. Je ne me trompe jamais. De plus tu es vraiment belle et même si notre histoire ne va plus loin, je veux profiter de toi ce soir et te faire jouir comme jamais.
- Vous êtes bien prétentieux, mais moi aussi j’ai envie de vous.
- Alors monte et fais moi confiance.

Il ne sont pas allés très loin, juste au bord du lac un peu en recul de la ville. Ils se sont regardés et D toujours avec autant de calme dans sa voie lui dit de descendre et de se tenir devant la voiture.
Elle s’excécuta sans dire un mot.

- Enlève ta robe !
- Mais si quelqu’un vient ?
- Fait ce que je te demande.
Elle passa sa robe minuscule par-dessus sa tête et apparue nue devant D. Elle se mit à trembler immédiatement mais elle ne savait pas si c’était de froid. Ces gros seins (je vous passerais une photo) lui faisaient mal et ses bouts pointaient outrageusement.

- Ecarte les jambes et carresse toi.

Elle ne l’a jamais fait devant moi ni personne, mais elle s’exécuta.
Elle ne le vit pas sortir de la voiture mais juste au moment ou son plaisir montait elle reçu sur les fesses et le dos une salve de coup de ceinture. Elle jouit comme jamais au point de s’évanouir.

Il l’a prise dans ses bras et mise dans une couverture. Lorsqu’elle reprit ces esprits ils la tenait fort contre lui. La nuit était belle et il ont passés la nuit à discuter de ce qu’elle venait de découvrir.

- Je ne comprend pas ce qui m’arrive ?
- Tu es cérébrale, tu es une femme à fort caractère et ce sont justement ces femmes qui obéissent le mieux.
- Mais vous ne voullez pas me prendre ?
- Si mais pas encore. Tu as besoins de réver et de découvrir des sensations fortes. Si je veux que tu m’obéisses il faut que tu me désires vraiment.
- Je vous désire D, faite de moi ce que vous voullez.
par visnou65
#18138
Je savais Beauthe que la suite serait encore plus forte que le début .... Est-elle retourné le voir? comment s'est passé son éducation? comment se comportait-elle avec toi?
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par sergio
#18148
Sacrée belle femme.
Ton histoire débute très bien. ;)
par beauthe
#18170
D, est un américain vivant partiellement en Suisse. Il est un homme d'affaire très puissant et très riche. Evidemment ça plait énormement à madame........
Je passe sur les nombreux appels téléphoniques qu'ils ont eu et en vient à leur deuxième rencontre.
D avait prévu de l'emmener en WE aux Canaries chez un de ces amis. Je l'ai donc conduite à l'aéroport de Genève ou ils avaient rdv. Il lui avait indiqué de ne pas prendre de bagages, tout était organisé sur place. Elle n'avait donc qu'un petit sac pour ses affaires ientimes et sur elle un jeans et un petit haut blanc.
Arrivé dans le hall, nous fument surpris de voir une femme avec un panneau sur lequel était inscrit le non de ma belle.
Elle s'e désigna à cette personne et après un petit moment me fit un signe de la main pour me dire aurevoir.
Un peu rapide comme aurevoir alors je les ai suivi du regard jusqu"a ce qu'il disparaisse derrière une porte.
Je me suis installé au bar pour boire un café et au moment ou j'allais partir ma belle repassa non loin de moi toujours accompagné de la jeune femme mais complètement changée.

Elle portait une jupe noire très courte, un haut en mousseline noir transparent, des escarpins noir à hauts talons et des vrais bas de soie. ( je m'en suis apperçu lorsque les suivant un peu de loin, ma belle s'est baissé en passant la porte de l'embarquement) j'ai eu juste le temps d'appercevoir le haut d'un bas tenu par une bride de porte jarretelle. Elle n'avait plus son petit sac et c'était la jeune femme qui avait son passeport.
J'ai eu un mauvais sentiment, comme si je ne la reverrais jamais.
J'ai appris à son retour, qu'elle avait voyagée seule avec cette femme. D était déjà sur place et cette femme est une amie de D.
Il ne sais pas passé grand chose dans l'avion. Ma belle était mal à l'aise dans sa tenue provocante, mais en première classe il n'y a pas grand monde.
la jeune femme remis à ma belle une lettre de D qu'elle lu avec attention. Il y avait tout un tas de recommandations et d'exigences, nottament d'obéir en tout point à lui et à cette femme à chaques fois qu'elles étaient ensembles.
Ma belle était gènée puisque la jeune femme semblait bien plus jeune qu"elle.
Arrivées aux Canaries, elles prirent un taxi pour se rendre à l'adresse indiquée sur la lettre.
C'était une demeure splendide au bord de la mer. Des domestiques les attendaient et elles furent conduites dans la maison. D était la. Ma belle voullu lui sauter dans les bras mais D fit un signe aux domestiques qui la reteint. Ensuite ils se rendirent dans une chambre pour qu'elle puissent prendre un bain et se rafraichir. Ma belle une fois nue pris un bain. la jeune femme une douche. Ensuite la jeune femme demanda à ma belle de s"épiller le minou complètement et d'attendre D.
Quand D arriva dans la chambre, ma belle avait mis autour de sa poitrine une serviette éponge. D l'embrassa et lui retira la serviette .
- Tu n'a pas besoin de çà; je te veux nue comme le jour de ta naissance. Ici tu ne portera qu'un petit collier que je te remets. Il était tout en finesse, juste une petite chaine d'or avec un A comme Agnes, ma belle, en pendentif.
- Ne sois pas gènée avec les domestiques, ils ont l'habitude. Valérie, (la jeune femme) restera avec toi tout le temps et c'est elle qui si tu ne fais pas ce que je demande, te punirra. Maintenant viens, je vais te faire visiter la propriété.
par visnou65
#18174
génial, je ne m'attendais pas à cette suite ... j'adore l'idée de la libertine qui se retrouve sous l'emprise de son amant :) :)
Ce séjour aux Caraïbes promet de beaux rebondissements
par beauthe
#18201
A; ne voulait pas rester nue comme le désirait D, mais elle avait lu et relu plusieurs fois la lettre dans l'avion et une fois la colère passée au vu des propos que D tenait dans son courrier, une fois encore son excitation était tel que rien ne pouvais plus la faire reculer. [i]" c'est ça que nous les cocus nous ne savons pas faire; tenir les femmes suffisamant excitées pour obtenir d'elles ce que nous désirons"[/i]
Déja dans l'avion lorsque il lui était indiqué qu'elle ne devait plus porter de dessous sans que D lui en donne l'ordre, elle avait jugé cette demande un peu ridicule. Rien que le fait de mettre la tenue que V lui avait donné pour partir lui avait demandé un effort surhumain, alors ne rien porter dessous était au dessus de ses moyens.
Seulement voila, une fois le lettre lu, V la lui repris sans faire de commentaires.
- Tu as bien lu la lettre?
- Oui bien sur
- Et alors tu n'oublies rien?
- Non pourquoi?
- Si tu es dans cet avion c'est bien parceque tu désires revoir D?
- Oui mais quel est le rapport?
- Ne joue pas à ça avec moi petite bourgeoise, je sais très bien ce qu'il y a d'inscrit dans cette lettre et j'ai bien vu ta réaction en la lisant. Tu ne peux pas cacher ton excitation, tu as la chair de poule et il ne fait pas froid dans cet avion.
- Oui bien sur, mais j'ai un peu peur; je ne sais pas ce qu'il m'arrive, je ne suis pas comme ça, je suis une femme d'affaire maintenant et c'est moi qui donne des ordres maintenant. Quand j'étais mannequin, tout le monde était à mes pieds et on me passait tout mes caprices.
- Seulement voila, tu te découvres une ame de soumise et tu ne veux pas l'admettre.
- Je ne suis pas soumise!
- Je sais ce qu'il c'est passé au bord du lac, ne le nie pas, tu as aimé cette situation.
- Je ne sais pas.
- Maintenant fait ce qu'il te demande, D n'est pas un homme dangereux et tu as tout à gagner d'être sa maîtresse.

A; voullu ce lever pour se rendre aux toilette.

- Ou vas tu?
- Vous le savez bien, la lettre.
- Tu n'as pas besoin d'aller aux toilettes pour ça, il n'y a pas grand monde dans l'avion et personne ne te vois.
- Et si une hotesse passe.
- Ne t'en fait pas, elles en ont vu d'autres. Deshabille toi!
Heureusement A était coté hublot. Elle retira son chemisier en mousseline pout quitter son sg puis le remis prestemment. En soulevant légèrement les fesses, elle retira son string de dessus son pj.
- Alors comment te sens tu?
- Bizarre....
- tu vois ce n'était pas si dur, ce le sera bien plus lorsque tu devras te mettre nue devant des inconnus!
- Comment?
-Tu verras bien le moment venu, maintenant repose toi et dort un peu. :!:
par visnou65
#18216
Quelle véritée que de dire " c'est ça que nous les cocus nous ne savons pas faire; tenir les femmes suffisamment excitées pour obtenir d'elles ce que nous désirons"!!!

Pour être cocu (surtout) mais avoir été cocufieur également, c'est incroyable ce qu'une femme adultère accepte de son amant que son mari ne puisse lui demander !!!! ET que c'est bon de savoir qu'il en va de même avec sa propre femme ...

Comment s'est passé la suite du séjour aux Canaries?
par beauthe
#18232
A; ne voulait pas rester nue comme le désirait D, mais elle avait lu et relu plusieurs fois la lettre dans l'avion et une fois la colère passée au vu des propos que D tenait dans son courrier, une fois encore son excitation était tel que rien ne pouvais plus la faire reculer. " c'est ça que nous les cocus nous ne savons pas faire; tenir les femmes suffisamant excitées pour obtenir d'elles ce que nous désirons"
Déja dans l'avion lorsque il lui était indiqué qu'elle ne devait plus porter de dessous sans que D lui en donne l'ordre, elle avait jugé cette demande un peu ridicule. Rien que le fait de mettre la tenue que V lui avait donné pour partir lui avait demandé un effort surhumain, alors ne rien porter dessous était au dessus de ses moyens.
Seulement voila, une fois le lettre lu, V la lui repris sans faire de commentaires.
- Tu as bien lu la lettre?
- Oui bien sur
- Et alors tu n'oublies rien?
- Non pourquoi?
- Si tu es dans cet avion c'est bien parceque tu désires revoir D?
- Oui mais quel est le rapport?
- Ne joue pas à ça avec moi petite bourgeoise, je sais très bien ce qu'il y a d'inscrit dans cette lettre et j'ai bien vu ta réaction en la lisant. Tu ne peux pas cacher ton excitation, tu as la chair de poule et il ne fait pas froid dans cet avion.
- Oui bien sur, mais j'ai un peu peur; je ne sais pas ce qu'il m'arrive, je ne suis pas comme ça, je suis une femme d'affaire maintenant et c'est moi qui donne des ordres maintenant. Quand j'étais mannequin, tout le monde était à mes pieds et on me passait tout mes caprices.
- Seulement voila, tu te découvres une ame de soumise et tu ne veux pas l'admettre.
- Je ne suis pas soumise!
- Je sais ce qu'il c'est passé au bord du lac, ne le nie pas, tu as aimé cette situation.
- Je ne sais pas.
- Maintenant fait ce qu'il te demande, D n'est pas un homme dangereux et tu as tout à gagner d'être sa maîtresse.

A; voullu ce lever pour se rendre aux toilette.

- Ou vas tu?
- Vous le savez bien, la lettre.
- Tu n'as pas besoin d'aller aux toilettes pour ça, il n'y a pas grand monde dans l'avion et personne ne te vois.
- Et si une hotesse passe.
- Ne t'en fait pas, elles en ont vu d'autres. Deshabille toi!
Heureusement A était coté hublot. Elle retira son chemisier en mousseline pout quitter son sg puis le remis prestemment. En soulevant légèrement les fesses, elle retira son string de dessus son pj.
- Alors comment te sens tu?
- Bizarre....
- tu vois ce n'était pas si dur, ce le sera bien plus lorsque tu devras te mettre nue devant des inconnus!
- Comment?
-Tu verras bien le moment venu, maintenant repose toi et dort un peu.


Je vois que vous me comprenez parfaitement et sachez cher monsieur que je suis comblé. Mon épouse qui au début ne comprenait ma démarche, c’est comment me faire plaisir. Elle connaît tout mes fantasmes, donc elle peut sans retenue me raconter dans les moindres détails ces aventures qui depuis maintenant un peu plus de dix sont innombrables.

A, ne voulant pas sortir sans rien sur son corps D lui proposa un compremis ;
- Ok j’accepte que tu portes quelque chose sur toi mais sache que ce n’est pas gratuit !
- Ah et qu’est ce que je risque ? Pourquoi je dois me plier à toutes tes exigences ? je suis bien venu de Suisse dans le tenue que tu m’a demandé et pourtant je ne suis pas une putain ?
- Tu n’ai pas une putain, mais tu rêves de l’être.
- Ca va pas non !
- Toutes les bourgeoises rêvent de faire la pute !
- Non D, la tu vas trop loin.
- Alors va t’en et vite.

A ; c’est mise à pleurer (A pleure beaucoup, comme une petite fille). Que faire, partir loin et ne plus en parler ? Oui mais d’un autre côté, qu’est ce que je risque ? ( Tiens je crois que A est amoureuse )

Valérie entre à ce moment dans la chambre avec un paréo.
- Tiens met ça et vient
- Il accepte ?
- Oui
- Et c’est quoi le dil ?
- Je te punirai, tu le sais très bien.
- Comment ?
- C’est mon affaire, tu le sauras bien à temps.
- Pourquoi ce n’est pas D qui me puni ?
- Seules les femmes savent comment « corriger » une autre femme.
- Allez viens ne le fait pas attendre.
A ; nouea le paréo sur ses seins et sorti. ( je joins une photo de ses seins qui sont je pense splendides)

Ils visitèrent le domaine et une fois sur la plage, devant ce bleu azur A ; voulu ce baigner. Elle allais ce jeter à l’eau, mais un réflexe la stoppa comme une étincelle.

- D ; je peux me baigner ?
- Demande poliment !
- ?
A ce lance timidement

- D ; Me permettez vous de me baigner ?
- Eh bien voilà, ce n’est pas difficille !tu peux y allez.
- Merci Monsieur.
A enlève son paréo et ce jette dans l’eau. A sa sortie, D lui temps le paréo qu’elle renoue sur ses seins.

A arrive dans sa chambre et prend une douche pour ce rincer. Un moment après V arrive avec une robe du soir, des escarpins et des dessous très chics.
- c’est pour toi ce soir, mais la je dois te corriger.
- Comment ?
- je vais de donner le fouet.
- Je ne vais pas supporter ?
- Si tu veux je peux t’attacher !
- Comment dois je me mettre ?
- Tiens toi debout face à la glace, mets tes mains sur ta tête et écarte les jambes.

A ; pris la position demandé, elle se voyait dans la glace et avait honte. Elle se pris d’un tremblement qui annonce l’excitation .
Elle aperçu V derrière elle avec un long martinet à plusieurs mèches, puis fermant les yeux, elle accusa les premiers coups sans rien dire. Puis les larmes lui vinrent aux yeux et après une douce chaleur lui envahir le corps. Elle était sur le point de jouir quand V stoppa les coups.

- Réveille toi, tu ne dois pas jouir, c’est une punition pas une récompence ! En tout cas D ; ne c’est pas trompé, tu aimes ça, la prochaine fois je pourrais vraiment te fouetter.
A se tourne et se regarde dans la glace. Son dos et ses fesses étaient rouges mais sans marques, juste quelques picottements et une envie de se toucher pour se libérer de toute cette tension.
DSC05047.JPG
par beauthe
#18244
Non Monsieur, vous n'avez pas très bien compris la situation.
D, ne parle pas très bien le français et le serveur ce soir à l'hôtel ne parlais pas l'anglais. Donc A faisait la traduction franco/ anglaise.
De plus l'accent texan, moi qui parle anglais et incompréensible. Si on ne parle pas la langue parfaitement c'est très difficile de suivre une conversation. :(
par beauthe
#18263
Merci Monsieur pour votre compréhension.
Il est vrai que cette histoire ressemble à un roman imaginaire. Vous êtes seul juge de vos sentiments.
Moi je vis un conte de fée avec ma belle et je vous souhaite en vivre autant que moi. je vous livre une fin provisoire de cette histoire maid j'ai telement de choses à raconter que je reste à la disposition de tous pour vous raconter comment ma belle à vécu (si elle la réellement vécu) telle ou telle situation.
Amitié de cocu comblé.
:roll:



Le reste du week end se déroula sans autres incidents. Les propriétaires de la maisons n’étaient pas la en ce moment, ils étaient donc seuls avec les domestiques.
A ; pris l’habitude d’être nue devant eux. Elle y était de plus obligée puisque plusieurs fois elle s’est faite masser au bord de la piscine par V.

Elle se baignait et bronzait nue, donc quand ils apportaient à boire ou autres ; ils la voyaient forcemment.

D ; ne lui demanda rien d’extravagant le reste du temps. Par contre ce qui était étrange c’est qu’il ne lui proposa jamais de « coucher » ensemble.
Elle ne connaissait que ses mains et ses longs doigts agiles qui la caressent si bien.

La nuit, elle dormait seule dans sa chambre après que V est vérifié que ma belle soit lavée et enduite d’huile d’amandes douces. ( Elle à toujours fait ça, et sa peau est douce comme celle d’un bébé)

Le matin c’est encore V qui la levait, lui faisait couler un bain, la maquillait et l’épilait. Après elles déjeunaient ensemble au bord de la piscine.
D. ne se levait que très tard et ils ne se voyaient que dans la soirée.

Ils sont revenus le lundi soir, je suis venue la chercher à Genève, elle était seule ; juste avec son jeans , son chemisier blanc et son petit sac du départ.
Nous nous sommes embrassés et elle m’a remercié de lui avoir fait connaître tout ça.

A est sous le joug de D depuis 10 ans et leur relation même si parfois il y a des claches et toujours aussi fusionnelle. A à beaucoup appris
Elle aime son corps et aime faire l’amour, autant avec un homme qu’avec une femme. Les rapports ne sont pas les mêmes. Des hommes elle prend la puissance et la bestialité. Des femmes elle prend la douceur et les caresses.
V lui manque un peu, finalement elle l’aimait bien. Cette jeune femme bien que plus jeune était d’une assurance remarquable. Elle était douce et autoritaire et A aimait lui obéir. Tout lui semblait plus facile en sa présence. Lorsque A devait se mettre nue en public par exemple, il lui semblait que ce n’était pas elle qui le faisait, son corps ne lui appartenant plus, elle était une autre que V dirigeait. Et ses mains si douces qui massaient si bien. Même ses coups qui parfois la marquaient fort étaient un véritable délice.

Depuis D me connaît et comprend très bien la situation. Il ne cherche pas à savoir si je suis au courant des situations qu’il vit avec ma belle et A ne lui raconte non plus pas tout ce qu’elle fait sans lui. Je pense qu’il s’en doute, mais comme moi ferme les yeux. A accepte tout de lui donc pas de problème, il est satisfait.
Encore une fois, moi je me régale tout les jours de ses aventures.
Ce soir par exemple, nous nous rendons à une soirée de gala. A ; sera très belle et très sexy. Je suis sur qu’elle sera le centre de tout les regards. Elle ne repartira pas avec quelqu’un d’autre que moi mais je suis sur qu’il se passera une chose qui me mettra dans tous mes états.
je lui fait confiance. ;)
par visnou65
#18275
Moi, je trouve que ton récit sent le vécu ... le serait curieux de savoir dans quelles circonstances D exhibe ta femme en public et si A a progressé dans son initiation à la domination ...
par beauthe
#18457
Merci Vinous pour ton message.
A; à été montrée de nombreuses fois en public. les premières fois toujours avec V. C'est elle qui d'ailleur la prépara à cette première fois.
C'était dans une soirée privée en suisse. Comme de coutume j'emmenais ma belle en voiture, nous nous rendions sur le lieu de rdv, presque toujours au Grande bretagne ou au Worwik en face de la gare.
La elle se rendait à l'accueil, une chambre lui était réservée, elle s'y installait en attendant "les ordres"
Elle savait qu'ils se rendraient à une soirée mais ne savait pas ce qui c'y passerait.
V est arrivée un peu plus tard, elles se sont embrassées et parlé de tout et de rien. "Je ne vous étonnerais pas en vous précisant que V est une vrai dominatrice."
- D viens me chercher ce soir?
- Non, nous nous rendons à la soirée en taxi, c'est moi qui te conduit.
- Tu sais je suppose quelle genre de soirée c'est?
- Oui, c'est chez moi.
- Ah bon, tu habite ou?
- Pas très loin d'ici dans les hauteurs de Genève;
- Et quelle genre de soirée se sera?
- Un peu spécial, tu connais les rituels des messes noires.
- Non pas du tout.
- Alors je ne t'en parle pas tu verras sur place. de toute façon se sera toi la vedette, tu as de la chance.
- Oui ça dépend!!!!!!!
- Allez déshabille toi que je te prépare;
- Je suis épilée et parfumée, je porte des bas. J'ai juste mon string à enlever.
- Parfait, on file chez une amie pour t’habiller, ensuite on va chez moi .
_ Qui est ce ?
- Une amie qui possède une boutique sexy ;
- Ah non,Quelle genre de tenue je vais mettre encore,
- Tu as fini de te plaindre ?
- Mais j’en ai marre, je suis assez sexy comme ça.
- Ne soit pas ridicule, beaucoups de femme aimerais être la maîtresse de D. Grace à lui tu as découvert la soumission, tu n’étais pas heureuse sexuellement. Maintenant tu es libre dans tête, tu as pu faire abstraction de tout ce qui te dérangeait et tes tabous sont envolés. Il te reste encore des choses à découvrir afin de te libérer complètement et ce que tu va vire aujourd’hui et encore une autre étape vers ta soumission.
-Le pire c’est que tu as raison, je m’en veux terriblemment de réagir comme ça mais c’est plus fort que moi.

A et V se rendirent en taxi dans la boutique du centre ville. Effectivement les tenues exposées sont plus que provoquantes.
La patronne est une dame d’une cinquantaine d’année, il y a une vendeuse de trente ans environ.
Plusieurs clientes étaient présentent et deux hommes les accompagnaient.
La patronne fit un signe à la vendeuse qui accompagna A et V au fond de la boutique.
- les affaires sont la Madame.
- Bien fait V ; aller A met toi à poil
- Mais il n’y a pas de cabines ?
- Tu n’en as pas besoin pour une fois qu’il y a une jolie cliente ; les clients pourront se rincer l’œil .
Premier éffeuillage de ma belle en public. Elle m’a raconté qu’elle avait eu la honte de sa vie mais qu’une fois nue elle à retrouvé une certaine fièreté d’antant plus que la vendeuse l’a complimenté sur son corps.

La tenue proposée par la boutique était composée d’un corcet à lacets, de bas autofixants et d’une cape à capuche . Des petites bottines à lacets à très hauts talons et d’un collier en cuir avec une petite boucle. Ensuite, V lui fixa une chaine en guise de laisse.
- Tu es splendide A ; j’espère que D te fera mettre un anneau aux tétons et au clito bientôt .
Cette fois elles se rendirent chez V ou les attendait D. Il ne voullut pas la voir tout de suite. Il préfèrait la voir au moment de la présentation.
A se rendit compte qu’il y avait du monde à côté et commençait à s’affoller.
Après avoir passé environ une heure dans une chambre, les deux femmes sont revenus. V la conduisit jusqu’au salon en la tenant par la laisse et lorqu’elles furent à côté de D, A sa senti une peu plus rassurée. Elle avait tèllement envie de le revoir et de lui plaire qu’elle était maintenant prette à tout.
D s’adressa à ses amis et leur présenta A. Ma belle était très fière même sachant qu’elle était nue sous sa cape. Le principal était de retrouver son amant et de lui faire plaisir.
Ensuite V la fit monter sur une petite estrade et demanda à tout le monde de s’asseoir.
Elle leur expliqua que A serait la reine de la soirée et que son amant proposait de la mettre aux enchères. Celui qui la remporterait l’aurait pour la soirée.
Ma belle crue s’évanouir. V s’en apperçue et la rassura. En lui chuchottant de ne pas s’en faire car ce n’était qu’un jeu.
Puis V commença les enchères. A cherchait des yeux son amant.
Il était assis au fond et ne disait rien.
Puis V retira la cape de A et ma belle apparue nue. Sa laisse pendait entre ses seins jusque vers son ventre ; Sa respiration devenait de plus en plus forte, signe de la venue de son excitation.
Les enchères montaient toujours, V la retournait pour la montrer des deux cotés et ventait ses charmes.
Puis les enchères se sont terminées. D n’avait toujours rien dit.
A fu adjugée à une homme d’une cinquantaine d’années.
Lorsqu’il la prise par sa laisse A regarda D en pleurant.
L’homme la toucha de partout et A s’apperçue qu’elle mouillait de plus en plus.
Ensuite D se leva et vint l’embrasser. Elle se laissa fondre sous son baisé et lorsque l’homme la plia pour la prendre en levrette ; elle se laissa faire en tenant très fort son amant. Après quelques va et vient elle jouie une fois de plus comme une folle.
A venait de se faire baiser pour la première fois par un inconnu et en public.
Après l’homme remercia D, V emmena A dans la chambre pour se reposer et se changer. Une fois lavée et habillée, elle retrouva son amant dans le salon. Tout le monde était partit à l’exception d’une femme, la patronne de la boutique, l’amie de V et propriétaire de la maison.
Quand j’ai récupéré ma belle elle avait dans son sac une enveloppe dans laquelle se trouvait la somme des enchères. :roll:
par beauthe
#18685
En réponse à vinous qui veux savoir comment D ; montre ma belle en public ; voici une autre de ses aventures.
Ils partent très souvent en vacances ensemble. Une de leur destination fétiche au printemps et le Cap Vert.
Ils descendent toujours dans le même palace et A ; y à maintenant ces habitudes.
Elle a à disposition un grand bungalow avec un bain à remous un lit immence, une belle terrasse face à la mer ou elle passe de longues heures à bronzer.
L’équipe de l’hôtel est composée de gens du pays et plusieurs domestiques sont attitrés au service de A. Femme de chambre, masseuse etc.
A ; voulait faire une excurcion à cheval. D ; est trop agé et ne veut pas prendre le risque de tomber. C’est donc un local qui accompagne A. Le guide et un black assez jeune. A ; est habillée d’un short et d’une chemise. Après plusieurs heures de promenade, il arrive au bord de la mer et A aurait bien aimer se baigner mais le présence du guide l’en empèchait. Alors elle se rafraichi un peu en se mouillant les jambes et la nuque. Le black la regardait avec insistance et A ; s’apperçu qu’il bandait très fort.
En rentrant à l’hôtel, D ; les attendait en buvant un verre sur la terrasse. A ; voulu prendre une douche.
D ; offra à boire au black qui accepta volontiers. Après avoir discuté de la journée passée ; le black dit à D qu’il avait de la chance d’avoir une femme comme A.
D ; lui dit qu’elle n’était pas sa femme mais sa maîtresse. Son mari était courant et aimait être cocu. Il avait fait de A ; sa soumise et elle était pleinement épanouie.
Le black n’en revenait pas et il avait du mal à croire qu’une fille comme A, puisse être soumise.
A ; revint sur la terrasse dans un peignoir en voile. En appercevant le guide elle voulu faire demi tour mais D la rappella à l’ordre.
- reste la ; je veux que tu fasses plaisir à ton guide. Tu lui plais beaucoup et je suis sur qu’il aimerait bien te voir un peu plus.
A ; se tenait debout devant la porte. Elle s’avança vers son Maître. D la retourna pour faire face au black. Celui-ci ouvrait grand ses yeux et avait du mal à cacher son érection.
D ; retira le peignoir de A. Le black sorti sa queue qui lui faisait surement mal dans son pantalon.
A ; la regarda impréssionnée. Elle n’avait jamais vu une queue aussi grande et elle se mis à trembler d’excitation.
D demanda au black si il voulait la toucher. Il ne se fit pas prier puis il demanda à D si il pouvait la baiser.
D refusa mais dit à A de prendre la queue et de le sucer.
Elle se mi t à genoux et pris la bite à pleine bouche. Elle était tellement grosse que A ; avait du mal à l’avaler. Le black n’a pas pu resister et éjacula sur les seins de A en grande quantité. A lui nettoya la queue avec la bouche et lui remis dans son pantalon.
Le black remercia D et se proposa de revenir quand ils voudraient. D lui dit que non et de pas raconter son aventure aux autres . De toute façon personne ne le croirait.
Le black lui dit qu’il garderait se souvenir toute sa vie et remarçia encore A.
D embrassa sa soumise et lui dit de vit aller se laver, ce qu’elle fit au plus vite.
:oops:
par visnou65
#18781
beauthe a écrit :En réponse à vinous qui veux savoir comment D ; montre ma belle en public ; voici une autre de ses aventures.
Ils partent très souvent en vacances ensemble. Une de leur destination fétiche au printemps et le Cap Vert.
Ils descendent toujours dans le même palace et A ; y à maintenant ces habitudes.
Elle a à disposition un grand bungalow avec un bain à remous un lit immence, une belle terrasse face à la mer ou elle passe de longues heures à bronzer.
L’équipe de l’hôtel est composée de gens du pays et plusieurs domestiques sont attitrés au service de A. Femme de chambre, masseuse etc.
A ; voulait faire une excurcion à cheval. D ; est trop agé et ne veut pas prendre le risque de tomber. C’est donc un local qui accompagne A. Le guide et un black assez jeune. A ; est habillée d’un short et d’une chemise. Après plusieurs heures de promenade, il arrive au bord de la mer et A aurait bien aimer se baigner mais le présence du guide l’en empèchait. Alors elle se rafraichi un peu en se mouillant les jambes et la nuque. Le black la regardait avec insistance et A ; s’apperçu qu’il bandait très fort.
En rentrant à l’hôtel, D ; les attendait en buvant un verre sur la terrasse. A ; voulu prendre une douche.
D ; offra à boire au black qui accepta volontiers. Après avoir discuté de la journée passée ; le black dit à D qu’il avait de la chance d’avoir une femme comme A.
D ; lui dit qu’elle n’était pas sa femme mais sa maîtresse. Son mari était courant et aimait être cocu. Il avait fait de A ; sa soumise et elle était pleinement épanouie.
Le black n’en revenait pas et il avait du mal à croire qu’une fille comme A, puisse être soumise.
A ; revint sur la terrasse dans un peignoir en voile. En appercevant le guide elle voulu faire demi tour mais D la rappella à l’ordre.
- reste la ; je veux que tu fasses plaisir à ton guide. Tu lui plais beaucoup et je suis sur qu’il aimerait bien te voir un peu plus.
A ; se tenait debout devant la porte. Elle s’avança vers son Maître. D la retourna pour faire face au black. Celui-ci ouvrait grand ses yeux et avait du mal à cacher son érection.
D ; retira le peignoir de A. Le black sorti sa queue qui lui faisait surement mal dans son pantalon.
A ; la regarda impréssionnée. Elle n’avait jamais vu une queue aussi grande et elle se mis à trembler d’excitation.
D demanda au black si il voulait la toucher. Il ne se fit pas prier puis il demanda à D si il pouvait la baiser.
D refusa mais dit à A de prendre la queue et de le sucer.
Elle se mi t à genoux et pris la bite à pleine bouche. Elle était tellement grosse que A ; avait du mal à l’avaler. Le black n’a pas pu resister et éjacula sur les seins de A en grande quantité. A lui nettoya la queue avec la bouche et lui remis dans son pantalon.
Le black remercia D et se proposa de revenir quand ils voudraient. D lui dit que non et de pas raconter son aventure aux autres . De toute façon personne ne le croirait.
Le black lui dit qu’il garderait se souvenir toute sa vie et remarçia encore A.
D embrassa sa soumise et lui dit de vit aller se laver, ce qu’elle fit au plus vite.
:oops:


Merci pour ces récits très excitant Beauthe... quelle femme délicieuse.
Ton histoire me rappelle le plaisir que m'a rapporté ma femme d'un de ses amants qui avait de l'influence sur elle, qui dans ses actes sexuels lui baffait ses seins ... elle qui de nature n'est pas une soumise du tout, prenait du plaisir ... Bon, a ma connaissance il n'y eu qu'un seul amant avec ce profil et le tout très loin de ce que tu nous racontes.

T'a-elle donné quelques détails de la domination qu'exerce V sur elle... j'adore la dominqtion femme sur femme.

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