Je suis bien d'accord. Je n'avais d'ailleurs pas vu vos posts.
Voila le récit de notre dernière escapade chez le "régulier" de Madame, qui totalise maintenant 4 saillies.
Retour chez Lui pour une 4ème visite. Elle est réticente et se fait forcer la main, comme d’habitude quand on est resté trop longtemps sans faire de cochonneries. Elle a refusé de mettre sa robe blanche nue dessous et porte une petite robe noire qui a déjà fait ses preuves. Pas de soutif, une culotte froufroutante rouge et des dim up noirs également. On prend la route vers 22H. Arrivé chez lui, nous nous installons au salon pour discuter autour d’un verre. Nous discutons de nos quelques aventures depuis notre dernière visite, il y a plus d’un an déjà. Nous passons en revue nos deux décevantes visites au WE, quelques-unes (décevantes aussi aux Chandelles), les plages naturistes dans le sud (très bien), un club en vacances (naze), une visite chez MasseurSensuel (réussie), et retour aux valeurs sures.
Une vingtaine de minutes de discussion, j’ai raconté qu’elle n’avait pas osé mettre sa robe blanche, elle promet de la mettre la prochaine fois. Je la fais se lever devant nous et glisse mes mains sous sa robe pour baisser sa culotte. Elle dégage ses pieds, il lui prend la main et l’entraine vers la chambre. Je les laisse prendre de l’avance, elle me glisse un regard de biche affolée en passant l’encadrement de la porte. Ils sont à coté, je ronge mon frein pour les laisser démarrer en imaginant ce qu’ils font. Les minutes passent, je ne vais pas tenir longtemps…
Je finis par me lever et avancer silencieusement vers la porte restée ouverte. Ils sont étendus sur le dos, nus, elle tient sa queue dans sa main, et la sienne est entre ses cuisses largement ouvertes. Je contourne le lit, me dévêtis rapidement et m’allonge près d’eux. Elle l’attire par la queue entre ses cuisses qu’elle remonte. Il comprend le message, enfile une capote et s’enfonce dans la chatte bien lubrifiée. Il lime tranquillement, lui demande si elle aime. Elle souffle sous les coups de bite, mais fini par gémir un « oui » à la question qui revient. Je prends ses nichons dans mes mains, elle prend le relais pour se tirer sur les tétons quand je les lâche. Il lui en fait la remarque, elle pousse bien son cul au-devant de la queue qui la prend sans relâche. Je lui dis qu’elle a envie d’être bien dérouiller, il ne se prive pas. Au bout d’un moment, il lui remonte une cuisse pour la prendre de côté, je vois bien sa bite qui rentre sans effort, elle penche la tête pour regarder aussi. Il fini par la retourner en levrette, j’en profite pour lubrifier son cul avec le gel que j’ai dans la poche de mon pantalon au pied du lit. Il s’enfile et elle creuse bien les reins. Ses tétons frôlent le drap, je les martyrise, elle jouit mais n’arrête pas le mouvement. Il la remet les cuisses en l’air, elle tire sur ses hanches pour le prendre plus profond. On échange quels mots biens salaces. « Elle aime bien ça la salope. » « Elle pousse bien pour la prendre au fond. » « Qu’est-ce qu’elle est bonne bien large comme ça. »
La rotation des positions continue. Sur le côté, encore en levrette, il lui claque la fesse, je lui dis qu’elle adore ça, il ne se prive pas. Elle se fait copieusement claquer le cul, et elle pousse bien pour se faire défoncer. Je lui dis qu’elle aime bien se faire prendre le cul aussi, elle n’ose pas se laisser aller à se faire enculer (pas encore…) mais il lui enfonce le pouce dans l’anus en la limant bien à fond, elle en tremble. Retour sur le dos, elle a déjà joui deux fois, elle lui demande de venir. Il l’a fait répéter, accélère le mouvement, et se vide dans sa capote bien au fond de la chatte défoncée. Ça a duré plus d’une heure.
On rassemble nos affaires pour repasser au salon finir notre verre et reprendre notre souffle. Quelques minutes pour se promettre qu’on n’attendra pas si longtemps avant de se revoir, un petit baiser, et nous revoilà dans le froid pour rentrer chez nous.
A l’arrivée, nous sautons au lit pour revivre le tout, qu’elle me raconte (avec réticence) les minutes où je les ai laissés seuls, et pour m’enfoncer et me vider dans sa chatte encore toute élargie…
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