- 28 sept. 2015, 17:25
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Notre propre mariage reste un souvenir fort, pour l’un comme pour l’autre.
Agathe était, déjà à cette époque, bisexuelle et entretenait, lorsque je l’ai connue, une relation très forte avec sa meilleure copine d’enfance, Aline.
Elle s’est très honnêtement ouverte à moi sur cet aspect de sa sexualité, je ne lui ai jamais posé d’interdit. Nous formions ainsi un « trio » amoureux, sans pour autant qu’il ne se soit jamais rien passé entre Aline et moi.
Quand est arrivé le projet du mariage, Aline fut, d’un commun accord, la témoin toute désignée d’Agathe.
La veille du dit mariage, lors de l’essayage de la robe de mariée, les deux filles se retrouvent enlacées dans une étreinte amoureuse et Aline suggère à Agathe un petit scénario que je ne découvrirai, pour ma part, que le jour « J ».
Sous sa robe de mariée, Agathe sera nue, ce qui s’imposait pour le haut, au regard de la robe choisie pour ce mois de juillet, mais nullement pour le bas…
Banal, me direz-vous.
Ce qui l’est moins, c’est que la douce Aline, se dévoilant sous un jour que nous ne lui connaissions pas, demande à Agathe un gage d’amour assez particulier en la circonstance : Agathe portera, suspendu aux deux anneaux sexuels qui ornent ses petits lèvres, un petit cadenas en laiton, dont seule Agathe aura la clé.
Je serai mis dans la confidence par Aline quelques instants avant de pénétrer à la Mairie.
Savoir sa promise ainsi ornée pour la cérémonie est une sensation très particulière, mais, avouons-le, très agréable aussi.
Agathe me confie, à l’oreille, ses sensations, Aline passe son temps à nous faire des sourires entendus.
A un moment de la soirée, les deux filles disparaissent quelques minutes : je saurai après qu’elles avaient besoin de ce temps pour une dernière étreinte amoureuse et sceller leur dernier deal.
Quand viendra l’heure, pour les mariés que nous étions, de nous éclipser de la salle, c’est avec Aline que nous le ferons. Et, pour cette nuit de noce si particulière, Agathe, nue, à l’exception de son ornement si particulier, m’offrira sa copine, allant jusqu’à me guider en elle, et assistera à notre étreinte, agenouillée à nos côtés sur le lit.
Puis Aline la libère, tant au sens propre en lui ôtant son cadenas, que symbolique, en me la confiant , me guidant en elle après avoir redonné à ma virilité toute la vigueur voulue de ses doigts experts qui ne nous quitterons pas tout au long de ce coït complice.
Modifié en dernier par pierrotmartine01 le 28 sept. 2015, 17:42, modifié 1 fois.
Raison : remise du titre original