- 15 sept. 2016, 12:48
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Peu de temps après nos échanges de sms avec son amant, Vanessa est rentrée à la maison comme si de rien n'était.
Torturé par son mutisme et ce que je savais déjà, au bout d'une heure je n'y tenais plus. Je lui ai donc demandé si elle n'avait rien à m'avouer.
Vanessa : Moi ? Non, pourquoi ? (sourire mutin)
Moi : t'as fait quoi ce matin ?
V : Oh, rien de spécial. Des courses.
Puis elle quitta la pièce.
Quelques minutes plus tard je reçu de sa part cette photo sur mon tel avec la mention:"Ah, si. et ça aussi. Tu devines qui c'est ? "
Quel choc. cette petite salope se faisait donc bel et bien sauter dans mon dos alors que je ne me doutais de rien. Elle revint dans la pièce.
Moi : petite pute. Je t'aime tu sais ?
Je la pris dans mes bras. Je pu encore déceler la présence de son amant sur son corps.
Vanessa: tu es cocu mon chéri. Et joliment...
Moi:...
V: On s'est donné rdv comme deux amants et il m'a emmenée dans un endroit superbe. Il m'a prise pendant deux heures et demie. J'avais envie de lui. je voulais le sentir en moi et me sentir possédée par lui.
Elle me disait ça avec fierté tout en me caressant la queue. Prenant plaisir a constater l'érection que son récit provoquait dans mon froc.
Moi: il... Il t'a fait jouir ?
V: Oui... Trois fois.
Alors, elle m'enfourcha et vint empaler sa fente ouverte et souillée par un autre sur ma queue et commença a me faire l'amour.
Je n'avais pas assez de mes deux mains pour caresser simultanément tous les endroits du corps de ma femme infidèle. Comme un besoin compulsif et rituel de récupérer MA femme.
Alors qu'elle se dandinait toujours sur moi, mon majeur préalablement lubrifié du mélange de sa mouille et des restes de son amant entreprit la visite de son petit orifice.
Au bout d'une phalange, elle retira ma main en me murmurant a l'oreille :" pas ce soir chéri, il m'a prise par là aussi, tu sais ? J'ai un peu mal..."
Je ne pus me retenir de lâcher un flot de sperme comparable a celui que lacherait un ado de quinze ans après deux semaines de vacances en caravane avec ses parents.
Je la fixai amoureux et penaud.
Alors, elle m'embrassa tendrement et me dit :"Ne t'inquiète pas mon amour. J'ai déjà jouit aujourd'hui..."
En allant me coucher cette nuit là, je ne pus m’empêcher de contempler longuement son magnifique corps nu allongé lascivement sur le lit. Retomber amoureux de chaque courbe de ce corps que ses infidélités rendent encore plus attractif.
Dans son dos, la marque d'un suçon de son amant me rappelle qu'il y a quelques heures à peine, elle appartenait a un autre...
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J aime les femmes infidèles. Surtout la mienne !
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