- 18 févr. 2020, 23:30
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Notre rencontre avec force13 avait confirmé notre envie d'approfondir la voie du candaulisme, c'était une belle initiation mais nous avions envie d'aller au delà, que madame se découvre un peu plus entreprenante pour le plus grand plaisir visuel de monsieur...
Les profils couple recherchant des hommes seuls, sur chaque site, rencontrent quand même pas mal de succès, et les sollicitations sont nombreuses, alors on découvre des profils régulièrement et on essaye de filtrer sur des critères très aléatoires.
Il y a 10 jours, un jeune homme charmant nous contacte et semble correspondre un peu à nos envies. Il est disponible et le soir même nous le convions a passer un bon moment avec nous (enfin on l’espère). A l'heure dite, il arrive, Jean présente bien et nous en profitons pour boire quelques coupettes de champagne en guise de présentation. Le moment est agréable et on valide le fait de le laisser découvrir le corps de madame. Le massage est délicieux, et très vite le corps de madame en demande plus, et après de longs préliminaires, la pénétration ne le laisse pas de marbre, en 3 va-et-viens, il rempli le préservatif de sa semence. Il se retire immédiatement et commence à culpabiliser vis à vis de sa femme. Nous essayons au mieux de le réconforter, mais la soirée s’achève sur un sentiment... d'inachevé et de frustration. On retiendra de cette soirée toutefois que la voie du candaulisme se confirme et que chacun de nous peut y trouver son plaisir.
Quelque jours plus tard, un nouveau profil retient notre attention, Tony, marié et libertin confirmé, qui au grès des messages nous séduit de plus en plus, sa vision du libertinage est proche de la notre et comble du bonheur, il est ancien kiné reconverti, adepte de bons massage, son CV semble idéal. Rendez vous pris pour lundi soir (donc hier) en fin d'après midi. Vers 16H, Antoine, notre complice préféré nous envoi un message pour nous dire qu'il est dans notre coin mardi soir. J'hésite à le dire à ma femme, de peur d'annuler le rdv prévu le soir même mais je lui annonce quelques minutes avant l'arrivé de notre nouvel invité. Il arrive, lui aussi très ponctuel, et très froid, bien plus que lors de nos messages. Après une douche rapide, on attaque le massage comme s'il faisait une prestation, sans sensualité. Il ne nous avait pas menti par contre il était très bien équipé, mais avait finalement du mal a maintenir une érection convenable. Il arriva quand même a faire jouir une fois ma femme, a son tour arriva à jouir, et très rapidement rejoignit notre salle de bain pour prendre une douche et prendre congés de nous. C'était un robot programmé pour passer une heure de son temps avec nous, et tel cendrillon, il disparaissait mais à 19H. On n'avait pas perdu grand chose, à part peut être notre temps...
Et contre toute attente ma femme me dit : "on dit à Antoine de venir demain et si même avec lui c'est pas terrible, alors on arrête tout". Cette phrase était rempli d'humour mais cachait quand même un brin de vérité. Je laissais l'idée mûrir en elle, mis à part au Cap d'Agde, nous n'avions jamais libertiné deux jours consécutifs. Au réveil, je n'abordais pas le sujet et c'est devant un café qu'elle me reparla d'Antoine en me disant que si je voulais, je pouvais l'inviter ce soir...
Quelques SMS échangés avec notre "valeur sure", histoire de lui donner nos nouvelles envies et le rendez vous est pris pour 18H. Bien occupés au boulot, la journée passe vite et une fois rentré à la maison, le temps de prendre une douche et nous sommes prêts pour cette nouvelle soirée coquine. Le connaissant bien plus on savait que l'on aurait pas besoin de massage pour aller à la rencontre des corps et donc c'est assis sur le canapé, en peignoir que ma femme l'attends. Quand à moi, c'est sur le fauteuil placé en face que je m'installerai. La bise est chaleureuse, et il prends place instinctivement ou nous l'avions prévu. On trinque en parlant de nos vies depuis sa dernière visite et après s'être étiré, il laisse sa main posée sur le dos de ma femme, initiant le premier contact. En guise de représailles, elle lui déboutonna la chemise et lui caressa le torse. Quel changement; même si je sais qu'elle se fait violence intérieurement pour être entreprenante à ce point, on voit le plaisir qu'elle prends à le faire. Puis rapidement elle lui défait la ceinture et nous lance comme un défi : "je ne vais pas tout faire toute seule, vous allez au moins vous déshabiller tout seuls". Alors pendant que nous nous mettions à nus, elle ôtât son peignoir à son tour. Elle m'avait avoué préalablement ne pas savoir comment gérer le fait de le caresser intimement de manière spontanée, elle venait de trouver la solution ; en plongeant directement sur son sexe et l'engouffrant totalement dans sa bouche. Je n'en revenait pas, et me délectait de voir cette vision tant de fois imaginée. Elle prenait au moins autant de plaisir à le sucer que je n'en prenait à la regarder. Je voulais qu'elle lui fasse l'amour comme elle me l'aurait fait et comme dans un état second c'est exactement ce qu'elle vivait. Elle lâchait ce sexe de l'emprise de sa bouche et l'enjamba car elle avait déjà totalement envie de lui. Il dut la freiner le temps de prendre un préservatif que je lui tendis. Elle s’empala sur lui et rythma un tempo de folie, Antoine d'habitude si endurant dut demander une pause pour ne pas jouir rapidement. il en profita pour stimuler son clitoris déjà bien excité avec sa langue, ses doigts en elle a la recherche du plaisir. En bon spectateur, je choisissais les meilleurs angles de vue afin de ne perdre aucun détails. Après avoir jouit et bien arrosé le canapé, elle retourna goûter ce sexe qui lui donne généralement tant de plaisir. Elle aime ça, et elle le fait très bien, mais de peur de jouir trop rapidement, Antoine la positionna dans un missionnaire contorsionné cherchant la position la plus efficace pour lui offrir le plaisir qu'elle mérite. Les cris masquaient a peine le bruit des claquement des corps, les orgasmes étaient au rendez vous, mais elle en voulais toujours plus et lui réclama une levrette. Mon érection ne faiblissait pas et je me positionnait sous elle afin qu'elle puisse me prendre en bouche dans cette position. Nous sommes resté un petit moment comme cela, jusqu’à ce que ses jambes ne la porte plus, lui et moi étions au bord de l'orgasme et ce répit nous était salvateur. Pas pour longtemps, car après un petit défi, elle retourna jouer de sa bouche de son instrument préféré, il voulu la faire jouir une dernière fois, la repénétra une dernière fois mais rapidement, ils ont jouit ensemble. Je pris le relais, et à notre tour, nous partagions le dernier orgasme de la soirée.
Le temps de finir notre bouteille de vin, Antoine nous annonçait qu'il changeait de boulot et que malheureusement il ne serait plus sur notre secteur à partir de fin avril. Nous avons donc 2 mois devant nous pour trouver un nouveau créneau ensemble...