- 10 janv. 2021, 17:11
#2493022
Bonjour à tou.te.s,
Je me permets de présenter notre petit couple, pas encore accomplis dans le Candaulisme mais en évolution ... Je préfère vous prévenir avant toute chose que cette présentation paraîtra peut-être décevante à certains, peu d'action et point de sensationnalisme ... Mais une description au plus proche des premières ondes et tensions qui peuvent naître dans un - jeune - couple autours du Candaulisme - notamment. Et qui sait, peut-être qu'au gré du vent d'audace qui souffle chez ma douce, ces ondées se transformeront en une déferlante de luxure !
Commençons par notre présentation à proprement parlé. Nous nous sommes rencontré il de cela 4 ans déjà à la faveur de nos études ; nous étions au seuil de la vingtaine (plus 3 pour ma part) et fréquentions une grande école parisienne connue pour être libre.
Ma tendre venait d'un milieu qui ne le destinais pas aux turpitudes : famille catholique, bien sous tous rapports, petite tête blonde au minois angélique, cheftaine scout à ses heures perdues et musicienne hors-pair. Pourtant la belle avait déjà succombé par une fois au désir, et y avait découvert le plaisir. En réalité elle était moins hostile à l'aventure que ce que les apparences pouvaient laisser penser, elle n'avait juste jamais été assez longtemps avec quelqu'un pour s'aventurer vers d'autres contrées, ou même sonder sincèrement ses désirs.
Pour ma part, je ne nierais pas une façade de gendre idéal : un peu flamboyant mais dans les codes, séducteur mais courtois. J'avais néanmoins connu de plus nombreuses expériences, et profité de mes premières années ... Une affaire marquante peut-être, ma première petite amie avec laquelle j'avais passé 3 ans m'avait trompé plus que je n'avais de doigts pour le compter : amouraché j'avais pardonné à chaque fois. Elle avait des arguments, et c'est à ses côtés que j'ai découvert une part de licence : triolisme, sexe anal, liens et autres fétichismes.
Revenons au couple que nous formons, nos premières années furent tendres et, nous en convenons désormais tous deux, un peu ennuyeuses sexuellement. Les élans de la nouveauté retombent vite, je n'osais aborder mes fantasmes ouvertement, et mon aimée ignorais encore les siens. L'intimité et le temps aidant, nous nous sommes libérés sur certains points, en faisant entrer doucement des jeux de dominations dans notre chambre. C'est alors que j'ai découvert que l'assiduité et le sérieux de mon amie n'avait pas cours qu'en classe : elle se mit à écumer les ressources que présente internet. Je ne vous ennuierait pas avec le déroule, mais disons que les liens ont vite trouvé à se ranger sous notre matelas, suivis de quelques mots crus à l'occasion.
Sentant le terrain fertile, je me suis alors ouvert de quelques passions inavouables : un plaisir à la soumission, une attirance marquée pour le sexe féminin et ses effluves, et le désir d'être pris. Puis mis en confiance j'ai évoqué la chasteté, la féminisation et même l'ondinisme. Ces paraphilies ont eu un accueil des plus favorables, et notre vie sexuelle s'est animée. C'est alors qu'intervient le désir de Candaulisme.
J'ai timidement abordé la question durant l'été dernier, comme à son habitude ma compagne a fait preuve d'ouverture et d'aucun jugement, mais je sentais que pour la première fois on touchait à un tabou pour elle. J'ai préféré ne pas revenir sur le sujet, jusqu'à ce qu'en septembre - entre temps nous nous étions installés ensemble - elle le fasse d'elle-même. Très simplement elle m'a demandé ce qui m'attirait dans cette idée, pourquoi. Après avoir écouté mes explications, elle m'a remercié. Puis quelques semaines plus tard, après m'avoir attaché comme parfois dans nos jeux, elle s'est amusée avec son vibromasseur sous mon regard, en me parlant de garçons lui ayant fait des avances ces derniers mois. Bref, dans notre intimité ce ressort était enclenché.
Nous savons tous qu'il y a un monde entre un fantasme et un passage à l'acte, et je n'y croyais pas plus que cela, ou alors à long terme. Un évènement est venu troubler cet équilibre, puisque mon amie a découvert une indélicatesse que j'avais eu l'année dernière : un baiser en soirée. Tout à son honnêteté - après la tempête - elle m'a avoué qu'elle se projetait de plus en plus dans une aventure avec un autre homme, pour mon plaisir et le sien ; mais qu'avec cette nouvelle, elle n'imaginait pas le faire autrement que pour se venger. Ni elle ni moi ne voulions de cela. Dont acte.
Le dernier dénouement a eu lieu la semaine dernière, durant l'acte. Elle m'a dit être prête, et qu'elle y pensait souvent en se caressant. Qu'une fois le confinement terminé, elle imaginait une des nombreuses soirées auxquelles la vie estudiantine nous pousse, et où un prétendant avait peu de chance de faire défaut. Dans les courbes de la danse, lascive, elle s'abandonnerait à un baiser. Quelques caresses dans l'ascenseur, une proposition de denier verre. Un message pour me prévenir qu'elle dormait chez son amie, qui habite près évidemment. Puis une nuit avec un autre homme, et un retour dans notre lit au petit matin, en se demandant si je découvrirai. Elle m'a dit qu'elle savait que je la pensais incapable de cela, qu'elle aussi le pensait avant, mais que maintenant tout lui semblait différent.
Voilà où nous en sommes ! Je ne suis pas sûr de pouvoir alimenter ce fil régulièrement, mais peut-être que ma tendre me (nous ?) surprendra ! D'ici là, au plaisir de vous lire et d'échanger, mais encore une fois je préfère rester les pieds campés dans la réalité, quitte à en décevoir certains !
Bien à vous,
Nathan (et Chiara)
Je me permets de présenter notre petit couple, pas encore accomplis dans le Candaulisme mais en évolution ... Je préfère vous prévenir avant toute chose que cette présentation paraîtra peut-être décevante à certains, peu d'action et point de sensationnalisme ... Mais une description au plus proche des premières ondes et tensions qui peuvent naître dans un - jeune - couple autours du Candaulisme - notamment. Et qui sait, peut-être qu'au gré du vent d'audace qui souffle chez ma douce, ces ondées se transformeront en une déferlante de luxure !
Commençons par notre présentation à proprement parlé. Nous nous sommes rencontré il de cela 4 ans déjà à la faveur de nos études ; nous étions au seuil de la vingtaine (plus 3 pour ma part) et fréquentions une grande école parisienne connue pour être libre.
Ma tendre venait d'un milieu qui ne le destinais pas aux turpitudes : famille catholique, bien sous tous rapports, petite tête blonde au minois angélique, cheftaine scout à ses heures perdues et musicienne hors-pair. Pourtant la belle avait déjà succombé par une fois au désir, et y avait découvert le plaisir. En réalité elle était moins hostile à l'aventure que ce que les apparences pouvaient laisser penser, elle n'avait juste jamais été assez longtemps avec quelqu'un pour s'aventurer vers d'autres contrées, ou même sonder sincèrement ses désirs.
Pour ma part, je ne nierais pas une façade de gendre idéal : un peu flamboyant mais dans les codes, séducteur mais courtois. J'avais néanmoins connu de plus nombreuses expériences, et profité de mes premières années ... Une affaire marquante peut-être, ma première petite amie avec laquelle j'avais passé 3 ans m'avait trompé plus que je n'avais de doigts pour le compter : amouraché j'avais pardonné à chaque fois. Elle avait des arguments, et c'est à ses côtés que j'ai découvert une part de licence : triolisme, sexe anal, liens et autres fétichismes.
Revenons au couple que nous formons, nos premières années furent tendres et, nous en convenons désormais tous deux, un peu ennuyeuses sexuellement. Les élans de la nouveauté retombent vite, je n'osais aborder mes fantasmes ouvertement, et mon aimée ignorais encore les siens. L'intimité et le temps aidant, nous nous sommes libérés sur certains points, en faisant entrer doucement des jeux de dominations dans notre chambre. C'est alors que j'ai découvert que l'assiduité et le sérieux de mon amie n'avait pas cours qu'en classe : elle se mit à écumer les ressources que présente internet. Je ne vous ennuierait pas avec le déroule, mais disons que les liens ont vite trouvé à se ranger sous notre matelas, suivis de quelques mots crus à l'occasion.
Sentant le terrain fertile, je me suis alors ouvert de quelques passions inavouables : un plaisir à la soumission, une attirance marquée pour le sexe féminin et ses effluves, et le désir d'être pris. Puis mis en confiance j'ai évoqué la chasteté, la féminisation et même l'ondinisme. Ces paraphilies ont eu un accueil des plus favorables, et notre vie sexuelle s'est animée. C'est alors qu'intervient le désir de Candaulisme.
J'ai timidement abordé la question durant l'été dernier, comme à son habitude ma compagne a fait preuve d'ouverture et d'aucun jugement, mais je sentais que pour la première fois on touchait à un tabou pour elle. J'ai préféré ne pas revenir sur le sujet, jusqu'à ce qu'en septembre - entre temps nous nous étions installés ensemble - elle le fasse d'elle-même. Très simplement elle m'a demandé ce qui m'attirait dans cette idée, pourquoi. Après avoir écouté mes explications, elle m'a remercié. Puis quelques semaines plus tard, après m'avoir attaché comme parfois dans nos jeux, elle s'est amusée avec son vibromasseur sous mon regard, en me parlant de garçons lui ayant fait des avances ces derniers mois. Bref, dans notre intimité ce ressort était enclenché.
Nous savons tous qu'il y a un monde entre un fantasme et un passage à l'acte, et je n'y croyais pas plus que cela, ou alors à long terme. Un évènement est venu troubler cet équilibre, puisque mon amie a découvert une indélicatesse que j'avais eu l'année dernière : un baiser en soirée. Tout à son honnêteté - après la tempête - elle m'a avoué qu'elle se projetait de plus en plus dans une aventure avec un autre homme, pour mon plaisir et le sien ; mais qu'avec cette nouvelle, elle n'imaginait pas le faire autrement que pour se venger. Ni elle ni moi ne voulions de cela. Dont acte.
Le dernier dénouement a eu lieu la semaine dernière, durant l'acte. Elle m'a dit être prête, et qu'elle y pensait souvent en se caressant. Qu'une fois le confinement terminé, elle imaginait une des nombreuses soirées auxquelles la vie estudiantine nous pousse, et où un prétendant avait peu de chance de faire défaut. Dans les courbes de la danse, lascive, elle s'abandonnerait à un baiser. Quelques caresses dans l'ascenseur, une proposition de denier verre. Un message pour me prévenir qu'elle dormait chez son amie, qui habite près évidemment. Puis une nuit avec un autre homme, et un retour dans notre lit au petit matin, en se demandant si je découvrirai. Elle m'a dit qu'elle savait que je la pensais incapable de cela, qu'elle aussi le pensait avant, mais que maintenant tout lui semblait différent.
Voilà où nous en sommes ! Je ne suis pas sûr de pouvoir alimenter ce fil régulièrement, mais peut-être que ma tendre me (nous ?) surprendra ! D'ici là, au plaisir de vous lire et d'échanger, mais encore une fois je préfère rester les pieds campés dans la réalité, quitte à en décevoir certains !
Bien à vous,
Nathan (et Chiara)
http://www.forum-candaulisme.fr/ma-fiancee-t36436.html