Bonjour tout le monde. D’abord merci pour vos commentaires

Quelque part je suis flatté pour le côté « plume » ;- )
Pour le reste, c’est plus compliqué…
Bon, comment la suite s’est passée, ça n’a pas été facile à retranscrire car même aujourd’hui c’est un peu le fouillis dans ma tête. Un côté irréel et pourtant que j’ai vécu, comme si je n’y crois pas plus qu’un rêve que j’aurais fait. Bref, c’est assez difficile à expliquer…
Quoiqu’il en soit, après le dernier évènement que je vous ai décrit, quelques semaines étaient passées et je vais vous raconter la suite qui est importante selon moi-même si des détails ou autres petites choses mériteraient sans doute que j’en parle.
C’était donc un dimanche matin. La veille on avait fait l’amour.
Tout allait donc bien… : -)
On trainait un peu au lit.
Elle me caressait le torse et à un moment me sortit, comme ça, sans prévenir
- T’es toujours en froid avec Luc ?
Sur le coup, j’ai même pas comprit.
Elle a dit Luc ? Elle aurait pu dire ton collègue. Non ? Luc ?!?
- Heu, pourquoi tu me demandes ça ?
- Non comme ça, je trouve ça con.
Je ne dis rien. Elle continue à me caresser la poitrine.
- En froid, je sais pas. On ne se parle pas trop. Il est devenu associé au fait.
- Ah bon ? Tu m’avais pas dis.
- Non, je sais. Ça n’est pas très important.
- Oui sauf qu’il fait partie de ceux qui maintenant devront dire s’ils sont d’accords pour que tu le devienne.
C’était vrai, je n’y avais pas vraiment pensé en ces termes mais disons que c’est l’ensemble des associés qui cooptent tout nouvel associé et forcément il aurait son mot à dire.
- Oui c’est vrai tu as raison.
- Bah tu devrais te rapprocher l’air de rien.
- Mouais.
La elle rigole.
- Comment veux tu que je m’y prenne ?
C’est vrai que c’était chiant pour moi…Rien que d’y penser… j’étais pas très enthousiaste.
- Bon j’essaierai en tous les cas ok.
- Oui ou tu l’invites à la maison ?
Je ne peux pas vous expliquer tout ce qui s’est passé dans ma tête à ce moment-là. Je crois que cinquante mille idées à la fois m’ont traversé l’esprit.
Proposait-elle ça comme ça ? ou bien avait-elle quelque chose dans la tête ? même si cela me paraissait délirant. Tout peut toujours être interprété de plusieurs façons. Était-ce moi qui voulait voir certaines choses qu’il n’y avait pas ? Comment savoir ? Faisait-elle ça pour me faciliter la vie et que je devienne rapidement associé ?
J’ai voulu imaginer qu’elle manigançait quelque chose. Qu’en fait, c’était une « salope », pas la femme de ma vie, ma complice de toujours…
J’ai commencé à bander mais je n’ai pas montré quoique ce soit. J’ai taché d’être le plus neutre possible dans mon attitude, en équilibre instable entre mon scénario pervers et la réalité que je ne voulais pas abimer. Mais pendant qu’elle parlait, je revoyais cette scène, ses seins, le fait qu’il les ait matés…
A nouveau je n’en revenais pas de ce qu’elle avait fait.
On trainait au lit, mais ses mouvements devenaient lascifs. Et là, je savais que je ne me faisais pas des idées, même si cela n’avait peut être rien à voir avec la conversation.
J’ai répondu, innocemment.
- Ah tu penses vraiment ?
Pendant qu’elle m’embrassait dans le cou, elle me dit bah oui. Pourquoi pas ?
Une main glissa sous le drap et m’attrapa la queue. Elle sentit tout de de suite que je bandais à mort. J’ai senti un vrai étonnement de sa part puisqu’elle a même cessé pendant une ou deux secondes de m’embrasser dans le cou. Elle est restée immobile, sans bouger, sa main inerte, comme si elle s’était mise en pause. Qu’est ce qu’elle s’est dit à ce moment là ? Je ne sais pas.
D’habitude, elle commence à me branler mais là, à la place, dès qu’elle a posé sa main dessus et qu’elle a vu que je bandais de fou, elle la laissé dessus sans remuer étonnée que je sois dans un tel état.
Puis j’ai senti, sa respiration un peu accélérer (c’est fou comme on peut être attentif au moindre détail parfois) et là elle m’a pressé très fort la queue. Quand je vous dire fort, c’est très fort. Je pense que si je n’avais pas été si dur, elle m’aurait fait très mal. Puis sans relâcher, elle a commencé à me branler doucement mais tout en continuant de me serrer très fort. Elle commençait à partir. Je commençais à repérer chez elle les symptômes. Elle a sorti toute sa langue et s’est mise à me lécher le cou.
J’ai continuais la discussion, avec difficulté, comme si je voulais masquer ma réaction physique.
- Mais je lui demande comment ?
Elle ne répondit pas tout de suite.
Puis me dit, avec une sorte de voix un peu rauque, un peu tremblante (je m’en souviens très bien) et tout en continuant de me branler, doucement mais en me serrant toujours très fort et en me tirant la peau au maximum vers le bas, la laissant comme ça (Si elle avait voulu me faire mal, ce qui n’est pas le cas j’en suis sûr, elle n’aurait pas fait autrement, mais c’était douloureux pour ma queue) :
- Bah tu lui demandes comment ça se passe le fait d’être associé tout ça et puis à un moment tu lui dit que ça serait sympa que vous fassiez un diner ensemble et que d’ailleurs, s’il veut bien, ça te ferait plaisir qu’il vienne à la maison.
Puis elle est descendue, a passé sa langue lentement juste sur mon gland tout en me tirant toujours très fort vers le bas.
Je n’ai pas répondu, j’étais comme en apnée.
Et elle s’est mise à me sucer comme ça faisait longtemps qu’elle ne l’avait pas fait, je veux dire plusieurs années. Je la regardais faire. Elle se cognait le fond de la gorge avec ma queue. Comme si au fond de sa gorge il y avait quelque chose et qu’à chaque fois qu’elle tapait ma queue dessus elle prenait son pied. Je n’en revenais qu’elle soit si déchainée et si rapidement. Je me suis demandé comme elle faisait pour que ça ne lui fasse pas mal ?
J’ai vu sa main gauche aller vers sa chatte et tout en continuant à me sucer, elle s’est planté deux doigts dedans.
Je n’en pouvais déjà plus de la voir dans cet état.
Cette fois, c’est moi qui avait la voix tremblotante, je m’entendis dire
- Mais ça serait pour quand ?
Elle ne dit rien, continuant à bien me sucer. Elle m’attrapa le sexe, passa de nouveau lentement sa langue sur le gland et me dit, d’une voix sourde (je ne l’ai pas reconnue) Bah dans le courant du mois non ?
Elle se mit sur moi et s’enfourcha. Ses seins se frottaient contre moi. Elle mouillait fort.
- Je lui dis ok. Je vais lui proposer. Mais on serait que tous les trois ?
Elle allait et venait sur moi. Je ne bougeais pas. Ses tétons frôlaient mon torse. La voix légèrement vibrante elle me dit : je vais proposer à Mag de venir.
Mag ? Mag était une de ses copines. Son opposé. Je dirais. Boulotte, pas très jolie, un peu timide, mais elle se connaissait depuis le lycée et se voyait de temps en temps.
Dans ma tête, je me suis dit, qu’elle ne voulait pas de concurrente. Je savais que je me faisais des films mais ça m’excitait d’y penser.
On baisait en conversant, comme si c’était une conversation anodine alors que je sentais que le sujet était, comment dire… dangereux.
Je lui demandais :
- Tu crois qu’il va accepter ?
Peut être à cause de la jouissance qui arrivait, elle n’a pas fait attention ou n’a pas bien réalisé ce qu’elle disait, je sais pas, en tous cas elle m’a léché le cou et m’a dit en me plantant sa langue dans l’oreille :
- Je n’ai aucun doute.
Et elle a joui en disant : oh putain c’est bon.
J’étais super excité. Je me suis mis a genou sur le lit, et je sais pas ce qui m’a pris, je lui ai attrapé la tete, je l’ai baissée sur ma queue et je me suis vidé dans sa bouche. Ce n’était évidemment pas la première fois que je jouissais dans la bouche de ma femme mais c’était la première fois que je me suis mis exprès dans sa bouche pour éjaculer.
C’est vrai que ça avait été très bon.
Je ne vais pas tout raconter, comment j’ai lancé l’invitation, sa réaction à lui, son étonnement même, le côté (bon la j’interprète) un peu arrogant qui est revenu dans son attitude après.
Je vous dirai, parce qu’en soit le sujet n’est pas neutre, surtout comment nous avons parlé de cette soirée à venir avec ma femme.