©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
Présentation des couples candaulistes : Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

Chaque nouveau membre est donc en couleur bleue claire tant qu'il ne s'est pas présenté, et il ne peut donc pas créer d'autre sujet qu'une présentation. Plus de détail ici pour les nouveaux

Si la présentation est validée par les modérateurs ou @stephane (c'est à dire en bonne et due forme, avec quelques détails, et écrit en langage compréhensible), le nouvel inscrit passera en couleur orange et aura accès à tout le forum.

Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 12
#2534195
Bonjour tout le monde. D’abord merci pour vos commentaires :D Quelque part je suis flatté pour le côté « plume » ;- )

Pour le reste, c’est plus compliqué…

Bon, comment la suite s’est passée, ça n’a pas été facile à retranscrire car même aujourd’hui c’est un peu le fouillis dans ma tête. Un côté irréel et pourtant que j’ai vécu, comme si je n’y crois pas plus qu’un rêve que j’aurais fait. Bref, c’est assez difficile à expliquer…

Quoiqu’il en soit, après le dernier évènement que je vous ai décrit, quelques semaines étaient passées et je vais vous raconter la suite qui est importante selon moi-même si des détails ou autres petites choses mériteraient sans doute que j’en parle.

C’était donc un dimanche matin. La veille on avait fait l’amour.
Tout allait donc bien… : -)
On trainait un peu au lit.

Elle me caressait le torse et à un moment me sortit, comme ça, sans prévenir
- T’es toujours en froid avec Luc ?
Sur le coup, j’ai même pas comprit.
Elle a dit Luc ? Elle aurait pu dire ton collègue. Non ? Luc ?!?
- Heu, pourquoi tu me demandes ça ?
- Non comme ça, je trouve ça con.
Je ne dis rien. Elle continue à me caresser la poitrine.

- En froid, je sais pas. On ne se parle pas trop. Il est devenu associé au fait.
- Ah bon ? Tu m’avais pas dis.
- Non, je sais. Ça n’est pas très important.
- Oui sauf qu’il fait partie de ceux qui maintenant devront dire s’ils sont d’accords pour que tu le devienne.

C’était vrai, je n’y avais pas vraiment pensé en ces termes mais disons que c’est l’ensemble des associés qui cooptent tout nouvel associé et forcément il aurait son mot à dire.

- Oui c’est vrai tu as raison.
- Bah tu devrais te rapprocher l’air de rien.
- Mouais.
La elle rigole.
- Comment veux tu que je m’y prenne ?

C’est vrai que c’était chiant pour moi…Rien que d’y penser… j’étais pas très enthousiaste.

- Bon j’essaierai en tous les cas ok.
- Oui ou tu l’invites à la maison ?

Je ne peux pas vous expliquer tout ce qui s’est passé dans ma tête à ce moment-là. Je crois que cinquante mille idées à la fois m’ont traversé l’esprit.

Proposait-elle ça comme ça ? ou bien avait-elle quelque chose dans la tête ? même si cela me paraissait délirant. Tout peut toujours être interprété de plusieurs façons. Était-ce moi qui voulait voir certaines choses qu’il n’y avait pas ? Comment savoir ? Faisait-elle ça pour me faciliter la vie et que je devienne rapidement associé ?

J’ai voulu imaginer qu’elle manigançait quelque chose. Qu’en fait, c’était une « salope », pas la femme de ma vie, ma complice de toujours…

J’ai commencé à bander mais je n’ai pas montré quoique ce soit. J’ai taché d’être le plus neutre possible dans mon attitude, en équilibre instable entre mon scénario pervers et la réalité que je ne voulais pas abimer. Mais pendant qu’elle parlait, je revoyais cette scène, ses seins, le fait qu’il les ait matés…

A nouveau je n’en revenais pas de ce qu’elle avait fait.

On trainait au lit, mais ses mouvements devenaient lascifs. Et là, je savais que je ne me faisais pas des idées, même si cela n’avait peut être rien à voir avec la conversation.

J’ai répondu, innocemment.
- Ah tu penses vraiment ?
Pendant qu’elle m’embrassait dans le cou, elle me dit bah oui. Pourquoi pas ?

Une main glissa sous le drap et m’attrapa la queue. Elle sentit tout de de suite que je bandais à mort. J’ai senti un vrai étonnement de sa part puisqu’elle a même cessé pendant une ou deux secondes de m’embrasser dans le cou. Elle est restée immobile, sans bouger, sa main inerte, comme si elle s’était mise en pause. Qu’est ce qu’elle s’est dit à ce moment là ? Je ne sais pas.

D’habitude, elle commence à me branler mais là, à la place, dès qu’elle a posé sa main dessus et qu’elle a vu que je bandais de fou, elle la laissé dessus sans remuer étonnée que je sois dans un tel état.

Puis j’ai senti, sa respiration un peu accélérer (c’est fou comme on peut être attentif au moindre détail parfois) et là elle m’a pressé très fort la queue. Quand je vous dire fort, c’est très fort. Je pense que si je n’avais pas été si dur, elle m’aurait fait très mal. Puis sans relâcher, elle a commencé à me branler doucement mais tout en continuant de me serrer très fort. Elle commençait à partir. Je commençais à repérer chez elle les symptômes. Elle a sorti toute sa langue et s’est mise à me lécher le cou.

J’ai continuais la discussion, avec difficulté, comme si je voulais masquer ma réaction physique.
- Mais je lui demande comment ?
Elle ne répondit pas tout de suite.
Puis me dit, avec une sorte de voix un peu rauque, un peu tremblante (je m’en souviens très bien) et tout en continuant de me branler, doucement mais en me serrant toujours très fort et en me tirant la peau au maximum vers le bas, la laissant comme ça (Si elle avait voulu me faire mal, ce qui n’est pas le cas j’en suis sûr, elle n’aurait pas fait autrement, mais c’était douloureux pour ma queue) :
- Bah tu lui demandes comment ça se passe le fait d’être associé tout ça et puis à un moment tu lui dit que ça serait sympa que vous fassiez un diner ensemble et que d’ailleurs, s’il veut bien, ça te ferait plaisir qu’il vienne à la maison.

Puis elle est descendue, a passé sa langue lentement juste sur mon gland tout en me tirant toujours très fort vers le bas.
Je n’ai pas répondu, j’étais comme en apnée.

Et elle s’est mise à me sucer comme ça faisait longtemps qu’elle ne l’avait pas fait, je veux dire plusieurs années. Je la regardais faire. Elle se cognait le fond de la gorge avec ma queue. Comme si au fond de sa gorge il y avait quelque chose et qu’à chaque fois qu’elle tapait ma queue dessus elle prenait son pied. Je n’en revenais qu’elle soit si déchainée et si rapidement. Je me suis demandé comme elle faisait pour que ça ne lui fasse pas mal ?

J’ai vu sa main gauche aller vers sa chatte et tout en continuant à me sucer, elle s’est planté deux doigts dedans.
Je n’en pouvais déjà plus de la voir dans cet état.

Cette fois, c’est moi qui avait la voix tremblotante, je m’entendis dire
- Mais ça serait pour quand ?
Elle ne dit rien, continuant à bien me sucer. Elle m’attrapa le sexe, passa de nouveau lentement sa langue sur le gland et me dit, d’une voix sourde (je ne l’ai pas reconnue) Bah dans le courant du mois non ?

Elle se mit sur moi et s’enfourcha. Ses seins se frottaient contre moi. Elle mouillait fort.
- Je lui dis ok. Je vais lui proposer. Mais on serait que tous les trois ?

Elle allait et venait sur moi. Je ne bougeais pas. Ses tétons frôlaient mon torse. La voix légèrement vibrante elle me dit : je vais proposer à Mag de venir.

Mag ? Mag était une de ses copines. Son opposé. Je dirais. Boulotte, pas très jolie, un peu timide, mais elle se connaissait depuis le lycée et se voyait de temps en temps.

Dans ma tête, je me suis dit, qu’elle ne voulait pas de concurrente. Je savais que je me faisais des films mais ça m’excitait d’y penser.

On baisait en conversant, comme si c’était une conversation anodine alors que je sentais que le sujet était, comment dire… dangereux.
Je lui demandais :
- Tu crois qu’il va accepter ?

Peut être à cause de la jouissance qui arrivait, elle n’a pas fait attention ou n’a pas bien réalisé ce qu’elle disait, je sais pas, en tous cas elle m’a léché le cou et m’a dit en me plantant sa langue dans l’oreille :
- Je n’ai aucun doute.

Et elle a joui en disant : oh putain c’est bon.

J’étais super excité. Je me suis mis a genou sur le lit, et je sais pas ce qui m’a pris, je lui ai attrapé la tete, je l’ai baissée sur ma queue et je me suis vidé dans sa bouche. Ce n’était évidemment pas la première fois que je jouissais dans la bouche de ma femme mais c’était la première fois que je me suis mis exprès dans sa bouche pour éjaculer.

C’est vrai que ça avait été très bon.

Je ne vais pas tout raconter, comment j’ai lancé l’invitation, sa réaction à lui, son étonnement même, le côté (bon la j’interprète) un peu arrogant qui est revenu dans son attitude après.

Je vous dirai, parce qu’en soit le sujet n’est pas neutre, surtout comment nous avons parlé de cette soirée à venir avec ma femme.
ABC91 a liké
#2534298
Si le recit de préparation est du même niveau ascensionnel, nous allons atteindre des sommets. Miss semble très douée pour jouer avec les tensions cérébrales de son chéri :x :cuck: :x
par zztop
#2534332
Très clairement, ce n’est pas pour un problème de boulot qu’elle veut le faire venir.. pourquoi ne pas en inviter un autre à ce moment là? Comment l’a t’elle appris? À la soirée? À un autre moment..? Elle semble très maligne.. et depuis combien de temps n’avez vous pas fait l’amour 2 fois de suite?
par Niklas83
#2534412
Merci pour le partage.
J'ai pris un réel plaisir a vous lire tant par la qualité de vos écrits que par la nature détaillée de votre expérience, très immersif !

J'ai hate de connaitre la suite.
Encore !
#2534863
En effet, passionnant. Les sensations que vous décrivez sont si proches de celles que je peux ressentir dans des situations similaires avec madame dans ses/nos aventures
par Maxime34
#2535373
Merci pour vos messages.
J’aimerais vous répondre à chaque fois…
Mais c’est chargé pour moi en ce moment.

Concernant la suite, comment dire… Dans l’immédiat il n’y a rien eu.

Il a fallu attendre trois semaines. On était samedi soir et donc on n’avait plus reparlé de ça, si ce n’est pour que je lui confirme que Luc avait été d’accord. Elle ne m’avait posé aucune question. Rien. Un non sujet. J’avoue que ça m’a rassuré. Elle m’a juste dit que pour Mag aussi c’était OK.

Ce soir, ma fille était de nouveau chez ma belle-mère, comme souvent le samedi soir d’ailleurs. On était donc tranquille et une semaine avant cette soirée d’invitation.

Ma femme me dit alors, au fait, comment je m’habille la semaine prochaine ?
- Je sais pas. Je ne m’inquiète pas pour toi.
- Non allez dit moi, aide moi un peu.

Je ne sais pas pourquoi encore, un côté suicidaire ou une envie de tester. J’ai dit :
- Remets la même tenue qu’à la soirée.

Là elle a marqué un sacré temps d’arrêt.
- Non la jupe longue c’est vraiment trop habillé.
- Oui c’est vrai. Mets une jupe plus classique.
- Oui ok peut être.
- Mais le haut ?
- Quoi le haut ?
- Je vais pas remettre le même ?
- Bah si.
- Je ne vais pas passer toute la soirée avec une veste boutonnée.
- Non c’est vrai. Bah met le sans la veste.

Elle ne dit rien.
- T’as qu’à faire un essayage et je te dis.
- Bon, ok !

La voilà partie se préparer. Je me demande ce que je suis entrain de faire. Si cette fiction peut vraiment se matérialiser.
Je lui dis à voix haute
- Met aussi des chaussures avec que je me rende compte.
- OK !!!

J’ai attendu, attendu…

Puis elle s’est présentée.
Forcément elle s’est vue et elle a quand même décidé de venir. Elle aurait pu me dire, non laisse tomber ça ne va pas le faire.
Les chaussures étaient les mêmes qu’à la soirée. Elle avait une jupe sage qui tombait juste au-dessus du genou. Mais le bustier était vraiment indécent, sauf pour son mari en tête à tête. Même pour sa copine je trouvais que ça craignait.

Il lui cintrait la taille et ses seins reposaient dessus. C’était magnifique mais très provocateur.
J’ai décidé de pousser jusqu’au bout.
- Tu es magnifique !
- Tu aimes ? vraiment ?
- Oui. Tu es superbe.

Elle fit un petit tour sur elle-même et s’approcha de moi.

Je l’ai pris dans mes bras et elle me roula une pelle, puis continua. Je me mis a bander fort. Elle se mit accroupit devant moi.je voyais ses seins de dessus parfaitement. J’ai même pincé son téton avec mon pouce et son index sans avoir à détacher quoique ce soit.

Elle me suça comme ça, accroupie sur ses hauts talons. Comme une « pute », même si j’ai honte à le dire. Ma femme !
Je l’ai mise sur le canapé comme pour la prendre en levrette mais je suis passé de l’autre côté pour me mettre face à elle.

Je lui ai remis ma queue dans la bouche. Elle m’a sucé par-dessus le dossier, penchée en avant. Ses seins pendaient.
J’étais super excité. J’ai décidé de mettre les pieds dans le plat.
- J’aime voir tes seins comme ça, avec ce bustier.
Elle ne disait rien mais je sentais que ce que je disais lui faisait de l’effet. Elle avait les deux mains sur le dossier pour se retenir ne pas tomber en avant. Juste sa tête faisait des va et vient avec des gros bruits de salive (putain c’était indécent comme bruit !)
- On les voit super bien avec. Ils sont bien gros, ils m’excitent tes seins.

Forcément ce qui est valable pour moi devrait l’être pour un autre aussi non ?
Elle me suçait vraiment avec envie, la mère de ma fille !

Je suis passé derrière, j’ai fais glisser le zip de sa jupe. J’ai écarté son string. Et je l’ai baisée.
- Regarde comme tu m’excites.
Elle ne disait rien. J’étais déchainé, je la défonçais et elle aimait vraiment.

J’eu envie de tenter de la sodomiser mais j’avais peur de tout gâcher.

Je sentais qu’il fallait que j’arrête de parler en tous cas. Que c’était dangereux ce jeu. Mais c’était plus fort que moi.
Je continuais.

- Dans cette tenue, t’es vraiment trop bonne.

C’est la première fois que je disais ce genre de chose à ma femme. En gros je venais de faire comprendre à ma femme que j’avais conscience qu’elle serait aussi trop bonne vis-à-vis d’un autre, vis-à-vis de Luc.

Elle ne disait toujours rien mais elle poussait des petits cris de plaisirs.

Il fallait que j’arrête de déconner. Le pire c’est que je m’en rendais compte. Mais, comme une envie irrépressible, j’ai continué.
- On a trop envie de te baiser quand t’es comme ça.

Elle venait contre moi, a grands coups. Elle mouillait grave.
- Tu donnes trop envie d’être baisée quand tu montres tes gros seins comme ça dans ce bustier.

J’étais au bord de l’explosion. Je perdais le contrôle.
- Dans cette tenue t’es faite pour qu’on te baise !

Puis elle se mit a jouir en lâchant un cri, ce qui était assez rare chez elle. Peut être à cause de notre fille qui est souvent en train de dormir, mais là elle est vraiment partie fort.

Elle était encore à quatre patte. Elle avait sa jupe descendue sur ses genoux, en talons, la poitrine sur le dossier du canapé avec son string qui faisait ressortir son cul. Et je lui avais dit non pas qu’elle était faite pour que je la baise mais pour qu’on…

Moi-même j’avais du mal à redescendre.
Mon cœur battait à 100 000. J’étais essouflé. Comme après un sprint.
Je me suis retiré en lui faisant un bisou sur la fesse et suis parti boire un verre d’eau.
Elle était en train de se rhabiller aussi.

Mais le pire ça a été ensuite.

Une bonne heure après, on était revenu de nos émotions. La pression était retombée. Je savais que les mots avaient dépassé ma pensée mais en même temps, ce qui est dit pendant une partie de jambe en l’air, bah une fois que c’est passé, ça sonne un peu creux, comme si c’était irréel et on passe à autre chose.

Puis, elle me dit comme si de rien était : bon et toi tu vas mettre un costume ?
Merde, pour elle s’était donc acté…

Prochain récit, je vous raconte la soirée. Bon je le dis tout de suite, ça n’est pas parti en vrille même si évidemment j’ai noté beaucoup de choses.
Et…elle a bien mise sa veste pour finir… sans que je dise quoique ce soit. Mais je vous raconterai…
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 12

Notre boutique candauliste 100% sécurisée