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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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#2583203
Ne jamais perdre espoir. Après la pluie, vient le beau temps.

Filets,

Sur son petit lopin de terre,
Un homme faisait l’inventaire
De ses qualités amoureuses.
La récolte fut désastreuse.

Où qu’il se tournât, regardât,
Le néant. Il n’en trouvait pas.
En rien ceci ne l’étonnait
Tant il s’en savait déserté.

Ses sens n’étaient pas à la fête,
Il ne mangeait que des arrêtes.
Mais à force de privations,
Il avait éteint ses passions.

Sur son petit lopin de terre
Un couple faisait l’inventaire
De ses espérances amoureuses.
Leur pêche fut des plus heureuses.

Dans un souffle coquin, lançant
Leurs rets, ils ramènent un amant.
Arrive le temps des délices
Quand, enfin, surgit ce complice.

L’homme s’avéra si tactile,
Que l’accouplement fut facile.
Il s’occupa tant de la femme,
Qu’il la mena jusqu’à l’orgasme.

Finalement, des qualités,
Il en avait en quantité.
Moralité, rien n’est perdu
Pour connaître les joies du cul.

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#2583321
Ce poème est une suite de celui-ci : viewtopic.php?p=2582403#p2582403. Il s'agit d'une nouvelle commande de ce mari qui a apprécié le premier (et sa femme aussi). J'ai donc poursuivi dans cette même veine.

Envie (s),

Tu ne me connais pas encore.
Pourtant, je rêve de ton corps
Nuit et jour. Mon envie de toi
Fait frissonner ma peau d’émois
Aussi vertigineux que les
Courbes de tes beaux seins dressés
Ou de tes fesses, gouttes de
Plaisirs absolus pour nous deux.
Tu dois penser que je suis fou
Pour rechercher un rendez-vous
Avec toi. Mais cette folie
Vit de ta beauté, ma jolie.
Je veux contempler ton regard,
Me perdre dans ce doux miroir.
Sache que moi, le troubadour
Rêve de te faire l’amour.

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#2583855
Quel talent!!!! Que c'est bon de se promener dans ce monde candauliste au travers de tes poèmes. Tous les aspects sont abordés et si merveilleusement illustrés. Ceux qui débutent sur ce forum devrait commencer par te lire pour commencer à bien comprendre notre état d'esprit et tous les plaisirs qui en découlent...
#2583865
Le formidable final de la dernière aventure de @Patrice63 et de Marine/Marina (voir ici : viewtopic.php?p=2583852#p2583852) m'a inspiré ce poème que je leur dédie.

Calcul,

Très longtemps mon savoir fut nul
Dans l’art si spécial du calcul.
Idem pour l’homme de ma vie ;
Les maths ne sont pas sa lubie.
Singulier de l’indicatif,
Oui, mais toujours exclamatif ;
C’est ainsi que nous vivions
La grammaire de la passion.
Et puis un jour, je retrouvai
Un homme qui m’avait charmée.
En accord avec mon mari
Enchanté, je m’offris à lui.
Nous fîmes un trio classique.
J’alternais entre leurs deux triques.
Puis, soudain, advint la leçon
Sur la beauté de l’addition.
Mon amant nous apprit comment
Connaître le contentement
Avec deux mâles en même temps.
C’est pour vous dire élégamment
Qu’avoir deux bites qui coulissent
À l’unisson, Dieu quel délice !
Grisant nouvel Eldorado
Qui transcende ma libido.
Mon homme et moi nous pratiquons
L’être à trois dos, à l’occasion.

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#2585122
Il faut savoir choisir. Et ce n'est pas toujours si facile. Mais au final, avoir le choix dans la date, n'est-ce pas merveilleux ?

Le choix,

Tes yeux lumineux vibrent de malice.
Tu m’as préparé un gordien supplice.
C’est à ma seule décision qu’échoit
L’action ardue, délicate, du choix.

« Jusqu’à présent, j’ai toujours décidé
Du mode dont nous allions procéder.
Mais de ce pouvoir, parfois je me lasse.
Aussi, ce jour, je te cède la place. 

Mieux que Pâris devant les trois déesses,
Sois perspicace, agis avec adresse.
Du problème, tu connais les données,
Ne laisse pas le sort t’abandonner. »

Sur ses doctes mots, elle me fait face,
Si lascive lorsqu’elle se prélasse,
Qu’en comparaison, les travaux d’Hercule
Semblent insignifiants, presque ridicules.

Devant tant de beautés, comment choisir ?
Être rationnel ? Me faire plaisir ?
Son grand défi teste toutes mes failles
De bretteur, sabre d’estoc ou de taille ?

Qui en premier ? Le fendu sadinet
Aux lèvres carmin, charnus coussinets ?
Ou alors le discret œillet plissé,
Cyclope réservé aux initiés ?

Je fréquente assidûment ces deux lieux,
Berlingots délicats et délicieux.
Chaque lopin brille de ses mérites,
Choisir est donc d’autant plus émérite.

J’ai fini par trancher ce nœud gordien.
Et c’est ainsi que pour mon plus grand bien,
Ni son con, ni son cul, d’abord ne touche.
Mon pieu baisera en premier sa bouche.

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#2585138
Deux nouveaux poèmes en miroir commandés par le mari désireux de dévergonder sa femme et pour qui j'ai déjà écrit d'autres textes. Lui, et elle, sont satisfaits de ces textes ; et je les en remercie.

C’est mieux,

Tu as tout à y gagner.
Et oui, c’est la vérité.
As-tu oublié la joie
Profonde de tes émois
Quand un mâle performant,
Si fier d’être ton amant,
Déchaînait ta libido ?
Comme ils étaient bons et beaux
Ces moments où tout ton corps
Voulait qu’il te prît plus fort.
Pense à tes désirs féroces
Pour un amant non précoce
Qui fait durer le plaisir
Et sait te faire gémir.
Tu es dans le plus bel âge.
Rejoue au libertinage !
L’auteur de ces vers serait
Fou de joie si tu voulais,
Au salon, dans la cuisine,
Avec lui, être coquine.

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Fou,

Ta chatte en feu rend fou
Mon bâton d’amadou
Qui est tout enfiévré
Car il va y entrer.
Au-delà de la grève
Humide de tes lèvres,
S’étend un continent
Qu’il foule maintenant.
La pointe est bien passée,
La fente a apprécié.
Le bâton a pris feu,
Parti en tête-à-queue.

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#2585340
@pleasecuckme a posté deux vidéos où il joue au voyeur de sa femme et de son amant par le trou de la serrure (viewtopic.php?p=2585181#p2585181). Cela m'a donné matière pour cette fable.

La serrure,

Un mari apprit que son rendez-vous
Était annulé pour cause de toux
D’un client ami.
Derechef l’époux, semelles de vent,
Vers son doux logis, fonça prestement
Retrouver sa mie.
Si grand était son désir de la prendre,
Qu’un instant de plus, il ne put attendre
Pour un fol déduit.
Dans son pantalon, son sexe à l’étroit,
Battait la mesure de ses émois.
Et il ouvrit l’huis.
Léger comme un sioux, il se faufila
Dans la maisonnée, dans tous ses états.
C’est alors qu’il ouït.
Se diffusaient de la chambre nuptiale,
De longs gémissements et de forts râles.
Et tout ça, sans lui.
L’huis étant fermé, c’est par la serrure
Qu’il connut de ses cornes la mesure.
Et il s’en réjouit.
Plutôt que d’entrer, il resta dehors.
De jouer les voyeurs, c’était si fort.
De voir, il frémit.
Il admira le beau cul de sa femme
Adorée, ondoyer, secoué de spasmes.
Mais quelle alchimie !
Il sut apprécier la main de l’amant
Viril caresser ce fessier dément.
Quel tableau inouï.
Et plus sa femme chevauchait le pieu
De son amant, plus il était heureux.
Avec eux, il jouit.
Délicat, il laissa passer du temps
Avant que de rejoindre les amants.
Et il leur sourit.

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