Dans le Cantal, Mai 2018, suite2...
Leur baiser n’en finit pas, leurs bouches se dévorent mutuellement et ça me rend dingue de voir ma coquine aussi chaude. J’en profite pour me déshabiller entièrement. Je saisis ma queue bien raide et je commence à me masturber tout en les regardant. Soudain, Marine se dégage de son étreinte, le repousse et lentement se laisse glisser à genoux sur le sol. Elle approche son visage de la bite bien dressée et commence à la lécher.
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Max enlève le reste de ses vêtement pour se retrouver lui aussi entièrement nu. Jambes écartés, il offre sa queue à la bouche de plus en plus gourmande de ma petite femme. Mon cœur bat la chamade, je serre plus fort ma bite dans ma main tremblante, c’est divin... Je regarde la bouche gober le gland gonflé de sang, le sucer presque avec avidité. La queue de Max coulisse dans la bouche grande ouverte et s’enfonce profondément dans la gorge de ma coquine. Appuyant ses mains sur la tête de Marine, il ondule des hanches, la baisant littéralement par la bouche tout en soufflant fort. Elle ne se dérobe pas, suçant, aspirant, léchant ce sexe avec une gourmandise non feinte. De temps en temps, pour reprendre son souffle, elle lui lèche les testicules tout en continuant de branler la hampe doucement. Puis elle le reprend en bouche et de nouveau, Max s’active en lui maintenant la tête.
Je ne sais pas combien de temps dure le spectacle, je m’en fou, je ne m’en lasse pas. Mais toute chose a une fin et, à bout de résistance, Max finit par s’écarter, visiblement au bord de l’éjaculation. Marine se relève, le souffle court, les joues rouges. Ni l’un ni l’autre n’ont le moindre regard pour moi, le mari voyeur !
Saisissant Marine par les épaules, Max la fait pivoter et la pousse contre la table. Puis, les mains sur ses hanches, son corps collé contre le sien, il se penche de nouveau pour l’embrasser à pleine bouche.
Je regarde fasciné le corps de Max onduler légèrement. Je devine qu’il frotte sa bite contre le ventre de Marine et décide enfin de m’approcher un peu.
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Je mate comme un ado, comme si je voyais ce genre de scène pour la première fois. Mes jambes sont en coton et je n’arrive pas à maitriser les tremblements qui agitent tout mon corps. Leurs bouches finissent enfin par se séparer et Max se recule un peu. Sa queue toute rouge se balance sous les yeux de ma coquine qui cherche, elle aussi, sa respiration. Je ne dis rien, je suis juste là, tout près, pour tout voir, tout entendre... J’aime le bruit de leurs souffles, l’odeur de leurs corps, j’aime leur excitation mutuelle. Max s’approche de nouveau mais Marine le repousse, un sourire sur les lèvres.
_ Attends... Je n’ai pas fini...
Prenant appui sur la table, elle se hisse dessus et se tourne pour se re trouver assise dans le sens de la longueur. Max l’observe, tel un prédateur aux aguets. Il se déplace pour se mettre dans l’axe, curieux de voir la suite. Je le suis, telle une ombre, discret, pas du tout vexé d’être mis sur la touche. Elle le regarde, lui et lui seul, yeux dans les yeux. On sent une sorte de combat entre eux, une guerre de provocation. En appui sur ses coudes, jambes serrées, elle reste immobile, avec toujours ce petit sourire narquois au coin des lèvres. Max inspire une grande goulée d’air et dit d’une voix rauque :
_ Montre moi !
Marine ne sourit plus mais ne bouge toujours pas.
_ Te montrer quoi ? Tu as déjà tout vu...
_ Montre moi ta chatte... J’ai envie de la voir bien ouverte...
Elle se mrd la lèvre inférieure puis le sourire réapparait doucement :
_ Tu veux la voir... comme ça ?
Tout en parlant, elle ouvre lentement ses cuisses sans aller trop loin.
Max fixe l’objet de ses désirs et respire plus fort, plus vite. Je réalise que j’ai moi aussi des difficultés pour respirer. Je sens comme une pression sur ma poitrine et la tête qui tourne un peu. Max la relance d’une voix étouffée :
_ Plus... Plus ouverte...
_ Il t’en faut toujours plus toi... Tu es plutôt gourmand...
Elle s’exécute doucement, écartant ses cuisses au maximum, s’offrant sans aucune retenue au regard de Max qui dégluti péniblement.
_ Putain que c’est beau...
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Ils restent là, tous les deux figés, comme hypnotisés l’un par l’autre. Je m’approche lentement derrière Max. Je n’en peux plus ! J’ai la tête qui bourdonne et une envie dingue de sexe. Envie de le voir la baiser sur cette putain de table. Je regarde ma femme se conduire comme une vraie, une adorable petite salope. J’ai du mal à garder les idées claires et surtout, du mal à rester dans mon rôle de mari voyeur ! J’ai envie de quelque chose que je ne peux pas garder pour moi. J’ai la bouche sèche et pourtant, j’arrive à parler :
_ Branles là !
C’est sorti comme ça, directe ! Une envie subite et incontrôlable. Marine me jette un bref coup d’œil mais na bouge toujours pas, gardant sa pause totalement indécente. Max semble enfin se réveiller et le souffle court, avance sa main vers la vulve totalement offerte. Fasciné, je regarde les doigts effleurer les lèvres brillantes, les écarter doucement tout en les caressant de bas en haut. Marine, la bouche grande ouverte, ferme enfin les yeux. Tremblante, elle aspire l’air à grande goulée, soumise à un plaisir intense. Les doigts se promènent un peu partout sur la fleur rouge écarlate, ruisselante. Max semble guetter la moindre réaction, le moindre tressaillement de sa victime. Il effleure à plusieurs reprises le petit bouton si sensible caché tout en haut des pétales et à chaque fois, arrache un petit gémissement à ma coquine. Puis le moment tant attendu arrive. Je regarde sa main se retourner, paume vers le haut, le majeur se tendre, bien droit et s’enfoncer lentement au cœur de la fleur. C’est trop violent pour moi. J’ai envie de voir plus près. Max se penche un peu en arrière afin de me permettre d’immortaliser cet instant magique.
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Le doigt entame alors un lent mouvement de va et viens et je vois ma coquine lâcher prise petit à petit. Son souffle s’accélère, devenant plus fort, plus ample. Ses cuisses et ses bras se mettent à trembler tandis que sa tête s’incline davantage en arrière. Ses gémissements s’intensifient rapidement et bientôt, Max doit ralentir, retirer son doigt pour éviter de la faire jouir. Il attend un peu, puis il avance de nouveau sa main, prêt à recommencer mais Marine se redresse, repousse la main et referme ses cuisses.
_ Non ! ça va trop vite... Pas maintenant...
De nouveau ce sourire, ma coquine reprend les rênes. Je reste scotché par son aplomb. Ma petite femme chérie redevient maitresse du jeu et j’en suis bouleversé. Je suis fou d’elle, c’est une déesse et je tombe en adoration, moi le petit mari candau, le petit voyeur insignifiant.