Et nos tribulations étaient loin d'être finies !
Ce deuxième coin perdu au beau milieu de la forêt se révéla un terrible choix, à peine descendus de voiture, à peine la miss se remettant en train sous les attouchements vicieux de cet attrayant complice, qu'une première voiture apparut au loin coupant court à leur velléités de rapprochement. Suivie bientôt d'une seconde qui nous fit reconsidérer l'adéquation de l'endroit avec nos prétentions coquines...
Décidément, pas facile de baiser tranquille en pleine nature, fût-ce dans un endroit reculé !
Je lis l'inquiétude dans les yeux de la belle qui se demande si notre homme va finir par jeter l'éponge devant l'adversité, mais il la rassure, et le peu qu'il a goûté d'elle lui a retourné l'esprit au point qu'il est maintenant prêt à bien des "sacrifices" pour en découvrir plus. Il reprend sa voiture, nous le suivons à nouveau, jamais deux sans trois dit-on... Mais je suis pour ma part un peu tendu car l'heure tournant, je sens que la prochaine étape devra être la bonne sous peine de se quitter bons amis, mais frustrés.
La miss n'oublie pas cette fois de rechausser son string, et nous avisons un petit chemin que nous empruntons cette fois sur près d'un km sans croiser âme qui vive, qui nous mène entre forêt et champs quelques buttes nous cachant aux indiscrets qui pullulent décidément dans la région
L'excitation est palpable parmi nous trois, et cette fois notre opiniâtre partenaire ne perd pas une seconde avant de rejoindre la belle, qui jette un oeil légèrement inquiet sur le bout du chemin...
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Il ne lui laissera pas le temps de se poser de questions, entreprenant rapidement de lui rappeler pourquoi elle avait fait le déplacement... Reprenant la direction des débats, et sans lui laisser dire un mot, il lui demande avec autorité de retirer son string avant de descendre de voiture.
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Il ne ratera pas une miette de l'opération à laquelle elle se livrera avec délice... et moi non plus
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N'y tenant plus, il tente finalement un rapprochement assez direct, reprenant là où nous en étions restés, promenant ses mains avides sur ses fesses à pésent libérées de toute entrave, sous les petits gémissements encourageants de la belle ravie de susciter tant de désir, comme le laisse entrevoir la bosse qui se forme au creux du pantalon de ce délicieux inconnu.
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