- Aujourd’hui, 04:27
#2878142
C’est fait…
Hier soir, dans l’intimité de notre lit, dans l’obscurité, j’entreprends de parler de notre sexualité en disant « comment tu verrais les choses si l’un de nous n’était plus en capacité de satisfaire l’autre pour des raisons techniques ? Tu préférerais qu’on se laisse la possibilité d’aller chercher ailleurs ce que l’autre ne peut offrir ou faire une croix sur notre sexualité ? »
Du tac au tac elle me répond « si je ne peux plus te satisfaire je préfère te rendre ta liberté et que tu fasses ce que tu veux ».
Pas certain de comprendre je demande « tu parles de nous séparer ? ».
« Oui, je ne supporterais pas de savoir que tu vas ailleurs et que tu rentres l’air de rien ».
Elle me dit « et toi ? ».
Là je me dis c’est maintenant ou jamais.
Je lui réponds que si je ne suis pas en mesure de la satisfaire je préfère la laisser trouver ailleurs ce que je ne peux lui offrir (sans lui avouer mon fantasme mais en lui disant que je préfère ça que de la perdre).
Elle me répond qu’elle ne me crois pas, que je dis ça comme ça mais que si ça devait se passer je ne le supporterais pas.
J’enchaîne en disant que je suis certain de ce que je lui dis à condition qu’elle m’en parle avant en précisant que je veux être consentant.
Elle me réponds « ok, ben on va essayer alors pour voir si vraiment tu acceptes ».
Elle me l’a dit davantage sur le ton du défi que du partage.
Je lui doit « ok » en rappelant que je veux être informé avant.
Elle me dit « genre tu vas rien dire de savoir que je passe la nuit avec un autre ? ».
Je lui réponds « non pas une nuit ».
Elle reprend « oui ben même 3h ».
Je lui dit que je suis d’accord et elle me dit « oui ben après il faudra que tu gères et que tu n’ailles pas peter les plombs sur le gars ».
Je comprends qu’elle ne rejette pas l’idée ce qui m’excite en me faisant trembler (au sens littéral).
Je lui dis que je gérerai mes émotions puisqu’il s’agit de quelque chose d’accepté.
Elle me dit « bon ok ben le mieux pour savoir c’est de le faire et on verra si vraiment tu acceptes comme tu dis » (toujours sur le ton défi, peut-être pas certaine par la véracité de mes propos).
Je lui dis que je ne veux personne de notre entourage et elle me répond qu’elle ne veut pas quelqu’un qu’elle ne connaît pas car elle ne pourra pas ».
Là je comprends qu’elle se projette.
Je lui dit « on verra lorsque tu m’en parleras ».
Je lui demande si elle a une idée de quelqu’un et elle me répond par l’affirmative (elle me cite un nom d’un type que je ne connais pas et qui serait un client).
Elle est ouverte mais semble braquée peut-être en imaginant que je la teste ou que j’irai pas au bout.
J’ai insisté en lui disant que le principal c’est qu’elle m’en parle avant car l’idée d’être trompé me ferai mal vivre la situation.
Elle m’a répondu « ok bah on va le faire et tu verras si tu gères comme tu dis ».
Nous en sommes là…
On s’endort, pas dans les bras l’un de l’autre mais côte à côte.
Et là, tandis qu’elle dort, pour moi c’est l’ascenseur émotionnel.
Depuis 3h15 je suis dans le salon à essayer de comprendre, imaginer et réaliser ce qui risque de suivre.
Était-elle sérieuse ? Me pense t’elle sérieux ?
Maintenant que les dés sont lancés on va voir.
Je suis fébrile à l’heure où j’écris mais décidé à ne pas revenir en arrière (d’ailleurs, quelle crédibilité aurais-je ?).
C’est fort. C’est déstabilisant. C’est excitant et terrifiant en même temps.
Une question tourne en boucle : et si elle n’avait fait que me tester ?
Je suis à l’écoute de vos impressions.
Merci une fois encore à ceux qui en plus de lire prennent quelques instants pour me conseiller.
Hier soir, dans l’intimité de notre lit, dans l’obscurité, j’entreprends de parler de notre sexualité en disant « comment tu verrais les choses si l’un de nous n’était plus en capacité de satisfaire l’autre pour des raisons techniques ? Tu préférerais qu’on se laisse la possibilité d’aller chercher ailleurs ce que l’autre ne peut offrir ou faire une croix sur notre sexualité ? »
Du tac au tac elle me répond « si je ne peux plus te satisfaire je préfère te rendre ta liberté et que tu fasses ce que tu veux ».
Pas certain de comprendre je demande « tu parles de nous séparer ? ».
« Oui, je ne supporterais pas de savoir que tu vas ailleurs et que tu rentres l’air de rien ».
Elle me dit « et toi ? ».
Là je me dis c’est maintenant ou jamais.
Je lui réponds que si je ne suis pas en mesure de la satisfaire je préfère la laisser trouver ailleurs ce que je ne peux lui offrir (sans lui avouer mon fantasme mais en lui disant que je préfère ça que de la perdre).
Elle me répond qu’elle ne me crois pas, que je dis ça comme ça mais que si ça devait se passer je ne le supporterais pas.
J’enchaîne en disant que je suis certain de ce que je lui dis à condition qu’elle m’en parle avant en précisant que je veux être consentant.
Elle me réponds « ok, ben on va essayer alors pour voir si vraiment tu acceptes ».
Elle me l’a dit davantage sur le ton du défi que du partage.
Je lui doit « ok » en rappelant que je veux être informé avant.
Elle me dit « genre tu vas rien dire de savoir que je passe la nuit avec un autre ? ».
Je lui réponds « non pas une nuit ».
Elle reprend « oui ben même 3h ».
Je lui dit que je suis d’accord et elle me dit « oui ben après il faudra que tu gères et que tu n’ailles pas peter les plombs sur le gars ».
Je comprends qu’elle ne rejette pas l’idée ce qui m’excite en me faisant trembler (au sens littéral).
Je lui dis que je gérerai mes émotions puisqu’il s’agit de quelque chose d’accepté.
Elle me dit « bon ok ben le mieux pour savoir c’est de le faire et on verra si vraiment tu acceptes comme tu dis » (toujours sur le ton défi, peut-être pas certaine par la véracité de mes propos).
Je lui dis que je ne veux personne de notre entourage et elle me répond qu’elle ne veut pas quelqu’un qu’elle ne connaît pas car elle ne pourra pas ».
Là je comprends qu’elle se projette.
Je lui dit « on verra lorsque tu m’en parleras ».
Je lui demande si elle a une idée de quelqu’un et elle me répond par l’affirmative (elle me cite un nom d’un type que je ne connais pas et qui serait un client).
Elle est ouverte mais semble braquée peut-être en imaginant que je la teste ou que j’irai pas au bout.
J’ai insisté en lui disant que le principal c’est qu’elle m’en parle avant car l’idée d’être trompé me ferai mal vivre la situation.
Elle m’a répondu « ok bah on va le faire et tu verras si tu gères comme tu dis ».
Nous en sommes là…
On s’endort, pas dans les bras l’un de l’autre mais côte à côte.
Et là, tandis qu’elle dort, pour moi c’est l’ascenseur émotionnel.
Depuis 3h15 je suis dans le salon à essayer de comprendre, imaginer et réaliser ce qui risque de suivre.
Était-elle sérieuse ? Me pense t’elle sérieux ?
Maintenant que les dés sont lancés on va voir.
Je suis fébrile à l’heure où j’écris mais décidé à ne pas revenir en arrière (d’ailleurs, quelle crédibilité aurais-je ?).
C’est fort. C’est déstabilisant. C’est excitant et terrifiant en même temps.
Une question tourne en boucle : et si elle n’avait fait que me tester ?
Je suis à l’écoute de vos impressions.
Merci une fois encore à ceux qui en plus de lire prennent quelques instants pour me conseiller.